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Jacqmart

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Tout ce qui a été posté par Jacqmart

  1. Pour étayer ce qui dit Pascal au sujet des déploiements du GAN, voilà la situation sur les 2 dernières pages de mon tableau, 14 opérations, ce n'est pas anodin :
  2. Après la bataille héroïque éponyme, d'autres unités ont reçu ce nom de Dixmude : Le char Renault B1 n° 108 : Un des chars Sherman, le n° 49 : Le porte-avions d'escorte ex-Parana ex-Biter : Le PHA ex-BPC : Un autre comparatif de taille permettant de visualiser la taille du croiseur aérien :
  3. Je connais bien ce site, pour lequel j'ai envoyé des documents, il est plutôt juste et bien informé ! La confusion vient, peut-être, de 2 EV de Rochefort en formation lors du 6ème vol et non du dernier ? En tout cas, il y avait 7 places dans la gondole passagers et 10 officiers, lesquels logeaient où ils pouvaient dans la carène, on tendait des hamacs entre les éléments de charpente, un confort très sommaire ! Pour revenir à la commémoration de jeudi dernier, pas un mot ni images sur la conférence exposition à l'ETAN d'Hyères, où les documents ci-dessus ont été exposés ainsi que moult photos : triste !!
  4. Après la commémoration du centenaire de la catastrophe du Dixmude et la couverture médiatique très limitée (pour rester courtois !), je serais curieux de connaître la source de 52 victimes, puisque les 3 plaques des stèles ou monuments en France ou en Italie mentionnent 50 noms, tout comme aux archives du SHD, consultées plusieurs fois par l'auteur du cahier paru dernièrement.
  5. Bien vu aussi ! Voilà les planches finales de mon projet basé sur les Horizon agrandies : Il y a des chances que ce projet ne voie jamais le jour, surtout avec ce qui se passe dans le détroit de Bab el Mandeb mais j'avais ça en tête depuis un moment , alors j'ai l'esprit libéré, délivré !! Dessins (c) Jacqmart
  6. J'ai testé hier la nouvelle application d'IA expérimentale de Google, du nom de Bard, j'ai posé cette question : "Comment imaginer un navire porteur de drones aériens et navals ?", j'ai eu 3 réponses en moins d'1 minute ! 1 - Un navire porteur de drones aériens et navals serait un navire de guerre spécialisé dans le déploiement et le contrôle de drones. Il serait conçu pour transporter et lancer une variété de drones, y compris des drones aériens, des drones de surface et des drones sous-marins. Le navire serait probablement de grande taille, avec une longueur d'au moins 200 mètres. Il aurait un pont d'envol pour les drones aériens, un hangar pour les drones de surface et une baie de lancement pour les drones sous-marins. Le navire serait équipé d'un système de contrôle avancé pour gérer les drones. Ce système permettrait aux opérateurs de contrôler les drones à distance et de collecter des données à partir de leurs capteurs. Le navire porteur de drones aériens et navals aurait un certain nombre d'avantages par rapport aux navires de guerre traditionnels. Il serait plus difficile à détecter et à attaquer, et il pourrait déployer des drones dans une zone plus large. Voici quelques détails spécifiques sur la conception d'un navire porteur de drones aériens et navals : Pont d'envol: Le pont d'envol serait situé à l'arrière du navire. Il serait suffisamment grand pour accueillir une variété de drones aériens, y compris des drones de reconnaissance, des drones d'attaque et des drones de transport. Hangar: Le hangar serait situé sous le pont d'envol. Il serait utilisé pour stocker et maintenir les drones de surface. Baie de lancement: La baie de lancement serait située à l'avant du navire. Elle serait utilisée pour lancer des drones sous-marins. Le navire serait également équipé d'un certain nombre de systèmes d'armes pour sa propre défense, notamment des canons, des missiles et des systèmes de défense anti-aérienne. Le navire porteur de drones aériens et navals est une technologie émergente qui a le potentiel de révolutionner la guerre navale. Il pourrait donner aux forces navales une nouvelle capacité de surveillance et de frappe à longue portée. 2 - L'image ci-dessous montre un exemple de navire porteur de drones aériens et navals : il s'agit de la photo du nouveau chasseur de mines belgo néerlandais construit à Concarneau de Mer & Marine Ce navire serait conçu pour transporter et lancer des drones aériens et navals. Il devrait avoir une grande capacité d'emport pour pouvoir transporter un grand nombre de drones. Il devrait également avoir une vaste zone de lancement pour pouvoir lancer des drones de différentes tailles et configurations. Le navire devrait être équipé d'un système de contrôle et de commandement avancé pour pouvoir contrôler les drones à distance. Le système devrait être capable de gérer un grand nombre de drones et de les coordonner pour des missions complexes. Le navire devrait également être armé pour se défendre contre les attaques. Il pourrait être équipé de canons, de missiles ou d'autres systèmes d'armes. Voici quelques-unes des missions possibles pour un navire porteur de drones aériens et navals : Patrouille et surveillance : le navire pourrait utiliser ses drones pour patrouiller une zone ou surveiller une cible. Les drones aériens pourraient être utilisés pour surveiller une zone à grande échelle, tandis que les drones navals pourraient être utilisés pour surveiller une zone côtière ou une zone maritime. Reconnaissance : le navire pourrait utiliser ses drones pour collecter des informations sur une zone ou une cible. Les drones aériens pourraient être utilisés pour collecter des informations à longue portée, tandis que les drones navals pourraient être utilisés pour collecter des informations à courte portée. Attaque : le navire pourrait utiliser ses drones pour attaquer une cible. Les drones aériens pourraient être utilisés pour attaquer des cibles terrestres ou aériennes, tandis que les drones navals pourraient être utilisés pour attaquer des cibles maritimes. Les navires porteurs de drones aériens et navals sont une nouvelle technologie prometteuse qui pourrait avoir un impact significatif sur la guerre navale. Ils offrent un certain nombre d'avantages par rapport aux navires traditionnels, notamment une plus grande portée, une plus grande flexibilité et un coût plus faible. 3 -Un navire porteur de drones aériens et navals serait un navire de guerre conçu pour transporter et lancer des drones de différents types. Il serait équipé de hangars et de ponts d'envol pour les drones aériens, ainsi que de rampes de lancement et de récupération pour les drones navals. Le navire serait également équipé d'un système de commandement et de contrôle sophistiqué pour gérer les opérations des drones. Ce système permettrait aux opérateurs du navire de contrôler les drones à distance, de les diriger vers des objectifs et de collecter des données. Un navire porteur de drones aériens et navals pourrait être utilisé pour une variété de missions, notamment : La reconnaissance et la surveillance L'attaque La défense aérienne La guerre électronique Voici quelques-uns des détails spécifiques que l'on pourrait imaginer pour un navire porteur de drones aériens et navals : Dimensions : Le navire serait probablement de taille moyenne à grande, avec une longueur d'environ 200 mètres. Cela lui permettrait de transporter un nombre suffisant de drones et de disposer d'un espace suffisant pour le hangar et le pont d'envol. Propulsion : Le navire serait probablement propulsé par une combinaison de turbines à gaz et de moteurs électriques. Cela lui permettrait d'atteindre des vitesses élevées et d'avoir une autonomie suffisante pour les missions prolongées. Armement : Le navire serait probablement équipé d'un certain nombre de systèmes d'armes pour sa propre défense. Cela pourrait inclure des canons, des missiles et des systèmes de guerre électronique. Les drones aériens embarqués sur le navire pourraient être utilisés pour une variété de missions, notamment : La reconnaissance et la surveillance des zones côtières et des eaux territoriales L'attaque de navires ennemis La protection du navire contre les attaques aériennes Les drones navals embarqués sur le navire pourraient être utilisés pour une variété de missions, notamment : La reconnaissance et la surveillance des zones sous-marines L'attaque de sous-marins ennemis La pose de mines Les drones aériens et navals pourraient travailler ensemble pour fournir une surveillance et une protection complètes aux navires de guerre. Ils pourraient également être utilisés pour mener des attaques coordonnées contre les ennemis. Pour une première pour un navire qui n'existe pas, c'est vraiment proche de ce à quoi j'ai pensé avec mon projet qui va être achevé en dessins...
  7. Son histoire condensée : A la fin de la première guerre mondiale, la marine française, qui avait doté son aéronautique de ballons dirigeables souples pour la lutte anti sous-marine le long de ses côtes, envisageait l’exploitation de grands dirigeables rigides inspirés des zeppelins allemands pour assurer des missions au-dessus de la Méditerranée et de l’Océan Atlantique. Ce projet s’interrompit avec l’armistice, mais l’expérimentation de ce type d’appareil fut rendue possible car le traité de Versailles attribua à la France, au titre des dommages de guerre, le dernier né des zeppelins, le L-72, dirigeable de 226 mètres de long et 24 mètres de diamètre. Livré en juillet 1920 à Maubeuge avec l'aide des Allemands qui le pilotent, il est acheminé un mois plus tard sur la base de Cuers-Pierrefeu par un équipage entièrement français placé sous le commandement du lieutenant de vaisseau Jean du Plessis de Grenédan, voyage qui relève de l’exploit car les Allemands avaient été fort peu diserts sur son fonctionnement. Aucun plan, aucune notice ou instructions n'ont été fournis lors de ce transfert; nous n'avons jamais eu de réponse auprès du musée Zeppelin pour nous les faire parvenir, la rancœur est tenace !! Nous avons tenté de reconstituer des croquis et plans d'après des croquis sommaires ou des photos d'époque pour un livre paru début novembre, l'illustration est de Daniel Bechennec : Les plans et croquis : Baptisé Dixmude, après trois années d’attente causées par les restrictions budgétaires de l’après-guerre et des choix politiques ne plaidant guère en sa faveur, il pourra enfin reprendre la voie des airs, ceci en particulier grâce à l’expertise, au charisme et à l’opiniâtreté du LV du Plessis, totalement convaincu du rôle que ce type d’appareil pouvait apporter à l’aéronautique maritime de l’époque. Les vols entrepris : Le Dixmude effectuera alors six vols tout à fait probants à l’été et l’automne 1923, arrachant au passage le record de distance aux Anglais (118 heures, 7200 km). Le 18 décembre 1923, il quitte Cuers pour un raid au-dessus du Sahara; à son retour, les conditions météorologiques le conduisent à se dérouter vers la Sicile près de laquelle, en traversant un orage, il est frappé par la foudre le 21 décembre 1923 et tombe en feu dans la mer près de Sciacca, faisant 50 victimes. Une cérémonie aura lieu à Pierrefeu du Var ce 21 décembre pour le centenaire de la catastrophe.
  8. Les cartes ont été rectifiées avec l'échelle comme souhaité !
  9. Merci, le weekend est chargé, je regarde ça ASAP !
  10. @Asgard Oui mais ce n'est pas suffisant ! C'est sur les documents que tu dois indiquer : "Sources diverses (c) DR" pour droits réservés ! Faire attention à l'utilisation du logo de la Marine nationale ou de l'ADLAE, pas sûr qu'ils apprécient... même en anglais sauf à indiquer que le document est aussi fictif !
  11. Pendant l'occupation, il avait été étudié un projet d'aéroport mondial nommé "MARSEILLE L'ARC" (l'Arc étant un cours d'eau) à proximité de la BAN de Berre l'Etang pour y accueillir à la fois les avions et les hydravions, accessibles par le train assurés depuis Paris en train-couchettes pour rallier nos colonies ou les Amériques en hydravion ou en avion, un super hub en avance donc !! L'affaire a été poussée assez loin par un architecte de renom Auguste Perret qui a supervisé la reconstruction du Havre, puisque les expropriations avaient été faites à partir de février 1944. Le projet a seulement été abandonné en juillet 1947 . Un hangar double (ou à double cellule) a été tout de même construit pour la construction des hydravions géants, il est (ou était ?) toujours visible à Marignane, l'entreprise Boussiron a été choisie et ce nom est resté, voir aussi ici : https://www.anciens-aerodromes.com/?p=32032 Les plans de cet aéroport ont été repris ci-dessous : Pour finir quelques planches de machines, + ou - réussies, ayant fréquenté Berre : Et pour finir les "pélicans" de la Sécurité Civile : Tous profils, plans et logos reproduits par mes soins (c) Jacqmart
  12. @Asgard Belle idée de présentation, mais tu aurais pu demander l'autorisation pour utiliser mes profils ou au moins citer tes sources ! En plus tu as mis des Barracuda fictifs rallongés avec 2 VLS, les SNLE NG sont Le Terrible x 4, les FREMM sont des versions AVT avec canon de 127mm, les 12 avec le même numéro D660, les PHA sont également avec le même L9013, et aussi les PLG, ça fait beaucoup d'erreurs ça !! Copier bon, mais faire un peu gaffe à le faire bien, le site CLB pour qui j'ai réalisé tous les profils est complètement fictif...
  13. Oui c'est vrai en réduction ! On a à gauche le Latécoère Laté 611 Achernar, à droite Laté 521 LV Paris.
  14. Les débuts de l'aviation datent d'octobre 1890 avec le premier vol d'un engin de Clément Ader, qui inventa le mot avion à cette occasion; en parallèle ou pratiquement, l'hydravion a pris son essor avec un certain succès. En France, de très nombreux constructeurs tels que Voisin, Donnet Denhaut, FBA, Tellier, Caudron, Breguet, Georges Lévy, Latham, Lioré et OLivier, CAMS et bien sûr Latécoère parmi tant d'autres ont servi dans l'aéronavale. Pour les mettre en œuvre et les entretenir, des bases aéronavales, appelées d'abord Centres d'Aviation Maritime, ont vu le jour dès 1912 à Fréjus Saint Raphaël; la plus importante d'entre elles et qui n'a reçu que des hydravions de 1919 à 1962 était implantée à Berre, quelques appareils civils y ont séjournés au mouillage ou dans les hangars restant après la guerre. En métropole, elles étaient implantées ici : BAN ASPRETTO BAN BERRE-ISTRES (en détail ci-après) BAN CHERBOURG CHANTEREYNE BAN FREJUS SAINT-RAPHAEL BAN HOURTIN BAN HYERES LE PALYVESTRE BAN LANVEOC POULMIC BAN LES MUREAUX BAN ROCHEFORT (ballons dirigeables également en affectation) BAN SAINT-MANDRIER Les plans ci-après montrent son évolution et ses équipements, les 2 fiches techniques décrivent les dates importantes, les unités et appareils affectés : A suivre...
  15. Après d'autres projets intervenus entre temps, tel que croiseur porte drones, j'ai achevé les coupes du porte-avions iceberg stratégique avec le peu de données disponibles. Voilà ce que cela donne : Dessins (c) Jacqmart
  16. Jacqmart

    PORTE-AVIONS CLASSE JOFFRE

    Du coup plus aucun doute sur la faisabilité !! Petite précision, la date de référence (ici 54) est celle de l'année du budget pour lequel une loi est votée pour autoriser la construction d'un bâtiment ou série de bâtiments : T47, T53 & T56 pour les escorteurs d'escadre, E50 & E52 pour les escorteurs rapides, AE54 pour les avisos escorteurs, etc...
  17. On a en effet + ou - 98m dans les 2 cas et on voit bien la différence de format des 2 ponts plats. Quant aux X47B c'est non, vraiment pas possible en taille, en poids et en encombrement, pas plus que des Rafale. De plus 12 drones semble une bonne taille pour une unité de cette longueur, encore faut-il prendre en compte les problèmes des modules de commande et surtout, le volume des communications de pilotage/données échangées , voir le matériel et besoin humain pour 5 drones Patroller de Sagem pour exemple : https://www.defense.gouv.fr/terre/nos-materiels/nos-equipements-terre/nos-drones-terrestres-nos-robots/patroller-systeme-drone-tactique Pour le reste, fin de mes interventions ici, on s'éloigne du sujet initial ou cela part dans tous les sens, et de toute façon je n'y connais rien en drones...
  18. @hadriel Houlà, on arrive à un destroyer, même un cuirassé porte drones et l'inflation galopante nous guette !! Il faut se rappeler le projet de Salverius avec des drones de 3 à 3,5 tonnes maxi, et surtout avec des catapultes aussi courtes !! De même que la piste vers tribord et îlot à bâbord ne résous pas le problème de largeur, donc attendons le retour de notre collègue; en passant j'ai oublié, presque volontairement, la tourelle de 76 mm dont il a été question dans un post; pour quel usage et où la place t'on ?
  19. En réfléchissant sur mon dessin, pas possible d'avoir une piste oblique vers tribord, car que fait-on des échappements des DA et, surtout de la TàG avec des volumes énormes ? Impossible de placer des coudes et des longueurs de collecteur le long du hangar, donc j'ai abandonné, si cela avait un nucléaire on aurait pu l'envisager. Maintenant en mettant un pont de 120 m mais incliné à 7° cela donne ceci, le drone Valkyrie est mieux dessiné aussi grâce à la fiche technique de Krakos ! Mais quel porte à faux à bâbord : Bref pas la panacée non plus ! Je vous abandonne pour le WE et aussi pour finir mon projet Habakkuk en coupes !!
  20. Bonjour Non je n'ai pas de plan constructeur, j'ai juste dessiné un PAG ex-PLG ci-dessous, d'après des photos de Mer & Marine :
  21. Non je n'ai pas repris mon dessin du Duperré, j'ai placé le pont au niveau du hangar d'une FREMM sur une page planche donc. Pour moi le X47-B fait 11,63 m de longueur pour 18,92 m, vs Valkyrie 9,14 m en longueur et 8,23 m d'envergure, ce n'est pas pareil donc ! Le jeu continue avec une autre esquisse inversée...
  22. Merci , mais pour les fleurs, RDV le 10 pour mon 1/4 de siècle avec une bouteille de Talisker !!! Bon, je trouve que le navire est "haut sur pattes", et bien sûr la piste est trop large, elle fait 16,5 m sur le plan, avec tout ce qui cloche : trop près de l'îlot et tout le reste pour des drones de 8,23 m d'envergure; bien sûr, on peut accueillir d'autres "taxis" avec un besoin en largeur plus grand sauf en STOL comme la vidéo plus haut. Je trouve aussi que 2 (grandes) catapultes est de trop, j'aurais opté pour une seule 15x15 comme les PHA, pareil pour les catapultes, on ne serait pas à des cadences infernales oups! élevées; j'ai pensé aussi à l'air comprimé, mais on peut penser à des EMALS. Kif kif pour le hangar trop long à mon sens, je ferai une simulation en dessin. Comme je suis en numérique, je vais voir ça et repositionner l'îlot plus en AV ou en AR, il me trotte dans la tête une piste oblique vers tribord comme le projet PA58 : Pour le déplacement tel que dessiné, on serait en gros à 7000 à 7500 tonnes avec la propulsion CODLOG ci-dessous pour mémoire : Je saute sur mon dessin de suite... Le X47-B à poste en 2 configurations : Le hangar rempli : L'ilot est avancé au maximum, sauf à le disposer plus sur tribord en débord, et la catapulte axiale est tournée vers tribord... Voilà pour aujourd'hui !!
  23. En reprenant les caractéristiques strictes citées plus haut, j'ai refait complètement le profil et vue de dessus du croiseur appelé cette fois Verdun, il y a des 'trucs" qui clochent, la coque est signalée en rouge, le hangar en vert sur la base d'une FREMM cette fois avec sa motorisation. Le sonar Captas est déployé à l'AR...
  24. J'ai revu ma planche plus haut avec une correction de l'erreur d'échelle de l'Euromale de toute façon bien trop large pour des Valkyrie ! Les autres vues avancent un peu aussi...
  25. Voilà le profil provisoire qui tient des Forbin, des FREMM, ou du projet Vittorio Veneto avec des drones, qu'ils faudrait rendre apte à l'embarquement avec plans repliables... A suivre vues de dessus de bâbord et de face et de l'arrière.
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