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  1. il y a 3 minutes, Severus a dit :

    J'aurais imaginé  une hausse des prix rapide et une pénurie d'ici quelques semaines tout au plus....

    Les prix seront bloqués par les gouvernements et l'usage du gaz sera régi par les états (probablement au  niveau européen). La consommation de gaz va commencer à fortement baisser dans les semaines qui arrivent (augmentation des températures) et les fournitures vont compenser la consommation (au 1er ordre). Donc pas de pénurie à court terme, surtout si gestion  étatique...

  2. il y a 4 minutes, Severus a dit :

    Si ils coupent vraiment on a une idée de combien de temps cela va mettre avant de le ressentir vraiment... particulièrement en Allemagne ?

    A très court terme, pas de gros effet, on vivra sur les réserves + fourniture des autres pays.

    Par contre, on ne pourra pas remplir les réserves pour cet hiver. Il va donc falloir faire des arbitrages globaux pas évidents : chauffage ou électricité ? industrie ou grand public ? engrais ou métal ?  

  3. il y a 13 minutes, Connorfra a dit :

    Ça ne m'étonne pas même si le site est contaminé pour 24 000 ans le plus dangereux à l'heure actuelle c'est le Césium 137 demi-vie 30 ans donc encore environ 25 ans avant de pouvoir retourner la terre sans grand risques.... sans compter l'irradiation mais aussi la contamination si les mecs n'ont pas de t3p on m s'expose à la contamination par la moindre blessure et en respirant la poussière on peut absorber les particules et une fois en nous la durer d'exposition peut provoquer le syndrome même avec de faibles doses.

    En fait, c'est pour ça que si c'est vrai, ils sont perdus... Remuer de la terre implique de remettre des particules dans l'air, particules qui sont inhalées et induisent une contamination interne qu'il est quasiment impossible d'éliminer... Donc tu t'irradies en permanence et de l'intérieur, donc sans la protection de la peau... Même s'ils survivent aux symptômes actuels, leur espérance de vie est très réduite...

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  4. il y a 2 minutes, Heorl a dit :

    On peut donc voir une intensification progressive du soutien : d'abord, ce n'étaient que des armes de poing et des MANPAD, aujourd'hui on passe aux canons et aux véhicules blindés (peut-être bientôt des VBC ?) et avec le nombre de pilotes ukrainiens sans montures, en prendre quelques-uns en Pologne pour leur enseigner le maniement du F-16 devrait devenir une possibilité avant d'envoyer le matos là-bas. Bref, on semble se diriger vers un envoi à terme d'à peu près tout excepté les bateaux, les ogives et évidemment les soldats. 

    Les US avaient annoncé vouloir envoyer des missiles antinavires. C'est le seul équipement que je vois réellement avoir un impact notable sur le cours des événements...

  5. il y a 5 minutes, Métal_Hurlant a dit :

    "...7 bus avec des soldats russes souffrant du syndrome d'irradiation aiguë sont arrivés dans un hôpital en Biélorussie depuis la zone d'exclusion de Tchernobyl en Ukraine.

     Ils auraient creusé des tranchées dans la forêt rouge hautement radioactive..."

     

     

    C'est fiable comme source ? Si c'est vrai, on peut les considérer perdus... 

    Pauvres gosses... 

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  6. il y a 7 minutes, Bocket a dit :

    La différence entre les pertes russes comptées par Oryx et celles clamées par l'Ukraine, est trés importante sur les aéronefs, très au delà des autres types de matériels.

    Je ne vois pas trop quel serait l'intérêt de gonfler autant, peut être tombent-il  sur des zones occupées.

    Le tableau reprend les données de la pravda ukraine (et leurs icones)  avec une correspondance "maison" avec les données Oryx , surtout histoire d'avoir un ordre de grandeur.

    captur13.jpg

    Merci, c'est un excellent exercice ! 

    Pour les aéronefs, je vous 2 causes (qui s'ajoutent probablement) :

    1) le considèrer abattu alors qu'il a juste interrompu sa mission et leurré le missile (explosion en l'air et plus d' avion) 

    2) presque tous les avions abattus par les S300 l'ont été en zone russe, donc non pris en compte par Oryx mais comptabilisés par les ukrainiens 

    Je ne pense pas qu'il y ait de biais de la part de l'Ukraine (pas plus que sur les autres). 

  7. il y a 4 minutes, Manuel77 a dit :

    Monsieur, je paie 32 centimes par kilowattheure. Pour ce prix premium, je demande à l'industrie nucléaire française de faire un peu plus effort...

    :smile: 

    Blague à part, c'est une bonne chose que la France ait électrifié les processus thermiques industriels. Si leurs centrales nucléaires ont des problèmes en été, la production d'électricité verte en Allemagne augmente. Ils pourront acheter de l'électricité à bas prix.

    Ce n'est malheureusement pas si vrai... Les processus industriels ont besoin d'électricité en continu. Avec les renouvelables, tu as des problèmes le matin et le soir : beaucoup de besoins et peu de production... Et donc des prix très variables sur la journée, qui donnent un prix moyen loin d'être "bas"... 

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  8. Les ukrainiens ont bien repris des zones dans l'est, à côté de karkhiv. C'est une zone marquée russe sur la carte ci-dessus (post de g4lly). 

     

     

    Source : live du monde

    L’armée ukrainienne reprend le contrôle d’une autoroute stratégique dans l’est du pays

    L’armée ukrainienne a repris le contrôle d’une autoroute stratégique reliant Kharkiv à Tchouhouїv, dans l’est de l’Ukraine, ont constaté mercredi des journalistes de l’Agence France-Presse (AFP). « La route était sous le feu des forces russes, qui y ont tué des civils. Nous les avons repoussées à une dizaine de kilomètres plus au nord », a affirmé sur place à l’AFP un commandant de la 92e brigade de l’armée ukrainienne.

     

    Cette autoroute stratégique reprise mardi relie Kharkiv, deuxième ville d’Ukraine, à Tchouhouїv, une ville de 30 000 habitants située à 50 kilomètres au sud-est. Les deux villes ont été intensément bombardées par l’armée russe depuis plus d’un mois, sans pour autant tomber aux mains des forces de Moscou. A quelques kilomètres de la périphérie est de Kharkiv, des carcasses de véhicules criblés de balles jonchaient cette autoroute sur quatre voies, et un cadavre de soldat russe gisait sur le bas-côté. La situation était calme mercredi matin, ont constaté des journalistes de l’AFP. Une pelleteuse entamait des travaux de déblaiement, tandis qu’un homme du village voisin venait récupérer sa voiture, sur laquelle on apercevait les impacts de balles

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  9. il y a 37 minutes, Alexis a dit :

    Veillée de guerre entre Europe et Russie. La guerre du rouble et du gaz. Et des autres matières premières.

    "Jusqu'ici tout va bien"

    Le ministre de l'Économie allemand a annoncé mercredi que l'Allemagne allait activer le premier niveau de son plan d'urgence pour garantir l'approvisionnement en gaz naturel face à la menace d'un arrêt des livraisons russes. À ce stade, "la sécurité de l'approvisionnement" en gaz est garantie en Allemagne, a-t-il précisé.

    (...) Les réserves sont actuellement remplies à 25%, a précisé le ministre, relevant qu'un arrêt des livraisons aurait de "graves conséquences" mais que l'Allemagne "pourra y faire face". "Le gaz et le pétrole arrivent actuellement conformément aux commandes" et "la mesure prise aujourd'hui relève de la prévention", a détaillé Robert Habeck. Ce n'est qu'au troisième niveau d'alerte, le plus élevé, que l'État devrait "intervenir" sur le marché pour "réguler" la distribution et définir les volumes affectés en priorité à chaque secteur.

    Le Kremlin a insisté mardi sur le paiement en roubles du gaz russe livré à l'Europe, rejetant les critiques du G7 qui avait qualifié d'inacceptable la demande. "Personne ne va livrer de gaz gratuitement. C'est tout simplement impossible. Et on ne peut le payer qu'en roubles", a déclaré le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.

    Si Moscou met en place sa politique "si vous voulez du gaz, payez des roubles" comme annoncé - la chose me paraît tout à fait crédible - et si les Européens restent sur la politique "on ne paiera aucun rouble" comme annoncé - quoi qu'on en pense sur le plan économique, la parole est clairement engagée tout comme celle du président russe - l'impact devrait commencer en avril, avec les réserves qui commenceront à baisser ou bien les restrictions qui seront mises en place.

    De fait, comme l'a dit le ministre allemand, "le gaz et le pétrole arrivent actuellement". Pas surprenant étant donné que le rapport sur mise en place d'un mécanisme de paiement en roubles est supposé n'être prêt que demain. "Jusqu'ici tout va bien", comme disait l'autre :unsure: ...

    C'est qu'il n'y a pas que le chauffage en hiver ! Le gaz a un grand rôle dans la production d'électricité en Allemagne. Et dans d'autres pays européens.

    Plus le charbon, dont une bonne partie est aussi importée de Russie, et Poutine a clairement dit le 23 mars qu'on allait "commencer par le gaz" pour le paiement en roubles, sous-entendu ça ne s'arrêtera pas au gaz.

    Au "troisième niveau" du plan allemand - ils viennent de déclencher le premier

    l'État devrait "intervenir" sur le marché pour "réguler" la distribution et définir les volumes affectés en priorité à chaque secteur

    En clair, le rationnement.

    J'imagine qu'il existe aussi des plans similaires pour les autres matières premières. Ou alors, il va falloir les établir rapidement.

    Il faudra aussi, du moins pour les Allemands et les autres pays dans la même situation, limiter la consommation en électricité. Avec des choix difficiles : privilégier les ménages et la consommation privée ? Privilégier l'industrie ?

    En France, y échapperons-nous ? J'aurais tendance à imaginer que oui, vu le rôle du nucléaire chez nous, mais qu'en est-il du marché européen de l'électricité, est-ce que la production de nos réacteurs nucléaires sera seulement pour nous :unsure: ?

    De plus, même si c'est le cas, la crise économique sévère qui va frapper notre premier partenaire commercial l'Allemagne, ainsi que d'autres pays européens, aura forcément des répercussions chez nous.

    En France l'état actuel du parc nucléaire ne permet pas de se passer ni du gaz ni des importations d'électricité de nos voisins (https://www.edf.fr/groupe-edf/espaces-dedies/journalistes/tous-les-communiques-de-presse/edf-ajuste-son-estimation-de-production-nucleaire-en-france-pour-2023). En plus, nous avons fermé presque toutes les centrales charbon (il en reste 3 pour un total de 1,8 GW) et nous avons peu de cycles combinés (qui pourraient bruler du fuel à la place du gaz).

     

    Donc notre situation n'est clairement pas meilleure que celle de nos voisins, au moins à court terme (6 mois). Il suffit de regarder les prix de l'électricité pour se rendre compte du problème...

     

    Nos avantages sont d'avoir beaucoup électrifié nos usages et d'être la zone d'échange de toute l'Europe et donc d'avoir le plus grande nombre de possibilités d'approvisionnement / de fourniture.

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  10. il y a 4 minutes, Ciders a dit :

    Un gros truc aurait pété à Belgorod :

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    On dirait bien un dépôt de munitions.

    Si c'est le résultat d'une action ukrainienne, c'est (à mon sens) exactement la bonne tactique : continuer à harceler l'armée russe et notamment son ravitaillement en matériel / munition / carburant, tout en ne frappant pas les troupes qui se "replient". Cela permet de maintenir la pression dans ses zones, mais sans apparaitre comme un "traitre" (ne pas négliger le fait qu'il faut que les ukrainiens soient les "gentils garçons")... 


    Par contre, est-ce que vous avez vu passer des informations récentes sur la situation dans le sud (regain d'activité ou plutôt dé-escalade) ? 

     

  11. il y a 19 minutes, olivier lsb a dit :

    Je viens lire sur le Monde que le coup de négocier pendant 15 ans (sans recours à la force pendant cette période) sur le statut de la Crimee, c'était une proposition Ukr sérieuse.... Et donc pas une blague. 

    C'est lunaire non ? Ils sont prêts à remettre une pièce dans la machine d'ici là ?? 

    Je trouve ça malin : un accord de ce type permettrait une lever toutes les sanctions. Une sacré carrote pour les russes... Et c'est le mieux que peuvent espérer les ukrainiens à court terme car cela implique que la Crimée ne soit pas directement rattachée à la Russie... 

  12. il y a 5 minutes, Skw a dit :

    Ou peut-être considèrent-ils que ce secteur est plus ou moins perdu à terme, l'enjeu étant de ralentir au maximum sa libération par les forces ennemies avec des forces plus défensives et un peu plus lourdes. Les VDV seront alors utilisables dans un rôle voulu comme plus offensif dans le Donbass ou du côté de Kherson.

    Cela induirait qu'ils pensent avoir encore besoin de troupes "d'assaut" dans 1 grosse semaine dans ces zones (Donbass, Kherson) ... Alors que les ukrainiens les verront venir au moins 1 semaine avant. Et qu'ils auront envoyé leurs renforts dans ces zones aussi (et probablement plus vite). 

    J'avoue que je ne comprendrais pas ce mouvement. 

  13. il y a 7 minutes, Berezech a dit :

    J'ai aussi vu passé au moins une photo de conscrits russe avec des Mosin Nagants, et une autre avec une mitrailleuse Maxim.
    Franchement aucune idée de l'authenticité de l'image, les russes avaient leur camo moderne, un vieux casque soviétique, mais ça peut aussi venir d'une quelconque célébration / reconstitution de la grande guerre patriotique.
    ça me surprend un peu que le stock d'AKM / AK 47 / 74 et autres variantes ne suffise pas. Donc je reste très sceptique.
    Par contre plus certain, les russes emploient à outrance des vieux camions découverts (je saurai pas dire si ce sont des véhicules civils ou militaires) pour amener des troupes de renfort.

    @g4lly se demandait quelle était la fenêtre opérationnelle restante aux russes. Sans doute un mois, un mois et demi ? ça dépend de l'attrition (très inégale) des diverses armées sur le terrain. Ou alors Poutine escalade en mobilisant.
    Je me demande si ce n'est pas ce qu'espère les américains, en espérant que les russes continuent de s'y casser les dents. Troubles à la maison, durcissement et isolement du régime, mutineries partielles dans l'armée etc ... Enormes conséquences possible pour tous les pays limitrophes de la Russie qui pourraient être déstabilisés et dégèlement d'un paquet de conflits potentiels.

    Je considère :

    • qu'ils ont utilisé les 2/3 de leurs missiles en 1 mois, et donc qu'il ne leur en reste plus assez pour avoir un effet militaire
    • qu'ils ont perdu une grande partie de leurs troupes de choc / aéroportées
    • que les troupes actuellement au front vont avoir besoin de se "reconstituer"
    • que la situation tactique actuelle n'est pas acceptable politiquement (gains trop faibles)
    • que l'avancée au rythme actuel (par artillerie) ne permet pas de gains significatifs à court terme

    Les options qui leur restent :

    • l'utilisation "intensive" de l'aviation (avec les pertes que cela induit)
    • l'utilisation des troupes rapatriées des autres fronts (Arménie, Sibérie)
    • les mercenaires

    Aucunes de ces options ne me semble pouvoir permettre un gain significatif en 1 mois... 

  14. il y a 3 minutes, Coriace a dit :

    En parlant de ça, est ce qu'il y a d'autres sources de Titane ? Parce qu'helicopteres comme avion en ont besoin pour être produit et quais tout vient de Russie. 

    Est ce remplaçable par un autre materiau ? 

    1) pas remplaçable avant plusieurs années (rien que la qualification) 

    2) à court terme, les gros industriels de l'aéronautique disposent de "stocks stratégiques" 

    3) pour la production, c'est plus compliqué que je ne le pensais :

    "Titane - L’Élémentarium" https://lelementarium.fr/element-fiche/titane-2/

    Si je comprends bien, les possibilités hors Russie ne sont pas négligeables, surtout si on ajoute le recyclage... 

  15. Il y a 10 heures, Ciders a dit :

    Mordiller oui, tacler à la gorge paraît difficile. La première option étant déjà engagée avec une Géorgie qui réclame de nouveau son entrée dans l'OTAN et qui a permis à des volontaires d'aller se battre en Ukraine.

    En revanche, il va être extrêmement intéressant de savoir comment la situation va évoluer dans le Caucase. Je ne dis pas que les Turcs vont en profiter pour secouer la tutelle russe mais la nature a horreur du vide.

    Pour les turcs, c'est la situation intérieure (inflation, dépendance russe,...) qui peut les bloquer / freiner.

    Par contre, au niveau international, ils se positionnent très bien : ils sont de toutes les initiatives, utilisent très bien leur positionnement otan/Russie et je pense qu'ils vont récupérer une bonne partie de l'influence russe sur la mer noire (soft power). 

  16. il y a 3 minutes, Ciders a dit :

    En fait de ce qu'il se dit ici et là, le contingent russe a été rappelé pour aller au front en Ukraine et a été remplacé par de jeunes appelés qui n'ont pas bougé quand les Azéris sont venus grignoter du territoire arménien.

    Ça va être un des soucis majeurs des Russes à court et moyen terme. Si l'ours est occupé ailleurs ou affaibli, sa tanière et ses ruches privées sont accessibles.

    En fait, je serais géorgien, je réfléchirais à récupérer mon territoire... 

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  17. il y a 27 minutes, SLT a dit :

    Bienvenu dbo.

    Je pense que bon nombre des inscrits récents sont passés sur le même fil de discussion que toi, le référencement Google nous a été plutôt favorable il semblerait.

    Geoint ? Je ne connaissais pas comme terme. J'ai regardé à l'instant et ça a l'air très intéressant et prometteur.

    Vu tes domaines pro, tu auras sans doute des trucs à nous apprendre :smile:

    Malheureusement, je n'ai plus aucun accès à aucune source de données. En ce moment, ça me manque.. 

  18. il y a 2 minutes, Berezech a dit :

    Les russes veulent couper l'appro des forces ukrainiennes dans le Donbass, c'est ce que j'interprète vu leur communication relativement abondante sur ce sujet.
     

    Ca me paraît effectivement un objectif tout à fait cohérent.

    Par contre, ce que je ne comprends pas c'est le ciblage... Lviv c'est loin, le risque d'interception est important. Et les approvisionnements doivent être  diversifiés (plusieurs routes, ...). 

    J'aurais frappé des ponts / des points de passage... qui ne peuvent pas être évités. 

  19. il y a 3 minutes, Skw a dit :

    Le nombre de missiles balistiques est limité. Ils doivent choisir leurs cibles avec parcimonie. Etonné d'ailleurs, si cela se confirme, qu'ils ciblent avec leurs précieux missiles des dépôts de carburant aussi loin du front. Puisque les pays occidentaux les réalimenteront de toutes manières. Ou imaginent-ils que cela puisse induire une rupture d'approvisionnement de quelques jours... intéressante stratégiquement parlant.

    J'avoue que je ne comprends pas ce ciblage. Les ukrainiens ne vont pas pas lancer une grande chevauchée de chars jusqu'à Moscou... Quel est l'intérêt stratégique de les ralentir ?

  20. il y a 7 minutes, Connorfra a dit :

    Attention:

    Il faut ce méfier de cette reprise de position un peu partout des ukrainiens 

    -on ne sait pas si les russes sont en train de préparer un coup fourré et laisse les ukrainiens rentrer dans une défense molle. (on annonce ce concentrer sur le Dombass on fait semblant de ce replier et paf ... après tout la guerre à été déclenchée de cette façon)

    -Les ukrainiens reprennent peut-être  les positions simplement que les russes ne veulent plus tenir car ils veulent vraiment ce concentrer sur le Dombass dans ce cas il s'agit d'un manoeuvre stratégique.

    - et enfin seulement en dernière hypothèse les russes ce laissent enfoncer car incapables de tenir les position suite aux dégats reçu.

    et le petit Bonus c'est surement un peu tout cela à la fois (c'est même plausible) entre le micro et le macro environnement.

    On en saura plus dans quelques jours. en attendant mise à part prendre les paries (non le faite pas)

     

     

     

     

     

    Je ne crois pas au piège global (pas assez de réserve côté russe). 

    Par contre, un mélange des deux autres, notamment côté russe pour revenir à des positions "tenables" à moyen / long terme me paraît crédible... 

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  21. Je me lance... 

    J'ai découvert le forum suite à la guerre en Ukraine. 

    Je travaille en région parisienne. 

    Dans le passé, j'ai fait 10 ans de geoint, avant de basculer dans le monde de l'énergie... 

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  22. Fil france info :

    Les forces ukrainiennes affirment avoir repris le contrôle de la ville de Trostianets, dans le nord-est de l'Ukraine, où les combats avec les soldats russes faisaient rage, écrit le ministère ukrainien de la Défense, en citant la 93e brigade des forces armées. Le chef de l'administration régionale militaire de Soumy a posté ces images

    C'est moi où les ukrainiens "grignotent" un peu partout (hors donbass) ? 

  23. il y a 21 minutes, Alexis a dit :

    Pourquoi le pétrole peut dépasser les 200 dollars

    La mise au ban du brut russe par les Européens va créer un choc d'offre. Les conditions financières sur le long terme n'incitent pas les producteurs de schiste américains à augmenter l'extraction de pétrole. Les pays asiatiques ne peuvent pas acheter tout le pétrole russe dont l'Europe ne veut plus.

    « Réveillez-vous ! Réveillez-vous ! Nous n'allons pas revenir à la normale dans quelques mois. Je pense que l'offre de pétrole russe pour l'Europe est perdue pour de bon . » L'alerte vient du gérant star Pierre Andurand, qui intervenait cette semaine à une table ronde lors du sommet sur les matières premières organisé par le « Financial Times ». Dans ces conditions, le Français à la tête d'un hedge fund spécialisé dans le pétrole n'hésite pas à parier sur un baril à plus de 200 dollars d'ici à la fin de l'année. Avec un pic possible à 250 dollars.

    D'autres pontes du secteur vont dans le même sens. Selon Doug King, responsable du fonds matières premières de RCMA, le pétrole va finir l'année entre 200 et 250 dollars. « Ce n'est pas temporaire. On va vers un choc d'offre de brut ! » a-t-il insisté. Alok Sinha, responsable mondial de la recherche sur le pétrole pour Standard Chartered, juge aussi que la situation est vouée à se prolonger, mais l'analyste prévoit un pic moins élevé, autour de 175 dollars.

    Je me demande si le cas décrit par ces gérants n'est pas un "pire scénario". Sauf si j'ai manqué quelque chose, un embargo européen sur le pétrole russe n'est pas (encore) décidé ?

    Le paiement de ce pétrole devra se faire en rouble - Poutine a bien précisé mercredi qu'appliquer cette obligation au gaz c'est "pour commencer", elle devrait être étendue ensuite au reste. Ces roubles devront être achetés sur le marché des changes, ce qui contribuera puissamment à en soutenir le cours, donc à limiter fortement l'impact des sanctions économiques sur la Russie, donc cela ennuiera beaucoup les Américano-Européens.

    Mais enfin peut-être ce commerce sera-t-il poursuivi :unsure: ?

    ( Bon d'un autre côté, si choc d'offre sur le pétrole et 200 à 250 dollars, alors récession mondiale ça va de soi. Sans compter toutes les autres matières premières )

    L'embargo se met en place en pratique : d'ici fin d'année pour l'Allemagne, pour Total,... Même s'il n'est pas encore officiel, tout se met en place pour le réaliser.

    Ensuite, pour les achats en rouble, ce n'est pas fait : Pologne et Allemagne ont annoncé qu'ils ne le feraient pas (modifier la devise de règlement n'est pas conforme au contrat). 

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