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habiban

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Messages posté(e)s par habiban

  1. Je trouve que l'U.E. devrait faire pression sur la Turquie pour arrêter ou empêcher ces djihadistes !

    De plus, s'ils reviennent chez nous, on peut les arrêter pour interrogatoire et enquêtes préliminaires.

    La Turquie devrait au moins faire cet effort ,interdire l'acces aux Djihadistes ou au moins les recenser ,pour permettre aux pays de l'OTAN ,qui eux fournissent les patriotes et les servants necessaire à la securité de la Turquie ,de se premunir contre leur nuissance au retour au bercail .Cet effort de filtrage des terros n'ayant pas été realisé pour les autres pays comme la Tunisie et autres fournisseurs de chair à canon par calcule politique de coincer les El-Assad ?

  2. (Libération) Les Etats-Unis ont reconnu pour la première fois jeudi que le régime syrien avait probablement utilisé des armes chimiques, tout en soulignant que leurs renseignements n’étaient pas suffisants pour avoir la certitude que Damas avait franchi la «ligne rouge» tracée par Washington.

    «La communauté américaine du renseignement conclut, avec différents degrés de certitude, que le régime syrien a utilisé des armes chimiques à petite échelle en Syrie, en particulier du sarin», a affirmé le secrétaire à la Défense Chuck Hagel face aux journalistes à Abou Dhabi.

    «Différents degrés de certitude» signifie dans le jargon du renseignement américain que ses agences ne sont pas toutes du même avis, a expliqué à l’AFP un haut responsable du Pentagone.

    La Maison Blanche a ensuite confirmé avoir communiqué cette évaluation à des élus du Congrès, mais souligné que les indices ne constituaient pas encore une preuve formelle à ses yeux.

    http://www.liberation.fr/monde/2013/04/25/la-syrie-a-probablement-utilise-des-armes-chimiques-selon-les-etats-unis_899017

    La une deux entre British et Ricains semblent destinée plus à mettre la pression sur Poutine lors de la prochaine rencontre entre les deux Presidents (Obama-Poutine) que mettre en lumiere une improbable attaque chimique de la part des El assad ? 

  3. Sahara occidental : malgré le revirement américain, Alger fait une lecture positive des derniers évènements

    Depuis quelques jours, Rabat savoure sa nouvelle « victoire » diplomatique dans le dossier du Sahara occidental. Appuyé discrètement, mais activement par Paris, le Maroc a réussi à faire reculer les Etats-Unis sur le projet de résolution, qui, pour la première fois, chargeait formellement la Minurso de surveiller le

    respect des droits de l'Homme, au grand dam de Rabat .Le texte, qui sera adopté ce jeudi par le Conseil de sécurité, a été réécrit : il encourage seulement les parties en conflit à respecter les droits de l’Homme.

    Pour Alger, ce revirement américain ne constitue pas un échec. Il ne conduira pas non plus l’Algérie à changer sa position sur le dossier sahraoui, comme le laissent entendre les Marocains. « Pour nous, il s’agit d’une question de décolonisation, que nul artifice, bâti sur de prétendues dimensions régionale ou bilatérale, ne saurait occulter », explique un haut responsable algérien. Même le contexte d’instabilité dans la région, notamment le Sahel, souvent mis en avant par Rabat pour justifier sa position sur le Sahara occidental, ne risque pas de faire évoluer la position algérienne. Cette situation dans la région « ne doit pas nous faire oublier l’essentiel, à savoir que la question du Sahara occidental est une question de décolonisation », ajoute le même responsable.

    Dans ce contexte, l’Algérie estime que la solution « devra impérativement pourvoir l'autodétermination du peuple du Sahara occidental ». « C’est la doctrine de l’ONU et nul, fut-il membre permanent du Conseil de sécurité, ne peut biffer d’un trait de plume la référence à l’autodétermination, qui est le point d’ancrage gravé dans toutes les résolutions du Conseil de sécurité, comme ce sera le cas également pour la résolution qui devrait être adoptée le 25 avril », insiste le même haut responsable, allusion notamment à la position de la France, membre permanent du Conseil de sécurité et soutien inconditionnel de Rabat.

    Droits de l’Homme et exploitation des richesses du Sahara occidental

    Pour ce haut responsable, tous les rapports élaborés dernièrement par les organismes internationaux, dont ceux de l’ONU, montrent que « la question des droits de l’Homme dans les territoires sahraouis est un élément primordial de tout règlement du conflit, comme l’a souligné le secrétaire général de l’ONU dans son dernier rapport, et cette question restera posée, même si les Américains, faute de consensus, ont fini par retirer leur initiative ». Même si la question ne va pas figurer dans la résolution qui sera votée aujourd’hui, l’initiative américaine « aura eu le grand mérite de lancer un avertissement solennel à la puissance occupante, et la communauté internationale sera désormais plus attentive à la situation des droits de l’Homme dans les territoires sahraouis occupés », ajoute-t-il.

    « Dans l’hypothèse où les violations devaient se poursuivre, cette question reviendra systématiquement l’année prochaine devant le Conseil de sécurité, et, à l’exclusion d’un seul pays connu pour son alignement sur les thèses marocaines, pour des raisons géostratégiques évidentes, il est improbable que d’autres membres du conseil viennent encore à la rescousse du Maroc », précise-t-il.

    En plus de la question des droits de l’Homme, le même haut responsable pointe un autre problème : l’exploitation illégale des richesses sahraouies par le Maroc. « A l’instar de la question primordiale des droits de l’Homme, la question de l'exploitation illégale des ressources naturelles de ce territoire non autonome ne doit plus être occultée et elle doit trouver toute sa place dans les rapports onusiens », estime-t-il.

    http://www.tsa-algerie.com/actualite/item/210-sahara-occidental-malgre-le-revirement-americain-alger-fait-une-lecture-positive-des-derniers-evenements
  4. A priori pas d'extension du mandat de la Minurso au DH :

    Il semble que le but de la manoeuvre US etait destiné à obliger le Maroc a acepter certaines exigences americaines relevant de sa strategie globale . Quant aux saharaouis , l'Amerique s'en foute royalement qu'ils puissent benificier de droit ,d'ailleurs c'est pas le seul endroit ou les droits de l'homme sont foulés au pieds avec la benidiction de l'oncle Sam ?

  5.            

    Ces corrupteurs qui décrochent des contrats en Algérie

    SNC-Lavalin, Siemens, Alstom ou encore CSCEC, des entreprises aux noms bien connus en Algérie et qui ont largement profité de la commande publique.

    Des entreprises qui partagent également un autre point commun. Celles-ci, ou du moins leurs filiales, ont toutes eu maille à partir avec la Banque mondiale qui les a black-listées pour fait avéré de corruption. L’affaire la plus récente et qui a sans le plus marqué les esprits est sans doute celle liée au groupe canadien SNC-Lavalin. Impliquée dans des affaires de corruption en Algérie, en Tunisie et en Libye, la firme serait aussi mêlée à une tentative d’introduction du fils du dictateur libyen déchu, Saâd El Gueddafi, au Mexique. C’est dire le genre de firmes qui ont bénéficié des largesses du programme d’investissement public.

    L’augmentation des cours du pétrole, la constitution de réserves de change importantes et l’injection de plusieurs centaines milliards de dollars dans le circuit aura sans doute aiguisé les appétits. Cependant, l’Algérie a, au final, attiré des firmes sans scrupules, qui ne lésinent pas sur les pots-de-vin afin de parvenir à leurs fins. Un rapport de Transparency International publié il y a quelques mois met à l’index les entreprises et les pays les plus corrupteurs au monde. A la lecture du rapport, on se rend vite compte que l’Algérie travaille avec ces grands corrupteurs. Le cas SNC-Lavalin est donc loin d’être une exception ou un simple accident de parcours. D’autres entreprises, et non des moindres, marquées du sceau de la corruption, ont une présence active en Algérie.

    Aujourd’hui au cœur de la polémique en raisons des coûts de réalisation de la centrale électrique de Terga, jugés trop élevés, la firme française Alstom a elle aussi été épinglée par la Banque mondiale en 2012. Deux filiales du groupe ont ainsi reconnu avoir commis des actes illicites dans un projet en Zambie. Alstom, qui est présent en Algérie dans les infrastructures, l’énergie et vient de lancer en partenariat une ligne de fabrication de tramway, a été radiée par la BM pour 3 ans.

    En 2009 c’était Siemens, présente dans le secteur algérien des télécoms ainsi que dans les transports ferroviaires notamment, a aussi été black-listée par l’institution de Bretton Woods non seulement pour un projet financé par la BM en Russie, mais aussi pour des «fautes commises par le passé dans ses activités à travers le monde» ! Le cas le plus édifiant reste néanmoins celui des entreprises chinoises. Considérées par Transparency International comme les plus corruptrices, celles-ci ont obtenu les marchés pour la réalisation de deux tronçons de l’autoroute Est-Ouest ainsi que la construction de milliers de logements depuis 2000.

    Déclaration de probité… pour quoi faire ?

    A titre d’exemple, la société chinoise publique China State Construction Engineering Corporation (CSCEC) a été, en 2009, sur la liste noire de la Banque mondiale pour cause de corruption et de fraude ; elle a écopé de la «non-éligibilité pour 6 ans» aux contrats financés par l’institution. Cela n’a pourtant pas empêché l’entreprise chinoise de décrocher, deux ans plus tard, d’importants marchés de construction en Algérie. En 2011, la CSCEC avait obtenu pour près de deux milliards de dollars de contrats en Algérie. La réalisation de la Grande mosquée d’Alger permettra ainsi aux Chinois de faire un milliard de dollars de chiffre d’affaires, tandis la construction du centre international de conférences leur permettra d’engranger 688 millions de dollars. Un fait d’autant plus gravissime que la loi sur la lutte contre la corruption, entrée en vigueur en 2006, écarte de tout appel d’offres les entreprises dont la probité est mise en doute, leur fermant l’accès à la commande publique.

    Ainsi, une «déclaration de probité» a été intégrée aux dossiers de soumission des opérateurs désirant participer à un appel d’offres. Une déclaration qui trouve son ancrage juridique dans la loi de 2006 sur la lutte contre la corruption et par laquelle le soumissionnaire s’engage à «ne pas avoir fait l’objet, ni lui-même, ni ses employés, ni ses représentants, ni ses sous-traitants, de poursuites pour corruption ou tentative de corruption d’agents publics». Une déclaration qui l’engage aussi ne pas s’adonner à des actes de corruption, auquel cas cela conduirait à l’annulation du marché, à l’inscription sur liste noire, en plus de l’exposer à des poursuites judiciaires. Une fausse déclaration de probité exposerait également son auteur, selon les textes en vigueur, à des poursuites. Or, le cas CSCEC reflète le fait que ce genre de mesure n’est, au final, prise que pour meubler les discours se voulant fermes quant à la lutte contre la corruption…

    Melissa Roumadi

    http://www.elwatan.com/actualite/ces-corrupteurs-qui-decrochent-des-contrats-en-algerie-24-04-2013-211442_109.php
  6. Latribune donne-elle des infos credibles ou exprime-elle uniquement du depit ???

    2 LPD italiens, 3 corvettes lourdes chinoises, 2 corvettes allemandes Meko A200, 3 remorqueurs britanniques, deux sous-marins 636 russes. Elle pourrait acheter, outre les quatre Fremm italiennes en négociations, deux autres Meko A200.

    http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20130418trib000760217/algerie-la-france-hors-jeu-des-grands-contrats-d-armements.html

  7. Le Rafale shooté par Alger ?

    les Algériens, qui souhaitent remplacer 34 Mig-29 dont ils ne sont pas satisfaits, seraient en négociations pour acheter du Gripen NG. Une rumeur tenace qui court depuis une dizaine de mois. Ce qui voudrait dire que le Rafale serait hors jeu. Le constructeur du Gripen, Saab est déjà référencé en Algérie. L'avionneur suédois a récemment vendu des missiles anti-navires suédois RBS 15 mark III (Saab Bofors Dynamics) destinés à équiper les deux frégates allemandes Meko vendues à Alger.

    On ne sait pas le degre de fiabilité des info en matiere de defense diffusées par ce journal ??

    http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20130418trib000760217/algerie-la-france-hors-jeu-des-grands-contrats-d-armements.html

  8. « On ne peut pas se proclamer porteur de l'ambition et de l'idéal du Maghreb arabe et en même temps, s'acharner à tout faire pour perpétuer un statu quo avec pour unique dessein fantasmatique,  la consolidation virtuelle de  la marge de son action diplomatique sur la question du Sahara occidental », explique un responsable algérien qui a requis l’anonymat.

    Pour ce responsable, dans le dossier du Sahara occidental, « la légalité internationale finira par rattraper et par s'imposer à tous les protagonistes, y compris ceux qui ont une responsabilité particulière au sein du Conseil de sécurité », en allusion claire à la France qui bloque toutes les résolutions défavorables au Maroc. « La position de la France, partagée aussi bien par la droite que par la gauche, se fonde sur la certitude que le trône marocain ne survivra pas à la "perte" du Sahara occidental. C'est ce qui explique que la gauche est écartelée entre les considérations légales et morales de la doctrine onusienne en matière de décolonisation et les considérations de realpolitik vis-à-vis de la survie d'un allié », ajoute-t-il.

    http://www.tsa-algerie.com/diplomatie/au-maroc-francois-hollande-a-bien-froisse-les-algeriens_24259.html
  9.                                                             Image IPB

    Selon le “Financial Times” l’Algérie est un géant qui a peur de son ombre

    L’Algérie est une puissance et un pays géant qui a “peur de son ombre” résume le “Financial Times” (FT) dans son édition de ce jeudi dans une longue analyse au plan politique et économique.

    Le quotidien économique et financier britannique compare “les dirigeants du pays, sous la présidence de Abdelaziz Bouteflika pour les 14 dernières années” à “un chauffeur saisissant les commandes au volant, les yeux fixés sur le rétroviseur, incapable de se concentrer sur les problèmes à venir. Ces problèmes sont notamment la montée des islamistes radicaux dans les pays voisins et une dépendance excessive des  hydrocarbures”.

    “L’Algérie est un des pays les plus riches et les plus puissants en Afrique. Mais il est réticent à utiliser ses importantes réserves pour en tirer des avantages économiques” poursuit encore FT dans son analyse.

    “Les médias sont l’un des paradoxe” de l’Algérie qui “semble avoir toutes les apparences de la démocratie” écrit encore le même journal.

    “La complexité en Algérie est l’identité des véritables décideurs”, selon FT qui s’appuie sur des constats établis par des politologues et militants algériens.

    Financial Times consacre dans son dossier sur l’Algérie un long article à celui qui est qualifié de “superviseur” de tous les dossiers en Algérie, en l’occurrence le chef du Département du Renseignement et de la Sécurité(DRS), le général Mohamed Médiène dit “Toufik”. Il est “l’homme sans visage” écrit le journal.

    “Son rôle dans la supervision des affaires de l’Algérie fait l’objet de débats dans le pays, qui  se prépare pour les élections de l’année prochaine, qui pourrait voir le président de longue date Abdelaziz Bouteflika, 76 ans et apparemment fragile, passer le pouvoir à une nouvelle génération”, écrit encore FT.

    Pour conclure son analyse sur l’Algérie, le journal britannique reprend les propos d’un responsable d’un quotidien algérien qui affirme que “l‘Algérie devient de plus en plus comme le Pakistan – un allié militaire de l’Occident dans la lutte contre le terrorisme, mais pas grand chose d’autre”

    http://www.algerie1.com/actualite/algerie-un-geant-qui-a-peur-de-son-ombre/

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