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Ali Khodja

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Messages posté(e)s par Ali Khodja

  1. les MEKO seront 4 na! tout le reste c est de la supputation sterile et/ou de la mauvaise foi habituelle de certains qui se reconnaitrons

    An Undeniable Confirmation from an official letter from the Federal Ministry of Economics and Technoligie sent to the Bundestag (the german parliament)

    Arms exports to Algeria :....and ThyssenKrupp Marine Systems AG to supply two frigates of the Meko-series and plans two more to be manufactured by the country itself

    http://dip21.bundestag.de/dip21/btd/17/112/1711286.pdf

  2. il faut que Hollande se bouge pour ne pas perdre le marché Algerie

    Les entreprises françaises en retard d'une évolution : Le marché algérien n'est plus une chasse gardée

    par Salem Ferdi

    Jean-Pierre Raffarin a été avare d'annonces dans l'entretien accordé à un quotidien national avant son arrivée en Algérie.

    Les plus optimistes y verront une volonté de ne pas couper les effets au président François Hollande et de laisser les annonces pour la visite officielle qu'il effectuera en Algérie. Mais ceux qui ont été habitués aux déclarations mirifiques sur le «partenariat stratégique», la «refondation», «pacte de coproduction» et autres superlatifs prennent les choses pour ce qu'elles sont: il n'y a rien à annoncer. Que ce soit sur le dossier de l'usine Renault, dont les dirigeants laissent entendre qu'ils se résignent à la faire pratiquement sous la contrainte ou pour le projet de complexe de vapocraquage de Total. Certes, il ne faut jurer et ces dossiers peuvent connaitre un déblocage à la faveur de la visite de Hollande qui prendrait ainsi un relief plus vif. Mais ces dossiers, même s'ils sont fortement accompagnés par le gouvernement français, relèvent en dernier ressort des directions des entreprises. «Nous sommes aussi en train de bien avancer pour le projet SNVI-Renault à Oran», a déclaré Abdelmalek Sellal alors que Jean-Pierre Raffarin met en avant le fait que la «volonté d'aboutir existe de part». Sa réponse sur le projet d'usine de vapocraquage de Total est un modèle de discours vaporeux pour dire que la situation est bloquée. Il reste encore la «bonne volonté». En réalité, ces grands projets aussi importants soient-ils ne peuvent masquer que le rendez-vous du partenariat industriel n'a pas eu lieu. Les entreprises françaises vendent depuis longtemps en Algérie et veulent continuer à le faire tout en produisant au Maroc et en Tunisie. Il ne s'agit pas de se mettre en concurrence avec les deux autres pays maghrébins mais de souligner le fait que le plus gros marché des entreprises françaises se trouve en Algérie et que les entreprises françaises la boudent. Les partenaires français ont trouvé une «explication» dans le verrouillage de la LFC 2009 pour laisser entendre que l'Algérie ne souhaitait en fin de compte pas leur venue. L'argument est contestable. Même la règle du 51/49% - critiquée par des Algériens pour son application généraliste au lieu d'être limitée à des segments particuliers - n'a rien d'une hérésie et ne contrevient pas aux règles de l'Organisation mondiale du commerce.

    UN FAUX SENTIMENT D'ASSURANCE

    Il existe chez les entrepreneurs français un sentiment d'assurance de domination sur le marché algérien qui n'est plus de mise. Certains entrepreneurs français qui observent bien les évolutions des acteurs économiques algériens alertent leurs pairs sur le fait qu'ils dorment sur leurs lauriers. On a souvent relevé que la qualité bonne ou mauvaise des relations politiques entre l'Algérie et la France n'avait pas d'incidence sur le courant des affaires. Il faudra désormais, alors que le marché algérien devient plus concurrentiel et que les entreprises d'autres pays de l'Europe en crise veulent y prendre une part, insister sur le fait que les bonnes relations politiques ne vont pas nécessairement servir les entreprises françaises. L'Algérie a d'excellentes relations politiques avec la Chine, les Etats-Unis et d'autres pays européens. Son marché a cessé d'être une chasse gardée même si les flux restent importants entre la France et l'Algérie. Encore faut-il ne pas feindre d'ignorer que la Chine ne devrait pas tarder à supplanter la France en tant que premier pays fournisseur de l'Algérie. Les opérateurs algériens ont appris, au fil des ans, à découvrir d'autres partenaires que les Français. L'offre de partenariat que les responsables algériens ne cessent de faire sans avoir de réponse probante pourrait être dépassée par les faits. Il y a d'autres partenaires possibles qui veulent bien entendu vendre, mais qui comprennent que l'Algérie souhaite, pour diversifier son économie, faire de la substitution aux importations. Les entreprises françaises bénéficient encore de la «traditionnelle» propension des opérateurs algériens à regarder vers la France. Les chiffres que publie régulièrement le CNIS montrent que les choses sont en train de changer et à vive allure. Il n'y a pas de terrain conquis.

    http://www.lequotidien-oran.com/index.php?news=5175981

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