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khairou

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  1. Le Raptor c'est sud-africain, non ?

    Oui le raptor 2 et  sud africain.

     

    Le Su-24 de l'armée de l'air algérienne  est l'un des seul a avoir la capacité de tirer des Missiles Raptor-2 .

     

    Les su 24 algérien ont été modernisé :

     

    35 su- 24 algerien  MK/MK2/MKR

     

     

     

    12 Su-24MK + 4 Su-24MR achetés dans les années 1990,  puis 22 Su-24MK en 2000 (livrés en 2001-2004). 22 Su-24MK ont été modernisés au standard MK2 dans les années 2000 pour 120 M U$.

     

     

    The 1,200 kg Raptor -2  rocket-boosted glide weapon, which can be guided by TV & GPS (with an IIR option) over its 130 km range. Integrated aircraft include older Mirage models, and the Russian SU-24 long-range strike aircraft.

     

    mk2h10.png

  2. La Chine a commencé à construire son 2e porte-avions

    Un haut responsable communiste a annoncé samedi que la Chine avait commencé à construire son deuxième porte-avions, deux autres bâtiments de ce type étant prévus par la suite.

    C'est la première fois qu'un officiel chinois confirme le chantier en cours de ce deuxième porte-avions, dans le grand port de Dalian dans le nord-est de la Chine, a précisé le journal Nanfang Dushibao.

    L'annonce a été effectuée par Wang Min, le secrétaire du Parti communiste de la province du Liaoning où se trouve Dalian, lors d'une réunion samedi de l'assemblée populaire provinciale, a de son côté indiqué le quotidien Takungpao, un journal de Hong Kong proche des autorités chinoises.

    Les travaux pour construire le deuxième navire amiral chinois dureront six ans, a dit M. Wang, selon qui la Chine disposera à terme de quatre porte-avions.

    En septembre 2012, la Chine avait admis au service actif son premier porte-avions, le Liaoning, un bâtiment de 300 mètres de long incarnant ses ambitions maritimes.

    Ce navire avait été rénové et équipé à Dalian, à partir de la coque d'un bateau de guerre destiné à l'origine à la Marine soviétique.

    Cette mise en service était intervenue en pleine crise des relations entre Pékin et Tokyo autour de la souveraineté d'îles - appelées Diaoyu en chinois et Senkaku en japonais - en mer de Chine orientale.

    Des hauts responsables militaires chinois avaient par la suite fait part de l'intention de Pékin de se doter de plusieurs porte-avions, mais sans fournir de détails.

    Début janvier le Liaoning, entouré de tout son groupe aéronaval, est rentré d'une première mission en mer de Chine méridionale, où plusieurs conflits de souveraineté opposent également la Chine à ses voisins.

    Ces manoeuvres se sont aussi déroulées dans un contexte de tensions et ont été marquées par une collision évitée de peu entre un bâtiment de l'US Navy et un navire chinois.

    En s'équipant de porte-avions, outil de projection de puissance par excellence, la Chine selon les experts assume le risque d'écorner l'image qu'elle veut donner d'elle-même: celle d'un pays qui s'arme uniquement pour se défendre, sans prétendre à l'hégémonie.

     

    http://www.elwatan.com/depeches/la-chine-a-commence-a-construire-son-2e-porte-avions-18-01-2014-242519_167.php

  3. Le nouveau dispositif chinois va-t-il enterrer le système de défense antimissile américain ?

    Le nouveau système pour les missiles balistiques intercontinentaux vient d’être testé en RPC. Les tests qui ont été menés démontrent que le déploiement des missiles chinois intercontinentaux équipés de ce nouveau système, est possible dans un avenir proche.

     

    Les essais de l’ogive pour le missile balistique intercontinental, qui viennent de se dérouler en Chine sont le premier résultat pratique du programme ambitieux de l’armement balistique, élaboré par ce pays. Cela fait plusieurs années que l’Empire du Milieu développe les armes balistiques. En juillet 2012, les médias chinois ont parlé de la mise en service d'un tunnel aérodynamique, qui assure la ventilation des modèles d’avions à une vitesse allant jusqu'à 9M. Et récemment, c’est le premier test d’un appareil hypersonique qui vient d’être réalisé. Se posent alors les questions d’influence de cette nouvelle technologie sur la stratégie nucléaire chinoise et de la direction du développement des projets d’armes hypersoniques en Chine.

     

    La Russie a terminé les tests des ogives hypersoniques en 2005, dans le cadre du projet d'amélioration de la stabilité des forces nucléaires stratégiques russes face au bouclier antimissile américain. Apparemment, la Russie était le premier pays à se doter d’une ogive prête à être déployée. La Chine suit les traces du complexe militaro-industriel russe, mais avec un retard de plusieurs années.

     

    Néanmoins, les tests démontrent que le déploiement des missiles balistiques intercontinentaux chinois avec des ogives de ce type est possible déjà dans un avenir prévisible. Une ogive hypersonique en vol ne peut être interceptée par aucun système de défense antimissile existant ou en projet. En commençant le déploiement des missiles, la Chine pourrait augmenter la fiabilité de ses forces nucléaires.

     

    Les travaux de construction de l’ogive supersonique sont liés avec un projet du nouveau missile balistique intercontinental, crée l’année dernière. Ces systèmes sont plus lourds que leurs prédécesseurs, nécessitant la construction d’un nouveau type de missiles, plus puissants.

     

    On peut supposer que dans les conditions actuelles, la Chine, à l'instar de la Russie et des Etats-Unis, ne se limite pas au développement des technologies hypersoniques pour sa triade nucléaire stratégique. Les Etats-Unis considèrent la possibilité d’utilisation de ses armes non-nucléaires dans ses systèmes de frappe conventionnelle rapide (Prompt Global Strike, PGS). La Russie mène aussi des travaux de développement de ses armes non nucléaires hypersoniques.

     

    La création des armes hypersoniques non nucléaires permettra de porter le programme de lutte chinois contre les groupes aéronavals américains à un autre niveau. La Chine se déplace déjà dans cette direction pour la création des moyens de frappe puissants des porte-avions de l’ennemi, grâce à la création des missiles antinavires DF- 21D. Ce missile complique la protection d’une escadre de porte-avions d’une frappe éventuelle. Si un missile de croisière hypersonique maniable sera utilisé comme un moyen d’attaque, la défense antimissile du porte-avions sera inutile et il va falloir changer les moyens de défense des missions militaires de toutes les flottes du monde.

     

    La présence d’une arme hypersonique est un attribut nécessaire d’une superpuissance au 21e siècle. Et la Chine est en passe d’en devenir une. Toutefois il faudra un certain temps avant que ces armes puissent êtres déployés et mis en service. Nous verrons donc les résultats de ce projet seulement d’ici une dizaine d’années.

    Lire la suite:

     

    http://french.ruvr.ru/2014_01_18/Le-nouveau-dispositif-chinois-va-t-il-enterrer-le-systeme-de-defense-antimissile-americain-6913/

     

  4. Le chasseur russe de cinquième génération T-50 est désormais doté d'un système d'oxygène illimité pour la respiration du pilote, écrit le quotidien Izvestia du 17 juillet 2013.

     

    Ce dispositif est nécessaire pour les vols à des altitudes supérieures à 4 kilomètres : à cette hauteur le pilote "s'endort" et perd connaissance à cause du manque d'oxygène. Tous les avions russes actuellement en service possèdent des ballons d'oxygène mais ils ont une durée d’utilisation limitée. Le T-50, par contre, est désormais muni d'un système spécial qui produit l'oxygène à partir de l'air environnant, conçu par l'entreprise Zvezda.

     

    "L'oxygène est pompé dans l’air environnant pour être ensuite compressé et envoyé dans l’appareil respiratoire du pilote. Grâce à cette technique le temps de vol ne dépend plus des réserves d'oxygène et le pilote peut rester dans l'air plus longtemps avec plusieurs ravitaillements en combustible. Dans les avions existants le pilote est obligé de contrôler tout le temps le niveau d’oxygène, qui pourrait s'épuiser plus vite que le carburant", explique Mikhaïl Doudnik, spécialiste en chef de l’entreprise Zvezda.

     

    Ce système fournit un volume d'oxygène illimité mais permet aussi d'économiser la charge utile de l'appareil : il ne pèse que 30 kg alors que le poids des ballons d'oxygène nécessaires pour deux heures de vol s'élève aujourd’hui à 90 kg.

     

    "C'est crucial.  Tout d'abord pour les chasseurs qui ont toujours un déficit d'espace et de charge. Il ne sont donc pas en mesure de stocker des volumes importants d'oxygène comme le font les bombardier, plus spacieux", précise Mikhaïl Doudnik.

     

    La conception de ce système a occupé l’entreprise pendant ces cinq dernières années. Il vient finalement d’être installé sur quatre prototypes de T-50 qui sont actuellement testés dans la région de Moscou.

    "Les premiers prototypes du T-50 produits à Komsomolsk-sur-l'Amour sont arrivés ici par leurs propres moyens : ils ont été obligés de se ravitailler en combustible mais pas en oxygène", ajoute-t-il.

     

    Aucun avion moderne ne peut se passer d'oxygène : les pilotes sont tout physiquement incapables de respirer à des altitudes de plus de 4 kilomètres. Et si un avion de ligne ou de transport peut embarquer sans problème de gros ballons d'oxygène, cette diminution de 60 kg est plus que considérable pour un chasseur qui compte chaque centimètre d'espace et chaque gramme de charge.

     

    Ce nouveau système a servi de base pour un équipement similaire destiné aux avions d'entraînement Iak-130. Les chasseurs embarqués MiG-29K seront également doté de ce dispositif au cours de l'année.

     

    Les armées algérienne et malaisienne sont parfaitement au courant des avantages de ces équipements et les ont déjà commandés pour leurs chasseurs Su-30.

     

    "Les premiers prototypes du Iak-130 étaient doté de ballons d'oxygène classiques, indique le pilote d'essai Roman Taskaev. En 1999, nous avons décollé vers l'usine italienne d'Aermacchi dans l’un de ces appareils en embarquant le volume nécessaire d'oxygène pour tout le vol. Mais une dépressurisation partielle des ballons a augmenté notre consommation, nous forçant à atterrir à Bratislava pour un ravitaillement. Le nouveau système exclut en principe ces problèmes".

     

    L'armée russe produit, jusqu’à maintenant, l'oxygène sur terre. Ce procédé nécessite un personnel compétent et des équipements spéciaux. Et toute erreur peut provoquer une explosion.

    "Les bataillons techniques des forces aériennes possèdent actuellement des stations automobiles de production d'oxygène, raconte Anatoli Kornoukov, ancien commandant en chef de l'armée de l'air. Les soldats et les sergents doivent suivre un cours de six mois pour être en mesure de manier cet équipement, alors que la formation des officiers dans ce domaine prend cinq ans. La sélection est très stricte en raison des risques d'incendie liés à l'oxygène".   

     

    Selon lui, le nouveau système permettra de réduire le personnel des aérodromes et d'augmenter l'efficacité des chasseurs longue distance. Cela résout également le problème des aérodromes de campagne qui ne sont pas équipés pour la production d’oxygène.

     

    L'armée américaine possède elle-aussi le même système, OBOGS, qui est installé dans les avions de cinquième génération F-22 et les chasseurs embarqués F-18.

     

    http://fr.ria.ru/presse_russe/20130717/198793961.html

  5. Appareils hypersoniques : la Chine entre en lice

    La Chine a testé son premier appareil hypersonique, devenant le troisième pays, après les Etats-Unis et la Russie, à posséder un tel matériel. Selon des sources chinoises, l'appareil testé revêt une importance purement scientifique. Cependant, à terme, il permettra de développer des missiles de croisière hypersoniques et des blocs d'attaque de missiles balistiques capables de surmonter la défense antimissile.

     

    Réaction logique

     

    Les essais chinois d'un appareil hypersonique et la reprise, quelques années plus tôt, des travaux dans le même domaine en Russie (accompagnés eux aussi d'essais) s'inscrivent dans une nouvelle étape d'une course qui n'a pas été engagée par Pékin ou par Moscou. Les deux capitales cherchent des réponses aux systèmes développés aux Etats-Unis. Il s'agit en tout premier lieu du système de défense antimissile et des appareils d'attaque hypersoniques développés dans le cadre du concept de frappe planétaire rapide (Prompt Global Strike, PGS).

     

    Le trait principal du programme PGS, qui le distingue des forces nucléaires stratégiques modernes, est son caractère non-nucléaire. De ce fait, il n'est pas concerné par les limitations des armes stratégiques offensives bien que son objectif est de porter un coup de haute précision dans n'importe quel point du globe en l'espace d'une heure. Il est tout à fait possible que le programme ne soit pas réalisé à part entière, néanmoins, ce changement des « règles du jeu » n'est pas passé inaperçu.

     

    A terme, l'appareil hypersonique chinois pourra créer une menace militaire dans l'endroit le plus sensible pour les Etats-Unis : dans le centre de la région d'Inde-Pacifique. A condition d'avoir une portée suffisante, ces blocs d'attaque téléguidés seront une menace sérieuse pour les armes offensives des forces armées américaines et pour le système d'ABM, notamment pour les navires AEGIS se trouvant aux avant-postes.

     

    L'avantage principal des blocs hypersoniques dans la compétition avec l'ABM est leur manœuvrabilité : un tel bloc peut modifier sa trajectoire, ce qui diminue notablement la probabilité de l'interception.

     

    La perspective des années 2020

     

    Au lieu de niveler les potentiels nucléaires, le développement de PGS peut augmenter leur rôle. C'est là sa conséquence la plus dangereuse en puissance. Cela aura pour résultat l'accroissement des arsenaux russe et chinois qui seront considérés par Moscou et Pékin comme l'unique moyen de causer aux Etats-Unis un préjudice garanti inacceptable en cas de guerre.

     

    http://french.ruvr.ru/2014_01_17/Appareils-hypersoniques-la-Chine-entre-en-lice-2360/

  6. Un lot de chasseurs polyvalents Sukhoï Su-35 sera prochainement livré aux forces armées russes, a annoncé jeudi aux journalistes le vice-ministre russe de la Défense Iouri Borissov, après avoir souligné que les essais supplémentaires avaient confirmé les performances exceptionnelles de cet avion.
     
    "Fin janvier, ce matériel entrera en service", a répondu M. Borissov invité à préciser les délais de livraison du premier lot de Su-35. Il n'a pas exclu que le ministre de la défense Sergueï Choïgou se rende début février à Komsomolsk-sur-l'Amour (Extrême-Orient russe) pour assister personnellement à la réception des chasseurs.
     
    "Selon les pilotes, cet avion est actuellement le meilleur du monde. Ses caractéristiques et ses possibilités sont uniques en leur genre. Mais ce chasseur requiert aussi de nouvelles techniques de pilotage. Nous jugeons très important de nous familiariser avec ces techniques sur le Su-35, car l'agencement de son cockpit, sa manœuvrabilité et ses missions de combat sont pratiquement identiques à ceux du chasseur de cinquième génération T-50", a déclaré le vice-ministre.
     
    Selon lui, lors des essais effectués en 2013, les constructeurs des Su-35 ont été invités à résoudre une série de problèmes techniques. Ainsi, les pilotes chargés de tester ces appareils ont relevé des défauts de fonctionnement aussi bien des écrans polyvalents dans le cockpit que des moteurs.
     
    "Nous avons prolongé les essais en vol de 40 heures pour nous assurer que ces défauts avaient été éliminés. Les essais supplémentaires ont pris fin hier. Aucune défaillance n'est désormais signalée", a ajouté le vice-ministre.
     
    Dernier-né du bureau d'études Sukhoï, le Su-35 est un chasseur polyvalent hautement manœuvrable de génération 4++. Sa vitesse maximale atteint 1.400 km/h près du sol et 2.400 km/h en altitude. Son plafond opérationnel est de 18.000 mètres. L'appareil est capable de détecter des cibles volantes à une distance supérieure à 400 km.

     

    http://fr.ria.ru/defense/20140116/200234341.html

  7. La gendarmerie a de nombreuses unités spécialisées et possède son propre groupe d'intervention (DSi). Est-ce que la police a aussi le sien ?

     

    J'ai aussi été voir le site de la police et il y a pas mal d'affaires liées au trafic d'alcool. Mais sa consommation est légale en Algérie ?

    Si je ne me trompe pas les unités spéciale de la police sont Le Groupement d'intervention spécial (GIS) ancien nom (ninja).

     

    Le Groupe d'intervention spécial (GIS) a été créé en 1987 . Il compte 300 membres et est basé à Ben-Aknoun, dans la banlieue d'Alger, auprès de l'état-major de la DRS. Ses hommes, qui portent l'uniforme bariolé des troupes spéciales, ont tous suivi une formation commando poussée et ont été entrainés aux interventions antiterroristes par les meilleures unités occidentales et russes (groupe Alpha).  Le GIS une unité d'élite pour des missions d'exception.

     

    Il ya aussi mais peu connu le service action :

     

     

    Le Service Action

    Par ailleurs, la DRS disposerait d'un Service action chargé de conduire des opérations clandestines à l'étranger. Très peu d'informations sont disponibles à ce sujet. Selon certaines sources, il serait intervenu à plusieurs reprises au Tchad, au Niger, au Mali, en Mauritanie et en Libye pour neutraliser des bandes armées du GSPC, passées aujourd'hui sous la bannière d'AQMI.

     

    Le BRI (brigade de recherches et d'intervention) lutte contre le banditisme fait partie de la police Sa juridiction se limite à la wilaya (préfecture) d'Alger.

     

  8. Les chasseurs russes T-50 ET MIG 29K testés en 2014/2015

     

    Les tests d'Etat des chasseurs russes ultramodernes T-50 (5ème génération) et MiG-29K sont programmés pour 2014-2015, a déclaré mercredi aux journalistes le porte-parole du ministère russe de la Défense Igor Klimov.

     

    Les appareils en question sont destinés à la Marine russe. Durant la même période, on testera des MiG-35, Il-112, Tu-142MRM ainsi que l'hélicoptère d'attaque modernisé Mi-28NM (Chasseur de nuit) et le Kamov Ka-60. Les livraisons en série du chasseur T-50 (PAK FA) commenceront en 2016, a ajouté la source.

     

    "En 2013, le Centre des essais en vol d'Akhtoubinsk a accueilli plus de 90 tests. Parmi les plus importants comptent figurent des avions Su-35/35S, Yak-130, Su-30SM, Su-25SM2, MiG-29K/KUB destinés à l'Inde et du Su-27SM. Les hélicoptères Mi-35M, Ka-52 et Mi-28N et des systèmes de parachute ont également été testés. Le programme de tests a été réalisé avec succès",  a indiqué M.Klimov.

     

    http://fr.ria.ru/defense/20140115/200227100.html

  9. chat-s10.jpg

     

    La détection et la localisation des tireurs embusqués sont devenus des enjeux de taille sur les théâtres d'opérations contemporains, une réalité bien comprise par les industriels qui proposent leurs solutions techniques.

    Le développement des systèmes de détection anti-snipers a connu une accélération avec le retour des snipers sur la scène médiatique, au cours du conflit yougoslave. Les prototypes des années 90 (Lifeguard, Viper) exploitaient les signatures acoustiques et infrarouges des tirs, grâce à plusieurs capteurs (microphones, senseurs EO/IR) qui permettaient, une fois les données analysées par des processeurs intégrés, de définir, en quelques millisecondes, l'origine du tir.

    Les systèmes de détection de snipers actuellement mis en oeuvre en Irak et en Afghanistan exploitent les signatures acoustiques, infrarouges et visuelles des tirs. D'autres systèmes permettent une détection précoce des tireurs grâce à un "radar optique" effectuant un balayage laser visant à révéler les optiques de visée.

    Le système Boomerang, issu d'un programme de recherche du DARPA et développé par BBN Technologies, permet la détection acoustique de l'origine du tir grâce à plusieurs microphones, qui peuvent être montés sur un véhicule. La conception de ce système a notamment permis d'affiner les algorithmes de détection des ondes sonores issues du tir d'un projectile supersonique (shockwave), réduisant ainsi l'apparition de faux-positifs. D'autres systèmes de détection acoustique permettent la discrimination des tirs alliés.

    Le système Shotspotter est basé sur le maillage d'une zone par plusieurs capteurs acoustiques permettant la détection et la triangulation des tirs d'armes légères. Il est déjà employé par des forces de police aux USA et pourrait équiper à terme les drones ScanEagle de Boeing. Le Pentagone s'intéresse également au déploiement de multiples capteurs acoustiques en réseau pour la détection et la triangulation des tirs, à travers les programmes WAAPS et ATLS.

    Des systèmes de détection acoustiques portatifs (SWATS, Boomerang Warrior) sont également en cours d'expérimentation par l'US Army et devraient entrer en dotation en Afghanistan et en Irak cette année.

    La France a initié en 2003 son propre programme de détection anti-snipers, baptisé DAOTE (Détection Acousto-Optronique de Tireurs Embusqués). La DGA a sélectionné dans ce cadre deux matériels français, le système de détection acoustique PILAR de Metravib et le système de détection EO/Laser SLD 500 de CILAS. Le système PILAR a été déployé sur plusieurs théâtres depuis les années 90 et a équipé des unités américaines avant l'arrivée du Boomerang. Le SLD 500 permet pour sa part la détection des optiques pointées, en repérant les reflets des lunettes de visée et autres jumelles au cours d'un balayage laser.

    La détection laser des optiques est une des pistes privilégiées par les armées pour la détection des snipers. Cette technologie permet de repérer un tireur embusqué avant le premier tir et l'amélioration des algorithmes de détection limite les faux positifs, liés aux reflets parasites.

    Le programme BOSS (Battlefield Optical Surveillance System) de l'US Air Force (AFRL), visait à la détection des optiques de visée grâce à un système laser-optronique, ayant également la capacité de désigner une cible grâce à un pointeur laser. Plusieurs solutions commerciales sont apparues aux USA exploitant ce système détection, comme les jumelles à balayage laser Mirage 1200 ou le kit de détection RedOwl monté sur le robot Packbot.

    EADS travaille actuellement sur un projet similaire au BOSS américain, dénommé Ellipse, un système de détection d'optiques pointées à balayage laser, qui permettra notamment de différencier une lunette de visée militaire, d'un téléobjectif ou d'une simple paire de jumelles.

    Au début des années 2000, le bureau d'étude russe Nudelman a présenté le PAPV, un prototype capable de détecter par balayage laser une lunette de visée, mais également tout autre optique de visée militaire jusqu'à 1.5km. Ce système présentait la particularité d'embarquer un puissant laser de contre-mesure visant à aveugler un sniper ou un système d'armes.

    Les systèmes de détection anti-snipers connaîtront sans doute un certain succès sur les théâtres d'opérations actuels, mais leurs performances face à des contre-mesures acoustiques (modérateurs de son) ou optiques (ARD - Anti-Reflective Devices) demeurent incertaines.

     

    http://zonedinteret.blogspot.fr/2009/04/detection-anti-snipers.html

  10. Est-ce qu'il y a des projets pour des remplacements de vos avions de transport ? Les Il-76 donnent satisfaction ?

    Bonsoir,

     

    Voici une traduction de l'arabe en gros :

    http://arabic.yenisafak.com/arap-dunyasi-haber/27.11.2013-8721

     

    Négociation de l’armée algérienne pour l’achat de 20 à 30 avions  gros et moyen porteur

     

    les  militaires algériens ont  recherchaient avec des représentants des sociétés de production d'avions  russes ,européen et américain lors du dernier meeting aérien à Dubaï, " Afin de fournir à l'armée algérienne des avions gros porteurs  militaire", selon une source algérienne familier.

     

    La source, qui a requis l'anonymat a déclaré que "des experts du ministère de la Défense se sont rendus aux Émirats arabes unis (mi-mois) à cet effet, et  d'autres à Moscou au sein de la délégation militaire, qui était accompagné par le vice-ministre de la Défense de l'Algérie (le général Ahmed Gaid Saleh), lors de sa récente visite dans la capitale russe (le mois dernier) ".

     

    Selon la même source, "le ministère de la Défense Algérien a l'intention d’acquérir  entre 20 et 30 avions de transport militaire lors d’un gros contrat , pour renouveler la flotte de transport aérien algérien et d'augmenter le nombre d'avions."

     

    Il a souligné que "l'accord comprend également des  avions  de transport, léger et moyen, Boeing 777 et C-130 parmi les préoccupations les plus importantes du ministère de la Défense de l'Algérie, en plus de l'avion russe célèbre Antonov 70 et Antonov 140, et l'Airbus Beluga européenne."

  11. Les obusiers de 155 mm comme les PLZ-05 ont été créés grâce à l’utilisation des technologies obtenues lors de la coopération avec la société américaine Space Research dans les années 1980. C’était l’un des leaders des armes lourdes avec des canons allongés à l’époque.

     

    L’expérience en matière de création de systèmes d'artillerie de longue portée était combinée aux progrès réalisés dans le développement de châssis de nouvelle génération et les réalisations dans le domaine de systèmes automatisés de contrôle de tir.

     

    En outre, les obusiers automoteurs chinois ont emprunté les canons automatisés qui sont installés sur les obusiers russes MSTA-S.Les nouveaux systèmes d'artillerie chinois dépassent leurs homologues russes par le degré d'automatisation et la portée du tir.

     

    Par ses caractéristiques, les nouveaux systèmes d'artillerie chinois sont comparables aux analogues occidentaux. Cela a été démontré dans les années 2000, lorsque la Chine a réussi à vendre des quantités importantes d’obusiers aux Emirats arabes unis et à l'Arabie saoudite.

     

    http://french.ruvr.ru/2013_05_20/Lavenir-de-l-artillerie-russe/
     

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  12. Le développement de la PLZ-52 aurait commencé au milieu des années 1990, et le prototype a été achevé en 2003. L'obusier peut avoir été certifié en 2005 / 06. Un modèle de l'obusier a été révélé par la Chine du Nord Industries Group Corporation (CNGC) au cours de la Beijing International Aviation Expo 2005.

     

    En Juillet 2007, lors de l'exposition organisée au musée militaire révolutionnaire du peuple chinois à l'occasion du 80e anniversaire de l'APL, un exemple de l'obusier a été exposé au public pour la première fois.

     

    Le PLZ52 est développé sur la base des technologies les state-of-the-art artillerie de l'armée chinoise, ainsi que la vaste expérience et les réalisations techniques accumulées dans le système éprouvé PLZ45 155mm canon obusier, un produit phare célèbre de NORINCO qui a été exporté en grande quantité.

     

    Cette nouvelle génération PLZ52 SPGH dispose des fonctionnalités de haute capacités élevées de fiançailles, opération très automatique, un système de contrôle de tir complet et un système de munitions de haute performance. Son caractère autonome permet une étape cohérente à l'égard réseau, de commande et de contrôle centralisé. Le PLZ52 peut également être intégré dans le système C4ISR de façon transparente. Il est sans aucun doute l'un des canons de obusiers automoteurs les plus avancées dans le monde.

     

    http://www.armyrecognition.com

     

     

    La différence entre le PLZ52 ET PLZ45 repose sur une coque légèrement différente.

     

    plz 52

     

    800px-PLZ_05_self_propelled_gun.jpg

     

     

     

    PLZ 45

     

    800px-Kuwaiti_PLZ-45_Self-propelled_Guns

     

    Ici lors d'un défilé

  13. Bonsoir,

     

    La société suédoise SAAB a reçu une commande de Diehl BGT Défense GmbH & Co. KG Allemagne pour RBS15 Mk3 systèmes surface-à-surface missiles pour. L'ordre valorisé 168 millions de SEK, comprend des options d'une valeur totale de 83 millions de couronnes suédoises. Les livraisons auront lieu au cours de la période 2014-2016.

    Il est entendu que les missiles sont dues à armer les MECO A-200 frégates polyvalentes commandés par l'Algérie à ThyssenKrupp Marine Systems AG (TKMS). RBS15 Mk3 système d'arme a déjà été vendu à l'Allemagne, la Pologne et la Suède.

     

    http://defesaglobal.wordpress.com/2012/08/13/5298/

     

    Démonstration du Saab RBS 13 MK3

  14. Bonjour ,

     

    Deux corvettes lance missiles passent les tests d'Etats.

     

    Les corvettes lance-missiles Grad Sviajsk et Uglitch du projet 21631(Buyan-M) ont passé avec succès les tests d'Etat et seront intégrées au cours de cette année au sein de la Flottille russe de la mer Caspienne, a annoncé lundi aux journalistes le service de presse du District militaire du Sud. 

     

    Les corvettes en question ont effectué avec succès quatre tirs de systèmes de missiles Club-N. La dernière étape des tests s'est tenue en décembre 2013. Les deux bâtiments doivent être adoptés par la Marine russe au cours du premier trimestre de 2014. 

     

    La Flottille russe de la mer Caspienne devrait en outre adopter une corvette de lutte anti-diversion du Projet 21980 (classe Grachonok), qui a également réussi les tests d'Etat. 

     

    La troisième corvette lance-missiles Veliki Oustioug du projet 21631, une autre corvette de lutte anti-diversion et plusieurs bateaux de sauvetage seront adoptés par la Flottille avant 2015. Au total, cette dernière compte acquérir au cours de cette année plus une dizaine de bâtiments de guerre et de navires de soutien.

     

     

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    http://fr.ria.ru/defense/20140114/200213280.html

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