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Messages posté(e)s par Seal

  1. Bonjour,

     

    Sujet : Documentaire
    Titre : La guerre des 6 jours

    Avril 1967 : le général Nasser, à la tête de l'Égypte, exige le retrait des forces de l'ONU du Sinaï et de la Bande de Gaza. Le 27 mai : il bloque le détroit de Tiran, en Mer Rouge, interdisant aux navires israéliens l'accès à Elath. Le 5 juin, la Knesset décide de passer à l'offensive. Moshe Dayan, ministre de la Défense, donne l'ordre au général Ytzak Rabin d'attaquer. Le 5 juin au soir : la moitié de l'aviation égyptienne, syrienne, jordanienne est détruite. Du 6 au 10 Juin les chars de l'armée israélienne bousculent leurs adversaires sur tous les fronts. La fin des combats s’annonce le 10 juin. En moins d'une semaine, l'état hébreu triple sa superficie en occupant la Bande de gaza, le Sinaï, le Golan, la Cisjordanie, la vieille ville de Jérusalem, symbole majeur.

     

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  2. Bonjour,

     

    Sujet : Documentaire
    Titre : Guerre d'Algérie - Prisonniers du FLN

    Histoire : 
     

    Prisonniers du FLN pendant la guerre d'Algérie (1954-1962), quelques centaines de Français, civils et militaires, ont passé des semaines, des mois, voire des années entre les mains de l’adversaire. Pour les gouvernements français, s'agissant tout juste de rétablir l’ordre, il n’était pas question de voir dans les "événements d’Algérie" une guerre. Les soldats en captivité étaient donc considérés comme "disparus". Pour les combattants algériens, au contraire, il s’agissait de s’appuyer sur les conventions de Genève concernant les prisonniers de guerre pour se faire reconnaitre par la communauté internationale comme un Etat en gestation.

    Oubliés de l'Histoire, les prisonniers du FLN sont restés dans l’ombre. Les anciens prisonniers qui ont survécu à l'épreuve (beaucoup d'entre eux sont morts lors de leur détention dans les maquis) n'ont que très peu parlé. Ils avaient vingt ans. Ils n'ont rien oublié. Ni la soumission, ni la faim, ni le froid, ni la peur, ni l'adversaire qu'ils ont eu tout le temps d'observer.

    Leur épreuve, révélée par la longue enquête de l'historienne Raphaëlle Branche et du réalisateur Rémi Lainé, permet d'approcher d'une façon inédite et singulière ce que fut la guerre d’indépendance algérienne.

     

    Un documentaire de Raphaëlle Branche et Rémi Lainé

    Produit par Laurence Favreau

    Une production Alegria productions, avec la participation de France 3
     

  3. Bonjour,

     

    Sujet : Documentaire
    Titre : Vietnam - La sale guerre

    Histoire : 
    De la guerre d’Indochine menée et perdue par les Français à la chute de Saigon fin avril 1975, des vétérans américains, des combattants vietnamiens, des journalistes et des militants pacifistes retracent la guerre du Viêtnam. Ces témoignages émouvants alternent avec des images d’archives, des documents laissés par des soldats disparus et des extraits d’actualités de l’époque.

     

  4. Bonjour,

    Un casse à près de 3 milliards de francs. L’équivalent de 400 millions d’euros ! Ces cinq tonnes de billets de banque ne sont pas tombées dans les poches de voyous. Mais dans celles des FFI, ou Forces françaises de l’Intérieur, au lendemain du débarquement des Alliés en Normandie. Mais à quoi est destiné ce butin volé en gare de Neuvic-sur-l’Isle dans le train Périgueux-Bordeaux ? A aider les maquis dans leur lutte pour récupérer le reste des territoires occupés.

    Dès le 14 juin 1940, date du début de l’occupation de Paris par les Allemands, l’argent devient le nerf de la bataille de libération de la France. Et pour s’en procurer, tous les moyens seront bons. Parvenu à Londres le 16 juin, Charles de Gaulle doit se contenter, pour sa logistique, des 100 000 francs en liquide que lui a fait remettre sur ses fonds secrets, en pleine débâcle, le président du Conseil Paul Reynaud. C’est peu. Aux premiers hommes qui le rejoignent après l’appel du 18 juin, le Général dira : « Je n’ai ni fonds ni troupes » ! Le soutien du Premier ministre britannique, Winston Churchill, apporte à de Gaulle, alors inconnu, une reconnaissance politique. Mais il ne remplit pas les caisses. Le Général se veut le chef d’un Etat en exil. Il faut tout construire et cela coûte cher. Par solidarité, les Anglais lui accordent quelques subsides. A peine suffisants pour nourrir les centaines de volontaires qui ont rallié les rangs des Forces françaises libres. Une situation intenable qui aboutira à un accord, le 7 juillet 1940, entre Churchill et de Gaulle stipulant que l’entretien des Français est pris en charge par la Grande-Bretagne. Mais au titre d’avances remboursables à la fin des hostilités. Problème : le Général a ainsi pieds et poings liés. A tout moment, Churchill peut lui couper les vivres. Pour échapper à sa tutelle, la générosité des amis de la France est sollicitée. Des collectes organisées dans le monde entier rapportent de précieux fonds.

    A Paris, et hors l’autorité du Général, les premiers mouvements de résistance se forment. Les plus connus se nomment : Combat, dirigé par Henri Frenay, Libération-Sud, dont le chef est Emmanuel d’Astier de La Vigerie, ou Franc-Tireur, avec à sa tête Jean-Pierre Lévy. Tous fabriquent des tracts ronéotypés qui deviendront ensuite des journaux clandestins. Le peu d’argent disponible passe dans le papier, l’encre, les machines, la distribution. Astier écrira : « Pendant un an et demi, l’organisation a vécu de mendicité, ce qui lui a donné une existence très misérable. »

    Des particuliers et quelques industriels sympathisants apportent leur obole. Mais les mécènes restent rares. Or les rangs de la résistance intérieure ne cessent de gonfler et de coûter de plus en plus. De Gaulle ignore cette situation. C’est en faisant la connaissance de Jean Moulin, un préfet dissident révoqué par Vichy, qu’il apprendra la détresse dans laquelle se trouvent les futurs FFI. Un mois plus tard, 100 000 francs parviennent aux équipes de Combat et de Franc-Tireur pour qu’elles poursuivent leurs parutions. Parachuté en janvier 1942, en Provence, Jean Moulin est chargé par de Gaulle d’unifier une Résistance très disparate. Aux chefs des principaux mouvements de la zone sud, Frenay, Astier, Lévy, il propose un million et demi de francs à partager. La condition ? Se soumettre au général de Gaulle. Frenay refuse. Cet officier, grand meneur d’hommes, ne veut pas de la tutelle gaullienne. Contre des renseignements secrets, son réseau sera un temps financé par les Américains. Car de la propagande la Résistance est passée à l’action. Il lui faut des armes, des explosifs, des voitures, des planques, des faux papiers. Jean Moulin en est l’argentier. Daniel Cordier l’assiste pour la distribution des fonds.

    Les mois passent et la bagarre pour l’argent continue. Plus les maquis s’étoffent, plus leurs besoins s’avèrent faramineux. Début 1943, ils intègrent de jeunes réfractaires au STO (Service du Travail obligatoire) : 50 000 au total. Les chefs de la Résistance en veulent toujours plus. Jusqu’à son arrestation, en juin, Jean Moulin ne cessera de guerroyer avec eux. L’hiver est très rude cette année-là et gêne les parachutages. Les maquisards crèvent la faim. D’où l’idée du « hold-up patriotique » par réquisitions. Soit en exigeant de la nourriture auprès de la population, soit en effectuant des braquages dans des banques ou des bureaux de poste. Tel celui des fonds de la Banque de France dans le train Périgueux-Bordeaux. A chaque fois, les FFI laissent un bon de réquisition remboursable après la guerre. A la Libération, les restitutions seront en réalité peu nombreuses. Les espèces sonnantes de l’armée des ombres vont alimenter rumeurs et soupçons. Après avoir mené la Résistance à la victoire, l’argent contribuera à la salir…

     

     

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  5. Il y a 2 heures, ascromis a dit :

    Il s'agit de l'ADATS, un système mixte sol-sol/sol-air utilisé par les Canadiens et la Thaïlande.

    Concept séduisant sur le papier, mais apparemment ses performances dans l'un ou l'autre de ces domaines laissent à désirer.

    Merci pour l'explication !

  6. A la 22:00 notre bon vieux VAB HOT en démonstration !
    A la 26:12 je suppose que c'est un châssis M113 en démonstration en tir Sol-Air, je suis étonné de voir à la 26:57, qu'un char anti-aérien US peut aussi tirer en tir Sol-Sol sur des chars ... 
     

  7. Tir MILAN à partir de la 16:35 ...

     

    Le 22/5/2016 à 23:04, kalligator a dit :

    Question concernant la vidéo du char touché un peu plus haut : les munitions brûlent en dégageant une très forte chaleur, elles ne devraient pas exploser comme on le voit souvent lorsqu'un char genre T est touché ?

    Regarde à partir de la 20:28 sur la vidéo ci-dessus, ça ressemble au même exercice ... sauf que là, c'est feu d'artifice dans le blindé ! 

  8. Accords Sykes-Picot : le Moyen-Orient à la découpe

    Cent ans après les accords Sykes-Picot, la région aujourd'hui à feu et à sang paie les conséquences du partage du Moyen-Orient entre Français et Britanniques. Une vente à la découpe issue de tractations secrètes menées de 1914 à 1920 dans un contexte de jeux d'alliances régionales et de guerre mondiale. Ici, en 1919, l'émir Fayçal à la conférence de Paris.

    15158474.jpg

     

    Le reportage photos : http://tempsreel.nouvelobs.com/galeries-photos/photo/20160519.OBS0855/photos-accords-sykes-picot-le-moyen-orient-a-la-decoupe.html

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  9. il y a 50 minutes, Drakene a dit :

     

    Sont sérieux ils s'engagent dans la ruelle sans que l'infanterie ne pénètre jamais dans aucuns des bâtiments de cette ruelle !!!

    Ils finissent même par pommer un tank à cause de ça... C'est tellement ridicule, à la fin ils tirent même sur le bâtiment de droite qui est en face de la caméra tellement ils ne semblent pas sûr de savoir s'il est occupé ou non :blink: Putain l'EI a de beau jour devant lui en Syrie.

    J'ai remarqué la même chose que toi. 
    Est-ce que tu as remarqué qu'à un moment, un des chars tirait à bout portant dans un bâtiment ? 
    On dirait qu'il y a trop d'hésitations, ils ne savent pas où tirer. Je me suis même demandé quelles munitions ils utilisaient pour le combat urbain ... on oublie d'office les obus flèche ( pénétrateur à énergie cinétique), et encore, je ne sais pas si leurs chars peuvent tirer ce genre de munition ... 

  10. Tir sur des chars cibles avec des missiles TOW
    On peut voir le char prendre feu, il est encore en entier, pas pulvériser, disloquer comme sur la vidéo ci-dessus.

     

     

    Autre cas de figure, aucune chance de s'en sortir, le missile a fait son travail ...


     

  11. Voici une vidéo mytho ...

    Cette vidéo a fait pas mal parler d'elle il y a quelques années sur d'autres forums militaires.
    Les personnels auraient soit disant découpé au chalumeau certaines arêtes du char, et bourré celui-ci d'explosif pour une démonstration "explosive" ... il reste plus rien du char ... 
     

     

  12. En parlant du Leclerc, on en est où dans ses Tranches ? On est pas à 11 Tranches ?
    La seule chose que je sais, c'est que le dernier XL est sorti de Roanne le 30 novembre 2007. Quand aux chars de la série 1, certains ont été démantelés, d'autres stockés en "réserve cession", et je pense, je suppose que la DGA doit s'en garder quelques uns pour faire des essais. 

    D'après-vous, le Leclerc est toujours dans le coup ?

  13. Il y a 3 heures, Akhilleus a dit :

    Ca peut etre beaucoup plus efficace sur du blindé leger ou comme précisé par Leclers sur une concentration d'artillerie, un poste de commandement ou toute autre position statique

     

    C'est ce que je me suis dit, ça serait plus efficace sur un post de commandement, véhicules, blindés légers. Je pense que sur un Char Leclerc, ça ne ferait que d'égratigner la tourelle ...

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