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E11

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Messages posté(e)s par E11

  1. Pour ce qui est des armes contre la cavalerie du légionnaire, il est important de savoir de quelle époque on parle. Car il me semble que pour la période du bas-empire le légionnaire a une lance d'arrêt et non plus un pilum, et une épée plus longue afin d'atteindre les cavaliers.

    Et il me semble que cela a déjà été dit mais durant cette même période on trouve des unités exclusivement composées de cavaliers et leur rôle est central. Et a défaut d'étrier, ils disposent de selles hautes.

    Les unités sont aussi plus petites à cette époque, si mes souvenir sont bons 500 cavaliers égale a une aile et 1000 fantassins a un numerus.

    On voit aussi l'apparition d'arme peu commune comme la plumbata et les chausses-trapes qui sont dispersés aux alentours des fortifications du limes.

    Si vous êtes intéresser par des récits de combats de l'époque parcourez Ammien Marcellin, disponible gratuitement sur le net.

    quelques extraits (source: wiki source):

    "Après plusieurs marches pénibles dans des défilés où il fallut se faire jour au travers des neiges, on atteignit enfin le Rhin près de Rauraque. Alors une multitude d'Allemands se montra sur l'autre rive, et, par une grêle de traits, empêcha les Romains de jeter un pont de bateaux. L'obstacle semblait insurmontable, et l'empereur, abîmé dans ses réflexions, ne savait quel parti prendre, quand il se présenta, lorsqu'on y pensait le moins, un guide bien au fait des localités, qui indiqua, moyennant salaire, un gué dont on se servit la nuit suivante. Le fleuve une fois franchi sur un point éloigné, tout ce pays allait être surpris et ravagé à l'improviste; mais l'ennemi, à qui il fallait dérober ce mouvement, en eut secrètement avis par des Allemands de nation, pourvus de grades éminents dans notre armée."

    "César dès lors ne songea plus qu'à ne pas être en reste d'audace avec ce brave officier. Dans son impatience de tout délai , il ne prit même avec lui que les cataphractes (armés de toutes pièces) et quelques archers, escorte assez mal calculée dans cette occasion pour la sûreté du général, et gagna rapidement Autosidore par la même voie. De là, après avoir pris le repos accoutumé avec sa troupe, il se dirigea sur les Tricasses. Ce mouvement ne s'opéra pas sans qu'on eût à essuyer plus d'une attaque de la part des barbares. D'abord l'aspect de ces masses irrégulières en imposait à Julien sur leur force réelle, et il se contentait de les observer en renforçant sa colonne sur les flancs. Mais parfois aussi, quand il avait l'avantage des hauteurs, il reprenait soudain l'offensive, et culbutait à la course tout ce qui se trouvait devant lui. Il ne fit dans ces engagements de prisonniers qu'en petit nombre, et ce fut la frayeur qui les lui livra. Tout ce qui eut la force de fuir échappa sans peine à la poursuite d'un corps si pesamment armé."

    "Julien fit fermer les portes, réparer les fortifications; et jour et nuit on le vit mêlé aux soldats, sur les murs, entre les créneaux, et frémissant de courroux de l'impuissance où il se trouvait de risquer une sortie avec une garnison ainsi réduite. Le trentième jour, les barbares, découragés, levèrent le siège, murmurant contre le fol espoir qui le leur avait fait entreprendre. Il faut signaler ici, comme tout à fait dans l'esprit du temps, la conduite du général de la cavalerie Marcel, qui, bien que cantonné tout près de là, laissa César dans le danger, sans lui porter le moindre secours; lui pour qui c'était un devoir rigoureux de tenter une diversion, ne fût-ce que pour épargner à la place les maux d'un siège, et lors même qu'un prince n'y eût pas été renfermé !"

    "Lui cependant, précédé de bataillons nombreux aux enseignes déployées, comme s'il se fût agi de terrifier ou le Rhin ou l'Euphrate, s'avançait seul sur un char d'or, où resplendissaient à l'envi les pierres les plus précieuses. Tout autour on voyait flotter les dragons attachés à des hampes incrustées de pierreries, et dont la pourpre, gonflée par l'air qui s'engouffrait dans leurs gueules béantes, rendait un bruit assez semblable aux sifflements de colère du monstre, tandis que leurs longues queues se déroulaient au gré du vent. Des deux côtés du char paraissait une file de soldats, le bouclier au bras, le casque en tête, la cuirasse sur la poitrine; armes étincelantes, dont les reflets éblouissaient les yeux. Venaient ensuite des détachements de cataphractes ou "clibanares", comme les appellent les Perses; cavaliers armés de pied en cap, que l'on eût pris pour autant de bronzes équestres sortis de l'atelier de Praxitèle. Les parties de l'armure de ces guerriers correspondant à chaque jointure, à chaque articulation du tronc ou des membres, étaient composées d'un tissu de mailles d'acier si déliées et si flexibles, que toute l'enveloppe de métal adhérait exactement au corps sans gêner aucun de ses mouvements."

    "Nos chefs pouvaient déjà voir l'ennemi former ses colonnes d'attaque. On commande halte; et aussitôt les antépilaires, des hastaires et leurs serre-files se mettent en ligne et restent fixes, présentant un front de bataille aussi solide qu'un mur. Même immobilité dans les rangs ennemis, qui veulent imiter notre réserve. Voyant toute notre cavalerie placée à l'aile droite, ils lui opposèrent à leur gauche, et par masses serrées, l'élite de leurs cavaliers, dans les rangs desquels, par une tactique très bien entendue, et dont lis devaient l'idée au transfuge déjà mentionné, ils jetèrent çà et là des fantassins agiles, et armés à la légère. Ils avaient remarqué en effet que les rênes et le bouclier ne laissant à leurs gens de cheval qu'une main libre pour lancer le javelot, le plus exercé, dans un combat corps à corps avec un de nos "clibanares", ne faisait que s'escrimer en pure perte contre le guerrier complétement abrité sous son armure de fer; mais qu'un fantassin pouvait, inaperçu dans la chaleur du conflit, et quand on ne songe qu'à ce au'on a devant soi, se glisser sous les flancs du cheval, l'éventrer, et démonter ainsi l'ennemi invulnérable, dont alors on avait bon marché."

    "L'airain donne le signal, et des deux parts on en vient aux mains avec la même ardeur, en préludant par des volées de traits. Débarrassés de leurs javelots, les Germains se lancent sur nos escadrons avec plus d'impétuosité que d'ensemble, en rugissant comme des bêtes féroces. Une rage plus qu'ordinaire hérissait leur épaisse chevelure, et leurs yeux étincelaient de fureur. Intrépides sous l'abri de leurs boucliers, les nôtres paraient les coups, ou, brandissant le javelot, présentaient la mort aux yeux de l'ennemi.

    Pendant que la cavalerie soutient la charge avec vigueur, l'infanterie serre ses rangs, et forme un mur de tous les boucliers unis. Un épais nuage de poussière enveloppe la mêlée. Nous combattons avec des chances diverses, ici tenant ferme, là repoussés; car les Germains, rompus la plupart à cette espèce de manœuvre, s'aidaient de leurs genoux pour enfoncer nos lignes. C'était un corps à corps universel, main contre main, bouclier contre bouclier; et l'air retentissait de cris de triomphe et de détresse. Enfin notre aile gauche, s'ébranlant de nouveau et chassant devant elle des multitudes d'ennemis, venait avec furie prendre part à cet engagement, lorsque inopinément la cavalerie lâcha pied à l'aile droite, et se replie s'entre-choquant jusqu'aux légions, où, trouvant un point d'appui, elle put se reformer. Voici ce qui avait causé cette alarme. Le chef des cataphractes, en rectifiant un vice d'alignement, reçut une blessure légère; et l'un des siens, dont le cheval s'abattit, resta écrasé sous le poids de l'animal et de son armure. Ce fut assez pour que le reste se dispersât; et ils eussent tous passé sur le ventre à l'infanterie, ce qui eût causé un désordre général, si cette dernière n'avait soutenu leur choc par sa masse et par sa résolution."

  2. C'est a cause des Italiens coinces en Yougoslavie que les armees Allemandes ont retarder leur operation Barbarossa, ce plan aller etre adopter en Mars pour atteindre Moscou en Octobre avant l'hiver, donc la destruction de l'URSS avant l'hiver siberienne...faudrait dire merci aux Italiens et non a Hitler qui lui aussi a fait des fautes....

    Evidemment c'est toujours la faute des Italiens  =(  =(

  3. @Kiriyama:

    Oui, normalement le drapeau national ainsi que ceux de tous les cantons sont carrés. Cela vient du fait que c'était à l'origine des drapeaux de combats. Avant l'indépendance, la suisse était ratachée à l'empire romain germanique et les troupes qui composaient l'armée avaient et devaient avoir des bannières carrées.

    Pour ce qui est des problèmes, ils sont peu fréquents mais parfois justement de même nature que ceux qui étaient évoqués dans le sujet. Un peu de tension c'est normal, ça montre que les gens agissent et qu'ils ne sont pas amorphes.

    Le fait que les choses soient d'abord règlées par les communes puis par les cantons (qui sont des Etats) et ensuite par la confédération, permet à mon avis de clarifier directement les problèmes entre communauté. D'autre part, la recherche permanente du compromis permet d'éviter en amont pas mal de problèmes. Ce qui évite aussi pas mal de problème c'est qu'aucun roi, prince ou je ne sais quel noble nous a obligé par sa volonté à vivre ensemble, cette volonté est venue du peuple. Relisez le pacte fédéral de 1291, il n'est pas signé par des nobles mais par des communautés.

    Et contrairement à ce que dit Artilleur, nous ne vivons pas chacun de notre côté. Même s'il y a de la concurrence, les cantons sont très liés les uns autres.

    La seule fois où la confédération s'est retrouvée dans une situation très tendue, c'est pendant la première guerre mondiale. Car le général en chef (suisse allemand) voulait déclarer la guerre à la France.

    Bon je vous laisse continuer à parler des belges, qui sont m'a-t-on dit aussi d'exellents chocolatiers !

  4. Hé ben sujet pour le moins animé! Et auquel, je ne me sens pas totalement étrangé par certains apects.

    Chez nous aussi, seule la partie francophone parle une langue standard. La partie suisse allemande et tessinoise parlent une multitude de dialecte germanique et latin. Ceci est du à la seconde guerre mondiale. Dans la partie germanophone tant qu'iltalophone, les dialectes étaient en voie d'éradication. Mais en réaction aux régimes hitlérien et fasciste, ces deux entités se replièrent sur leurs dialectes afin de marquer leur différence.

    Il y a aussi parfois les mêmes préjugés qui sont utilisés plus au moins sérieusement : les latins sont moins travailleurs, les alémaniques plus sérieux,...

    Mais bon, nous n'avons pas la même histoire, au vu du sujet les péripéties de l'histoire n'ont fait que mettre en péril ce pays. Alors que ces mêmes évènements n'ont fait que renforcer notre détermination à vivre ensemble depuis 1291.

    Et par pitié, Français, cessez d'assimilé les francophones à des Français expatriés  ;)  =)

    Et puis comparer les chiffres du chômage de la partie wallone à celle de la partie flamande et décréter qui est le boulet du pays, c'est facile et très relatif. Si les flamands (+- 7%) étaient Suisse (+- 3%), se seraient eux les boulets.  ;) >:(

  5. Par rapport aux propos des pages précédentes, sur la victoire de la France et l'humiliation de la défaite.

    Je pense qu'il y a une nuance à faire, la défaite fut française et la victoire fut alliée (dont la France faisait partie).

    Dire que la France à gagner la guerre est à mon avis faux, ainsi que les Anglais et les Russes. Seuls les Américains auraient eu la possibilité de gagner seul cette guerre et encore. La victoire fut celle d'un groupe, aucun des alliés ne peut vraiment se vanter d'avoir gagné sans mentionner le fait qu'il n'était pas seul. Le discours de de Gaulle lors de la libération de Paris ne mentionne pas le concours des alliés, cela m'a toujours un peu choqué je dois dire.

  6. Une balle de 4g a 100m/s a une energie cinetique de 20J, statiquement ( en energie mecanique ) ca representerait une masse de 2 kilo posé sur une balle posé sur ton crane ( empilé ) a priori ca devrait pas faire de trou.

    Selon la formule E=mgh  (masse, accélération, hauteur), 20 J représenterait plutôt 2 kilos lâchés de 1 mètre sur la tête le tout concentré sur la pointe d'une balle !?

  7. Achète le plus possible du civil, le matériel militaire, surtout celui fournit aux armées, n'est pas toujours aussi bon qu'on le croit. C'est d'aileurs un conseil du SAS Handbook.

  8. Pour l'armée suisse, le sig-550 (fass 90 "nonante", stgw 90) est de loin l'arme de petit calibre la plus répandue, c'est l'arme personelle du soldat. Le 551 et le 552 est utilisé (en prêt) pour certaines fonctions (gren, éclaireur para,...), c'est aussi le cas des MP5 et fusil à pompe remington 870 express. Le lance-grenade est effectivement utilisé, surtout chez les fusillers, gren char et gren.

  9. C'est du déterrage de sujet mais le planning officiel vient d'être annoncé: les Tiger seront progressivement retirés depuis 2013, quasi tous les constructeurs occidentaux sont sur le coups.

    A dans 6 ans pour en reparler, donc !  =D

  10. Voici une vidéo de deux officiers suisses en Afghanistan, ils dirigent une troupe d'allemands, 500 militaires.

    http://de.sevenload.com/videos/TwAIU8k/Heikle-Mission-Schweizer-Offiziere-in-Afghanistan

    Leur mission est de prendre contact avec la population, connaître leurs besoins et se rendre compte de la menace.

    L'info vient de tomber, le gouvernement a décidé de retirer la munition à domicile des soldats. Elle sera maintenue que pour les troupes de première intervention.

  11. C'est vrai la Suisse a une marine marchande nationale. Du point de vu militaire, elle ne dispose que de bateaux de surveillance équipés d'une mitraileuse à l'avant.

    A propos du message de Chris

    Le jour où il aura des vrais morts parmis les soldats suisses, le gouvernement n'aura qu'à prendre ses responsabilités. A vouloir jouer au grand pays et se mettre en avant dans les entreprises militaires de l'otan, les parlementaires oublient souvent que les conséquences peuvent être réelles. Le mouvement a commencé par l'envoi d'une compagnie au Kosovo dans la KFOR, appelé par les soldats Krasse Ferien Ohne Rechnung soit Super Vacances Sans Facture, mais l'envoi de militaire dans d'autres zones est beaucoup plus dangereux. Hier le bientôt ex-chef de l'armée, a dit qu'il était favorable à l'envoi de soldats au Darfour. C'est un peu l'escalade depuis quelque temps. Bientôt on enverra les CR en Irak...

    Justement nous avons un nouveau chef appelé Nef, malheureusement pour lui son nom est l'abréviation militaire très connue NEF signifiant Nicht ErFüllt soit Pas Réussi  =D 

  12. A mon avis les Romains étaient trop aveuglés par l'orient pour envisager une expédition en afrique. L'orient c'est l'argent, même l'occident n'est pas intéressant, la conquête de le Gaule fut le seul fait de Jules César et non de Rome, la pacification de la germanie ne fut pas terminée, la conquête de l'Angleterre non plus, l'Irlande bien que connue et explorée ne fut pas envahie, alors je ne sais pas pourquoi ils seraient allés en afrique. De plus un commerce avec l'Afrique existait déjà, bêtes exotiques et pierres précieuses transitaient par Leptis Magna par exemple.

    Pour les autres civilisations je sais pas grands chose, mais les phéniciens, carthaginois et grecs n'ont de toute façon jamais eu assez de moyens pour entreprendre une entreprise pareille.

  13. Comme son emploi reste "théorique" car seulement employé dans des exercices chez nous, je cherche à savoir si dans les quelques unités où il a été exporté, il marche aussi bien qu'on le dit mais cette fois en action de guerre. Il faut garder à l'esprit que cette arme a été conçue pour l'armée mais aussi pour le tir en stand ! On en fait tellement l'éloge chez nous que des fois ça parraît louche. Surtout que l'armée n'a pas vraiement toujours tendance à donner les meilleurs produits à ses militaires. Bien j'aie pu moi même en constater l'efficacité, ce n'était pas pendant un vrai engagement. C'est un peut la même situation que dans le sujet sur le meilleur char où la pluspart des chars jugés n'ont en fait jamais été vraiment engagé. Donc, sachant qu'il a vraisemblablement été employé dans ce genre d'unité, je cherche à savoir s'il y a des défauts, pas de savoir à quelle opérations le sig a été employé . Toutes info sont les bienvenue [31]

  14. L'entretient d'un arc n'est pas facile non plus, il faut le protéger de l'humidité autant son bois que sa corde, si un choc survient sur le dos de l'arc il est perdu, de plus la fabrication de bonnes flèches prend beaucoup de temps, elles doivent aussi être entreposées avec soins,... ce qui est aussi très différent est que l'arc est une arme personnalisée règlée à l'alonge de son tireur qui d'autre essayerait de s'en servir pourrait le briser. Alors que l'arme à feu, même primitive, me paraît bien plus rustique: les balles sont rapidements fondues et on peut les entreposées sans trop de ménagement, il est vite fait de prendre un bout de métal et d'en faire et surtout se sont des armes dont on peut en faire des stocks et les confier au moment venu à n'importe qui sans risque de casse de l'arme.

  15. Une choses a ne jamais oublié ! Ne pas sous-estimé l'ennemie quel qu'il soit !
    Pour effectuer un brouillage efficace il faut un émetteur puissant et qui émette sur un large spectre de fréquence. C'est pas avec une bobine de fil de cuivre que l'on fait cela. Et qui dit émission puissante dit aussi que l'on se fait repérer en moins de deux, et comme les USA ont tendance à avoir la maîtrise du ciel dans leurs conflits, ça risque de faire très mal une fois découvert.

    Quand au danger de piratage, il existe déjà et existera de plus en plus avec les systèmes genre felin.

    Il faut savoir innover aussi ! De plus, les drones sont aussi de plus en plus utilisés dans des missions d'attaques et avec succès. Des exosquelettes sont en cours d'étude, ça commence toujours comme ça, d'abord on machinise l'homme puis on le remplace entièrement par une machine. Des études mettant des robots en réseau afin qu'ils emploient des stratégies de groupe sont aussi déjà à l'étude.

    C'est autant de nouveaux moyens qui seront à disposition dans les années à venir, à nous de penser autrement et de développer de nouvelles stratégies.

    Faut avoir de l'ambition, comme dirait votre nouveau chef [28]

  16. La fiabilité des transmissions est assez douteuse a mon avis ...

    - Perturbation de la transmission et donc perte de controle ou latence.

    - Piratage avec au choix juste immobilisation du vehicule en envoyant des donnée corrompu ou pire prise de controle.

    Je ne pense pas que les insurgés aient ce niveau de compétence.

    Je ne dis pas non plus que tous les chars devraient être sans équipage mais ils pourraient constituer un type particulié utilisé en cas de besoin.

  17. L'avenir du char ne serait-il pas de se tourner vers des versions sans équipage ? A voir les reportages d'Irak, les soldats ne prennent de toute façons plus le risque de sortir du char, donc tout tend à devenir téléopéré de l'intérieur. Alors qu'on le fasse de l'intérieur d'un char ou d'un PC je vois pas tellement la différence. De plus, cela permettrait a priori d'économiser de la place et donc de créer des chars plus compacts. En outre ça couperait l'herbe sous le pied des terroristes, car jusqu'à preuve du contraire les machines n'ont pas peur.

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