Curunir Posté(e) le 17 avril 2023 Share Posté(e) le 17 avril 2023 (modifié) Je ne travaille pas dans l'industrie de la défense, mais dans un secteur qui rencontre des difficultés à recruter. Histoire d'illustre (avec élégance), les managers serrent des fesses dès qu'un départ à la retraite se profile. J'imagine à tort ou à raison que le secteur de la défense rencontre les mêmes difficultés (désolé pour les images d'Epinal) : Une partie des industries sont localisées dans la diagonale du vide : pour des profils techniques/pointus (je ne parle pas d'experts), le conjoint n'est pas en mesure de trouver à proximité un poste à la hauteur de ses qualifications (souvent équivalentes). Pour les profils très spécifiques au secteur, le vivier est limité : le secteur a été lentement désaffecté par le public puis par l'enseignement supérieur. Pour les profils plus généraux (comptabilité, qualité, ...), l'image du secteur n'est peut-être pas enthousiasmant (seuls ceux qui touchent aux enfants ont une plus mauvaise image, je sais, j'exagère) Le secteur rénumère faiblement. La tendance serait à la "grande démission", mais aussi à de jeunes diplômés moins intéressés par le salariat et plus par l’entrepreneuriat. J'ai lu 2 liens : Un article de 2018 : https://www.cairn.info/revue-defense-nationale-2018-10-page-28.htm Un article de 2021 : https://www.lajauneetlarouge.com/lindustrie-de-defense-face-aux-defis-de-la-gestion-des-competences/ Ma curiosité n'est pas totalement satisfaite. Comment les industries de la défense arrivent-ils aujourd'hui à attirer et conserver les compétences nécessaires ? Modifié le 17 avril 2023 par Curunir 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rodac Posté(e) le 31 janvier Share Posté(e) le 31 janvier https://www.usinenouvelle.com/article/airbus-dassault-safran-une-contre-productive-guerre-des-talents-avec-les-sous-traitants.N2207232 Cet article ne concerne pas que La Défense et ne concerne que l’aéronautique mais c’est le fil le plus approprié. Les grands groupes français s’impliquent dans l’avenir du tissu industriel français mais sans doute pas suffisamment. 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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