Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

habiban

Members
  • Compteur de contenus

    752
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages posté(e)s par habiban

  1. Les détails ne peuvent être connus qu'en connaissant ce qui a pu se dire lors de cette visite, ce que nous ne saurons pas. Maintenant si le Qatar investit 5 milliards en Algérie est-ce en signe d'allégeance (en quoi le Qatar a-t-il besoin de l'autorisation de l'Algérie pour faire quelque chose ?) ou pour acheter la passivité de l'Algérie sur un sujet ou pour obtenir une autre forme de prestation de la part du gouvernement algérien ?

    Je ne connais pas tous les tenants et aboutissants mais le Qatar pourrait aussi s'associer à l'Algérie sur certains sujets et chercher à l'affaiblir sur d'autres. Une sorte de billard à trois bandes.

    Bref si tu as plus d'informations ça serait pas mal de les communiquer on pourrait y voir plus clair.

    En bref ,sachant la lacheté du CAPITAL ,on investi pas cinq milliards dans un pays chez lequel on projette des troubles ?

  2. Que veux-tu dire ? Que le journal n'est pas acheté par le Qatar ?

    La presse belge est globalement financée par les pouvoirs publics. il s'agit d'une presse dite d'information et non d'opinion. Les entités essayant de monter leur propre journal (partis politiques parfois) n'y parviennent généralement pas ou en tout cas pas à sortir un grand tirage, trop cher. Après le Qatar pourrait mais euh... s'attaquer à coups de dollars à la presse belge francophone, ya plus rentable comme investissement je crois.

    Juste me parait relever de la propagande que de l'analyse le fait que le journal essaie de dire que le Qatar veut prendre à revers l'algerie ? alors qu'on sait qu'il y a quelques semaines le Cheikh est venu lui même en visite en Algerie surement pour preter "allegeance" en laissant un "pourboire" de plus de cinq milliards de Dollars dans differents projets en partenariat ? là me semble c'est pas la posture de quelqu'un qui prend l'offensif ?

  3. L'autre visage du Qatar

    Dès l'énoncée du premier verdict en novembre 2012, les organisations de défense des droits de l'homme fustigent l'hypocrisie du Qatar en matière de droits de l'homme. "Tout indique qu'Ibn al-Dhib est un prisonnier de conscience, incarcéré pour avoir simplement exercé sa liberté d'expression", souligne au Point.fr James Lynch, chercheur sur le Golfe à Amnesty International. "Il est contradictoire que le Qatar, qui veut jouer un rôle plus large sur la scène internationale, soutienne d'un côté les mouvements du Printemps arabe, et de l'autre traite de la sorte les citoyens de son propre pays."

     

     

         

    http-~~-//www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=dupGD5L5rIo

    http://www.lepoint.fr/monde/l-autre-visage-du-qatar-28-02-2013-1634242_24.php

  4. L'Algérie reste notre meilleur allié

                      Image IPB

    Au-delà de la guerre des mémoires, l'Algérie s'est courageusement engagée au côté de la France pour soutenir son engagement au Mali. Il est temps que, dans leur propre intérêt, les deux pays deviennent réellement partenaires.

    Quelques semaines après le voyage du président de la République en Algérie, il serait injuste aujourd'hui d'en nier les répercussions positives. Pourtant, les relations entre la France et l'Algérie semblaient encore et toujours perturbées par le rappel des moments tragiques de leur histoire commune. D'autant que, des deux côtés de la partie occidentale de cette Mare Nostrum, d'aucuns s'emploient à rouvrir les plaies dès que l'occasion se présente.

    L'année 2012, ô combien symbolique, n'avait pas échappé à la règle : 19 mars, 50e anniversaire des accords d'Evian ; 2 juillet, 50e anniversaire de l'indépendance algérienne ; 5 juillet, 50e anniversaire des massacres à Oran ; polémique sur le transfert des cendres du général Bigeard au mémorial d'Indochine ; reconnaissance du 19 mars comme journée nationale du souvenir des victimes de la guerre d'Algérie au même titre que le 5 décembre. Et, bien évidemment, le déplacement du président s'était inscrit dans cette polémique. Nombreux sont ceux qui ont scruté ses faits et gestes, décortiqué ses allocutions.

    Mais ni les politiques ni les parlements, qu'ils soient algériens ou français, n'ont vocation à écrire l'histoire en lieu et place des historiens. De plus, pour aborder cette histoire douloureuse avec recul et objectivité, il faut accepter des deux côtés de la Méditerranée de déchirer un certain nombre d'images d'Epinal.

    Geste symbolique très fort

    C'est exactement ce qu'a clairement exprimé le président de la République, en s'adressant aux parlementaires algériens : «Rien ne se construit de solide sur la dissimulation, l'amnésie ou le déni», et en ajoutant que «la vérité n'abîme pas, elle rassemble» et que «l'histoire, même quand elle est tragique, doit être dite». Et de poursuivre : «Etablir la vérité, c'est une obligation qui lie les Français et les Algériens», afin que «cette vérité soit connue de tous», car elle «était due à toutes les jeunesses». On ne pouvait être plus clair : ni excuses ni repentances. Ce qui a conduit certains commentateurs à parler de voyage «décevant» et de «rendez-vous manqué».

    On aurait pu effectivement rêver que les présidents de France et d'Algérie, côte à côte, aient un geste symbolique propre à marquer la volonté des deux pays de s'inscrire dans une vision ambitieuse d'un avenir d'intérêts partagés, dans une relation apaisée où reconnaissance ne veut pas dire repentance. Peut-être dans les pas d'Albert Camus face à cette Méditerranée qui est notre bien commun, «pleine de tumultes autant qu'elle l'est de promesses», comme la décrivait récemment M. Arif, ministre délégué aux Anciens Combattants. Ce ne fut pas le cas, du moins lors de cette visite.

    Pourtant, l'Algérie, unilatéralement, quelques semaines plus tard, a fait ce geste symbolique très fort, en autorisant le survol de son espace aérien à nos avions d'armes et en fermant sa frontière saharienne pour appuyer notre intervention au Mali. Nul doute que les dirigeants algériens en avaient mesuré les conséquences possibles, en particulier le risque de rallumer les braises de la guerre civile qui couvent encore ou de subir une attaque terroriste de grande ampleur. Ce fut effectivement le cas et ils ont assumé avec beaucoup de courage politique et de pragmatisme la prise d'otages d'In Amenas, en ne cédant pas aux pressions de la communauté internationale. Ils ont apporté la seule réponse crédible face à une attaque suicidaire. Car, ne nous méprenons pas, le commando jihadiste qui a lancé cette attaque savait parfaitement qu'il n'avait aucune chance d'en revenir, compte tenu de la doctrine algérienne face à ce type d'action.

    Vision stratégique partagée

    De facto, l'Algérie s'est militairement engagée à nos côtés alors qu'elle avait de bonnes raisons de laisser la France assumer seule les conséquences de la guerre contre le régime du colonel Kadhafi qu'elle avait estimées désastreuses pour toute la bande sahélienne. Cet engagement militaire au Mali, les événements récents et toujours actuels du printemps arabe (Tunisie, Libye, Egypte), sans parler du conflit israélo-palestinien, démontrent chaque jour que nos intérêts prioritaires en termes de sécurité restent la Méditerranée et les marches proches de l'Afrique, zones d'instabilité et de grands dangers.

    Pour cet espace qui a besoin de sécurité et aussi de prospérité, l'Algérie et la France doivent travailler ensemble. Il est de leur intérêt de ne plus subordonner leurs relations à ce qui s'est passé il y a plus de cinquante ans. Au contraire, il est enfin temps d'établir des rapports qui s'inscrivent dans une vision stratégique partagée et dans un partenariat «gagnant-gagnant». Par leur histoire commune, leur géographie, la complémentarité de leurs économies, les deux pays ont une part déterminante à prendre dans ce futur proche, en bousculant l'ordre actuel, en faisant en sorte que la Méditerranée cesse d'être une frontière pour le moins hostile entre deux mondes.

    Alors que l'Europe de la défense brille par son absence, mais ce n'est pas une surprise, l'Algérie est devenue pour notre engagement au Mali notre meilleur allié. N'attendons plus, par peur que la guerre des mémoires ne reprenne de plus belle, pour avancer ensemble. L'histoire vient de nous en donner l'opportunité en nous désignant un ennemi commun.

    *Henri Poncet est général de Corps d'Armée. Il est né en Algérie.

    http://www.marianne.net/L-Algerie-reste-notre-meilleur-allie_a226697.html
  5. Un poète dissident condamné à quinze ans de prison au Qatar

    Le Monde.fr avec AFP | 25.02.2013 à 11h09

    Une cour d'appel du Qatar a réduit lundi à quinze ans la peine de prison de Mohammed Al-Ajami, alias Ibn Al-Dhib, un poète, condamné en première instance à perpétuité pour un poème critiquant le pouvoir et défendant les révolutions du "printemps arabe", a indiqué son avocat, Me Mohammed Néjib Al-Naïmi, ancien ministre de la justice au Qatar.

    L'avocat a affirmé qu'il allait "porter l'affaire devant la Cour de cassation". Il a affirmé que le jugement de la cour d'appel était "politisé, comme celui du tribunal de première instance". L'avocat a fait valoir dans sa plaidoirie qu'il n'y avait "aucune preuve que le poète ait prononcé en public le poème pour lequel il est jugé", indiquant qu'il l'avait simplement récité "dans son appartement au Caire".

    Le poète avait été arrêté le 16 novembre 2011 sous l'accusation d'"incitation au renversement" du régime et d'"insulte à l'émir" cheikh Hamad ben Khalifa Al-Thani, avait indiqué, à la fin d'octobre Amnesty en réclamant sa libération. Le 29 novembre, un tribunal de première instance l'avait condamné à la prison à perpétuité. En vertu des accusations retenues contre lui, le poète était passible d'une peine de cinq ans de prison au maximum, avait déclaré Me Naïmi soulignant que "la perpétuité ne s'applique qu'en cas de tentative de coup d'Etat".

    Amnesty International s'était élevée contre le verdict, qui a "toutes les caractéristiques d'une atteinte scandaleuse à la liberté d'expression", et appelé à la libération du poète, présenté comme "un prisonnier d'opinion".

    L'ONG avait indiqué que la justice du Qatar lui reprochait d'avoir écrit en 2010 un poème critiquant l'émir, mais que, selon des militants du Golfe, la véritable raison de son arrestation est son Poème du jardin, écrit en 2011 alors qu'avait commencé le "printemps arabe".

    Ce poème rend hommage à la révolution tunisienne et exprime l'espoir que le changement touche d'autres pays arabes, affirmant : "Nous sommes tous la Tunisie face à une élite répressive."

    Richissime Etat gazier du Golfe, le Qatar a été épargné par la vague de contestation qui a soufflé sur le monde arabe et se pose en champion des soulèvements antigouvernementaux, notamment par le biais de sa puissante chaîne satellitaire, Al-Jazira.

    Le Haut-Commissariat de l'ONU aux droits de l'homme s'était déclaré le 8 janvier "extrêmement préoccupé" par "le caractère inéquitable du procès", notant que plusieurs sessions se sont tenues à huis clos. Il avait également dénoncé les conditions de détention du poète, "qui a apparemment passé plusieurs mois en isolement et y reste confiné malgré un arrêt du tribunal de première instance ordonnant sa détention dans des conditions normales".

    En décembre, Laurent Fabius, faisant référence à cette condamnation, avait déclaré que la France n'admettait pas que l'on s'en prenne à des poètes. "S'en prendre à des poètes, ce n'est évidemment pas ce que souhaite ni admet la démocratie française", a déclaré Laurent Fabius, interrogé lors de l'émission Le Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI.

  6. Après six mois, la «réforme» de Sellal butte encore sur un bouchon de liège

    Le 3 mars prochain, le Premier ministre Abdelmalek Sellal bouclera ses premiers six mois dans la fonction. Un premier constat. Il est mieux conseillé que son prédécesseur. En stratégie d’image. Il a, depuis son investiture, vite recensé les sources de nuisance audible dans l’espace public. Et tente, avec sa sincérité avantageuse, de les désamorcer en jouant la carte du dialogue. Premier succès, le FCE ne souffle presque plus un mot de travers sur la gestion gouvernementale. Ahmed Ouyahia n’a pas pu se prévaloir — et il ne l’aura pas démérité — d’une telle bienveillance du patronat. Second résultat, les chancelleries influentes à Alger sont attentives à un effet de «détente» nommé Sellal.

    Le discours du Premier ministre, en décembre dernier au Sheraton Club des Pins, succédant à celui du président français François Hollande lors du forum d’affaires Algérie-France, lui a valu une wild-card de partenaire d’affaires ouvert. Sellal sait plaire. Surtout aux puissants. Mais pas seulement. Le Premier ministre a reçu et longuement écouté le comité de pilotage de l’initiative Nabni. Eux n’avancent pas par le rapport de force, mais uniquement sur la tectonique des idées. Sellal dit vouloir faire bouger les lignes dans le délai court de son «mandat» à avril 2014. Et cherche à se faire aider. Louable. C’est là qu’arrive le second constat. Il est déjà en retard.

    Lorsque le décompte à mi-année est fait, il faut bien se résoudre au constat que, même à ses vis-à-vis les plus «lourds», Sellal n’a rien donné. Le  goulag bureaucratique de Ahmed Ouyahia est toujours là. Aucune des mesures, tant décriées par le patronat, de la LFC 2009 n’a été détricotée. Le crédoc pour les nationaux et les 49/51% systématiques pour les étrangers sont, pour ne citer que les principales, toujours en vigueur. Mais le Premier ministre a acheté du temps. Un crédit de «bonne volonté».

    La nouvelle stratégie industrielle que prépare Cherif Rahmani promet de remplacer les «champions publics» de l’inconsistant Abdelhamid Temmar par des «champions privés». Tout le monde espère en être. Suffisant pour le Premier ministre pour obtenir une trêve sur son flanc droit. Le réveil, au second semestre 2013, pourra être brutal. Car bien sûr, la «réforme libérale Sellal»  est bien partie pour se révéler une «souriante illusion».  L’administration joue la continuité systémique avec «les circulaires Ouyahia». Et face à cela, la stratégie d’image du Premier ministre n’a plus d’effet. Sans mouvement politique de soutien, sans réseaux d’influence, sans credo porté pour la débureaucratisation et la modernisation de l’économie algérienne, l’impasse guette.

    Les six premiers mois de Abdelmalek Sellal  ressemblent finalement à un zeste de communication dans une unité de bétonnage indéboulonnable. Illustration de la symétrie, pour une facilitation de la procédure d’ouverture de compte bancaire pour les citoyens, une campagne tapageuse sur la traque au blanchiment d’argent dans le circuit bancaire algérien. Un enjeu de pacotille. Sept cas recensés en 5 ans par la brigade qui en a la charge.

    Par contre, une convaincante invitation pour l’argent de l’informel à rester en dehors du circuit bancaire. Le recensement des sources de nuisance audible a joué dans les deux sens. Si les «bien portants» ont été caressés dans le sens du poil, les faibles ont continué de trinquer sur la scène économique et sociale. La continuité est même assortie de hauts faits d’armes éloquents. La politique sociale de l’Etat interdit la revendication chez ceux qui n’en bénéficient pas. La police a tiré à balle en caoutchouc sur les chômeurs rassemblés à Laghouat. De même, l’Etat policier algérien de Sellal, semblable en cela à celui de Ouyahia, défend «la citadelle assiégée».

    La Tunisie en crise politique va accueillir la planète entière ce printemps à l’occasion du forum social mondial dont elle a arraché l’organisation à des destinations prestigieuses dans le monde. Alger, plus vigilante qu’In Amenas, refuse pendant ce temps le principe d’une réunion de préparation dans une obscure Maison des syndicats à Dar El Beïda. Et expulse manu-militari les acteurs sociaux maghrébins invités à la rencontre. Entre Alger et Tunis, le plus précaire n’est pas celui que l’on croit. La «réforme libérale»  de Sellal serait elle donc Teatcharienne dans le traitement du syndicalisme et Boutefliko-Ouyahienne pour le reste ?

    Une affaire résume, dans l’économie locale, toute la force d’inertie du système sur laquelle le sympathique M. Sellal a si peu de prise. Une douzaine d’entreprises privées de transformation du liège viennent, dans les wilayas de l’Est, de mettre au chômage plusieurs centaines de leurs travailleurs. La faute à Ouyahia. Rien d’étonnant jusque-là. L’ancien Premier ministre a signé, en mai dernier, une décision du CPE bannissant le secteur privé de l’approvisionnement en lots de liège issu forcément du domaine forestier public.

    Priorité aux entreprises publiques. Petit détail embarrassant : la filière publique de transformation du liège est en panne. Machines obsolètes, encadrement technique perdu, endettement prohibitif. Les 3000 tonnes de la récolte 2012 ont quand même été réservées aux seules entreprises publiques à refonder. Ils iront s’ajouter à d’autres stocks non transformés. La filière privée de la transformation exportait, en moyenne pour 20 millions d’euros, des produits du liège vers l’Europe avant l’oukaze du printemps dernier. Que le Premier ministre ne peut pas changer. Car il faut ici plus que des propos avenants. Une plainte pour crime économique est dans le pipe. Et aussi la tentation de faire comme Amara Bouglez.

    Le commandant haut en couleur de la base de l’Est de l’ALN, en conflit avec le CCE en 1957, s’était vu couper les vivres par la direction de la Révolution installée en Tunisie. Il a amassé des fonds pour ses troupes en organisant temporairement une filière de récolte du liège le long de la frontière boisée entre les deux pays et en trouvant en Tunisie des entreprises pour lui racheter ses fagots apportés à dos de mulet. C’est de Amara Bouglez que l’Algérie a encore besoin en 2013.

    El Kadi Ihsane

    http://www.elwatan.com/chroniques/analyseeco/apres-six-mois-la-reforme-de-sellal-butte-encore-sur-un-bouchon-de-liege-25-02-2013-204588_174.php

  7. Affaire Sonatrach 2 : L’enquête atteint le canadien SNC Lavalin

    Image IPB

    L’enquête sur la corruption à Sonatrach dans l’affaire impliquant Saipem Algérie et le groupe italien ENI s’étend au Canada et éclabousse le no 1local de l’ingénierie SNC Lavalin.

    Selon une enquête conjointe du quotidien canadien The Globe and Mail et de l’italien Il Sole 24 et publiée aujourd’hui, jeudi, les enquêteurs sont sur les traces de Farid Bedjaoui, le neveu de l’ancien ministre des Affaires étrangères algérien Mohamed Bedjaoui qui agissait comme agent pour la Compagnie montréalaise en Algérie.

    Selon l’enquête, il aurait aidé SNC Lavalin à «sécuriser» différents contrats d’une valeur totale de plus de 1milliard de dollars en échange de pots-de-vin non encore évalués.

    http://www.elwatan.com/actualite/affaire-sonatrach-2-l-enquete-atteint-le-canadien-snc-lavalin-21-02-2013-204214_109.php
  8. Les magistrats appellent à l’indépendance de la justice

    Le Syndicat national des magistrats (SNM) a demandé, hier, de saisir l’opportunité de la prochaine révision constitutionnelle pour consacrer l’indépendance de la justice. C’est la deuxième fois en quelques semaines que le SNM sort de son habituelle réserve afin de formuler cette revendication qui, même si elle fait partie des principes retenus lors de la création de ce syndicat, n’a jamais été mise en avant avec une telle insistance. Ce faisant, le SNM se fait plus précis, désormais. Ainsi, il propose d’éloigner le pouvoir exécutif, incarné pour le secteur par le ministre de la Justice, du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) et la désignation du premier président de la Cour suprême comme vice-président de ce conseil.

    http://www.liberte-algerie.com/actualite/les-magistrats-appellent-a-l-independance-de-la-justice-ils-exigent-sa-consecration-dans-la-prochaine-constitution-194563
  9. Affaire Sonatrach 2 : Hocine Malti écrit au chef du DRS

    Dans une lettre publiée par le site Mediapart, l’ancien responsable du groupe pétrolier algérien Sonatrach, Hocine Malti interpelle le chef du Département du Renseignement et de la Sécurité (DRS), le Général de corps d’armée Mohamed Médiène sur l’affaire de corruption dite Sonatrach 2 éclatée en Italie.

                                        Image IPB

    Voici ci-dessous la lettre publiée par Mediapart :

    lettre ouverte au général de corps d’armée Mohamed “Tewfik” Médiène, Rab Dzayer

    17 février 2013 Par Hocine Malti

    Cette fois-ci, ce n’est pas à vos collaborateurs enquêteurs que je m’adresse, mais à vous, patron depuis septembre 1990 du tout puissant DRS (Département du renseignement et de la sécurité), Rab Dzayer, le « Dieu de l’Algérie ». N’est-ce pas ainsi que vous vous êtes présenté un jour de 1999, dans les circonstances que vous savez ? Selon l’adage populaire, « mieux vaut s’adresser au Bon Dieu qu’à ses saints » ; ce que je fais aujourd’hui.

    Vu que vous êtes en mesure de décider et d’imposer ce que bon vous semble à toute l’Algérie, à tous ses hommes et ses femmes et notamment à toutes ses autorités civiles, militaires, politiques et juridiques, je suis convaincu que vous accorderez des réponses et une suite positives aux questions et requêtes que je m’en vais vous présenter.

    http://www.algerie1.com/actualite/affaire-sonatrach-2-hocine-malti-ecrit-au-chef-du-drs/
  10. Dans tous les cas il faut rappeler que dans le Droit des Conflits Armés, en l’occurrence dans l'article 77 du Protocole Additionnel de la Convention de Genève, sont considérés comme combattants (et donc cibles légitimes) les jeunes âges de plus de 15 ans. Maintenant je suppose qu'on aura nullement accès à cette information à Gao, voir même que c'est impossible de le savoir.

    Ce serait trop facile de fouiner quelque part afin de trouver une justification pour liquider  des enfants!! certe il faut se defendre , mais avant il faut serieusement pointer du doigt ceux qui sont deriere ces falanges de l'endoctrinement des enfants ,car ce sont des etats qui ont des embassades et un drapeau avec siege à l'ONU et avec lesquels on organise des manoeuvre et auxquels on cherche à vendre des armes ,il ne suffit pas d'etre une democratie à sens unique !!!

  11. Ben Zygier, "prisonnier X" qui embarrasse Israël

    Image IPB

    Qui était le mystérieux "prisonnier X" détenu au secret dans la prison de haute sécurité d'Ayalon, à Ramlé, dans le sud de Tel-Aviv, entre février et décembre 2010 ? Quel secret pouvait-il bien garder pour que la justice israélienne et le Shin Bet, les services de sécurité intérieure, imposent la plus stricte censure aux médias et organisations des droits de l'homme qui ont tenté d'enquêter sur l'affaire ?

    http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2013/02/15/qui-etait-ben-zygier-le-prisonnier-x-qui-embarrasse-israel_1833197_3218.html

×
×
  • Créer...