papsou
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"Quelques heures après un échange informel avec la Première ministre, Élisabeth Borne, à la préfecture de Région, les proches de Cécile Kohler ont officiellement lancé, à Strasbourg, un comité de soutien destiné à médiatiser le sort de l’enseignante, originaire de Soultz."
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Une des Françaises emprisonnés en Iran originaire de Soultz dans le Haut-Rhin
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Il y a 8 heures, bubzy a dit :
Offensive vers Moscou.
Doucement bébé Napo, la dernière fois cela c'est mal passé! alors on va rester en Ukraine.
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il y a 7 minutes, Métal_Hurlant a dit :
"...La Russie creuse de nouvelles tranchées dans... le nord de la Crimée !..."
Cela s'appelle de l'optimisme...
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il y a 32 minutes, Paschi a dit :
L’article 54 vise à déclarer que la Suisse ne peut rejoindre aucune alliance militaire ou de défense à moins que la Suisse ne soit directement attaquée militairement.
Donc en résumé, si mon voisin est attaqué... Il se "dém...de"... Si je suis attaqué, je m'allie à mon voisin...
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Cela m'étonnerait que les Russes freinent quoi que se soit... avec un prix du pétrole x2 ou 3 ce serait tout bénéf pour eux...
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Il y a 2 heures, Tyler a dit :
Médecine russe ça, dents pas soigner, arracher, Khadyrov grand spécialiste !
D'ailleurs ils ont fait les calculs et depuis la semaine dernière il y aurait plus un seul ukrainien en Ukraine.
Ben, vu qu'il ment comme un arracheur de dents, cela me parait tout a fait logique!
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il y a 7 minutes, Fusilier a dit :
C'est une centrale hydroélectrique et il y a aussi des écluses, il me semble.
Il y a surtout tout une machinerie à base de turbine pour produire de l'électricité. Ayant visité celle sur le Rhin à Fessenheim, il doit être simple de détruire les générateurs qui se trouve au dessus des turbines, ils sont bien sur hors d'eau bien au sec et très facile d'accès.
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Bazeillais vivant en Alsace depuis 1985, ce sujet des malgré-nous est une cicatrice encore bien présente pour les familles Alsaciennes. Je me suis toujours interrogé pour savoir si c'était pas pour se dédouaner d'une certaine honte de cette époque.
Autant à mon arrivée en Alsace, j'estimais qu'il y avait une faute (et je pèse mes mots) des Alsaciens durant cette période, autant après des années sur ce territoire et après avoir abordé souvent ce sujet avec mes collègues Alsaciens souvent touché dans leurs familles, je suis devenu très modéré et compréhensif actuellement.
Voici ce que risquaient les Alsaciens réfractaires du régime nazi durant cette période:
"Le camp de sûreté de Vorbruck-Schirmeck, en allemand Sicherungslager Vorbruck-Schirmeck1, est un camp de redressement nazi situé dans la commune de Schirmeck, Bas-Rhin, en Alsace annexée, pendant la Seconde Guerre mondiale, qui fonctionna de 1940 à 1944.
Il était destiné aux Alsaciens et Mosellans réfractaires au régime nazi, hommes et femmes, ainsi qu'à leurs familles en représailles. Mais il reçut en fait des prisonniers d'un peu partout, au hasard des sorts individuels, de l'évolution des lois répressives nazies."
https://fr.wikipedia.org/wiki/Camp_de_sûreté_de_Vorbruck-Schirmeck
En plus tout le système éducatif est transformé pour en faire de jolie petit nazion
https://rhinedits.u-strasbg.fr/w/index.php/Jeunesses_hitlériennes_(0021FN0003)
Le défrancisation de l'Alsace.
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Il y a 6 heures, Ciders a dit :
Non et puis surtout... quand ?
Pour la courte portée, faut réinvestir dans du 20 ou du 23 mm, bricoler des technicals et ça fera très bien l'affaire. Et je suis plus qu'à moitié sérieux. ACMAT/Arquus ne peut pas nous faire ça à pas cher ?
http://dan1959.centerblog.net/100-le-bitube
On peut ressortir les bitubes de 20mm...
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il y a 23 minutes, Clairon a dit :
Je veux pas faire mon pisse-froid, mais y a pas très longtemps le trouffion français devait s'acheter son duvet, son matelas, ses sous-vêtements chauds, ses mitaines, voir ses grôles (avant l'adoption des Haix) si il voulait quelque chose d'un peu convenable ...
Clairon
Bon, on a pas du faire la même armée.
Etant à la source sur base aérienne, je peux témoigner que même si certains s'achetaient des articles perso, c'était de la convenance personnelle. les vêtements en dotation étaient de bonnes qualités.
Pour le reste, duvets, matelas (en dotation collective) et autres matosses de campagnes, les hangars était bien garnis et en très bon état. on pouvait même chauffer les tentes.
Peut être du à notre commissariat à l'époque indépendant?
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il y a 42 minutes, Wallaby a dit :
L'UE ne renforce pas l'Europe de l'Est. Avec le principe de "libre circulation" des personnes, l'UE favorise l'émigration des Européens de l'Est vers l'Europe de l'Ouest, laissant ces pays exsangues sur le plan démographique :
"I want my money back!"
c'est le syndrome Thatcher, les plus gros contributeurs n'ont pas envie forcément que l'argent de leurs contributions financent d'autres pays qu'eux.
De plus les richesses, les entreprises, les hauts salaires étant à l'ouest, les peuples de l'Est sont attirés par des revenus nettement plus intéressants.
Il y a bien eu des délocalisations d'entreprises d'Europe de l'ouest vers l'Est mais ce sont des délocalisations d'opportunités afin de bénéficier de ces salaires bas (même si cela à permit des hausses dans ces pays).
Fin du HS
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il y a 29 minutes, herciv a dit :
On les prend au mot et on envoi 100 rafales avec leur pilote ? Non parce que là pas de doute. Ca sera plus la même. Le signal qu'envoi un tel article est brouillé. Soit on balance la sauce et on y va franco, soit c'est un appel à prendre la suite ? Mais pourquoi changer la nature des flux actuels ? Désolé mais je ne comprend pas un tel article sauf pour dire aux Ukrainiens qu'ils doivent se débrouiller avec Paris.
Washington aurait fait le gros du travail, réduit ses flux et laisse les ukrainiens dans les mains de Paris au moins le temps de l'hivers ?
A la réflexion je pense que cette hypothèse est plausible.
Sauf qu'on a pas 100 rafale à envoyer...
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il y a 6 minutes, Kelkin a dit :
Les toponymes, toujours...
Dans le Donbass, les Ukrainiens continuent de progresser au nord :
Et les Russes au sud :
Sur la vidéo du haut... c'est dans une ancienne porcherie... chacun son petit box, manquait plus que les kaïbotis et une belle auge pour faire la cochonnaille.
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Un petit aperçu de ce que cela va être.
Pas de commentaire pour ma part tellement je suis dépité.
Entre cela et la cop 27 sponsorisé par coca-cola l'avenir de l'humanité semble radieuse.
https://www.lalsace.fr/actualite/2022/10/05/bienvenue-a-neom
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il y a 48 minutes, MIC_A a dit :
Impressionnant le remblai pour allonger la piste !
Faut pas se louper au freinage!!!
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Il y a 9 heures, Heorl a dit :
On a pas apporté la civilisation aux Allemands (quoique... C'est bien de chez nous que les Romains sont partis pour le faire). Mais on s'est bien ancré l'un à l'autre par des investissements et du soft power. Ça n'empêche pas les arrière-pensées, les petites saloperies entre amis, mais ça reste un beau succès. Personne en France ne considère plus les Allemands comme ces salauds de Boches/Teutons/casques à pointes/ nazis (biffer la ou les mentions inutiles), mais plus comme des cousins qui peuvent être chiants à mourir parfois. Expliquez ce genre de situation à un Français des années 20 et il vous regardera avec des gros yeux.
En tant que Bazeillais d'origine j'ai quand même quelques apriori... Bon si on est originaire de Vichy on a peut être une meilleur vision des choses .
Il y a 8 heures, g4lly a dit :Probablement parce que tu ne lis pas l'histoire dans le bon sens ... en pratique c'est nous les papous dans ton exemple ... mais chut ^_^
Je me sens un peu visé là (papsou/papous).
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il y a une heure, Clairon a dit :
Certes, mais là on est sensé rappeler des gars qui ont eu entre 12 et 24 mois de service militaire .... Des "réservistes" selon l'appelation russe. Si on me remet une FNC ou un fusil approchant aujourd'hui dans les mains, plus de 35 ans après en avoir porté une pendant 12 mois, je crois que j'arriverai à la manipuler quasiment normalement après quelques minutes (sauf des procédures à la IST-C)
Clairon
c'est sur, la mat 49 c'était pas très compliqué à manipuler , c'était juste embêtant lors des défilés, surtout si le pétaf avait oublier de retirer le levier d'armement...
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- C’est un message populaire.
- C’est un message populaire.
Il y a 2 heures, Boule75 a dit :A vot' service, bilingue : uk d'abord, fr ensuite.
WASHINGTON — President Vladimir V. Putin of Russia has thrust himself more directly into strategic planning for the war in Ukraine in recent weeks, American officials said, including rejecting requests from his commanders on the ground that they be allowed to retreat from the vital southern city of Kherson.
A withdrawal from Kherson would allow the Russian military to pull back across the Dnipro River in an orderly way, preserving its equipment and saving the lives of soldiers.
But such a retreat would be another humiliating public acknowledgment of Mr. Putin’s failure in the war, and would hand a second major victory to Ukraine in one month. Kherson was the first major city to fall to the Russians in the initial invasion, and remains the only regional capital under Moscow’s control. Retaking it would be a major accomplishment for President Volodymyr Zelensky of Ukraine.
Focused on victory at all costs, Mr. Putin has become a more public face of the war as the Russian military appears increasingly in turmoil, forcing him to announce a call-up this week that could sweep 300,000 Russian civilians into military service. This month, Moscow has demonstrated it has too few troops to continue its offensive, suffers from shortages of high-tech precision weaponry and has been unable to gain dominance of Ukraine’s skies.
But American officials briefed on highly sensitive intelligence said that behind the scenes Mr. Putin is taking on an even deeper role in the war, including telling commanders that strategic decisions in the field are his to make. Although Mr. Putin has accepted some recommendations from military commanders, including the mobilization of civilians, his involvement has created tensions, American officials said.
The officials said that Mr. Putin’s rejection of a military pullback from Kherson has also led to a decrease in morale among Russian troops who have been mostly cut off from their supply lines, and who appear to believe they could be left stranded against Ukrainian forces.
“The situation in Ukraine is clearly dynamic,” Gen. Mark A. Milley, the chairman of the Joint Chiefs of Staff, said in an interview on Friday. “It’s too early for a full assessment, but it is clear to me that the strategic initiative has shifted to the Ukrainians.” But he cautioned that there remains a “long road ahead.”
Mr. Putin’s disagreements over battle lines in Kherson illustrate how critical the war in Ukraine’s south is to both sides, American officials said. Despite Ukraine’s recent advances in the northeast, the area around Kherson is a critical theater in the war, with profound strategic implications for Kyiv and Moscow.
Some American officials said they saw trouble ahead for the Russian military in the southern theater. A senior U.S. official said this week that Ukraine was well on its way to repeating in the south the gains its forces had managed during a lightning offensive in the northeast earlier this month. If Ukraine pushes Russian forces back farther, Mr. Putin’s hard-fought-for land bridge to Crimea, the territory it captured from Ukraine and annexed in 2014, could eventually be threatened, American officials said.
The divisions over Kherson are only the latest disagreements between Mr. Putin and his top commanders. Senior Russian officers repeatedly questioned the early plans for the war, American officials said, particularly an initial stage that envisioned a quick strike on Kyiv, the Ukrainian capital. The Russian officers believed Mr. Putin was going to war with insufficient troops and weaponry, American officials said.
Referendum voting is carried out ‘under the muzzle of machine guns,’ Ukrainian officials warn.
Russia’s draft is drawing criticism from far-flung regions and even pro-war hawks.
The Russian officers’ concerns proved correct, and after the defeat of the Russian army outside Kyiv, Mr. Putin eased up his control of military planning. He allowed senior generals to create a new strategy focused on massive artillery barrages, American officials said. The new strategy was effectively a grinding war of attrition that played to the Russian military’s strength and succeeded in pushing the army forward in eastern Ukraine.
Since Mr. Putin ordered his commanders to continue fighting in Kherson, the Russian military has tried to halt the Ukrainian advance there. Last week the Russians blew up a dam on the Inhulets River to make the current counteroffensive more difficult.
But Ukrainian strikes have blown up the crossings over the Dnipro River, which has largely cut off Russian troops from their supply lines on the other side. Russians have had to use pontoon bridges to cross the river, only to see them hit by Ukrainian fire, Ukrainian officials said. “They’ve got units in there who, if the Ukrainians break through the lines, will be cut off and surrounded,” said Seth G. Jones, senior vice president at the Center for Strategic and International Studies. “I cannot overstate how dicey the situation is for them.”
Pulling back past the Dnipro River would likely allow Russian commanders to hold the line in the south with fewer troops. That would give them more latitude to redeploy forces from Kherson to other areas, either pushing back against the Kharkiv counteroffensive in the northeast, solidifying defensive lines in the eastern Donbas region or opening up a new front in the south.
But Mr. Putin has told commanders he will set the strategy.
“In this war there has been a consistent mismatch between Putin’s political objectives and the military means to attain them,” said Michael Kofman, director of Russia studies at CNA, a defense research institute in Arlington, Va. “At important decision points Putin has procrastinated, refusing to recognize the reality, until the options turned from bad to worse.”
Pulling Russian forces back past the Dnipro River would also be a stark rebuttal to Mr. Putin’s referendum there on joining the Russian Federation. Holding such sham votes is a key objective of Moscow. Blocking them remains one of Kyiv’s top priorities.
With dissent rising in Russia, and military-age men attempting to flee the country to avoid the call-up, U.S. officials say Mr. Putin believes another Ukrainian victory would further erode the popularity of the war, something he cannot risk. Videos widely shared on Twitter in the days since Mr. Putin announced his call-up show angry draftees being scolded by shouting Russian military officials. “Playtime’s over!” yells one military official in one video. “You’re soldiers now!”
Mr. Putin’s conversations with his regional military commanders in Ukraine may also be part of an effort to get more accurate assessments of the campaign. As the war has gone on, American officials have said that Mr. Putin has not been given accurate information from his top military advisers, Sergei K. Shoigu, the defense minister, and Valery Gerasimov, the Russian military’s chief of the general staff.
In addition to blocking a retreat from Kherson, Mr. Putin has raised doubts about Russian efforts to consolidate their position in the northeast near the Oskil River, which the Ukrainian counteroffensive reached this month. Mr. Putin, an American official said, has opposed pulling back there as well, because he is reluctant to hand anything to Mr. Zelensky that looks like a win.
Even as Mr. Putin demands a strategy of no further retreats, American officials said Russian officers themselves are divided on how to respond to the Ukrainian counteroffensives. Some officers believe they should push back hard on Mr. Putin’s directives before the Ukrainians break through their current lines. Others believe they can follow through on Mr. Putin’s directives.
Russia has continued to focus on the south, despite Ukrainian progress east of Kharkiv. While Moscow has sent some reinforcements to embattled northeastern positions, most of the tens of thousands of troops that Russia sent south to the Kherson area — including some of its best combat forces — remain in place.
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WASHINGTON - Ces dernières semaines, le président russe Vladimir V. Poutine s'est immiscé plus directement dans la planification stratégique de la guerre en Ukraine, ont indiqué des responsables américains, rejetant notamment les demandes de ses commandants sur le terrain, qui souhaitaient être autorisés à se retirer de la ville vitale de Kherson, dans le sud du pays.
Un retrait de Kherson permettrait à l'armée russe de se replier sur le fleuve Dnipro de manière ordonnée, en préservant son équipement et en sauvant la vie de ses soldats.
Mais un tel retrait serait une nouvelle reconnaissance publique humiliante de l'échec de M. Poutine dans cette guerre, et donnerait une deuxième victoire majeure à l'Ukraine en un mois. Kherson a été la première grande ville à tomber aux mains des Russes lors de l'invasion initiale, et reste la seule capitale régionale sous le contrôle de Moscou. La reprendre serait un accomplissement majeur pour le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Concentré sur la victoire à tout prix, M. Poutine est devenu un visage plus public de la guerre alors que l'armée russe semble de plus en plus en difficulté, ce qui l'a forcé à annoncer cette semaine une mobilisation qui pourrait entraîner 300 000 civils russes dans le service militaire. Ce mois-ci, Moscou a démontré qu'elle disposait de trop peu de troupes pour poursuivre son offensive, qu'elle souffrait d'une pénurie d'armes de précision de haute technologie et qu'elle était incapable de dominer le ciel ukrainien.
Mais des responsables américains informés de renseignements très sensibles ont déclaré qu'en coulisses, M. Poutine joue un rôle encore plus important dans la guerre, notamment en disant aux commandants que les décisions stratégiques sur le terrain sont de son ressort. Bien que M. Poutine ait accepté certaines recommandations des commandants militaires, y compris la mobilisation des civils, son implication a créé des tensions, selon les responsables américains.
Selon ces responsables, le rejet par M. Poutine d'un retrait militaire de Kherson a également entraîné une baisse du moral des troupes russes, qui ont été pour la plupart coupées de leurs lignes d'approvisionnement et qui semblent croire qu'elles pourraient être laissées en plan face aux forces ukrainiennes.
"La situation en Ukraine est clairement dynamique", a déclaré le général Mark A. Milley, président des chefs d'état-major interarmées, dans une interview vendredi. "Il est trop tôt pour une évaluation complète, mais il est clair pour moi que l'initiative stratégique est passée du côté des Ukrainiens." Il a toutefois averti qu'il restait "un long chemin à parcourir".
Les désaccords de M. Poutine sur les lignes de bataille à Kherson illustrent à quel point la guerre dans le sud de l'Ukraine est critique pour les deux parties, ont déclaré des responsables américains. Malgré les récentes avancées de l'Ukraine dans le nord-est, la zone autour de Kherson est un théâtre critique de la guerre, avec de profondes implications stratégiques pour Kiev et Moscou.
Certains responsables américains ont déclaré qu'ils voyaient des difficultés à venir pour l'armée russe sur le théâtre sud. Un haut responsable américain a déclaré cette semaine que l'Ukraine était en bonne voie pour réitérer dans le sud les gains que ses forces avaient obtenus lors d'une offensive éclair dans le nord-est au début du mois. Si l'Ukraine repousse encore plus loin les forces russes, le pont terrestre durement acquis par M. Poutine vers la Crimée, le territoire qu'il a arraché à l'Ukraine et annexé en 2014, pourrait finalement être menacé, selon des responsables américains.
Les divisions sur Kherson ne sont que les derniers désaccords entre M. Poutine et ses principaux commandants. Des officiers supérieurs russes ont remis en question à plusieurs reprises les premiers plans de la guerre, selon des responsables américains, en particulier une phase initiale qui envisageait une frappe rapide sur Kiev, la capitale ukrainienne. Les officiers russes pensaient que M. Poutine partait en guerre avec des troupes et un armement insuffisants, selon les responsables américains.
Le vote par référendum se déroule "sous la gueule des mitrailleuses", avertissent les responsables ukrainiens.Le projet de la Russie suscite des critiques de la part de régions éloignées et même de faucons favorables à la guerre.
Les inquiétudes des officiers russes se sont avérées exactes et, après la défaite de l'armée russe devant Kiev, M. Poutine a relâché son contrôle sur la planification militaire. Il a autorisé des généraux de haut rang à élaborer une nouvelle stratégie axée sur des barrages d'artillerie massifs, selon des responsables américains. La nouvelle stratégie était en fait une guerre d'usure qui jouait sur la force de l'armée russe et a réussi à faire avancer l'armée dans l'est de l'Ukraine.
Depuis que M. Poutine a ordonné à ses commandants de poursuivre les combats à Kherson, l'armée russe a tenté de stopper l'avancée ukrainienne dans cette ville. La semaine dernière, les Russes ont fait sauter un barrage sur la rivière Inhulets pour rendre plus difficile la contre-offensive actuelle.
Mais les frappes ukrainiennes ont fait exploser les passages sur le fleuve Dnipro, ce qui a largement coupé les troupes russes de leurs lignes d'approvisionnement de l'autre côté. Les Russes ont dû utiliser des pontons pour traverser la rivière, avant de les voir touchés par les tirs ukrainiens, selon des responsables ukrainiens. "Ils ont des unités qui, si les Ukrainiens franchissent les lignes, seront coupées et encerclées", a déclaré Seth G. Jones, premier vice-président du Center for Strategic and International Studies. "Je ne saurais trop insister sur le caractère risqué de la situation pour eux".
En se retirant au-delà de la rivière Dnipro, les commandants russes pourraient probablement tenir la ligne dans le sud avec moins de troupes. Cela leur donnerait plus de latitude pour redéployer les forces de Kherson vers d'autres zones, soit en repoussant la contre-offensive de Kharkiv dans le nord-est, soit en solidifiant les lignes défensives dans la région orientale du Donbas, soit en ouvrant un nouveau front dans le sud.
Mais M. Poutine a dit aux commandants qu'il allait définir la stratégie.
"Dans cette guerre, il y a eu un décalage constant entre les objectifs politiques de Poutine et les moyens militaires pour les atteindre", a déclaré Michael Kofman, directeur des études sur la Russie à CNA, un institut de recherche sur la défense à Arlington, Va. "Aux points de décision importants, Poutine a tergiversé, refusant de reconnaître la réalité, jusqu'à ce que les options passent de mauvaises à pires."
Le retrait des forces russes au-delà du fleuve Dnipro constituerait également une réfutation brutale du référendum organisé par M. Poutine sur l'adhésion à la Fédération de Russie. L'organisation de tels votes fictifs est un objectif clé de Moscou. Les bloquer reste l'une des principales priorités de Kiev.
Alors que la dissidence s'accroît en Russie et que des hommes d'âge militaire tentent de fuir le pays pour éviter l'appel, des responsables américains affirment que M. Poutine pense qu'une autre victoire ukrainienne éroderait encore davantage la popularité de la guerre, ce qu'il ne peut risquer. Des vidéos largement partagées sur Twitter dans les jours qui ont suivi l'annonce de la convocation par M. Poutine montrent des conscrits en colère se faisant gronder par des responsables militaires russes qui crient. "La récréation est terminée !" hurle un responsable militaire dans une vidéo. "Vous êtes des soldats maintenant !"
Les conversations de M. Poutine avec ses commandants militaires régionaux en Ukraine peuvent également faire partie d'un effort visant à obtenir des évaluations plus précises de la campagne. Au fil de la guerre, des responsables américains ont déclaré que M. Poutine n'avait pas reçu d'informations précises de la part de ses principaux conseillers militaires, Sergei K. Shoigu, le ministre de la défense, et Valery Gerasimov, le chef d'état-major de l'armée russe.
En plus de bloquer une retraite de Kherson, M. Poutine a émis des doutes sur les efforts des Russes pour consolider leur position dans le nord-est, près de la rivière Oskil, que la contre-offensive ukrainienne a atteinte ce mois-ci. Selon un responsable américain, M. Poutine s'est opposé à un retrait dans cette région également, car il est réticent à l'idée de donner à M. Zelensky quelque chose qui ressemble à une victoire.
Même si M. Poutine exige une stratégie de non-retrait, les responsables américains ont déclaré que les officiers russes eux-mêmes sont divisés sur la façon de répondre aux contre-offensives ukrainiennes. Certains officiers pensent qu'ils doivent repousser avec force les directives de M. Poutine avant que les Ukrainiens ne percent leurs lignes actuelles. D'autres pensent qu'ils peuvent suivre les directives de M. Poutine.
La Russie a continué à se concentrer sur le sud, malgré les progrès réalisés par les Ukrainiens à l'est de Kharkiv. Si Moscou a envoyé quelques renforts aux positions du nord-est en difficulté, la plupart des dizaines de milliers de soldats que la Russie a envoyés au sud dans la région de Kherson - y compris certaines de ses meilleures forces de combat - restent sur place.
Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
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Détail sur une partie du pont de Kherson :
pour le camouflage mode buisson qui marche, c'est pas nouveau:
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il y a 59 minutes, Heorl a dit :
Et si tu es dans ton bon droit, quel intérêt de laisser ce voisin dingue faire ce qu'il veut ?
pas de soucis ...
Voici la solution!
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La reine de la variété soviétique dénonce la guerre de Poutine en Ukraine!
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Il y a 12 heures, Hirondelle a dit :
Je pense silence, par analogie avec nos tuyaux de cuivre domestique qui claquent et vibrent dans toute la maison lorsqu’on coupe un robinet ?
Les courbes aident peut-être à attenuer les chocs qui se propagent ?
Ben cela c'est le coup de bélier. L'eau arrivant par gravité est arrêté brutalement de tout le poids du réseau, surtout si le robinet n'est pas progressif (ex; machine à laver).
Pour les systèmes à fort débits (industrie, réseau connexe), mais aussi pour les particuliers, il existe des "anti-béliers" qui servent d'amortisseur à la masse d'eau en mouvement.
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires
dans Politique etrangère / Relations internationales
Posté(e)
Bon ben qui disait qu'ils avaient des problèmes de log?