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Messages posté(e)s par collectionneur

  1. Pas tout le temp et pas sur tout les articles :lol: :arrow: http://www.checkpoint-online.ch/CheckPoint/Histoire/His0016-2eDBChargeStrasbourg-T.html On critique méme l'OTAN en Bosnie :arrow: http://www.checkpoint-online.ch/CheckPoint/Monde/Mon0084-SFORKaradzic.html Et il y un meme un article sur le "courageux combat d'un DB de la garde Irakienne contre le rouleau compresseur Allié en 1991 :shock: :arrow: http://www.checkpoint-online.ch/CheckPoint/Histoire/His0010-CombatTawakalna.html Sinon, qui a t'il de mal a ce que un site Europeen soit Pro Américain :?: Il y a en a des dizaines (ou des centaines) qui sont anti bush, on dirait "la pensee Unique" en ce moment :?

  2. Tout a fait d'accord, la violence qui regne dans la région depuis des decennies empoisonne les relations internationales et renforce la haine et la suspition entre les 2 parties. Mais franchement, il y a des dizaines de tentatives de reglements de paix plus ou moins efficases et si l'Etat d'Israel et les gouvernements des pays voisins ne se font plus la guerre depuis 20 ans; les peuples n'arrivent pas a se comprendre :? Au fait, il semble que la population totale soit plutot de 6,2 M d'hab ;) : http://www.odci.gov/cia/publications/factbook/geos/is.html -Le 2eme producteur mondial de pamplemousses :lol: -

  3. 18/08/04 - Le désamiantage du Clemenceau à Toulon va débuter dans un mois

    "Le désamiantage de l'ancien porte-avions Clemenceau, amarré depuis décembre dernier dans le port militaire de Toulon, va débuter dans "30 à 40 jours", a-t-on appris mercredi auprès de SDI, le consortium chargé d'organiser l'opération.

    "Le désamiantage, confié au sous-traitant français Technopur, va débuter d'ici 30 à 40 jours et devrait durer de 5 à 6 mois", a expliqué un porte-parole du consortium Ship Decomissioning Industries Corporation (SDI), joint au téléphone par l'AFP.

    Désormais amarré au quai Vauban ouest du port de Toulon, le bâtiment contient "plus de 210 tonnes d'amiante", selon SDI, dans les gaines entourant toutes les sources de chaleur et dans les protections thermiques des soutes à munitions et à carburant.

    A l'issue de l'opération, le porte-avions doit ensuite être acheminé vers le chantier indien de démolition Shree Ram Vessels Scrap Limited, sous-traitant de SDI.

    Le Clemenceau avait rejoint son port d'attache de Toulon en décembre après un mois de pérégrinations en Méditerranée et la résiliation par la France d'un contrat avec l'entreprise espagnole Gijonesa de Desquaces pour le rachat des 22.000 tonnes de ferraille. La France avait découvert que le bateau était remorqué vers la Turquie alors que contractuellement le désamiantage devait s'effectuer dans l'Union européenne.

    Mis en service en 1961 avant d'être remplacé par le porte-avions à propulsion nucléaire Charles-de-Gaulle, il a parcouru l'équivalent de 48 fois le tour du globe."

  4. :lol: Ouf, vous m'avez fait peur :) Mais ce type de cartographie est pratiqué par tout le monde 8) Ainsi j'ai lut que le Titanic aurait été localisé des 1978 par des sous marins de l'OTAN mais que cela aurait été resté secret car les épaves font de bonne planque pour SM en cas de guerre ;)

  5. En tout cas, Taiwan se fait du souci :arrow:

    Idylle sino-européenne : et Taiwan ?

    L’Europe a la cote en Chine. On peut en vouloir pour preuves la récente visite du Premier ministre Wen Jiabao dans cinq pays de l’Union (Allemagne, Belgique, Italie, Grande-Bretagne, Irlande) et la volée d’accords qu’il a signés à cette occasion. On peut aussi s’arrêter à un fait plus anecdotique mais qui en dit bien plus long que tous les discours officiels : l’agence de presse Chine nouvelle (Xinhua) a décidé d’établir à Bruxelles son quartier général européen. Les effectifs seront décuplés pour passer à une trentaine de correspondants permanents. De la sorte, a expliqué son président, Tian Congming, lors de l’inauguration du nouveau siège en présence de Romano Prodi et de Wen Jiabao, l’agence officielle chinoise pourra « renforcer ses informations sur l’Europe pour les rendre plus objectives, plus rapides, plus complètes et plus équitables ».

    Ce choix stratégique fait on ne peut mieux écho au souhait que le commissaire européen au Commerce, Pascal Lamy, avait exprimé quelques semaines plus tôt à Shanghai en plaidant pour « une relation de qualité » entre l’UE et la Chine. Il considérait, certes, la dimension économique de cette relation en estimant que, « au-delà des chiffres de la croissance de notre commerce bilatéral, c’est en fait la qualité et le contenu de nos échanges commerciaux et économiques qui devront susciter à l’avenir l’essentiel de notre attention et de nos efforts ». La réflexion vaut, toutefois, pour l’ensemble des rapports sino-européens qui, depuis le sommet de Pékin en octobre dernier, ont gagné à la fois en profondeur et en diversité. Comme devait le dire avec un brin de lyrisme le président de la Commission européenne, Romano Prodi, en prenant congé de son hôte devant les journalistes, « entre la Chine et l’Europe, ce n’est peut-être pas encore le mariage mais ce sont des fiançailles sérieuses ».

    L’intérêt de la Chine pour l’Europe n’est évidemment pas nouveau. Mais il a pris un tour nouveau avec la première visite officielle d’un chef de gouvernement chinois au siège de l’Union européenne le 6 mai dernier.

    A quelques jours du sommet, le 13 octobre, Pékin publiait un document stratégique sur ses relations avec l’Union européenne. Comme le soulignait l’ambassadeur de Chine à Bruxelles, Guan Chengyuan, que la Trans European Policy Studies Association (TEPSA) avait invité le 20 novembre 2003, « c’est la première fois que la Chine élabore un tel document et le fait qu’elle a choisi l’Europe pour cette première est hautement significatif ».

    S’il est assez platement intitulé, dans sa version anglaise, China’s EU Policy Paper, le texte commence par un éloge appuyé de la construction européenne, jugée « irréversible », et de la place tenue par l’Europe dans « le monde multipolaire » si cher désormais à la Chine. Le propos ne tarde pas à enflammer, cependant, dans la meilleure veine du discours politique chinois. Dès le deuxième chapitre, les auteurs du document constatent, en effet, « qu’à la fois la Chine et les Etats membres de l’UE ont chacun une longue histoire et une splendide culture, et aspirent par conséquent à plus d’échanges culturels et à une émulation mutuelle ». Au fil des sommets sino-européens, la vision commune n’a cessé, il est vrai, de gagner en ambition, passant d’une « relation durable de coopération » lors du premier sommet de 1985, à un « partenariat global » lors du troisième en 1998, et finalement à un « partenariat global et stratégique » lors du cinquième en 2003.

    Le document est à cet égard d’une candeur extraordinaire en ce qu’il établit on ne peut plus clairement les priorités politiques du régime communiste : aucune tolérance pour Taiwan, que l’UE est pressée de priver de tout contact officiel ; encouragement, par contre, à coopérer avec Hongkong et Macao qui ont cessé d’être de méprisables (quoique commercialement utiles) colonies pour redevenir des entités de la république populaire de Chine ; invitation à visiter le Tibet et à favoriser son développement économique mais en respectant les lois (et donc la souveraineté) chinoises tout en ignorant « la clique du dalaï-lama » ; souplesse (réelle ou feinte) sur les droits de l’Homme à propos desquels Pékin loue l’approche européenne préconisant le dialogue. Outre les sept points du chapitre suivant qui détaillent tous les volets de la coopération économique, financière, agricole et commerciale, il faut noter un appel à multiplier les échanges d’étudiants, d’enseignants et de chercheurs.

    C’est, au demeurant, l’approche que préconise aussi la Commission européenne dans son dernier document sur ses relations avec la Chine, daté du 10 septembre 2003. « Afin d’améliorer la compréhension mutuelle, y lit-on, des efforts doivent être entrepris pour promouvoir les contacts de personne à personne, par le biais d’échanges accrus dans les secteurs du tourisme, de l’éducation et de la culture. » Ces aspects ont été particulièrement soulignés lors du séjour de Wen Jiabao à Bruxelles, tant par celui-ci que par Romano Prodi.

    Le sommet d’octobre à Pékin en a, il est vrai, créé les conditions pratiques. Non seulement les deux parties se sont donnés alors pour objectif de doubler leurs échanges commerciaux dans un délai de dix ans (pour passer de 100 millards à 200 milliards de dollars américains d’ici à 2013) mais elles ont signé, outre une entente sur la concertation en matière de politique industrielle, deux accords aussi importants par leur contenu concret que par leur portée symbolique. L’un consacre la participation de Pékin, à concurrence de 200 millions d’euros, au programme européen de navigation par satellite Galileo (le GNSS, concurrent des systèmes américain GPS et russe GLONASS). L’autre, dit de « destination autorisée », accorde des facilités de visa aux groupes de touristes chinois, moyennant la reconnaissance par la république populaire de Chine du droit au retour de ses ressortissants trouvés en situation illégale.

    Cet accord sur le tourisme est d’une portée considérable, sur le plan économique bien sûr mais aussi social et politique. Déjà, 645 000 Chinois ont visité l’Europe en 2002. Avec l’émergence d’une classe moyenne relativement aisée en Chine, ils seront des millions demain et des dizaines de millions après-demain. L’Organisation mondiale du tourisme estime que 100 millions de Chinois voyageront à l’étranger en 2020 (dans le même temps, la Chine aura surpassé la France comme première destination touristique au monde avec 130 millions de visiteurs, soit 8% du marché mondial). Une enquête publiée à Hongkong — et financée par American Express — auprès d’un millier de citadins à Pékin, Shanghai et Canton montre que l’Europe continentale est la troisième destination de voyages à l’étranger (tant pour les affaires que pour les voyages d’agrément) après Hongkong et Singapour.

    Les restrictions de visa aux Etats-Unis, où les impératifs de la lutte antiterroriste l’emportent sur l’intérêt de l’industrie touristique, rendent l’Europe encore plus attrayante, d’autant plus que l’accord sino-européen, entré en vigueur à la veille du passage de Wen Jiabao à Bruxelles, s’applique aussi aux dix nouveaux membres de l’Union. Or, les touristes chinois dépensent autant, sinon plus, que les américains ou les japonais. Par ailleurs, s’ils passent généralement comme des météores à travers quatre ou cinq capitales européennes en quelques jours, ces touristes auront pu au moins se faire une idée concrète de l’Europe et cette expérience ne peut que favoriser une meilleure compréhension mutuelle.

    Cette découverte va de pair avec une pénétration plus agressive des Européens en Chine, où ils entendent afficher leur présence sur de nouveaux terrains. L’envol d’un cosmonaute chinois, en octobre dernier, a ainsi relancé l’intérêt pour l’espace. Début avril, le commissaire européen à la Recherche scientifique, Philippe Busquin, était dans la capitale chinoise pour participer à la première table ronde sino-européenne sur la politique spatiale. Il y annonçait que le partenariat dans Galileo pourrait être bientôt suivi par d’autres initiatives comme une coopération dans « des programmes d’observation de la Terre ».

    Après ses collègues au Commerce et à l’Agriculture, Pascal Lamy et Franz Fischler, et avant Romano Prodi, qui y séjourna à nouveau du 13 au 16 avril pour pousser plus loin « des relations dont les deux parties s’accordent à dire qu’elles ont atteint un niveau historique », Philippe Busquin était le troisième commissaire européen à visiter la Chine en ce début 2004. L’année précédente, un nombre record de membres de la Commission s’y était rendu, sept au total : outre Romano Prodi et Pascal Lamy encore, les commissaires Poul Nielson (Coopération au développement), Erkki Liikanen (Télécommunications et Entreprises), Margot Wallström (Environnement), Mario Monti (Concurrence) et Viviane Reding (Culture et Education). On ne saurait mieux démontrer la nouvelle dimension du dialogue sino-européen qui couvre désormais un très large éventail de sujets : politique industrielle, propriété intellectuelle, concurrence, politique commerciale, coopération spatiale, utilisation pacifique de l’énergie nucléaire, aviation civile, politique douanière, tourisme, immigration clandestine et, bien sûr, droits de l’homme. Une diversité que reflètent les accords signés par Wen Jiabao et sa délégation (qui incluait plusieurs ministres) : coopération douanière, dialogue bilatéral sur la concurrence et sur le commerce, forum de discussion sur le textile, etc.

    En 2004, l’UE dépassera les Etats-Unis et en 2005 le Japon au hit-parade des partenaires commerciaux de la Chine pour en devenir le premier ; elle est déjà le deuxième fournisseur de technologies de la Chine. La Chine est, pour sa part, avec des échanges dépassant 115 milliards d’euros, le deuxième partenaire de l’Europe après les Etats-Unis et avant le Japon. Quoique nettement moindre que celui de Washington (125 milliards de dollars en 2003), le déficit commercial européen avec la Chine avoisine les 50 milliards d’euros mais ce déséquilibre ne semble pas inquiéter les responsables de l’UE qui misent sur le long terme, l’approfondissement des réformes en Chine, la maturation de son économie de marché, le respect croissant des règles de l’OMC et la consommation en progression continue de la classe moyenne qui devrait largement profiter aux producteurs européens.

    Les observateurs en veulent pour preuve le secteur automobile, celui qui connaît probablement l’expansion la plus impressionnante dans une Chine qui n’est certainement plus, sous l’angle des transports tout au moins, « l’empire immobile » qu’évoquait Alain Peyrefitte en narrant la déconvenue de Lord Macartney et de son ambassade en Chine à la fin du XVIIIe s. Quatrième marché mondial aujourd’hui (derrière les Etats-Unis, le Japon et l’Allemagne mais devant la France désormais), la Chine, où l’on a franchi en 2002 le cap du million de voitures vendues à des particuliers, s’élèvera au deuxième rang dans les trois à cinq ans qui viennent. Or, près de la moitié des véhicules achetés en 2003 y était de fabrication européenne, contre 10% aux voitures américaines et 40% aux japonaises. Volkswagen, qui commença à produire une voiture, la Santana, à Shanghai dès le début des années 80, espère vendre un million de voitures par an dès 2007. La Chine est d’ores et déjà son premier marché, bien avant l’Allemagne !

    Les investissements européens en Chine ont progressé de près de 40% en 2003 par rapport à l’année précédente ; c’est deux fois plus que les investissements américains sur la même période. Le courant en sens inverse mérite lui aussi d’être salué. Pour l’essentiel, il ne s’agit bien sûr pas encore d’investissements chinois en Europe mais d’un afflux d’étudiants et de chercheurs. Longtemps attirés prioritairement par les Etats-Unis, les Chinois affichent de plus en plus leur curiosité pour les pays européens et pas seulement pour les plus grands ou les plus renommés. Ainsi l’Irlande, qui n’hébergeait qu’une poignée de Chinois il y a dix ans, en accueille à présent plus de 40 000 dans le cadre d’une politique d’échanges très active. Rien d’étonnant si Wen Jiabao a choisi de terminer son premier périple européen à Dublin, même s’il était courtois de saluer la présidence en exercice de l’Union lors d’un voyage programmé pour coïncider avec les premiers jours de l’élargissement et pour saluer de la sorte les progrès de la construction européenne.

    Certes, l’élargissement de l’Union et l’appréciation de l’euro face au dollar faussent quelque peu les statistiques mais ces deux facteurs ne peuvent occulter une réalité objective : un intérêt sans précédent de la Chine pour l’Europe qui double, selon les mots de l’ambassadeur Guan Chengyuan, une relation bilatérale qui n’a jamais été meilleure. « Il n’y a pas de conflits d’intérêts géopolitiques entre nous et il n’y a aucun tabou dans nos discussions », déclarait-il dans sa conférence du 20 novembre 2003. Publication de référence, Far Eastern Economic Review titrait éloquemment en couverture le 12 février 2004 : « China’s Love Affair With Europe ».

    Que réserve à Taipei cette histoire d’amour ? Dans la conférence de presse commune à Bruxelles, Romano Prodi n’a pas manqué de rappeler à Wen Jiabao que l’UE, tout en réaffirmant « son adhésion à la politique de la Chine unique, espérait voir une solution pacifique à la question de Taiwan ». L’île aura également pu tirer satisfaction de l’absence de consensus européen sur la levée de l’embargo sur les ventes d’armes à Pékin. Quelques grands pays, comme la France ou l’Allemagne, qui sont à la fois de grands producteurs de matériel militaire et de gros partenaires commerciaux de la Chine, y étaient pourtant favorables. D’autres estimaient qu’à quelques jours du quinzième anniversaire de la répression de Tian’anmen, le moment aurait été mal choisi. D’autres encore disent vouloir s’y opposer tant que des progrès démocratiques substantiels n’auront pas été accomplis à Pékin ou tant que la Chine ne signera pas la Convention des Nations unies sur les droits civils et politiques.

    Il est douteux, cependant, que l’embargo soit encore maintenu très longtemps. D’aucuns font valoir, à Bruxelles, qu’un tel embargo aurait été levé bien plus tôt s’il n’avait pas été imposé au départ pour une durée indéterminée mais avait dû être renouvelé d’année en année. La Chine en fait une question de principe et fonde son argumentation sur la contradiction entre cette mesure qu’elle juge vexatoire, voire humiliante, et la qualité des relations sino-européennes telle qu’elle est officiellement proclamée par les dirigeants de l’UE. Dans le même ordre d’idées, les autorités de Pékin reprochent également à ceux-ci leur refus de reconnaître à la Chine le satut d’économie de marché, alors que la Russie en bénéficie depuis plusieurs années et malgré le fait que la République populaire est désormais membre de l’OMC.

    Dans ce contexte, il y a tout lieu de penser que Taiwan fera les frais de l’idylle sino-européenne. Déjà, à l’assemblée générale de l’Organisation mondiale de la santé, le 17 mai, à Genève, les vingt-cinq pays de l’Union ont voté en bloc contre l’admission de l’île en qualité d’observateur, proposition qui a pourtant reçu le soutien des Etats-Unis et du Japon. Cette position, qui défie la logique humanitaire de l’UE et contredit sa politique de défense des droits de l’homme, confirme si besoin en était un rapprochement sans précédent entre Chinois et Européens que l’intérêt économique n’explique que partiellement. L’intervention américaine en Irak et la théorie de la guerre préventive qui la sous-tend ont sans aucun doute largement contribué, elles aussi, à souder la Chine et l’Europe contre la toute-puissance avouée des Etats-Unis.

    Philippe Paquet

    © Philippe Paquet, 2004

  6. Image IPB

    Et voici l'hélico le plus léger du monde, "Made in Japan" :lol:

    :arrow:

    TOKYO (AFP), le 18-08-2004

    Le premier fabricant japonais d'imprimantes à jet d'encre :shock: , Seiko Epson Corp., a dévoilé mercredi un robot volant présenté comme "le plus léger au monde", pesant à peine plus de 12 grammes et fonctionnant en complète autonomie.

    Nommé "iFR-II", ou "Flying Robot II" ("robot volant"), l'hélicoptère miniature mesure 85 millimètres de haut, pour 136 mm de large, soit légèrement plus que son prédécesseur, le "FR", présenté à l'automne 2003.

    Ce dernier reste le plus petit robot au monde, selon Epson, mais ne peut pas voler en autonomie. Il doit être relié à une source d'énergie par un câble d'1,5 mètre de long.

    Le FR II, télécommandé, est quant à lui équipé d'une batterie, sans laquelle il ne pèse que 8,6 grammes. Il dispose également d'une caméra.

    "On souhaite pouvoir l'utiliser à l'avenir à des fins de sécurité humaine, pour protéger des vies car il peut être déployé dans des environnements inaccessibles à l'homme", a expliqué lors d'une conférence de presse l'un de ses développeurs, Osamu Miyazawa.

    Ce dernier a ajouté que l'hélicoptère peut voler jusqu'à trois minutes. Il peut également retransmettre des images sur son environnement immédiat, comme il l'a fait lors de la présentation à la presse.

    Quoique d'aspect fragile, le prototype a pu effectuer plusieurs vols contrôlés à distance lors de la conférence de presse, certains étant toutefois ponctués par des chutes.

    Le prototype n'est pour l'instant pas prévu à la vente.

  7. Pour retourner au suget initial de CVN 220, j'ai trouvé cette article sur le site consacré au LPD en question ;) :arrow:

    - L'acier du World Trade Center servira a la construction de l'USS New York-

    World Trade Center Steel Becomes Part of Bow for Future USS New York (LPD 21)

    - NAVSEA -

    SEP05-02: World Trade Center Steel Becomes Part of Bow for Future USS New York (LPD 21)

    From Naval Sea Systems Command Public Affairs

    Amite, LA -- On 9 September 2003, remnant steel from the World Trade Center twin towers will be cast into the future USS New York amphibious transport dock ship, LPD 21. The ship is named for the state of New York and recognizes the courage and commitment of New Yorkers during the 9/11 tragedy.

    Amite Foundry and Machine in Amite, LA, a subcontractor to the shipbuilder Northrop Grumman Ship Systems, will perform the casting. Thousands of pounds of steel transported from the debris field in Staten Island, NY, will be melted down and poured into the bow stem cast of New York. As part of the bow, the stem and WTC steel will always be the first part of the ship to sail into future 21st Century expeditionary warfare missions.

    NAVSEA played a critical role in determining the feasibility of using scrap steel in a new construction ship. "After the keel, the stem is the most important structural part of a ship," said Drew Demboski, Assistant Design Manager for the LPD 17 class program. Mr. Demboski added that considering the stresses placed on the steel from the twin towers and its unknown metallurgy, NAVSEA officials were concerned that the steel could be unsuitable for the ship. "Before Northrop Grumman Ship Systems could begin prefabrication, we needed to call in the experts," he said.

    NAVSEA's 05M, the Material and Environmental Engineering group, determined that the WTC steel had the right stuff for casting. Although at first it was thought that only a few pounds could be used, the NAVSEA Team reviewed the steel's chemistry reports, evaluated the data against technical manuals and specifications, and determined that the WTC steel was nominally equivalent. Any variations could be correctable by melting small amounts of steel alloy into the steel. Thus, thousands of pounds of salvaged steel can be used for the bow stem casting.

    Casting the stem marks the start of prefabrication for New York. Once fabrication begins, LPD 21 will become the fifth of 12 ships of the San Antonio class of amphibious ships to begin construction. The first ship of the class, LPD 17, was launched in July 2003. Along with New Orleans and Mesa Verde, its construction is progressing at shipyards in Avondale, LA, and Pascagoula, MS.

    Northrop Grumman Ship Systems laid the keel for USS Green Bay on 11 August 2003. This marks the first time since 1970 that the Navy is simultaneously building five LPD amphibious transport docks. USS New York's motto is Never Forget. Its steel construction embodies the legacy of the World Trade Center.

    For more information about the future USS New York and other San Antonio-class ships, go to www.pms317.navy.mil on the Internet.

  8. Bon, les amiraux US vont peut étre stopper la mise a la retraite du Tomcat ;) Ou alors directement acheter les Tu-22 aux Russes pour éviter qu'ils tombent au mains des Chinois :lol: - Ils avaient déja acheter une vingtaine de Mig 23/27 dans une des républiques ex soviets il y a une dizaine d'années pour éviter qu'ils partent on ne sait ou ;) -

  9. Exact, au lieu de tout miser sur la Chine, on n'aura qu'a investir en Inde qui a un taux de croissance aussi équivalents, un marché potentiel aussi important (selon les démographes, c'est l'Inde qui sera le pays le peuplé d'ici 30 ou 40 ans) et qui lui a un gouvernement un peu plus démocratique que la 1ere ;)

  10. Sur un site en Anglais ou parler du F-2, quelqu'un a mit cette image d'un futur projet :arrow:

    Image IPB

    Quelqu'un a des infos sur celui ci :?:

    On dirait un F-22 avec des plans canards ;)

  11. Coté techniciens et argent, quand il s'agit d'armes, on trouve toujours les moyens -et un technicien Nord Coréen n'est pas plus béte qu'un Japonais ou d'un confrére de Séoul- ;) Je signale que l'Hérythrée, l'un des pays les pauvres d'Afrique s'est offert des Su-27 (avec des pilotes mercenaires ex-Soviét) :twisted: Et dans l'article, on parle d'une tentative échoué de savant qui voulaient jouer les transfuges :!: Qui dit qu'ils n'y en a pas d'autre qui réussi a passer les mailles du filet :?:

  12. La conception date des années 60 mais les missiles en questions sont fabriqué de nos jours ;) Et crois moi, le matos russe est crée pour durer sans trop d'entretien ;) Les capsules Soyouz n'ont guére changé depuis les années 60 et elles assurent le transit vers l'ISS 8) Que vous soyer atomiser par un missile hors d'age ou par un MX,cela n'a pas trop d'importance :twisted: C'est une arme anti-cité donc la précision n'est pas primodiale :?

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