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Sargon d'Akkad

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Tout ce qui a été posté par Sargon d'Akkad

  1. AL QAIDA, UN AN APRÈS • En Afghanistan se prépare une nouvelle offensive Loin d'être anéanti, le réseau d'Oussama Ben Laden s'est reconstitué dans le nord-est de l'Afghanistan et le nord du Pakistan. Il bénéficie du soutien des populations locales, tandis que les soldats américains sont de moins en moins bien perçus. Une enquête approfondie du Christian Science Monitor. D'ASADABAD (AFGHANISTAN) Les incidents armés avec des membres d'Al Qaida signalés le mois dernier en Afghanistan sont autant de signes de la résurgence de l'organisation terroriste. Mais c'est peu de chose par rapport à ce qui pourrait advenir prochainement. A en croire des interviews exclusives avec certains responsables des renseignements militaires afghans dans la province orientale de Kunar, Al Qaida aurait établi deux bases principales au Pakistan, à des centaines de kilomètres au nord de la zone que fouillent pour l'instant les troupes américaines et pakistanaises, et se disposerait à lancer une attaque massive contre le gouvernement afghan. Pour contrer la supériorité aérienne des Etats-Unis, les forces terroristes tenteraient de se procurer des missiles sol-air en Chine. "Les unités d'Al Qaida se sont regroupées, avec les talibans, les militants cachemiris et d'autres groupes islamiques radicaux, et attendent seulement l'ordre de déclencher les opérations", affirme le général Rahmatullah Rawand, chef des renseignements militaires du ministère de la Défense afghan pour la province de Kunar. "En ce moment même, ils cherchent des missiles antiaériens capables de toucher les B-52 américains. Quand ils les auront, ils les apporteront ici." Des porte-parole militaires américains confirment en partie les rapports des renseignements afghans et ajoutent qu'ils sont préparés à faire face à une éventuelle offensive d'Al Qaida dans les semaines ou les mois à venir. "J'ai eu vent des rapports que vous citez", déclare le lieutenant-colonel Roger King, porte-parole de l'opération Liberté immuable, sur la base aérienne de Bagram, à l'extérieur de Kaboul. "En partie, les rapports de renseignements et les lieux que vous mentionnez correspondent à ce que nous avons nous-mêmes entendu, mais d'autres éléments diffèrent." Il se refuse à donner davantage de précisions. Les Etats-Unis veillent pour l'instant à disposer de suffisamment de troupes là où Al Qaida pourrait particulièrement se manifester, ajoute-t-il. "Si on revient en arrière, on s'aperçoit que, dans ce pays, il y a deux saisons pour les combats, poursuit le colonel King. Nous sommes au début de la seconde, et la première a pris fin en mai." Dans la province de Kunar, affirment des sources proches des renseignements afghans, un rapport a été établi par des agents afghans qui, se faisant passer pour des extrémistes islamistes, ont pu infiltrer les deux camps d'Al Qaida. Le document conclut que la Chine elle-même pourrait être impliquée, soit en laissant tacitement les extrémistes musulmans de la minorité ouïgoure du Xinjiang rejoindre les rangs d'Al Qaida en passant au Pakistan, soit en proposant ouvertement à l'organisation terroriste de lui fournir des missiles antiaériens. "Cette région, même si elle fait partie du Pakistan, est en réalité plus ou moins sous contrôle chinois, explique le général afghan Rawand. Il est possible que les Chinois soient impliqués et qu'ils donnent les missiles à Al Qaida." Les spécialistes reconnaissent qu'en acquérant la capacité d'abattre des B-52 Al Qaida imposerait un changement de tactique et saperait l'effort de guerre américain en Afghanistan. Plutôt que les troupes au sol, ce sont les B-52, ainsi que les munitions "intelligentes", qui ont détruit les défenses des talibans à l'extérieur de Kaboul, ainsi que leurs autres places fortes, et ont obligé les "étudiants en religion" et Al Qaida à évacuer l'Afghanistan. "Les Américains sont fiers de contrôler les airs, mais ils ne s'inquiètent pas de ce qui se passe au sol", commente le général Ghulam Haider Chatak, responsable des renseignements pour la zone est de l'Afghanistan, qui englobe les provinces de Kunar, de Laghman et de Nangarhar. "Aujourd'hui, ils risquent de perdre les deux." Ici, dans la province de Kunar, région verdoyante de vallées fertiles bien irriguées et de hautes montagnes boisées, les forces spéciales américaines effectuent des opérations combinées avec les forces afghanes locales, essentiellement le long des axes routiers vers Asadabad, ainsi que dans l'enceinte de la ville. Les commandants afghans, qui dépendent du ministère de la Défense à Kaboul, se plaignent de ce que les Américains ne travaillent qu'avec un seul seigneur de la guerre, le commandant Zarin, et non avec les unités militaires officielles du gouvernement du président Hamid Karzai. "Malheureusement, au cours des six derniers mois, les forces de la coalition internationale n'ont pris aucune mesure décisive contre Al Qaida", explique le général Mohammad Zaman, commandant en chef de la province de Kunar, directement sous les ordres du ministère de la Défense afghan. "C'est pourquoi Al Qaida et les terroristes sont tous là. Ils ont simplement changé de costume et troqué les turbans contre les pukhols [coiffes de laine qu'arborent les combattants de l'Alliance du Nord]". Les extrémistes arabes et les partisans des talibans sillonnent les rues de la capitale de la province, apparemment sans craindre d'être capturés, prêchant leur version implacable de l'islam tout en appelant à un soulèvement contre les Américains et les autres troupes étrangères qui soutiennent le gouvernement Karzai. En attendant, selon des sources proches des renseignements, on aurait vu la plupart des chefs des talibans et d'Al Qaida - dont Oussama Ben Laden en personne - passer dans le nord du Pakistan, de l'autre côté de la frontière, en provenance de la région qui se trouve au sud du massif de Tora Bora. Oussama Ben Laden avait été aperçu pour la dernière fois vers la mi-juillet dans la ville tribale de Dir, au Pakistan [dans la Province-de-la frontière-du-Nord-Ouest], à quelque 70 kilomètres au nord-est d'Asadabad. Son bras droit, Ayman al-Zawahiri, dirigerait désormais les opérations depuis la toute nouvelle base d'Al Qaida dans le village de Chah Salim, à une cinquantaine de kilomètres de la ville pakistanaise de Chitral, près de la frontière de la province afghane de Kunar. L'autre base est située dans le village de Murkushi, au Pakistan [dans les Territoires du Nord], près de la frontière chinoise, à environ 140 kilomètres au nord de la ville de Gilgit. Pour mener sa nouvelle campagne contre les forces américaines, Al Qaida aurait élargi sa base de soutien pour y inclure de nouveaux membres d'obédience comparable, dont le seigneur de la guerre afghan Gulbuddin Hekmatyar et son parti islamiste radical Hezb-i-Islami, dominé par les Pachtounes. Pendant la guerre contre l'occupant soviétique, dans les années 80, cette formation, encadrée par la CIA et par l'armée pakistanaise, avait bénéficié d'un financement substantiel de la part des Saoudiens, et elle reste populaire dans la province de Kunar et dans d'autres provinces à majorité pachtoune. Sur le plan idéologique, elle est aussi la plus proche des talibans. L'automne dernier, depuis son exil iranien, Hekmatyar avait appelé tous les musulmans à se battre aux côtés des talibans pour repousser toute invasion des forces américaines. Pour entreprendre sa nouvelle mission, Al Qaida s'est rebaptisée Fateh Islam (Conquête islamique). Toujours d'après les renseignements afghans, le plan de bataille des terroristes consisterait à lancer une attaque massive sur l'est de l'Afghanistan en franchissant la frontière montagneuse mal défendue de la province de Kunar. C'est de là que les contrebandiers d'opium et de bois font sortir leurs marchandises d'Afghanistan soit sans être vus, soit avec la complicité de responsables afghans corrompus. Dans les rues mêmes d'Asadabad, il est clair qu'Al Qaida a déjà établi un réseau d'informateurs et de prédicateurs. Dans les mosquées et les écoles coraniques, les membres de l'organisation ont commencé à attiser la colère des habitants contre la présence américaine en Afghanistan et contre les fouilles maison par maison dans la province. Un Arabe, vêtu d'un salwar kameez [costume traditionnel régional] mais portant la coiffe blanche traditionnelle des prédicateurs saoudiens, a été vu debout au centre de la grande place de la ville avant d'être emmené par deux jeunes étudiants en religion vers une mosquée locale. Un autre homme, qui enseigne dans une école primaire à Asadabad, nous a déclaré qu'il y avait beaucoup de partisans d'Al Qaida dans la province. "Je suis fier d'en faire partie", affirme Abdur Rahim d'une voix douce. Il a étudié l'islam pendant seize ans dans une école coranique particulièrement rigoureuse au Pakistan, à Peshawar. "Je suis sûr à 100 % qu'ils vont revenir ici. Très bientôt. Et les talibans valaient cent fois mieux que ces seigneurs de la guerre qui nous volent dans les rues." "Le djihad est obligatoire contre les kaffirs (les mécréants), mais nous ne pouvons pas nous battre contre leurs avions", ajoute-t-il. Parlant des forces spéciales américaines basées à Asadabad, il lâche : "Ce sont des infidèles, ils ont détruit notre religion. Ils sont tous juifs ou chrétiens, et nous, nous voulons des forces musulmanes, nous ne voulons pas d'infidèles." Alors que la foule se rassemble et appelle le membre d'Al Qaida à être plus discret, Abdur Rahim se montre encore plus direct. "Ici, tout le monde pense comme moi, mais certains ont du courage et d'autres peu de foi. Eux, ils se taisent parce qu'ils ont peu de foi." D'autres Afghans font preuve de davantage de pragmatisme. Mohammad Malang, qui vend du bois sur l'énorme marché spécialisé d'Asadabad, rapporte que des centaines d'Arabes sont passés ici en provenance de la province de Kunar à la fin de l'an dernier, après le début de la campagne de bombardement contre leurs retranchements dans les montagnes de Tora Bora, au sud de Jalalabad. Aujourd'hui, quand il transporte du bois à la frontière pakistanaise avec son camion, il voit beaucoup de combattants d'Al Qaida passer aux postes de contrôle afghans. "Les Américains nous donnent de l'argent et nous, on leur donne Al Qaida, dit-il dans un sourire. Al Qaida nous donne de l'argent et nous, on les cache. Pas en ce moment, parce qu'il y a des soldats américains ici, mais là-haut, à la frontière, ils sont là-haut dans la forêt. Ils vont et viennent, et personne ne les arrête." Même les gardes-frontière reconnaissent que les hommes d'Al Qaida pourraient pénétrer sans difficulté dans la province de Kunar. "La frontière est longue, et nous n'avons pas assez de forces pour en assurer la surveillance", admet Wazir Mohammad Sadiq, adjoint au responsable des postes de contrôle pour la force de sécurité frontalière de Kunar. "Ici, il nous faut les Américains. Mais ils ne viennent qu'une fois par mois, et ils ne restent jamais longtemps. Ils prennent une tasse de thé, discutent un peu, et s'en vont." Haji Said Amin Khan commande un poste à la frontière. Il raconte que ses hommes arrêtaient tous les véhicules qui venaient du Pakistan, jusqu'à ce que le commandant Jandad, ancien gouverneur de la province, lui ordonne de mettre fin à cette pratique. "On nous a dit de ne pas arrêter certaines personnes, des hommes en armes, par exemple. Et, même maintenant, les gens peuvent aller et venir sans difficulté, précise-t-il. Mais le problème, c'est qu'il nous faudrait des milliers d'hommes pour patrouiller sur la frontière. Quatre routes principales passent par la province, et, là, nous avons des points de contrôle. Mais il y aussi beaucoup de petites routes. Les combattants d'Al Qaida ne sont pas assez idiots pour passer par les grandes routes. Ils prennent les autres." Pour sa part, le commandant Zaman annonce que ses hommes se préparent à une longue guerre contre les terroristes, même s'ils doivent continuer à se battre sans solde et sans coordination avec les forces américaines. "On ne peut pas vaincre une idéologie à coups de fusil. Donc, le mieux qu'on puisse faire, c'est créer une nouvelle idéologie et donner aux gens le sentiment que nous améliorons la situation, dit-il. Si ça marche, c'est formidable. Mais sinon, nos ennemis et leurs armes sont déjà parmi nous." Le véhicule était plein d'hommes en armes qui auraient pu être des amis, des ennemis ou simplement des Afghans en ballade. Ce qui est sûr, c'est que lorsque le véhicule est tombé sur un poste de contrôle tenu par des soldats des forces spéciales américaines, un combat a éclaté. De source américaine, l'un des Afghans aurait pointé sa kalachnikov sur un soldat américain et aurait pressé la détente. L'arme se serait enrayée, mais les militaires américains auraient ouvert le feu, tuant quatre Afghans. Aucun Américain n'a été blessé. Or il s'agissait d'amis, et non d'ennemis. C'étaient des combattants travaillant pour le commandant local, les fils d'un notable tribal, et jamais les soldats américains n'auraient dû leur ordonner de déposer les armes, affirment les militaires afghans. Même avant l'incident, l'atmosphère était tendue à Asadabad. Ainsi, lors d'un échange de tirs, des soldats ont abattu deux hommes qui leur avaient tiré dessus depuis une hauteur. Au début du mois d'août, les forces spéciales américaines ont fouillé la capitale poussiéreuse de la province de Kunar maison par maison, à la recherche d'armes lourdes et de partisans d'Al Qaida. Selon les responsables afghans, ces procédures violent les traditions des Pachtounes, qui interdisent aux étrangers de pénétrer dans leurs foyers et de voir leurs femmes. Marchands, politiciens et militaires afghans préviennent que, dans la région, le sentiment antiaméricain se durcit. "Jusqu'à présent, les relations avec les forces américaines étaient simplement neutres, ni positives ni négatives, mais ça évolue vers le négatif, explique le gouverneur Haji Ali Rahman. Nous espérons que les forces américaines feront preuve d'intelligence et changeront de tactique. Mais, s'ils continuent à fouiller les maisons, même mes propres commandants ne travailleront plus pour moi." Il sourit dans sa longue barbe. "Les villageois commenceront par se révolter contre nous, parce que c'est nous qui avons amené les Américains ici." La colère provoquée par les fouilles a pris une telle ampleur que le gouverneur Rahman a convoqué une réunion d'urgence des anciens des tribus à Asadabad, où des dizaines de chefs pachtounes ont laissé libre cours à leur fureur vis-à-vis des Américains. Certains ont exigé des forces afghanes qu'elles cessent de coopérer avec les militaires occidentaux. Une idée rapidement oubliée, le chef militaire de la province, le général Mohammad Zaman, ayant rappelé que ses hommes, dont les quatre combattants tués quelques jours plus tôt, n'avaient même pas été invités à participer aux opérations américaines contre Al Qaida. "Actuellement, ils travaillent avec un seul seigneur de la guerre et ils n'obtiennent aucun résultat, si ce n'est qu'ils exaspèrent la population, regrette le général Zaman. Ils n'ont pas besoin de nous payer. Nous nous battrons avec nos propres armes, nos propres rations. Mais ils devraient au moins nous écouter." Le commandant Zarin, avec lequel opèrent les troupes américaines, est le premier seigneur de la guerre local qui ait aidé les unités de Washington dans la province de Kunar lors des actions qui ont entraîné la chute des talibans en novembre 2001. De source militaire occidentale, à Bagram, on rappelle qu'il appartient aux commandants américains de décider avec qui ils travaillent, et, dans bien des cas, les forces spéciales des Etats-Unis continuent à fonctionner avec un seigneur de la guerre qu'elles connaissent plutôt qu'avec les responsables mis en place par le gouvernement de Kaboul. "Ici, on entend ça tout le temps de la part des chefs militaires locaux : 'Pourquoi vous ne travaillez pas avec nous ?'" reconnaît le lieutenant-colonel King, porte-parole de l'armée américaine à Bagram. "Dans certains cas, nos unités travaillaient déjà avec les commandants ou seigneurs de la guerre locaux bien avant que le ministère de la Défense ne soit formé à Kaboul. Nous sommes dans une phase de transition, et il est possible que cette coordination finisse par se faire par des canaux plus officiels." http://www.courrierinternational.com/article.asp?obj_id=7572
  2. Alors va lire, le livre "le survivant" écrit par un ancien du navy seals... En juin 2005, quatre hommes des Navy Seals sont infiltrés au coeur de la province afghane de Kounar, à proximité de la frontière pakistanaise, avec pour mission de capturer ou de neutraliser Muhammad Ismail, un chef taliban retranché avec son escorte dans des montagnes particulièrement inhospitalières. Mais quelques heures seulement après leur infiltration, les quatre hommes tombent dans une embuscade conduite par plus d'une centaine de talibans. Malgré l'appui de renforts héliportés et une lutte acharnée à 3 000 mètres d'altitude, les combats prennent une tournure dramatique. À la nuit tombée, dix-neuf Américains gisent sur le terrain. Morts. Pour le Navy Seal Marcus Luttrell, blessé durant les combats et unique rescapé de cette embuscade, il s'agit désormais de survivre, en ne comptant que sur lui-même, sans imaginer l'extraordinaire revirement que lui réserve le destin.
  3. Alors on va dire que les bons tireurs sont issus des Arabes Afghans..
  4. Deux anciens membres des forces spéciales Américaines et un membre de la CIA affirment qu'ils se battent très bien et qu'ils sont d'excellentes tireurs... Surtout les Arabes Afghans... [dailymotion=425,350]x55slk[/dailymotion] L'autre source, est le membre des Navy seals tomber dans une embuscade et blesser..
  5. Les Talibans sont connus pour être d'excellents tireurs...
  6. Par ailleurs, 4 soldats de l'Otan vient d'être tués...
  7. Quelques images du frégate turc Giresun au large de la Somalie: http://galeri.milliyet.com.tr/2009/3/14TCG_Giresunun_seyir_albumu/24.jpg http://galeri.milliyet.com.tr/2009/3/14TCG_Giresunun_seyir_albumu/22.jpg http://galeri.milliyet.com.tr/2009/3/14TCG_Giresunun_seyir_albumu/20.jpg http://galeri.milliyet.com.tr/2009/3/14TCG_Giresunun_seyir_albumu/19.jpg http://galeri.milliyet.com.tr/2009/3/14TCG_Giresunun_seyir_albumu/16.jpg http://galeri.milliyet.com.tr/2009/3/14TCG_Giresunun_seyir_albumu/15.jpg http://galeri.milliyet.com.tr/2009/3/14TCG_Giresunun_seyir_albumu/12.jpg http://galeri.milliyet.com.tr/2009/3/14TCG_Giresunun_seyir_albumu/9.jpg http://galeri.milliyet.com.tr/2009/3/14TCG_Giresunun_seyir_albumu/8.jpg http://galeri.milliyet.com.tr/2009/3/14TCG_Giresunun_seyir_albumu/4.jpg http://galeri.milliyet.com.tr/2009/3/14TCG_Giresunun_seyir_albumu/3.jpg http://galeri.milliyet.com.tr/2009/3/14TCG_Giresunun_seyir_albumu/5.jpg
  8. La guerre de succession à l'Otan Qui sera secrétaire général de l'Otan de l'ère Obama? Le mandat de l'actuel titulaire du poste, le Hollandais Jaap de Hoop Scheffer, arrive à échéance le 31 juillet prochain. Son successeur doit être nommé lors du sommet de l'Alliance Atlantique, le 3 avril prochain, à Strasbourg et Kehl. Depuis quelques jours il semblait acquis que l'heureux élu serait l'actuel premier ministre du Danemark, Anders Rasmussen. Mais, hier, à Bruxelles, le vice-président Joe Biden a relancé les spéculations, affirmant que son pays n'avait pris aucune décision. En fait, le choix du nouveau secrétaire général, le patron civil de l'Organisation, est un casse-tête diplomatique qui nourrit une guerre de coulisses entre des concurrents très différents et leurs soutiens. Les Américains voudraient, semble-t-il, que ce soit le ministre de la défense du Canada, Peter MacKay, dont le pays était, jusqu'à présent, un gros contributeur de troupes en Afghanistan et qui risque de se retirer totalement de ce pays surtout si MacKay n'est pas choisi. Les Européens veulent évidemment -et c'est la tradition - un Européen comme secrétaire général (puisque le chef militaire de l'Alliance est toujours un Américain). Les Français apprécient la ministre de la défense de la Norvège, Anne-Grete Strom-Erichsen. Mais, manque de chance, elle souffre d'un lourd handicap aux yeux de Paris et Berlin: son pays n'est pas membre de l'Union Européenne. A Paris, on apprécie aussi le ministre de la Défense polonais, Radek Sikorski, mais sa nomination risque d'être mal interprétée à Moscou au moment où l'Otan et l'Amérique font tout pour renouer avec la Russie. Le même raisonnement vaut pour le vice premier ministre tchèque, Sacha Vondra (sauf qu'il n'a pas le soutien français). Reste le cas, Rasmussen donc, le chef du gouvernement danois. Son pays est membre de l'UE et très présent en Afghanistan. Paris et Berlin se sont donc, à leurs corps défendant, rangés derrière sa candidature, la semaine dernière, bien que Rasmussen ait été un fervent soutien de la guerre en Irak, son pays ayant même envoyé des troupes à Bagdad. Seulement il y a la Turquie, elle aussi membre de l'Otan. Or les Turcs n'aiment vraiment pas le dit Rasmussen. Pourquoi? Parce qu'il était dirigeait déjà le Danemark au moment de l'affaire des caricatures de Mahomet et qu'il a, du point de vue turc et en général du point de vue des musulmans, très mal géré cette crise. Des drapeaux à son effigie ont même été brulés dans différentes capitales musulmanes. Comment alors imaginer que cet homme là, considéré à tort ou à raison comme islamophobe, dirige une Alliance militaire dont le principal théâtre d'opération est l'Afghanistan? Les Turcs ont une autre raison, beaucoup plus discutable, mais plus profonde, de s'opposer à sa nomination: le Danemark accueille le siège de la télévision du parti séparatiste kurde, PKK. Résultat des courses? On ne sait pas. Au final, je parierais pour le Polonais Sikorski, qui ne serait pas un si mauvais choix. PS: ce soir, à l'Ecole militaire, dans le cadre d'un colloque organisé par la Fondation pour la Recherche Stratégique, Nicolas Sarkozy prononcera un grand discours très attendu sur le retour de la France dans le commandement intégré de l'Alliance. >>> http://globe.blogs.nouvelobs.com/archive/2009/03/10/la-guerre-de-succession-a-l-otan.html
  9. L'age limite est de 60 ans... Mon père a 64 ans (ancien parachutiste), il était dans la réserve jusqu'a l'age de 60 ans.... Les FS sont issus d'officiers, il faut devenir officier pour accéder aux FS (Berets bordeaux, SAT, SAS, etc..)...
  10. Et si tous les Turcs ne naissaient pas soldats Les pluies d’hiver ont fait place aux beaux jours sur la côté lycéenne du sud de la Turquie. Avec la chaleur et le soleil, les touristes, surtout des Anglais, réinvestissent petit à petit les ruelles du vieux centre de cette petite ville de la « Riviera turque ». Le petit restaurant de spécialités crétoises, lui, est fermé. Récemment, les gendarmes se sont présentés à deux reprises pour interpeller son gérant. Prévenu par un ami, Turgut B.[1] a décidé de se faire discret en attendant que les gendarmes veuillent bien l’oublier. C’est dans son petit appartement, à une centaine de mètre du bord de mer, qu’il se cache depuis deux semaines. Devant une tasse de café et un paquet de cigarettes qui diminue à vue d’œil, il raconte. « Ne croyez pas que mon cas est unique », commence-t’il. « D’après de nombreux sites Internet, nous sommes environ 500.000 et selon le gouvernement turc, beaucoup plus encore ». Avant de lâcher : « J’ai 34 ans et je n’ai pas fait mon service militaire ». En Turquie, difficile d’échapper au culte du militaire. Mustafa Kemal, fondateur de la République de Turquie en 1923 et surnommé « Atatürk », le père des Turcs, était avant tout une figure militaire. « Tout Turc naît soldat », sorte de dicton populaire, bien qu’en légère perdition, reste connu de tous. Tout homme âgé de 19 à 40 ans doit effectuer son service, d’une durée de quinze mois en général. Garants de la Constitution turque, les pouvoirs militaires ont toujours été extrêmement présents dans l’univers politique mais aussi dans la vie quotidienne du pays. Le dernier coup d’état militaire remonte seulement à 1980 et de nombreuses menaces ont été réitérées depuis. A cela s’ajoute une situation de guerre à la frontière avec l’Irak entre les forces armées turques et les fractions armées du Parti des Travailleurs du Kurdistan (PKK). Des milliers de personnes, dont de nombreux politiciens, assistent aux enterrements des soldats tombés lors de ces affrontements, qu’on qualifie souvent de « martyrs ». Né dans une petite ville de la côte Marmara, Turgut ne connaissait presque rien à la politique avant de partir faire des études de gestion à l’université de Bolu, dans le Nord du pays. « Avant je pensais finir mes études et faire l’armée, comme toute le monde. J’étais presque un peu nationaliste », se souvient-il un brin amusé. « Et puis, j’ai commencé à me politiser, à réfléchir à la question de l’Etat, sa représentation, à d’autres problèmes comme la question kurde et j’ai décidé que je ne voulais pas faire mon service militaire ». Les objecteurs de conscience turcs sont peu nombreux. On estime leur nombre à environ soixante. Un rôle difficile à tenir, car, malgré les rappels à l’ordre de la communauté internationale et les rapports accablants, comme celui du Conseil de l’Europe en 2004, la Turquie refuse de reconnaître le statut d’objecteur de conscience. En 1991, la Cour constitutionnelle turque rappelait que l’article 24 de la Constitution, qui consacre le droit à la liberté de conscience, ne concerne pas l’objection au service militaire. Les militaires turcs jouissent d’une aura et d’une protection indiscutables. Quiconque s’oppose ouvertement au service militaire tombe sous le coup de l’article 155 du code pénal turc. L’article « Incitation du peuple contre l’armée » condamne de six mois à deux ans d’emprisonnement toute personne faisant acte de propagande pour décourager les gens d’accomplir leur service militaire, peine multipliée par deux si l’acte est commis à travers les médias. Osman Murat Ülke, premier Turc à avoir rendue publique son objection de conscience, est passé huit fois devant les tribunaux militaires entre 1995 et 1999 et a purgé en tout 701 jours de prison. Fin 2007, il recevait un nouveau courrier des autorités militaires lui signifiant qu’il devait purger une « peine restante » de 17 mois et 15 jours. En 2006, la Cour européenne des droits de l’Homme avait pourtant condamné la Turquie, qualifiant la situation d’Ülke de « mort civile ». Tous n’affichent cependant pas publiquement leur opposition au service militaire, même s’ils y adhèrent. « Les personnes comme Osman Murat Ülke sont de véritables combattants des droits de l’homme », explique Turgut. « Moi, je suis un simple anti-militariste, mais je n’ai ni le courage, ni la force de vivre sans arrêt entre la prison et les menaces. Alors je me cache ». En Turquie, il existe une distinction entre les objecteurs de conscience, ouvertement déclarés, et ceux qu’on qualifie de « fugitifs », dont les motivations sont diverses : antimilitarisme, employeurs soucieux de ne pas perdre leur entreprise ou commerce, chefs de famille, etc. Selon les estimations du Ministère de la défense, environ 14 millions de Turcs sont en âge d’être soldats et parmi eux, il y aurait 7% de fugitifs, ce qui représente presqu’un million de personnes. L’évasion est punie par l’article 63 du code pénal et les peines varient selon que le délit concerne un manquement à l’enregistrement auprès des autorités militaires, l’examen médical, l’enrôlement ou une désertion, allant d’un mois à dix ans de prison ferme. « Mon cas est le fruit d’une négligence administrative », continue Turgut, entre deux bouffées de cigarette. « En fait, pendant longtemps les autorités militaires semblaient m’avoir oublié et ne m’ont pas appelé. Il suffisait que je fasse profil bas ». La plupart des démarches administratives –travail officiel, achat d’un bien immobilier, délivrance du permis de conduire, etc.- requièrent le contrôle et l’aval de la gendarmerie, relais locaux des autorités militaires turques. Cette situation contraint les fugitifs à vivre dans une sorte de quasi-clandestinité et de jongler avec les règlements. «Officiellement, c’est un ami qui possède mon restaurant, moi je le gère. Mais je vis dans une petite ville. Et de fil en aiguille, ma situation a été connue et les gendarmes ont fini être au courant », soupire Turgut. Depuis la fenêtre, on aperçoit un homme juché sur une bicyclette rouillée et instable, qui semble sortie d’un autre âge. Accroché au guidon, un morceau de carton sur lequel est écrit au feutre noir « Satilik », à vendre. Une image qui résume bien les retombées tragiques de la crise économique en Turquie. Depuis l’automne dernier, la plupart des entreprises ont commencé à débaucher sans ménagement. Et souvent sans préavis, une majorité des employés travaillant sans contrat de travail écrit. Seuls quelques rares chanceux reçoivent de maigres allocations-chômage. Ironie du sort, la plupart des fugitifs voient dans cette crise leur lueur d’espoir. Chômage et difficultés financières poussent en effet de nombreux jeunes hommes à opter pour l’armée professionnelle. Au cours du seul mois dernier, plus d’un million d’hommes ont déposé un dossier de candidature auprès des autorités militaires, soit une fois et demie la capacité de ces dernières. Or la loi 1111 de la Constitution de 1982, qui régit le service militaire, autorise, en cas de sureffectif, à mettre en place un système appelé « service payant » (bedelli askerlik en turc) autorisant un certain nombre de jeunes hommes à effectuer un seul mois de service en l’échange d’une forte somme d’argent : l’équivalent d’environ 10.000 euros. Pour être mise en place, cette disposition –toujours temporaire- doit être votée par le parlement. Le premier décret est tombé sous le règne d’Atatürk en 1927. Dix autres ont été votés depuis. Alors qu’il s’agit officiellement de rééquilibrage des effectifs, le dernier décret visait à récolter des fonds après le terrible tremblement de terre en août 1999. Erkan B., professeur dans une école de soutien, avait 30 ans à ce moment-là. Fraîchement diplômé de littérature turque et turcophone, le jeune homme, natif d’Ankara, n’avait jamais envisagé de faire son service militaire. « Je passe la majeure partie de ma vie dans les bibliothèques et au milieu de livres. Je ne me serais jamais imaginé en tenue de soldat. En plus, je dois aider mes parents qui ont de très faibles revenus », explique-t’il. « Quand j’ai eu mon diplôme, il fallait que je fasse quelque chose. Pendant un moment, j’ai même songé partir à l’étranger ». Pour les Turcs résidant et travaillant à l’étranger, le service militaire payant est toujours possible, à hauteur d’un peu plus de 5.000 euros. Le décret de 1999 s’est alors présenté comme une véritable aubaine pour le jeune professeur. Certains ont eu moins de chance. « J’avais 25 ans quand le décret est passé en 1999 », soupire Turgut. « Un an trop jeune. Depuis j’attends le prochain ». Avec les sureffectifs et la crise économique qui bat son plein, beaucoup espèrent que le parlement vote bientôt un nouveau décret. Sur de nombreux blogs, les discussions fleurissent entre les fugitifs, lassés de devoir se cacher. « S’il ne sort pas cette année, le service payant, quand est-ce qu’il sortira ? Il doit sortir », commente un internaute sur le blog bedelliaskerlikistiyorum.com (Je veux un service militaire payant). Sur un autre, des internautes débattent des risques encourus par les fugitifs. Un internaute écrit qu’ils sont envoyés sur le front du Sud-est, à la frontière irakienne, par « punition ». Un autre avance que les fugitifs risquent trois ans de prison s’ils ne se manifestent pas auprès des autorités avant le 13 mai prochain. Sur le site bedelliaskerlik2009.net circule une pétition, signée par presque 1.300 personnes, dans laquelle les signataires expliquent leurs motivations : « Nous voulons le service payant pour pouvoir prendre soin de nos familles, embaucher des gens, payer des impôts. Nous ne fuyons pas à l’étranger et nous aimons notre pays ». Tous ne trouvent cependant pas juste le système de service payant, qui au final, favorisent ceux qui peuvent payer. Quand on sait que le salaire moyen turc dépasse difficilement les 400 euros mensuels, 10.000 euros paraissent énormes. Pour Turgut, la question est cependant vite réglée. « Bien sûr que c’est un système injuste et discriminant, et que la Turquie devrait reconnaître le statut d’objecteur de conscience. Mais personnellement, tant que celui-ci n’existe pas, je préfère payer, quitte à m’endetter ». Il n’est cependant pas certain qu’il en aura la possibilité. « J’en ai assez de ne rien pouvoir faire légalement par peur des contrôles et de jouer au chat et à la souris avec les gendarmes, alors je me suis fixé une date : décembre de cette année. Si d’ici-là, le parlement ne prend pas une décision, je me présenterai aux militaires ». Pourquoi cette date ? « Parce qu’alors, j’aurais trente-cinq ans et qu’à partir de cet âge, les recrues ne touchent pas aux armes. Au mois, je n’aurai pas un fusil entre les mains ». :arrow: http://www.mediapart.fr/club/edition/istanbul-not-constantinople/article/050309/et-si-tous-les-turcs-ne-naissaient-pas-solda
  11. Espagne : le taux de chômage a atteint 14,8% en janvier 2009 Il s’agit du taux le plus élevé des pays de l’OCDE Le taux de chômage en Espagne a atteint 14,8 % en janvier, soit le plus haut des pays membres de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), rapporte ce mardi 10 mars la presse espagnole. Ce taux est largement au dessus de la moyenne des 30 membres de l'Organisation (6,9%) et dépasse de loin celui des pays suivant l'Espagne dans ce classement, notamment la Turquie (10,6 %), la Slovaquie (9,8 %) et l'Irlande (8,8 %), ajoute la même source. Les indicateurs du chômage en Espagne ont été également négatifs durant le premier mois de l'année en cours par rapport à la moyenne de l'Union Européen (7,6%) et de celle des pays de la Zone euro (8,2 %). Rappelons que l'Espagne est le pays de l'OCDE où le taux de chômage a enregistré la plus forte hausse entre janvier 2008 et janvier 2009 avec une augmentation de 5,8 points. >>> http://www.lavieeco.com/actualites/698-espagne -le-taux-de-chomage-a-atteint-148-en-janvier-2009.html
  12. http://www.senat.fr/rap/r07-329/r07-3291.pdf
  13. Les islamistes ont prit Mogadishio... Le gouvernement somalien vote l'instauration de la loi islamique MOGADISCIO - Le gouvernement somalien a décidé l'instauration de la charia, la loi islamique, dans tout le pays. Le parlement doit maintenant approuver cette initiative. Le nouveau président somalien, l'islamiste modéré cheikh Charif Ahmed. Le gouvernement a décidé l'instauration de la charia, la loi islamique, dans toute la Somalie, une initiative que le parlement doit maintenant approuver. (Reuters/Antony Njuguna) Le nouveau président, le cheikh Charif Ahmed, un islamiste modéré, cherche à rétablir la paix en Somalie, livrée à l'anarchie depuis près de vingt ans. La décision d'instaurer la charia vise, selon les analystes, à couper l'herbe sous les pieds des extrémistes du mouvement Chabaab (Jeunesse) qui n'ont pas déposé les armes. "Nous nous sommes prononcés pour l'imposition de la loi islamique dans le pays. J'espère que le parlement avalisera cette décision dans les jours qui viennent", a dit le ministre de l'Information, Farhan Ali Mohamud. Il a précisé que la charia serait ensuite inscrite dans la Constitution somalienne. Dans une interview mardi à Reuters, le président Ahmed a dit avoir bon espoir d'engager un dialogue direct avec ses rivaux, notamment avec les dirigeants d'Al Chabaab. Abdi Gouled et Abdi Cheikh, version française Guy Kerivel >>> http://www.lexpress.fr/actualites/2/le-gouvernement-somalien-vote-l-instauration-de-la-loi-islamique_745852.html
  14. Ouverture de la réunion ministérielle de l'OCE à Téhéran TEHERAN, 9 mars (Xinhua) -- La 18ème réunion ministérielle de l'Organisation de coopération économique (OCE) a ouvert ses portes lundi à Téhéran, capitale iranienne, a rapporté l'agence de presse officielle IRNA. La réunion préparatoire des ministres des Affaires étrangères a pour but de faire des préparations pour le sommet de l'OCE prévu le 11 mars. Les présidents des Etats membres de l'OCE ainsi que les chefs de l'Irak et du Qatar devraient se réunir mercredi à Téhéran afin d'explorer les moyens d'approfondir leurs relations et de signer un certain nombre de protocoles d'accord au sommet. Selon certaines informations, les protocoles d'accord porteront sur les moyens de faciliter la coopération multilatérale sur le commerce et le transit, d'accroître les relations des membres de l'OCE avec la Banque islamique de développement et de renforcer les normes des produits de l'OCE. L'OCE regroupe l'Afghanistan, l'Azerbaïdjan, l'Iran, le Kazakhstan, le Kirghizstan, l'Ouzbékistan, le Pakistan, le Tadjikistan, le Turkménistan, et la Turquie. L'OCE a été fondée par la Turquie, l'Iran et le Pakistan en 1985, dont le secrétariat et département culturel est situé à Téhéran, le bureau économique se trouve en Turquie, le bureau scientifique au Pakistan. L'objectif de cette organisation est de promouvoir la coopération économique, technique et culturelle entre les Etats membres. Le président turc Abdullah Gül s'est rendu mardi en Iran pour participer à un sommet de coopération régional à Téhéran, la capitale iranienne, et essayer de diminuer la tension entre Téhéran et Washington, a rapporté l'agence de presse semi-officielle Anatolia. Le président Gül va participer au 10e sommet des chefs d'Etat et des gouvernements des pays membres de l'Organisation de Coopération économique (OCE) qui se tient mardi et mercredi à Téhéran. Il va essayer de persuader l'Iran de saisir l'opportunité pour régler la dispute nucléaire par le biais de négociations depuis que la nouvelle administration exprime son soutien au dialogue dans son bureau à Washington. Le président Gül effectue cette visite justement après celle en Turquie de la secrétaire d'Etat américaine, Hillary Clinton, et avant la venue du président Barack Obama. Mme Clinton a indiqué, dimanche lors de sa visite à Ankara, que les Etats-Unis appelleront la Turquie à aider à pousser en avant le plan du président Obama pour l'Iran, ajoutant que l'administration Obama attache de la valeur à la prochaine visite de M. Gül en Iran. Parallèlement, l'Iran a indiqué qu'il recherche l'assistance de la Turquie pour les négociations avec les Etats-Unis. La Turquie n'est pas une médiatrice officielle entre l'Iran et les Etats-Unis. Toutefois, le ministre turc des Affaires étrangères, Ali Babacan, a souligné dimanche avant son départ pour l'Iran, afin de participer à une réunion régionale, que la Turquie réfléchira aux demandes des deux côtés pour servir comme médiatrice. La Turquie mène la lutte contre la prolifération des armes nucléaires, mais elle n'agrée pas les sanctions, dont celles militaires, contre l'Iran, disant que la dispute entre l'Iran et l'Ouest sur ses programmes nucléaires doit être réglée par des moyens diplomatiques. Lors de son séjour à Téhéran, le président turc s'entretiendra avec le meneur spirituel iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, et le président Mahmoud Ahmadinejad, a indiqué l'agence de presse. L'OCE est une organisation régionale inter-gouvernementale étalie en 1985 par la Turquie, l'Iran et le Pakistan, ayant pour but de promouvoir la coopération économique, technique et culturelle parmi les pays membres. Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Hassan Qashqavi, a affirmé la semaine passée que les présidents de l'Afghanistan, de l'Azerbaïdjan, de l'Irak, du Pakistan, du Tadjikistan et du Turkménistan, ainsi que l'émir du Qatar, participeront à ce sommet. >>> http://www.french.xinhuanet.com/french/2009-03/10/content_834228.htm >>> http://www.french.xinhuanet.com/french/2009-03/10/content_833589.htm
  15. Des parlemantaires français appellent à l'application du système financier islamique, c'est le rapport publié par le Comité des finances et du contrôle budgétaire et des comptes économiques du Conseil d'Etat pour le système bancaire. Est certain rigoler quand je parlé de sa... :P Al-jazera: http://www.aljazeera.net/NR/exeres/CB71F733-B0AB-401B-9214-A47A22F10994.htm
  16. Oui je défends la loi du talion, mais ici, ce n'est pas question de loi du talion, on parle de torture contre des pauvres civils Iraquiens... La loi du talion est une justice, peut être dépassé pour certain, mais sa se fait avec l'accord des lois d'un pays, ce n'était pas le cas de ce tortionnaire... C'est un peu comme la drogue, la drogue est légaliser au Pays-bas, mais pas en France...
  17. Est-tu un voyant? :lol: Je défend personne, je défend juste les choses juste...
  18. Il y a une différence entre torturer quelqu'un sans défense et se battre contre des rebelles...
  19. Pour ce genre de mec (pourriture), j'ai aucune compassion...
  20. Un criminel de moins... vous connaissez le bourot americain Santos Cardona qui torture avec l'aide de son chien les prisonniers Iraquiens dans la prison de abou garib ? d'aprés al jazeera, il a sauté sur une bombe posé par les talibans en Afghanistan... Santos Cardona http://www.aljazeera.net/NR/exeres/4E8E251E-D85C-403A-8ACC-C8ECF091F0E9.htm
  21. Afghanistan : une guerre « inutile » pour l’ancien chef des SAS britanniques LONDRES (NOVOpress) – Sebastian Morley, l’ancien chef des forces spéciales britanniques (SAS) en Afghanistan a dans un entretien publié samedi par le Daily Telegraph qualifié d’« inutile » la campagne militaire contre les talibans et estimé qu’elle rappelait la guerre du Vietnam à ses débuts. Pour le major Morley, qui a démissionné de l’armée britannique en novembre dernier en blâmant le sous-équipement chronique des troupes déployées en Afghanistan, « le nombre de victimes et l’usure des troupes ne peuvent que croître ». Il accuse également le gouvernement britannique d’avoir « du sang sur les mains ». « C’est l’équivalent du commencement de la guerre du Vietnam », a jugé le l’officier qui a expliqué : « Nous tenons de petites portions de terrain dans la province d’Helmand (…) Nous sortons en opérations, nous bagarrons avec les talibans et rentrons au camp pour le thé. Nous ne tenons pas le terrain. Les talibans savent où nous sommes. Ils savent très bien quand nous sommes rentrés au camp ». Pour lui : « Nous nous mentons à nous-mêmes si nous pensons que notre influence dépasse 500 mètres au-delà de nos bases ». Des propos à rapprocher de ceux de l’ex-commandant français Pierre-Henri Bunel, qui déclarait voici quelques semaines au micro de Novopress : « Qui tient Kaboul, tient Kaboul, c’est tout. Mais personne n’a jamais fédéré l’Afghanistan » (voir Novopress). Depuis, plusieurs semaines, des voix s’élèvent pour souligner la complexité de la situation en Afghanistan et le caractère aléatoire voire illusoire d’une victoire des forces d’occupation occidentales, telle celle du Premier ministre canadien Stephen Harper - qui a récemment déclaré : « nous ne vaincrons jamais l’insurrection » - ou du député français Pierre Lellouche, qui vient d’être nommé par le président Nicolas Sarkozy représentant spécial de la France pour l’Afghanistan et le Pakistan, selon qui « on a réussi à fabriquer le premier narco-Etat de la planète financé par l’argent du contribuable de l’Otan ». Des doutes confirmés voici quelques jours par le géopoliticien Aymeric Chauprade au micro de Novopress : « on oublie la dimension civilisation elle. On ne transformera pas l’Afghanistan et tout ce qui est engagé là-bas est voué à l’échec comme e dut el cas avec les Russes et avant eux les Britanniques » (voir Novopress). >>> http://fr.novopress.info/?p=15878
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