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habiban

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Messages posté(e)s par habiban

  1. Par contre une diplomatie provocatrice a aussi été une marque de fabrique de la stratégie/diplomatie US durant la guerre froide et un certain nombre d'incidents ( ex le bombardement de l'ambassade chinoise à Belgrade ) ont souvent été créés par les USA, incidents représentant des messages musclés

    C'est encore une episode du non respect des normes et conventions par les US ; pas plus ?

  2.                                     Image IPB

    Rumeurs et malaise autour des affaires de corruption

    Dans l’affaire Sonatrach 2, les nombreuses perquisitions qui ont été effectuées concernent le domicile de Chakib Khelil et les représentations de Saipem Algérie. La justice s’intéresse, par ailleurs, au rôle joué par l’ancien ministre de l’Energie dans le dossier SNC-Lavalin. Chakib Khelil, qui n’a pas été inculpé, aurait quitté le pays. Les autorités restent étrangement silencieuses sur ces graves affaires de corruption, ce qui entretient un sentiment de malaise au sein de l’opinion publique et laisse se développer toutes sortes de rumeurs.

    L’étau se resserre-t-il vraiment sur Chakib Khelil et les responsables impliqués dans les scandales à enchâssement qui touchent le secteur qu’il a eu à gérer ? Les informations qui circulent ces derniers jours donnent à croire que les choses sérieuses ont commencé, puisque l’on sait au moins que l’ancien ministre de l’Energie est officiellement convoqué, et pour la première fois, par la justice pour être entendu dans l’affaire SNC-Lavalin.

    Ses domiciles à Alger et à Oran ont par ailleurs fait l’objet de perquisition dans le cadre de l’affaire Saipem. Celui qui paraissait jusqu’à présent, et malgré les gros soupçons qui ont pesé sur lui durant des années, jouir de l’immunité que lui confèrent ses liens étroits avec les plus hautes sphères du pays, serait donc lâché. Mais les derniers développements et la volonté de la justice d’agir, tel qu’affirmé par les deux communiqués successifs du parquet général d’Alger, ne recueillent que scepticisme de la part d’une opinion publique peu dupe des implications politiques lourdes des scandales et qui réclame plus de transparence quant à l’évolution des enquêtes.

    Car sur une affaire aussi grave, dont les ramifications se sont étendues aux pays étrangers, l’opinion est en droit d’attendre plus que des communiqués génériques du parquet. Ou des «messages» présidentiels réitérant le principe de lutte contre la corruption et les corrompus «quels que soient leurs postes». Les «fuites» organisées ou pas disputent en effet le sujet à la rumeur et le malaise s’installe dans le pays. Tant et si bien que l’on évoque aujourd’hui une «exfiltration» organisée de Chakib Khelil pour éviter l’issue risquée, pour ses soutiens et ses «complicités» au sein du pouvoir, d’une comparution devant le juge et de son chapelet prévisible de révélations.

    Ebruitées avec les détails que l’on sait en Italie et au Canada, les affaires SNC-Lavalin et ENI-Saipem continuent dans notre pays à être entourées de mystère et être traitées comme de banales affaires de détournement dont les éléments seraient protégés par le sacro-saint principe du «secret de l’instruction». Et l’on s’entête au plan politique comme au plan juridique à observer un flegme pour le moins suspect et à minorer une opinion nationale qui a le droit de savoir.

    Mourad Slimani

    http://www.elwatan.com/actualite/rumeurs-et-malaise-autour-des-affaires-de-corruption-28-03-2013-208271_109.php
  3. Le porte-avions Charles-de-Gaulle est à vendre... sur Le bon coin!

     

                                                      Image IPB

    Alors que son hypothétique vente a été évoquée ici et là, notamment sur le blog "Défense Ouverte" de Jean Guisnel  le porte avions Charles-de-Gaulle a été mis en vente sur le site Le bon coin par un "plaisantin".

    "A vendre porte-avions flambant neuf. 250.000.000 euros. Ville: Toulon" Voilà la (fausse) petite-annonce publiée, le 14 mars sur le site Le bon coin par un certain... François. "En raison de la banqueroute nationale, je dois me séparer à contre coeur d'un magnifique porte-avions. Etat irréprochable, voire neuf, vraiment très peu servi.", peut-on lire dans la description du bien.

    Le vendeur a même pris le soin de laisser le numéro de téléphone du standard de l'Elysée pour les éventuels intéressés... L'annonce a été supprimée du site.

    http://securitedefense.nicematin.com/
  4. Au fait les militaires sont toujours mal vus par la population algérienne ? Je pense à ça en voyant les caricatures de Dilem ?

    Là tu passes à coté en generalisant que les militaires sont mal vus parceque Dilem en fait resortir certains travers ! Naguere pour moins qu'une caricature ,c'est les poursuites judiciaires .Aujourd'hui , les choses ont changées et la liberté d'expression tend à devenir de la routine même en croquant des generaux .

  5. Certes, mais dans les 4'30", le décollage en lui même ne représente qu'une vingtaine de secondes.

    4'30", c'est normal pour un départ d'entraînement lambda.

    En passant du coté de Bousfer on voyait souvent deux mig 29 en bout de piste ,certainement c'etait pour eroder les 4 mn et etre au top ,non ?

  6. Le Qatar avance ses pions au Royaume-Uni

                                      Image IPB

    Selon des informations publiées jeudi 15 mars par le Financial Times, le Qatar a entamé des discussions avec le gouvernement britannique en vue d'investir jusqu'à 10 milliards de livres (environ 11,5 milliards d'euros) dans des projets d'infrastructures dans le pays. La liste des chantiers potentiels inclut des centrales énergétiques (gaz et éolien), des axes routiers et des chemins de fer. Londres est en recherche active de financements internationaux afin de compenser une marge de manoeuvre budgétaire faible, du fait de la récession qui continue de miner l'économie du pays et de son corollaire, l'austérité.

    Parmi les projets dans lesquels le riche émirat pourrait investir figure notamment la centrale nucléaire que le français EDF doit construire à Hinkley Point (ouest de l'Angleterre), selon le quotidien financier britannique qui cite des sources proches des négociations. EDF cherche de nouveaux partenaires pour ses projets nucléaires au Royaume-Uni alors que son partenaire initial, le groupe britannique Centrica, a jeté l'éponge.

    Gros investisseur en Grande-Bretagne, le Qatar a financé 95 % de la construction du gratte-ciel londonien Shard, le plus haut d'Europe. Il détient par ailleurs notamment une participation dans la banque Barclays et possède le magasin de luxe Harrods. Il a également commencé à s'intéresser aux infrastructures britanniques en prenant 20 % de BAA, société propriétaire de l'aéroport d'Heathrow. Mais, explique le FT, "la mise sur pied d'un fonds dédié à des projets initiés par le gouvernement porterait les investissements du Qatar à un tout autre niveau".

    Pour l'heure, les discussions sur la structure du fonds et sur le retour sur investissement octroyé aux Qataris sont encore ouvertes, ajoute le journal.

    Le Qatar est également très présent en France où ses investissements suscitent la polémique. Il y possède notamment des parts dans de grandes entreprises comme Total (3 %), Vinci (7 %), Lagardère (12 %), Veolia Environnement (5 %) ou LVMH (1 %) et Vivendi (3 %), ainsi que des hôtels de luxe et le club de football Paris-Saint-Germain.

    Apres la France ,c'est l'angleterre qui subit le Qatar .!On ne s'etonnera plus si le prochain poete qui osera denigré l'Emir ne soit passé par la gleve et sous le silence complet ,etant que les pays qui d'ordinaire hebergent les opposants aux systemes absolus se soient devenus silencieux par la force d'un flux important  de Dollars .!?

  7. Pétition citoyenne pour le jugement des corrompus

                    Image IPB

    C’est une initiative citoyenne inédite que celle d’un groupe de syndicalistes, travailleurs, journalistes, avocats, militants associatifs, défenseurs des droits de l’hommes et chômeurs, qui a décidé de lancer une pétition nationale pour appeler au jugement des corrompus.

    Dans une longue lettre rendue publique, les pétitionnaires exhortent les autorités a crever l’abcès et déférer les responsables anciens et actuels cités dans les affaires de corruption devant les tribunaux. Et dans leur liste noire, les auteurs de cette initiative citoyenne citent notamment «l’affaire Rahmani ébruité dans EL Watan du 26/02/06 celle de Amar Ghoul le 09/05/07, et Said Barkat incriminé dans Maghreb émergent du 07 Novembre 2012». Et last but not least, Chakib Khellil mis en cause dans Liberté du 02-03-2013 et Amar Saidani dans le Courrier d’Algérie 07-07-2008 ».

    Les pétitionnaires citent également l’affaire Khalifa dans laquelle apparaissent les noms de Djamel Ould Abbes, Mourad Medelci et Sidi Said.

    Pour toute ces affaires qui impliquent des ministres dans certains encore en poste, le collectif  mentionné, réclame que la lumière soit faite et que justice soit rendue.

    «Il est de notre devoir de citoyens de réagir pour un sursaut national afin de sauver la nation même si la règlementation Algérienne, pour défendre les prédateurs, ne permet pas au simple citoyen de se porter partie civile. Nous devons par l’intermédiaire de cette pétition exiger que justice soit rendue et qu’elle punisse les responsables, commanditaires et profiteurs quel que soit leur statut ou rang», lit on dans le texte de la pétition.

    Des avocats, des journalistes, des chômeurs…

    Les auteurs s’appuient sur l’article 8 de la Constitution qui stipule entre autres que «Le peuple se donne des institutions ayant pour finalité la protection de l’économie nationale contre toute forme de malversation ou de détournement, d’accaparement ou de confiscation illégitime ». Mais aussi sur l’article 21 qui stipule que «Les fonctions au service des institutions de l’Etat ne peuvent constituer une source d’enrichissement, ni un moyen de servir des intérêts privés ».

    Aussi, les pétitionnaires font valoir les dispositions de l’article 66 de la constitution disposant que : «Tout citoyen a le devoir de protéger la propriété publique et les intérêts de la collectivité nationale, et de respecter la propriété d’autrui». Et l’article 141 en vertu duquel «La justice est rendue au nom du peuple».

    Les initiateurs précisent par ailleurs que cette pétition, «pour peu qu’elle atteigne un chiffre significatif», sera déposée auprès des instances civiles concernées.

    Ils promettent aussi qu’il y aura d’autres initiatives de ce type et qu’ils ne se feront pas bernés des «promesses et déclarations solennelles qui resteront sans lendemain».

    Voici par ailleurs le lien vers la pétition.

    http://www.petitionpublique.fr/?pi=P2013N37256

    http://www.algerie1.com/actualite/petition-citoyenne-pour-le-jugement-des-corrompus/
  8. Ould Khélifa appelle à des relations algéro-françaises frappées du sceau de la “fertilité et de l’ambition”

      Image IPB

    Le chef de l’Assemblée nationale française Claude Bartolone se trouve à Alger, depuis samedi pour une visite officielle, la première du genre en Algérie. Lors de la réunion de la Grande commission parlementaire algéro-française, le Dr Larbi Ould Khélifa a prononcé une allocution dans laquelle il exprime la volonté des autorités politiques algériennes, déjà affirmée lors de la visite du président Hollande en décembre dernier, de promouvoir un partenariat majeur entre les deux pays.

    Mais un partenariat fondé sur un pragmatisme, qui ne doit pas pour autant occulter la dimension mémorielle, laquelle reste un des ressorts agissant de la relation bilatérale entre Alger et Paris. Faisant justement un bilan de cette relation, le président de l’APN considère que, nonobstant des pas déjà franchis sur la voie de la refondation,« les relations algéro-françaises sont appelées à se développer davantage dans tous les cadres offerts, soit aux niveaux gouvernemental, parlementaire, des assemblées élues et des organisations de la société civile ».

    Ces différents partenaires, ajoute Larbi Ould Khélifa, doivent apporter leur propre contribution et enrichir l’approche prospective de ces relations. Pour lui, le présent, comme l’avenir et pourquoi pas aussi le passé, car il reste un élément puissant, doivent interpeller les parlementaires algériens et français « pour ériger la Grande commission mixte en tribune où se cristallisent les aspirations des deux pays à davantage de rapprochement et de coopération”.

    Ould Khéklifa veut des relations qui “soient frappées du sceau de la fertilité et de l’ambition et basées sur les valeurs humaines et démocratiques”, des relations dont le développement et la consolidation incomberaient à tous “pour pouvoir relever les défis d’aujourd’hui et de demain”. L’histoire est présente dans l’allocution du président de l’APN qui souligne que “les Algériens ressentent encore cette douleur profonde subie par le passé, la France n’ayant pas encore assumé toute la responsabilité de son passé colonial et des séquelles morales qu’il a laissées”.

    Mais Ould Khélifa s’en est tenu à ce rappel, sans faire référence à ce qui est un cheval de bataille d’une partie de la classe politique algérienne, à savoir la demande de pardon pour les crimes coloniaux. Le président de l’APN a évoqué également la question terroriste. Pour lui ce fléau qui a pris aujourd’hui une dimension transnationale« doit être contré au moyen d’une lutte globale impliquant la communauté internationale tout entière, et ce, à travers une stratégie exhaustive dans le cadre des Nations unies”.

    Pour le numéro trois dans l’ordre protocolaire algérien,” une lutte efficace contre le terrorisme passe par le développement de la coopération et le tarissement des sources à l’origine de la progression de ce fléau”. La situation au Sahel est un des autres aspects soulevé par l’orateur qui a rappelé à ce propos les fondements de la doctrine algérienne, à, savoir “la nécessité impérieuse d’oeuvrer à faire de cette région un havre de paix et un espace de coopération ajoutant que “l’ONU doit assumer une grande part de responsabilité dans cette entreprise”. Larbi Ould Khélifa, réitérant la position de l’Algérie par rapport à l’équation malienne, soutient que la politique à la crise que vit ce pays “ne saurait être réglée qu’à travers l’organisation d’élections et un dialogue national inclusif entre tous les maliens soucieux de préserver l’unité et de l’intégrité territoriale de leur pays et bannissant toute forme de terrorisme et de crime organisé”.

    http://www.algerie1.com/actualite/ould-khelifa-appelle-a-des-relations-algero-francaises-frappees-du-sceau-de-la-fertilite-et-de-lambition/
  9. Le président israélien Shimon Peres rencontre des imams de France

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    Une vingtaine d’imams de France et de responsables de communautés musulmanes de la région parisienne ont rencontré ce dimanche à Paris, le président israélien Shimon Peres. Ce dernier a souligné “délivrer un message de paix entre les religions” au cours de cette rencontre qui a eu lieu dans un grand hôtel parisien.

    Cette rencontre, selon ses initiateurs, est placée dans le cadre de la commémoration des assassinats commis par Mohamed Merah en 2012 en France.

    Shimon Peres a déclaré à l’occasion de cette rencontre, qui est la seule du genre durant sa tournée en Europe qui l’a conduit à Bruxelles et Paris et doit s’achever devant le parlement européen, que “notre combat de tous les jours est dirigé contre l’intégrisme et la violence”.

    L’un des imams présents, en l’occurrence Hassen Chalghoumi de la mosquée de Drancy, en région parisienne, a évoqué la “période difficile à la veille du 11 mars et les terribles crimes” commis par Mohamed Merah qui a “assassiné des musulmans avant de tuer des juifs”. ”Notre combat de tous les jours est dirigé contre l’intégrisme et la violence” a-t-il assuré à Shimon Peres en soulignant “nous sommes les premières victimes de l’intégrisme”.

    Il a aussi rappelé que “pour les imams en France, la vie humaine est plus sacrée que La Mecque” tout en se défendant contre les accusations d’avoir “importé le terrorisme en France”.

    Chalghoumi a souligné que “nous, on n’a pas importé le conflit (entre musulmans et juifs en France) il faut au contraire exporter la paix, c’est l’un de nos objectifs les plus importants”.

    A l’issue de cette entrevue avec les imams, Peres a confié qu’il a été “très impressionné par le courage” de ces responsables musulmans de France qui sont venus en Israël et qui osent dénoncer les crimes autant contre leur propre communauté que contre la communauté juive.

    http://www.algerie1.com/actualite/le-president-israelien-peres-rencontre-les-imams-de-france/
  10. Moncef Marzouki accusé de travailler pour Al Jazeera pour un salaire de 50.000 euros

                                                            http://www.algerie1.com/actualite/moncef-marzouki-accuse-de-travailler-pour-al-jazeera-pour-un-salaire-de-50-000-euros/attachment/tunisia-qatar/

    Intervenant samedi sur les ondes de la radio tunisienne Express Fm, Salam Zahran, directeur de Media Focal Center (Liban), a déclenché une tempête médiatique et une grande polémique autour du Président de la république Moncef Marzouki. En effet, selon l”invité de la radio, Moncef Marzouki a travaillé et continue de travailler pour la chaîne de télévision Al-Jazeera et perçoit jusqu’à aujourd’hui un salaire mensuel de 50.000 euros.

    M. Zahran a ajouté que « le président Marzouki n’est pas neutre puisqu’il perçoit, à ce jour, ce salaire du Qatar. Un pays impliqué dans ce qu’on appelait auparavant “Printemps arabe” mais qui s’est avéré être aujourd’hui un “Printemps islamiste radical” ». Et de préciser que « Marzouki fait donc partie de l’organisation des Frères musulmans ».

    Défiant directement Marzouki, M. Zahran déclare : « Si vous niez que vous touchez à ce jour un salaire mensuel de 50.000 euros du Qatar, je dévoilerais les noms des journalistes qui m’ont révélé cette information ». Le directeur de Media Focal Center a indiqué que «Marzouki n’est pas neutre et reçoit des instructions et des consignes du Qatar».

    M. Zahran a également accusé le parti au pouvoir El Nahda de faciliter le recrutement et l’envoi de jeunes tunisiens combattre en Syrie. .

    Ripostant sur les ondes de Mosaique Fm, Imed Daimi, conseiller du président de la République, a formellement démenti ces déclarations précisant que Moncef Marzouki a toujours publié des articles sur le site de Al Jazeera mais sans contrepartie pécuniaire.

    Imed Daimi a également estimé que ces propos ne sont qu’une sorte de “vengeance pour les positions de la Tunisie par rapport à la révolution Syrienne et ce qui se passe en Syrie.”

    A noter cependant  que le directeur du Centre d’Al Jazeera des études stratégiques, Mounir Daimi, et le président de l’association « Qatar Al-Khayriyah », Abdelmonaam Daimi, ne sont autres que les frères d’Imed Daimi le conseiller du président de la République tunisienne.

    http://www.algerie1.com/actualite/moncef-marzouki-accuse-de-travailler-pour-al-jazeera-pour-un-salaire-de-50-000-euros/
  11. Le nouveau quartier d'affaires de Bab Ezzouar, en construction:

    http://www.heberger-image.fr/data/images/63647_P3070037.jpg

    Le projet Alger Medina, lui aussi en construction:

    http://img145.imageshack.us/img145/9835/algermedinado5.jpg

    Une des nouvelles villes en construction, Sidi Abdallah:

    http://b7.img.v4.skyrock.net/b70/osb69/pics/2289588155_1.jpg

    Il y a d'autres nouvelles villes à l'étude ou en construction comme Boughezoul, Bouinan ou encore Hassi Messaoud qui sont destinés à désengorger le nord et re-dynamiser les hauts-plateaux. Pour info les trvaux de ces villes auraient dû débuter il y a plusieurs années, mais bon les choses sont ce qu'elles sont.

    Ce sont aussi autant d'occasion pour les responsables vereux de dilapider les deniers publics ,car comme il n'y a pas de justice independante ,les choses ne peuvent pas changer !?

  12. Abderrahmane Hadj Nacer au forum de Liberté : «L’Algérie va droit dans le mur !»Image IPB

    Selon Abderrahmane Hadj Nacer, la nouvelle Constitution n’apportera aucun changement.Quelles sont les répercussions de la crise financière internationale sur l’Algérie ? Les économistes produisent depuis quelques mois divers points de vue à ce propos.  Invité hier par le forum du quotidien Liberté à se prêter à l’exercice, l’ancien gouverneur de la Banque d’Algérie, Abderrahmane Hadj Nacer, a développé, dans un brillant exposé, une vision atypique de la question. Exposé qui lui a valu de brasser large, du capitalisme financier aux problématiques du pouvoir en Algérie en passant par la guerre des monnaies, l’enjeu du Sahel, la corruption ou encore le secteur informel.

    D’emblée, l’économiste estime que la crise financière internationale résulte d’un déséquilibre des pouvoirs aux Etats-Unis permettant au capitalisme financier de l’emporter sur le complexe militaro-industriel et sur le pouvoir pétrolier. Ce qui a permis la naissance d’une oligarchie qui ne se soucie que de la logique d’accumulation. Cette oligarchie n’a pas besoin, selon lui, d’une classe moyenne, mais plutôt d’une classe de technocrates chargée de garantir l’encadrement des populations. Rôle dévolu jusque-là au wahhabisme saoudien, par exemple, dans le Monde arabe.

    Or la problématique pour le cas particulier de l’Algérie, dans un monde où cette oligarchie tente d’imprimer des transformations sociales et où les révoltes des Indignés ou du Printemps arabe essayent de rééquilibrer les pouvoirs, est une problématique de pouvoir politique. Pour M. Hadj Nacer, le pouvoir ou les décideurs en Algérie ne sont pas préoccupés par le fait d’acquérir une légitimité en interne, mais beaucoup plus par le fait de se faire adouber de l’extérieur. Si l’orateur prêchait en terrain conquis, il a précisé que la finalité, pour ces décideurs, est de rejoindre l’oligarchie internationale, laquelle accapare des richesses au détriment des masses

    Ainsi, la volonté de ces derniers de maintenir l’assujettissent de la population s’explique. Un assujettissement qui passa par un encadrement wahhabite mis en échec en octobre 1988. Puis, depuis, par un nouvel encadrement religieux que le pouvoir politique met en place mais renie.

    Cette situation explique aussi la domination de la sphère informelle en Algérie. Pour M. Hadj Nacer, un pouvoir en mal de légitimité et informel a besoin de mode de fonctionnement informel de la société. De même que la logique d’accumulation, dans laquelle se trouvent actuellement les décideurs, explique les subventions au profit de l’import-import ainsi que l’injection de masses monétaires importantes dans le circuit via l’augmentation des salaires, sans hausse de la productivité. Ce qui a pour conséquence une inflation galopante. Inflation que l’ancien gouverneur de la Banque d’Algérie a qualifiée de «vol organisé» au détriment des classes moyennes au bénéfice des plus nantis.

    L’enjeu du Sahel

    M. Hadj Nacer a également commenté les scandales de corruption ayant récemment fait la une de la presse. Il estime que si la corruption existe partout, les décideurs de nombreux pays s’assurent que l’achat effectué profite à toute la population. Ce qui n’est pas le cas en Algérie vu le peu de crédit que les décideurs accordent à leur légitimité en interne. Et d’ajouter que les enquêtes pour corruption déclenchées récemment en Italie résultent de la volonté des Italiens de rééquilibrer les pouvoirs et lutter contre une oligarchie personnifiée en Berlusconi.

    L’ex-gouverneur de la Banque centrale, invité à s’exprimer sur les tensions dans le sud du pays, met en cause l’ethnocentrisme du pouvoir algérien qui a mis fin au principe d’équilibre régional. Il a considéré dans ce sens que les populations du Sud, tout comme celles en Kabylie, lesquelles affichent leur attachement à la patrie, veulent être associées à la gestion de la cité. Et d’ajouter que les Touareg et les Arabes du Sud «se demandent pourquoi ceux du Nord se comportent comme des colons dans leur propre pays !» Une question qui revêt toute son importance lorsqu’on connaît les enjeux actuels dans le Sahel. A ce propos, M. Hadj Nacer a estimé que de toute son histoire, c’est la première fois, aujourd’hui, que cette région a l’occasion de se développer. Car le Sahel est la plus grande surface de terres arables, en plus des richesses du sous-sol dont elle dispose.

    Des enjeux qui n’auront pas échappé à des pays comme la France. Des enjeux d’ailleurs nécessaires à sa survie et dont elle ne prend conscience, selon l’économiste, qu’en retard.Bref, la situation dans laquelle se trouve l’Algérie actuellement n’est pas reluisante et si elle perdure, le pays va, selon l’orateur, «droit dans le mur». Cependant, celui-ci insiste sur le fait que le jeu n’est jamais fermé. Les solutions sont à trouver dans la laïcité et dans le retour aux sources en matière de démocratie participative. Pour M. Hadj Nacer, la nouvelle Constitution n’apportera pas de changement vu le formalisme avec lequel sont menées les consultations à ce propos. Il pense qu’un débat public autour du secteur des hydrocarbures serait plus pertinent.

    Melissa Roumadi

    http://www.elwatan.com/actualite/abderrahmane-hadj-nacer-au-forum-de-liberte-l-algerie-va-droit-dans-le-mur-07-03-2013-205804_109.php
  13. Je faisais référence à cet article :

    http://www.lepoint.fr/monde/poutine-impossible-de-voir-clair-dans-le-probleme-syrien-sans-une-bouteille-de-vodka-28-02-2013-1634336_24.php.

    Quand aux Yak 130, ils sont bien plus adaptés, une fois correctement équipés, à la situation syrienne que des Mig 23 ou 29.

    Voilà un pays qui s'equipait pour  contenir Israel alors qu'en realité ce sont ses propres "ex-alliés et freres" qui lui creusent le trou ? On chasse le naturel ,il revient au galoppe ?

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