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Ali Khodja

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  1. des éclaircissements sur la chute de Ben Ali

    L’échange téléphonique qui a scellé le destin de la Tunisie

    Une source policière nous a fait parvenir ce document explosif, avec la bande sonore qui confirme son authenticité. Nous vous livrons en exclusivité la transcription des communications téléphoniques qui ont eu lieu, dans la nuit du 14 au 15 janvier 2011, entre Ben Ali (BA), son Premier ministre Mohamed Ghannouchi (MG), son ministre de la Défense Ridha Grira (GR), Mahmoud Cheikhrouhou (MC), le commandant de bord de l’avion qui transportait le couple présidentiel en Arabie Saoudite, et Hédi Baccouche (HB), ancien Premier ministre de Ben Ali. Après la transcription, notre analyse des faits.

    À 3h02 du matin, Ben Ali appelle l’ex-Premier ministre tunisien Mohamed Ghannouchi (MG) :

    BA : Mohamed ! Je vous ai demandé de repasser à la télé ! Dites au peuple tunisien que vous comptez donner quelques précisions au sujet de votre discours ! Dites aux gens que je rentre demain et que tout rentrera dans l’ordre ! Dites leur que je sais à présent qui a manigancé pour qu’on en arrive là !

    MG : Monsieur le Président ! Vous êtes toujours président de la Tunisie ! Cependant je ne pense pas que votre retour sera apprécié par le peuple tunisien ! Il faut que vous passiez encore quelques temps en Arabie Saoudite le temps que ça se calme !

    BA : Il n’en est pas question ! Je vous ai dit que je rentre demain à la première heure ! Faites ce que je vous dis ! C’est moi le Président ! C’est moi le Président ! Où êtes-vous en ce moment Si Mohamed ?

    MG : On est tous réunit au ministère de l’Intérieur, Monsieur le Président.

    BA : Si Ridha est-il à vos côtés ?

    MG : Oui, Monsieur le Président.

    BA : Passez le moi !

    RG : Monsieur le Président !

    BA : Si Ridha ! Dites moi ce qui se passe. Mohamed m’a dit que la situation est très grave !

    RG : Affirmatif Monsieur le Président ! Le pays et à feu et à sang. Des milices tirent sur des innocents. On ne sait pas d’où ils sortent ! Monsieur le Président je sens qu’il y a un complot dangereux qui se trame sur nos sols.

    BA : Avez-vous pris contact avec Ali Sériati [Directeur de la garde présidentielle] ?

    RG : Monsieur le Président ! J’ai ordonné l’arrestation d’Ali Sériati !

    BA : Pourquoi avez-vous fait ça ? Qu’est ce qu’il a encore fait ?

    RG : Je ne sais pas encore Monsieur le Président mais les RM [Renseignements militaires] sont en possession d’informations très délicates.

    BA : Quels types d’informations Si Ridha ?

    RG : Je ne peux vous dire ça au téléphone Monsieur le Président !

    BA : Dites moi Ridha ! Dites moi tout de suite ce vous avez trouvé sur Ali !

    RG : Je ne peux pas Monsieur le Président ! Je n’ai plus confiance en personne. On est tous sur écoute ici ! Vous le savez ça !

    BA : Vous voulez dire quoi ?

    RG : Vous m’avez bien compris Monsieur le Président !

    BA : Bon Ridha dites à Mohamed que je rentre demain et que je vais remettre les pendules à l’heure.

    RG : Monsieur le Président ! Vous ne pouvez plus rentrer. Le pays risque de brûler. Les gens pensent que vous avez fui le pays. Vous ne pouvez plus faire marche arrière. Attendez encore deux ou trois jours et on vous dira ce qu’il en sera Monsieur le Président !

    BA : Pas question ! Je rentre ! Je rentre ! Je rentre !

    RG : Monsieur le Président ! Si vous rentrez, je serai dans l’obligation d’assurer votre sécurité ! L’armée sera probablement contrainte de tirer sur les gens et je ne veux pas en arriver là ! Je n’ai pas envie de tuer des innocents !

    BA : On n’en arrivera pas là ! Je vous le promets, Ridha.

    À ce moment, Ben Ali raccroche le téléphone. Ou la communication se coupe.

    À 5h18 du matin, le commandant Mahmoud Cheikhrouhou (MC) appelle le Premier ministre tunisien :

    MC : Monsieur le Premier ministre ! Je fais quoi ? Je suis toujours à l’aéroport ! Le Président m’a donné l’ordre de ne pas bouger. Et ici, personne n’est au courant de quoi que ce soit. J’étais avec Si Nabil [Nabil Chéttaoui est l’ancien PDG de la compagnie aérienne Tunisair] au téléphone et c’est lui qui m’a conseillé de vous contacter.

    MG : Je ne sais pas ! Je ne peux rien vous dire pour le moment ! Attendez ! Je vous passe Si Ridha le ministre de la Défense. C’est l’armée et à sa tête Si Ridha qui contrôlent le pays maintenant. Je vous le passe !

    RG : Si Moncef, qu’est ce qui se passe ? Qu’est ce qu’il y a ?

    MC : Monsieur le Ministre ! Dites moi ce que je dois faire ! Ça fait à peu près cinq heures que j’attends et on ne m’a toujours pas donné de consignes et ici, personne ne veut ravitailler l’avion !

    À ce moment, le ministre de la Défense s’adressa aux présents et leurs dit en ayant toujours le commandant au téléphone :

    RG : Messieurs ! Je vais donner l’ordre au commandant de rentrer sans le Président et j’en assume l’entière responsabilité.

    À ce moment là, une longue discussion a eu lieu avant que le ministre de la Défense ne reprenne la conversation :

    RG : Mahmoud, préparez-vous à repartir. Je vais vous donner plus de détails d’ici dix minutes. Faites le plein. Vous allez rentrer directement à Tunis. Et surtout n’en parlez à personne même pas au Président en personne ! Vous m’avez bien compris Si Mahmoud ?

    MC : Oui Monsieur le Ministre !

    RG : Donnez-moi un numéro où je pourrai vous joindre !

    MC : Tout de suite Monsieur le Ministre. Avez-vous de quoi noter Monsieur le Ministre ?

    RG : Oui, allez-y !

    MC : C’est le xxxxxxx, rappelez-moi SVP.

    RG : Bien entendu ! Laissez le téléphone à vos côtés ! Je vous rappelle de suite pour vous donner les consignes.

    Près de dix minutes plus tard, Ridha Grira rappelle le commandant et lui dit :

    RG : Si Mahmoud ! Écoutez mois attentivement ! Vous allez rentrer tout de suite. Vous allez rentrer sans le Président. C’est une décision qui a été prise au plus haut niveau de l’État et j’en assume l’entière responsabilité. Je vous laisse préparer l’avion ! Je reviens vers vous dans quinze minutes.

    À ce moment le ministre de la Défense raccroche le téléphone et appelle Hédi Baccouche (ancien ministre du temps de Bourguiba et de Ben Ali, l’un des trois cerveaux de l’opération du 7 Novembre 1987) :

    RG : Si Hédi ! C’est Ridha Grira au téléphone.

    HB : Monsieur le Ministre ! J’ai appris ce qui s’est passé ! Seriez-vous derrière le départ du Président ?

    RG : Je vous expliquerais cela plus en détail plus tard Si Hédi ! Si Hédi Je viens de prendre une décision d’une extrême importance suite à une réunion avec Si Mohamed, Si Foued [Foued Mebazaa, ancien président du Parlement], Si Abdallah Kallel [ancien ministre et président de la Chambre des sénateurs du temps de Ben Ali], le général Ammar [Rachid Ammar, chef d’état-major], les membres du CSA [Conseil suprême des armées], Si Ahmed [Ahmed Friaa ancien ministre de l’Intérieur] et Si Kamel [Kamel Morjane était encore le ministre des Affaires étrangères] : Si Hédi ! J’ai décidé que Ben Ali ne vas plus rentrer en Tunisie !

    HB : Êtes-vous sûr de vous Si Ridha ? Avez-vous reçu des instructions d’une ambassade bien particulière ?

    RG : Non Si Hédi ! C’est une décision personnelle ! S’il rentre, on sera obligé de le défendre et des milliers de vies tomberont !

    HB : Faites le nécessaire, Monsieur le Ministre.

    RG : J’aurais besoin de vous Si Hédi ! J’ai proposé à Si Foued (Mebazaa) de passer à l’article 15 demain matin. Mais il ne veut pas entendre parler de ça. Il dit qu’il est malade. Mais on doit appliquer le texte de loi. Il faut qu’il occupe le poste de Président afin de fermer définitivement la porte devant un retour éventuel du Président Ben Ali. Essayez de le convaincre. Ici, il ne veut plus écouter personne. Appelez Si Hamed [Hamed Karoui est un ancien Premier ministre de Ben Ali] ; lui, il saura lui parler.

    Analyse de ces échanges téléphoniques

    Ce document parfaitement authentifié est d’une importance capitale. Nous savions déjà que Ben Ali ne s’est jamais enfui, qu’il y a été persuadé et contraint par le général Ali Seriati. Nous savons maintenant que Ben Ali voulait absolument revenir au pays. L’on comprend ici que c’est Ridha Grira qui a pris la décision d’empêcher Ben Ali de revenir. Mais a-t-il pris tout seul cette décision qui a fait basculer le destin de la Tunisie ? Nous pensons et nous affirmons que cette décision lui a été dictée par le général Rachid Ammar, même s’il en était le ministre. Mais Rachid Ammar lui-même, a-t-il agi tout seul ou sous instruction ? Nous soutenons et affirmons qu’il n’a fait qu’exécuter le « souhait » du Pentagone, pour ne pas dire l’ordre de Washington.

    Si Rida Grira est le « sauveur » du pays, pourquoi donc a-t-il été arrêté, sous le Premier ministère de Béji Caïd Essebsi, en septembre 2011 ? Parce que, dès mars 2011, il n’a pas observé l’omerta. Sans doute par honnêteté intellectuelle et naïveté politique, il a commencé à parler aux médias des événements de janvier 2011, puisqu’il en était au cœur. Il a d’abord démenti la légende selon laquelle Rachid Ammar n’a jamais dit non à Ben Ali pour réprimer la foule. Selon son propre aveu, c’est le cyber-collabo Yacine Ayari qui a lancé cette désinformation à partir de sa chambre de bonne à Bruxelles. Le démenti de Ridha Grira n’a évidemment pas plu au général Ammar, qui a fini par croire à ce mensonge qui a fait sa popularité auprès des Tunisiens. Grira a par la suite, toujours par médias interposés, accablé le général Ali Seriati dont il aurait donné l’ordre d’arrestation.

    Notre thèse est par conséquent la suivante. Dès le 10 janvier 2011, sentant la crise s’aggraver et le pouvoir chanceler, plusieurs protagonistes se sont mis à rêver qu’ils pouvaient succéder à Ben Ali. Ces protagonistes sont principalement le général Ali Seriati et le général Rachid Ammar. Le premier a persuadé Ben Ali de quitter le pays, prétextant qu’il ne pourrait plus assumer sa sécurité. Il espérait ainsi créer un vide dont il aurait profité pour prendre le pouvoir. Le second a donné l’ordre d’empêcher Ben Ali de revenir, pour les mêmes raisons que Seriati. Il y avait donc deux coups d’État en marche. Celui du général Ali Seriati et celui du général Ammar. Le premier de type endogène, et le second de type exogène (américain). Vous connaissez la suite : Ali Seriati a été arrêté le 14 janvier 2011, sous l’ordre de Rachid Ammar, avec l’appui des États-Unis, et non pas de Ridha Grira comme il le dit dans ce document.

    Ce qui s’est passé le 14 janvier 2011 n’est donc pas une révolution, mais un coup d’État militaire, qui n’était pas planifié par les Américains, mais improvisé par les stratèges de la Maison Blanche qui suivaient de très près les événements dès leur déclenchement à Sidi Bouzid. Comment ce fait divers, l’immolation par le feu de Mohamed Bouazizi, a-t-il pu prendre une telle ampleur nationale, régionale et même internationale ?

    Il s’agit là d’une autre question, géopolitique cette fois-ci, qui implique en l’occurrence une véritable planification américaine qui a commencé dès 2003. Une planification dont les acteurs et les exécutants ne sont plus l’armée nationale ou la Garde républicaine, mais l’armée des cybers-collabos, formatés par les ONG-écran des services de renseignement américain, et qui ont fait la « révolution 2.0 » ! Nous y reviendrons avec détails, documents, preuves et noms à l’appui.

    Source : tunisie-secret.com

  2. DSK victime d'un complot de la CIA ?

    Affaire DSK : la Russie propose une explication alternative

    Le directeur du FMI avait-il découvert le pot aux roses aux États-Unis ?

    La Russie affirme que le directeur général du FMI a été emprisonné parce qu’il avait découvert que les réserves d’or des États-Unis avaient disparu. Un nouveau rapport préparé pour le Premier ministre Poutine par le Service de sécurité fédéral (FSB) dit que l’ancien chef du Fonds monétaire international (FMI) Dominique Strauss-Kahn a été inculpé et emprisonné aux États-Unis pour des crimes sexuels pour l’empêcher de révéler sa découverte du 14 mai : l’ or des États-Unis situé au Bullion Depository à Fort Knox était « manquant ou porté disparu ».

    Selon ce rapport secret du FSB, M. Strauss-Kahn était devenu « de plus en plus gênant ». Plus tôt dans le courant du mois, les États-Unis ont commencé à retarder la livraison promise au FMI de 191,3 tonnes d’or convenue dans le deuxième amendement de l’accord signé par le Conseil exécutif en avril 1978, qui devaient être vendues pour financer ce qu’on appelle les droits de tirage spéciaux (DTS) comme une alternative aux monnaies de réserve. Ce nouveau rapport stipule que Strauss-Kahn ayant soulevé la question avec des fonctionnaires du gouvernement américain proche du président Obama, il a été « contacté » par la CIA qui a apporté la preuve que tout l’ or détenu par les États-Unis avait disparu.

    Strauss-Kahn reçoit la preuve de la CIA ; il prend donc des dispositions immédiates pour se rendre à Paris, mais lorsqu’il est contacté par les agents travaillant pour la France de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) et sachant que les autorités américaines étaient à sa recherche, il s’enfuit de New York vers l’aéroport JFK et les agents lui ordonnent de ne pas prendre son téléphone portable parce que la police des États-Unis pourrait suivre son emplacement exact.

    Strauss-Kahn a été arrêté sur un vol Air France à destination de Paris, cependant, ce rapport dit qu’il a fait une « erreur fatale » en appelant l’hôtel à partir d’un téléphone dans l’avion et en leur demandant de lui faire parvenir sont téléphone portable qu’il avait oublié. Ainsi les agents américains ont été en mesure de repérer son appel et l’arrêter.

    Durant la dernière quinzaine, le rapport stipule que Strauss-Kahn a demandé à son ami intime et banquier Mahmoud Abdel Salam Omar de récupérer aux États-Unis les éléments de preuve fournis par la CIA. Omar, cependant, et exactement comme Strauss-Kahn, a été accusé hier par les États-Unis pour délit sexuel envers une femme de chambre dans un hôtel de luxe, une accusation que les services du FSB ont démentie. Omar est âgé de 74 ans et est un fervent musulman.

    Poutine, après la lecture de ce rapport secret, a pris la défense de M. Strauss-Khan et est devenu le premier leader mondial à dire que le directeur du FMI a été victime d’un complot des États-Unis. Poutine a ajouté : « Il est difficile pour moi d’évaluer les politiques des motifs cachés mais je ne peux pas croire à la version des faits tels qu’ils ont été présentés. »

    Intéressant à noter à propos de tous ces événements est que l’un des membres du Congrès des États-Unis, et en 2012 candidat à la présidence, Ron Paul, a longtemps affirmé sa conviction que le gouvernement américain a menti sur ses réserves d’or détenues à Fort Knox, et accuse la Réserve fédérale de cacher la vérité au sujet des réserves d’or américaines. Il a présenté un projet de loi à la fin 2010 pour forcer un audit des réserves, projet qui a été ensuite été battu par les forces du régime Obama.

    Lorsque la question a été directement posée par des journalistes s’il croyait qu’il n’y avait pas d’or à Fort Knox Paul a donné la réponse incroyable : « Je pense que c’est une possibilité. »

    Il est également intéressant de noter qu’à peine trois jours après l’arrestation de M. Strauss-Kahn, le député Paul a fait un nouvel appel aux États-Unis de vendre ses réserves d’or en disant : « Compte tenu du prix élevé et le problème de la dette énorme, il faut par tous les moyens vendre au prix le plus haut. » Cependant, des rapports des États-Unis diffusés en 2009 affirment qu’il n’y avait pas d’or à vendre en 2009.

    En Octobre 2009, la Chine a reçu une cargaison de lingots d’or des États-Unis. L’or régule les échanges entre les pays pour payer leur dettes et le soi-disant équilibre du commerce. La plus grande partie de l’or est échangée et stockée dans des coffres sous la supervision d’un organisme spécial basé à Londres, le London Bullion Market Association (LBMA). Lorsque l’envoi a été reçu, le gouvernement chinois a demandé que des tests spéciaux soient effectués pour garantir la pureté et le poids des lingots d’or. Quatre petits trous furent percés dans les lingots d’or et le métal fut ensuite analysé. Surprise : les lingots d’or étaient faux. Seule la couche supérieure était en or.

    Concernant les effets pratiques sur l’économie mondiale, devrait-il être prouvé que les États-Unis, en effet, ont menti sur leurs réserves d’or ? La banque centrale de Russie a ordonné hier que le taux d’intérêt soit relevé de 0,25 à 3,5 pour cent et Poutine a ordonné l’interdiction d’exportation sur le blé et les céréales à partir du 1er juillet, pour remplir les coffres du pays avec de l’argent qui, normalement, aurait du être versée aux États-Unis.

    Les américains ont le droit de savoir que leur pays se prépare a un terrible effondrement économique.

    Source : rustyjames.canalblog.com

  3. ca fait deja quelques années que les Bresileins essayent de vendre leur AEW a l' AAF

        Segundo o presidente da Associação Brasileira das Indústrias de Materiais de Defesa e Segurança (ABIMDE), Carlos Frederico Queiroz de Aguiar, além dos offsets, o governo precisa incentivar os acordos bilaterais de defesa. “Temos umacordo desse tipo em negociação com a Argélia, que contempla a aquisição de aviões de vigilância e jatos executivos da Embraer.”

        Le président de l'Association brésilienne des industries des matériaux pour la défense et la sécurité (ABIMDE), Carlos Queiroz de Frederico Aguiar, outre les compensations, le gouvernement doit encourager les accords bilatéraux sur la défense. «Nous avons un tel accord en cours de négociation avec l'Algérie, qui comprend l'achat d'avions de surveillance et de direction de jets Embraer

    http://www.abimde.com.br/?on=noticias&noticia_id=108

        ossibilidade de exportação de serviços da Atech, em parceria com a Odebrecht para a Argélia é um grande negócio disputado por empresas brasileiras dos setores aeroespacial e de defesa no exterior, mas não é único. Em curso, existem várias negociações, desde vendas de aviões de combate e alerta aéreo antecipado, lançadores de foguetes, veículos, mísseis, entre outros.

        La possibilité de l'exportation de services de ATECH, en partenariat avec Odebrecht pour l'Algérie est un gros problème pour les sociétés brésiliennes contesté les secteurs de l'aérospatiale et la défense à l'étranger, mais pas unique. En cours, il ya plusieurs négociations, puisque les ventes d'avions de combat et de l'air d'alerte rapide, le lancement de roquettes, des véhicules, des missiles, entre autres.

    http://www.tecnodefesa.com.br/index.php ... &Itemid=54

  4. Les A-50 ne sont pas si mauvais que ça tout de même. Le seul souci, c'est peut-être que Moscou rechignera à les vendre, sauf à tisser des liens plus importants avec Alger. Mais est-ce que le gouvernement algérien le souhaitera ?

    Et puis, on ne peut pas envisager une amélioration des performances du A-50 avec de l'électronique israélienne.

    Il vous reste la solution du radar Erieye.

    La Russie est un partenaire strategique depuis 1962 c'est inutile de vouloir tisser ou resserrer des liens qui sont deja très importants et solides . L'A50 a deja été evalué par l AAF qui l a jugé obsolète , elle lui prefère le Wedgetail Americain ou a defaut le système Suedois ou Bresilien

       REVELATIONS DE WIKILEAKS : L’Algérie veut acquérir des systèmes de brouillage et une plate-forme Awacs

       Fin 2009, une délégation du groupe américain de défense Northrop Grumman est venue en Algérie discuter avec les autorités militaires algériennes d’un projet de plate-forme Awacs à placer sur un Boeing 737. La révélation est faite dans un câble de l’ambassade des Etats-Unis à Alger, daté du 25 octobre 2009 et rendu public par le site WikiLeaks. Awaks est un système de stations radar montées sur des avions permettant de surveiller un vaste espace aérien. Il permet aussi de mener des opérations aériennes ou de lutte anti-aérienne.

    http://www.tsa-algerie.com/diplomatie/l ... 13236.html

    Algeria has taken the lead in sensitizing its southern neighbors to the nature of the threat and the need for combined action. Huddleston asked how the U.S. and others could support this effort. Guenaizia replied that intelligence-sharing was fundamental. So was provision of certain technical means, like IED jammers. A delegation from Northrop Grumman was coming to Algeria this week to discuss the capabilities of a Boeing 737 aircraft with a modified AWACS array.

    http://79.125.3.236/cablegate/wire.php?id=09ALGIERS948&search=

  5. une journaliste française subit une agression sexuelle

    Sonia Dridi raconte avoir été encerclée par une foule qui a commencé à la toucher alors qu'elle intervenait en direct sur France 24 place Tahrir.

    La correspondante en Egypte de la chaîne de télévision France 24 Sonia Dridi a affirmé samedi 20 octobre avoir été agressée sexuellement alors qu'elle se trouvait vendredi sur la place Tahrir du Caire.

    Elle a raconté avoir été encerclée par une foule composée essentiellement de jeunes hommes, qui ont commencé à la toucher alors qu'elle intervenait en direct sur la chaîne d'information en continu.

    L'agression a duré plusieurs minutes, avant qu'un ami ne parvienne à la sauver, a-t-elle précisé.

    "J'ai été agrippée de partout. J'ai réalisé (plus tard), quand quelqu'un a reboutonné ma chemise, qu'elle était ouverte, mais pas déchirée. J'ai évité le pire grâce à la ceinture solide (que je portais)" et l'aide d'un ami, a-t-elle affirmé.

    "Plus de peur que de mal", précise-t-elle sur son compte Twitter.

    La journaliste a précisé qu'elle allait porter plainte. Lors d'affaires similaires, la police n'était pas parvenu à arrêter les responsables.

    Des précédents

    Dans les rues du Caire, le harcèlement des femmes, voilées ou non, les remarques obscènes et parfois les gestes déplacés sont un phénomène courant.

    Mais récemment, les témoignages venant de la place Tahrir faisant état de véritables agressions sexuelles, voire des viols, se sont multipliés, sans susciter de réaction des autorités.

    En juin, un groupe d'hommes a attaqué et agressé sexuellement plusieurs manifestantes lors d'une marche visant à dénoncer le harcèlement sexuel en Egypte.

    Ces agressions ont été particulièrement médiatisées après l'agression sur la place Tahrir de la journaliste américaine Lara Logan le 11 février 2011, jour de la démission du président déchu Hosni Moubarak.

    http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20121020.OBS6453/egypte-une-journaliste-francaise-subit-une-agression-sexuelle.html

    la video , c est degoutant

    <si c'est degoutant pas la peine de mettre le lien>

  6. C'est Livni qui s'est rendue au Qatar, et je crois qu'elle n'était plus au gouvernement à l'époque.

    sur ce lien ils disent que  c'est l emir qui s est rendu en Israel en 2010 et qu il a été accueilli d une manière officielle

    Image IPB

    L’émir du Qatar Cheikh Hamad bin Khalifa Al Thani accompagné de son premier ministre Cheikh Abdallah bin Khalifa Al Thani ont effectués une visite secrète en Israël, en absence de relations diplomatiques entre les deux pays.

    À leurs arrivée à l’aéroport de Tel-Aviv, ils étaient attendu par Tzippi Livni. Plus tard, selon des personnalités de haut-rang travaillant pour la Présidence Israélienne, l’Emir aurait rencontré plusieurs ministres et personnalités très importantes dans l’organigramme israélien. Le Qatar et Israël ont d’ailleurs profité de cette visite pour renouveler des contrats entre les deux pays, concernant la commercialisation du gaz qatari en Israël.

    L’état Hébreu a également signé un pacte « scolaire » puisque ce sera désormais Jérusalem qui fournira Doha en matière de livres scolaires.

    L’émir du Qatar a souligné l’importance des relations diplomatiques entre les deux pays.  Livni a, elle, valorisé le rôle qatari dans la dialogue arabo-israélien.

    De plus, le Qatar et Israël sont deux nations qui ont les mêmes objectifs au regard du programme nucléaire iranien. A plusieurs reprises, le Qatar à soutenu (officieusement) Israël face à la théocratie iranienne. En cas de guerre, le Qatar pourrait apporter une aide financière énorme à Israël.

    http://jssnews.com/2010/01/14/video-lemir-du-qatar-en-visite-discrete-en-israel/

  7. Israël fustige la visite de l'émir du Qatar à Gaza

    Le ministère israélien des Affaires étrangères a critiqué la visite dans la bande de Gaza de l'émir du Qatar, le cheikh Hamad ben Khalifa al-Thani, l'accusant d'envenimer le conflit interpalestinien et de soutenir les forces radicales au sein de la société palestinienne.

    "On s'étonne de constater que l'émir du Qatar s'est solidarisé avec l'une des parties du conflit interne palestinien

    Quelle hypocrisie dans ce communiqué , quand  l'émir visitait Israel en catimini Lieberman n'avait pas tiqué a l’époque =)

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