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  1. Rupture de l’approvisionnement en Gaz algérien: L’économie marocaine asphyxiée La décision de l’Algérie de ne pas reconduire le contrat gazier qui le lie au Maroc après son expiration le 31 octobre prochain, dans le sillage de la rupture des relations diplomatiques entre les deux pays, en réponse aux déclarations de guerre de Rabat, exprimées par son représentant à l’ONU, Omar Hilale, et de celles du chef de la diplomatie de l’entité sioniste à partir du sol marocain. Quelle alternative pour le Maroc, en matière d’approvisionnement en gaz ? Pour de nombreux experts en la matière, la rupture de l’approvisionnement en gaz algérien via le Gazoduc Maghreb-Europe GME, constitue un KO si on se réfère au langage des pugilistes. Les marocains n’ont pas mesuré l’impact de leurs provocations et la réaction de la partie algérienne. Les marocains, dépendant en grande partie du gaz algérien, cédé à un prix symbolique, s’ajoutant aux 200 millions de dollars engrangés comme droit de passage à hauteur de 7%, devront dépenser au moins un milliard de dollars pour faire tourner leurs usines. Pour l’expert international en énergie et expert en analyse boursière Nouredine Leghliel , Rabat est face à un immense problème pour s’approvisionner en gaz, après la non reconduction du contrat avec Alger, dans la mesure, où les marocains devront chercher un fournisseur sur le marché gazier, pour un produit dont le prix ne cesse de grimper atteignant aujourd’hui les 15 dollars BTU, après avoir connu une chute libre en 2020, avec un prix de moins de deux dollars le BTU. Situé dans une géographie défavorable, en matière de fournisseur de gaz, le Maroc est contraint de se tourner vers l’Espagne, pays limitrophe et qui s’approvisionne de l’Algérie, via le Medgaz, avec une capacité extrême de 10,5 milliards de M3 , un volume destiné aux besoins de l’île ibérique Absence totale d’infrastructures gazières et pétrolières Si le recours à l’alternative espagnole pour s’approvisionner en gaz, est quasi impossible, Rabat devrait regarder vers les fournisseurs russes ou qataris pour « gazéifier’ ses importations, à un prix plus élevé, ce qui constituera un autre fardeau sur une économie marocaine asphyxiée par les effets de la pandémie du Covid-19 sur ses principaux revenus à savoir le tourisme, le transfert des devises de la diaspora marocaine, et les rentrées de la drogue qui seront très affectées par la fermeture drastique des frontières avec l’Algérie, dont le sillage de la rupture diplomatique et le renforcement de la sécurité des frontières espagnoles après le chantage des migrants. Par ailleurs, il faut noter que le Maroc qui ne dispose d’aucune infrastructure pétrolière ou gazière Le Samir , après la faillite en 2016 de l’unique raffinerie du pays , appartenant à hauteur de 67% au milliardaire saoudien Cheikh Mohamed Al Amoudi via son entreprise Corral Morocco Holding.L’entreprise, qui employait 867 salariés à l’époque, a cumulé des dettes pour un montant de plus de 45 milliards de dirhams (4,16 milliards d’euros), notamment envers la douane, ce qui a fini par provoquer l’arrêt d’activité, en août 2015. La rupture de l’approvisionnement du gaz algérien, devra peser lourd sur la poursuite des activités des centrales électriques du royaume dépendante du GME Vers l’annulation de deux importants contrats avec l’Union Européenne Comme dit l’adage, un malheur n’arrive jamais seul ,la Cour de justice de l’Union européenne se prononcera le 29 septembre à 11h par deux arrêts sur la légalité des nouveaux accords UE-Maroc, étendus au Sahara Occidental occupé, annonce la représentation du Front Polisario à Bruxelles. En décembre 2016, par un arrêt d’une importance majeure, la Cour de justice de l’Union a jugé que l’accord d’association UE-Maroc ne s’appliquait pas au Sahara occidental car le territoire sahraoui dispose d’un statut séparé et distinct de celui du Royaume du Maroc, rappelle le Front Polisario dans un communiqué. En outre, le peuple Sahraoui n’avait pas donné son consentement à l’application de cet accord à son territoire national. “Par une série trois arrêts rendus en 2018 et 2019, les juridictions européennes ont ensuite généralisé cette solution à l’ensemble des accords UE-Maroc, excluant le Sahara occidental du champ d’application de l’accord de pêche et de l’accord d’aviation UE-Maroc. C’était la fin de -l’application de facto- “, rappelle encore la partie sahraouie Toutefois, ” se détournant de la voie saine ouverte par la Cour, la Commission européenne, sous l’influence de la France, a négocié deux nouveaux accords avec le Royaume du Maroc , un accord agricole et un accord de pêche , incluant explicitement la zone sous occupation marocaine du Sahara occidental, en mettant en avant de prétendues consultations avec l’occupant marocain et les colons “, dénonce-t-elle. En réaction, ” le Front Polisario a introduit deux recours en annulation contre les décisions du Conseil de l’UE d’approuver ces accords illégaux, conclus en violation du droit à l’autodétermination, alors que seul compte le consentement du peuple sahraoui “, précise la représentation. Les 2 et 3 mars 2021, le Tribunal de l’Union européenne avait consacré deux jours d’audience, avec des débattus nourris sur tous les aspects du dossier. Dans l’ensemble, l’économie de sa majesté qui agonise à cause d’une dette qui ne cesse de grimper, de conditions économiques endogènes et exogènes et d’absence de visibilité économique devra face à un avenir sombre, qui prendra une allure chaotique au lendemain de la reconduction du contrat du gaz avec l’Algérie. A force de provoquer le pays des martyrs, on risque de perdre le royaume . https://algerie54.dz/2021/09/08/economie-marocaine-2/
  2. Un général français l’a confirmé dans une étude: L’Algérie ciblée par une guerre de quatrième génération Le général Dominique Delawarde n’est pas n’importe qui. Mieux. Il est, sans doute, le haut responsable militaire le mieux placé, de par ses hautes fonctions passées et les liens historiques qui lient Alger à Paris, pour évoquer cette question sensible et délicate en connaissance de cause. Il est en effet ancien chef «Situation-Renseignement-Guerre électronique» à l’État major français interarmées de planification opérationnelle. Impressionnant, n’est-il pas vrai ! Mais, lorsque c’est ce même haut responsable qui bâtit une seconde étude sur celle de l’algérien, Ahmed Bensaâda, toute ce presse « au-dessus de tout soupçon », ne peut que mettre un terme à sa tacite censure de ce professeur émérite. Le général Dominique Delaware écrit ceci en épiloque de son étude dont un lien est donné à la fin de cet article, ainsi qu’un autre vers celui de La Patrie News : « L’auteur, Ahmed Bensaada n’est pas n’importe qui. D’origine algérienne, il a émigré au Canada il y a plus de vingt ans après avoir tenu des postes importants dans son pays d’origine à l’université d’Oran. Professeur émérite, docteur en physique, consultant scientifique et pédagogique, auteur de manuels scolaires et de nombreux articles et ouvrages. Ahmed Bensaada récolte les hommages, mentions, certificats et prix de toutes sortes dont le prix du premier ministre en 2006 ». Avis, donc à tous ces « médias libres et indépendants » qui ont bannit de leur lexique le nom de ce professeur qui fait la fierté de l’Algérie d’abord, et qui a été le premier tirer la sonnette d’alarme sur cette guerre « cybernétique » déclenchée contre l’Algérie ensuite. En bon militaire qu’il est, le général Delaware va droit au but. S’aidant de très peu de textes, il inclut dans son étude des liens vers des vidéos qui éclairent d’un jour nouveau des affaires emblématiques, venues prouver de manière percutante que l’internet est bel et bien devenu une redoutable arme de guerre. Pire. En certains cas de figures, c’est même une ADM (arme de destruction massive). Graphica, cette ONG utilisée contre l’Algérie en « appoint » au hirak dévoyé, a mené un travail de sape en profondeur dont un des résultats directs est peut-être l’assassinat odieux et barbare de Djamel Bensmaïl. Actuellement, le « néo-hirak » incarne une dangereuse et criminelle jonction entre les mouvements terroristes que sont le MAK et Rashad. L’affaire Alstom, elle, montre de quelle manière un puissant et riche allié peut se retrouver du jour au lendemain sur le banc des accusés, voire carrément dans une prison américain de haute sécurité. Dans le cas qui nous intéresse, et nous inquiète surtout, lorsque l’entité sionite, aidée en cela par le Maroc, il ya bel et bien lieu de se montrer plus vigilant et d’œuvrer plus que jamais à renforcer son front intérieur. Le scandale Pegasus, espionnage marocain à très grande échelle mené contre des opposants, des journalistes, des militants sahraouis et des responsables algériens à l’aide d’un logiciel fourni par l’armée sioniste, est là pour renforcer nos appréhensions ainsi que notre vigilance. Mohamed Abdoun 1 septembre 2021 https://lapatrienews.dz/un-general-francais-la-confirme-dans-une-etude-lalgerie-ciblee-par-une-guerre-de-quatrieme-generation/
  3. https://www.lepoint.fr/afrique/algerie-maroc-le-prix-de-la-rupture-28-08-2021-2440495_3826.php https://l-info.com/lalgerie-abandonne-le-gazoduc-maghreb-europe-qui-traverse-le-maroc/
  4. Les sources du Maroc ne peuvent être utilisés pour expliquer une quelconque légitimité du MAK, puisque c'est le régime marocain qui a officiellement reconnu à l'international et notamment au sein de l'ONU qu'il soutenait le mouvement MAK (selon les documents distribués à ses homologues par l'ambassadeur marocain Hillale attaché à l'ONU). Le mouvement MAK ayant commis les crimes de cet été, classé terroriste, certains recherchés par Interpol, il s'avère que les commanditaires du MAK doivent rendre des comptes à la justice. Si un pays soutien le MAK, c'est comme si au moment des attentats de Charlie Hebdo, ou encore l'attentat de Nice (pour ne citer que cela), les Etats qui auraient soutenus les groupes terroristes qui ont tué au Bataclan, seraient tous qualifiés d'Etats terroristes. Donc question: à cette époque, a-t-on accepter et utiliser des sources, des références de la part de groupes ou pays qui soutiennent le terrorisme ? la France a-t-elle mis en avant tous les articles et discours de terroristes dans ses colonnes de presse ou journaux TV ? Bien sûr que non, alors pourquoi devrait-on imposer à l'Algérie des sources qui ont ouvertement, publiquement, officiellement, au plus haut niveau politique et diplomatique, expliquer qu'ils soutenaient les terroristes du MAK ? Ferhat Mehenni n'a jamais été élu par personne, n'a jamais gagné aucune élection, il n'est le président d'aucun pays, ni région, seul ses acolytes du MAK lui reconnaissent une autorité. On demande au pays comme l'Algérie de jouer la carte démocratique, mais ici je vois qu'il n'y a pas de respect des règles démocratiques de base universellement reconnues. Ce qu'on exige des autres, on devrait l'appliquait à soi aussi. Si l'Algérie doit se développer pour asseoir une démocratisation du pays, il faudrait donc commencer par ne pas lui imposer un type sorti de groupes mafieux, jamais élu, jamais représentant de quoi que ce soit, et lui assigné un titre qui exige au minimum des élections.
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