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Sargon d'Akkad

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Tout ce qui a été posté par Sargon d'Akkad

  1. Je sous-estime pas la force de nos chers voisins, mais je l'ai voit pas débarqué en Anatolie, car trop risqué, ils seront sur la défensive... Je pense qu'ils seront sur l'offensive en Thrace..ils voudront récupéraient la Thrace, le pays de Spartacus... et voudront avancer jusqu'a San Stefano et la banlieue d'Istanbul, mais là je crois pas, ils devront affronter les meilleurs chars de l'armée turc et la première armée Turque...
  2. Sargon d'Akkad

    Rafale en Grece?

    Ils achèteront des F-16 block 60...
  3. Colère massive en Egypte contre le régime de Moubarak Reportage de Johannes Stern au Caire 26 janvier 2009 Mohamed allume une cigarette et murmure un juron à l’adresse du président égyptien Hosni Moubarak. Ce jeune homme de 25 ans exprime ce que pensent de nombreux Egyptiens : « Moubarak est un porc qui travaille avec Israël pour faire de Gaza une prison et il est responsable de la souffrance des Palestiniens. » Cet étudiant du centre-ville du Caire poursuit ses critiques acerbes contre le gouvernement. Aujourd’hui, trois jours après que les troupes israéliennes ont commencé à se retirer de la bande de Gaza, sa colère ne retombe pas et il critique le rôle joué par l’Egypte dans le conflit de Gaza. « Moubarak a probablement donné à Livni [la ministre israélienne des Affaires étrangères] la permission d’attaquer le Hamas qu’il considère comme une épine dans le pied. » En fait, Livni avait rencontré Moubarak deux jours avant l’attaque israélienne selon un reportage du quotidien israélien Haa’retz, et des représentants du gouvernement égyptien avaient été informés à l’avance du projet d’offensive. De nombreux habitants du Caire partagent la colère et la révulsion de Mohamed. Ils sont choqués par les crimes perpétrés par Israël durant l’offensive de trois semaines dans la Bande de Gaza et furieux envers le gouvernement égyptien qui, en pleine lutte entre le Hamas et le Fatah en juin 2007, avait fermé sa propre frontière avec l’enclave ce qui était revenu à transformer la région densément peuplée en un camp de prisonniers. Le fait que Moubarak ait refusé d’ouvrir le passage de Rafah durant ces derniers bombardements incessants par Israël, abandonnant de ce fait les Palestiniens à leur destin, provoque chez de nombreux Egyptiens un sentiment de haine aussi prononcé à l’égard de leur propre gouvernement qu’envers le militarisme israélien et américain. Quand on lui demande ce qu’il pense du rôle des autres gouvernements arabes, Mohamed déclare : « Les plus traîtres sont bien sûr les régimes qui coopèrent plus ou moins ouvertement avec les Etats-Unis, c'est-à-dire la Jordanie et l’Arabie Saoudite aux côtés de l’Egypte. Le fait que le Venezuela renvoie l’ambassadeur israélien en signe de protestation, mais que l’Egypte ne le fasse pas, est une honte. » La manifestation la plus importante en Egypte a eu lieu le 9 janvier en Alexandrie où plus de 50 000 personnes ont défilé. Les unités de police anti-émeute, qui au départ avaient reçu l’ordre de réprimer et disperser la manifestation, ont été forcées, devant le nombre de manifestants, de se retirer et de laisser la manifestation se tenir. Une autre manifestation importante de plus de 15 000 participants s’est déroulée une semaine plus tard à Mahalla Al-Kubra. En avril dernier, cette ville avait été la scène des émeutes les plus importantes de ces dernières 30 années en Egypte contre l’augmentation des prix des produits alimentaires et la baisse des salaires. Cette fois, les manifestants protestaient contre les crimes de guerre perpétrés dans la bande de Gaza, mais il y avait aussi des slogans contre la complicité des gouvernements arabes et particulièrement du régime égyptien. Depuis le commencement du retrait israélien, on voit dans les rues du Caire un nombre important de policiers et d’unités d’escadrons anti-émeute lourdement armés, prêts à réprimer dans la violence toute forme de protestation spontanée. Samedi dernier, des milliers de manifestants ont répondu à l’appel du parti d’opposition le plus grand du pays mais officiellement interdit, les Frères musulmans de participer à une manifestation anti-guerre sur la Place Ramsès de la ville. La manifestation a été bloquée par d’importantes forces de police. Pour empêcher qu’elle n’ait lieu, la police et l’administration de la ville sont allées jusqu’à fermer la station de métro la plus proche de la Place Ramsès (ironiquement, cette station doit son nom à Moubarak) et les métros ne se sont pas arrêtés à cette station. Suite à des heurts avec les manifestants, la police a procédé à de nombreuses arrestations, dont un journaliste d’un quotidien indépendant, al-Masry al-Youm. Les protestations contre la guerre à Gaza ont révélé un fossé immense entre les masses arabes et les gouvernements despotiques et corrompus de la région. En Egypte ces tensions sont tellement marquées, qu’à chaque manifestation de taille le régime Moubarak craint pour sa survie. Le gouvernement riposte à son tour chaque fois plus brutalement pour réprimer l’opposition populaire. La résistance s’accroît notamment parmi les travailleurs et les étudiants qui ont organisé une série d’actions de protestations hors du contrôle des partis établis ou des syndicats. Le 10 janvier, le Comité populaire égyptien de solidarité avec le peuple palestinien a organisé un convoi de solidarité comprenant des centaines de militants, qui est parti en direction de Gaza et exigé l’ouverture du passage de Rafah. Après avoir passé trois postes de contrôle, le convoi a été stoppé juste avant el-Arish, au milieu du désert, par des forces de sécurité lourdement armés et a été contraint de faire demi-tour. Un autre convoi d’aide a été organisé par les dirigeants d’une grève à Mahalla Al-Kubra. Le 11 janvier près de 1000 travailleurs du secteur textile employés par Masr Spinning and Weaving ont organisé une grève devant les bureaux locaux du syndicat d’Etat. Les travailleurs protestaient contre la punition arbitraire de collègues qui avaient participé à une manifestation contre la privatisation de l’usine le 30 octobre dernier. Le sit-in se poursuit encore à ce jour et est principalement dirigé contre le syndicat que les travailleurs accusent de coopérer avec la direction. Malgré la radicalisation des travailleurs et des étudiants durant les semaines de protestations, il est clair que la plupart des grandes manifestations étaient organisées et dominées par les Frères musulmans. Les intégristes islamiques ne sont en mesure de retenir la direction de telles manifestations dans une période de pauvreté croissante que du fait de l’absence de toute alternative politique progressiste. Les Frères musulmans, un parti bourgeois jouissant du soutien de quelques riches hommes d’affaires, ne proposent aucune solution à la situation économique insupportable qui règne en Egypte, ni à la répression des Palestiniens. Quant à la « gauche » Tagammu, un parti comprenant divers nasséristes, staliniens et nationalistes se disant « progressistes », et fondé par Anouar el-Sadate en 1976 comme syndicat des courants de gauche au sein du vieux Nasserist Unity Party ASU (Union socialiste arabe), il a pris une trajectoire très droitière et est incapable d’offrir une quelconque alternative aux Frères musulmans et de fournir à ces manifestations une perspective progressiste. Une telle perspective est cependant nécessaire pour trouver une solution à la souffrance des Palestiniens et à la répression des masses arabes. L’objectif est de construire un mouvement politique qui cherche consciemment à unifier la classe ouvrière palestinienne, juive et arabe dans une lutte pour une fédération socialiste du Proche-Orient. Cela éliminerait les frontières artificielles par lesquelles les puissances impérialistes divisent et contrôlent la région. C’est l’unique moyen d’arrêter la machine de guerre israélienne et de fournir une solution durable aux besoins politiques, économiques et sociaux de tous ceux qui vivent dans la région. (Article original anglais paru le 24 janvier 2009) http://www.wsws.org/francais/News/2009/jan09/cair-j26.shtml
  4. Les produits de l'industrie de défense Moyen-orientale Je sais pas si je l'ai ouvert au bonne endroit, vous pouvez le mettre dans une autre enfilade... Je vous propose de mettre des articles, des photos, des liens sur l'activité de l'industrie de défense moyen-orientale, cette industrie est peu connu mais en net progression depuis quelques années: - Turquie - Arabie saoudite - Iran - Pakistan - Jordanie - Emirats arabes unis - Egypte - Irak - Syrie - Yemen - Oman - Liban etc.. Voici un blindé Saoudien: Voici le Cobra (Turquie):
  5. Toute façon on récupérera ses îlots et ses îles si une guerre éclate (qui est peu probable), c'est pour cela que l'armée Turque a fonder une Task force amphibie d'une dizaine milliers d'hommes pour des missions de débarquement et de parachutages sur les îles Grecques (Rhodes, Lesbos, Chios, Moudros, Samos, et l'annexions de la Thrace Occidentale)... On appel cette task force: "L'armée Egéenne" au sein des forces armées Turques qui a était former pour lutter contre la Grèce.. C'est une armée indépendante de l'Otan...
  6. La Turquie, cet allié trop négligé La chronique d'Alexandre Adler. Ces premiers jours de 2009 n'ont pas manqué, particulièrement au Moyen-Orient mais pas seulement, d'événements dramatiques et de situations presque entièrement bloquées. Il se trouve qu'un pays exprime des positions politiques et dispose d'atouts géographiques qui lui permettent de jouer un rôle considérable dans la solution d'au moins trois des conflits majeurs qui se sont dessinés en ce début d'année. Ce pays, c'est la Turquie. Et voici pourquoi. Nous avons connu deux pics de tension, à Gaza, bien sûr, mais aussi dans le énième affrontement gazier entre la Russie et l'Ukraine. Nous continuons par ailleurs de ressentir la dégradation permanente des relations internationales liée au refus iranien de co opérer sérieusement à une solution de compromis en matière nucléaire. Or, à chacun de ses problèmes la Turquie peut apporter une solution parfois décisive. Commençons par Gaza : un règlement de la question du Hamas passe par trois phases successives. La dernière est, bien sûr, la réconciliation du Hamas avec l'Autorité palestinienne et son consentement, peut-être tacite, à la poursuite d'une négociation de Mahmoud Abbas avec Israël. Histoire de lui laisser la possibilité de traduire l'accord de paix enfin obtenu par «une simple trêve de trente ans». Cette réserve mentale, conforme à l'islam traditionnel, avait déjà été invoquée, dans des conditions voisines, par le cheikh al-Azhar, la plus haute autorité théologique égyptienne lors d'un accord semblable signé par Sadate avec Begin. Mais, préalablement à cette dernière étape, il faut déjà que l'autorité du Hamas soit consolidée dans une bande de Gaza en phase de reconstruction accélérée. À ce niveau déjà, l'industrie du bâtiment turc associée à des financements essentiellement arabes peut apporter un début de réponse. Mais c'est surtout la première phase, décisive pour le lancement du processus où la Turquie est immédiatement requise. Cela, ce ne sont pas d'obscurs analystes qui le disent mais le président syrien, Bachar el-Assad, qui l'a clairement indiqué dans une interview au Spiegel, voici dix jours. Il souligne, en effet, que les garanties que ne manqueront pas d'exiger les Israéliens quant au contrôle de la frontière de Gaza avec l'Égypte ne pourraient être assurées par la seule armée égyptienne. Et il suggère que la présence de musulmans tels que les Turcs serait acceptable tant pour les Palestiniens de Gaza que pour les Israéliens, dont ils sont par ailleurs les alliés militaires. Une telle présence pourrait résoudre le problème a minima, c'est-à-dire sans l'introduction de Casques bleus supplémentaires. Nabucco Or, on a pu constater pendant la crise la faiblesse d'une armée égyptienne dont les chefs ont ouvertement contesté l'attitude prudente du président Moubarak. Il est donc indispensable de ne pas charger la seule Égypte d'une opération de police tout à la fois essentielle et très délicate, du moins au départ. On sait que par ailleurs les Turcs avaient en projet un acheminement d'eau depuis leur pays jusqu'à Israël. Celui-ci pourrait, bien entendu, aussi servir au futur territoire palestinien. Abandonné pour l'instant, ce projet, qui pourrait aussi passer par le territoire syrien (et non la haute mer) à un coût inférieur, donnerait également le coup d'envoi d'un processus économique de paix, tout aussi important que sa superstructure politique. La contribution turque pourrait bien être décisive sur un deuxième plan, celui de l'approvisionnement gazier de l'Union européenne. Nous avons vu, en effet, la Russie de Poutine réagir avec l'Ukraine avec le même mélange complexe de bonne foi surprise et de brutalité imbécile, dont on a constaté les ravages lors de la crise géorgienne. Certes, les Ukrainiens ne cessaient de tricher. Certes, l'enjeu électoral ukrainien des prochains mois est décisif pour Moscou. Mais ces objectifs légitimes n'autorisaient en rien la Russie à menacer implicitement de pénurie de chauffage ses principaux clients européens, en les rendant à la limite coresponsables de leurs problèmes avec Kiev. La réponse est turque : il faut et il suffit que le projet Nabucco d'acheminement de gaz depuis la Turquie vers l'Europe occidentale soit doublé en puissance. La diversification ainsi opérée mettrait l'Europe à l'abri des hystéries du Kremlin. Pour cela, néanmoins, un début de solution au troisième volet iranien de la crise apparaît déjà en filigrane : si le gaz d'Azerbaïdjan peut, en effet, atteindre l'Anatolie puis l'Europe à travers le territoire de la Géorgie, en revanche, le gaz de Turkménie, pour ne pas parler de celui du Kazakhstan, d'autres solutions doivent être trouvées. Il doit soit être acheminé jusqu'à Bakou par un gazoduc sous-marin coûteux en mer Caspienne, soit beaucoup plus simplement traverser le territoire iranien. Pourquoi pas encore acheminer du gaz iranien supplémentaire vers l'Ouest ? Ainsi, l'autosuffisance gazière de l'Europe reposerait sur un trépied, gage de sa stabilité future : Maghreb, Eurasie du Nord slave et Eurasie du Sud turco-iranienne. Il va de soi que cette substruction énergétique représente, comme dans le bâtiment, le squelette d'un immeuble à construire : la grande Europe économique et culturelle qui unit l'Union européenne au Maroc, à l'Algérie, à la Turquie, à l'Iran, au Caucase et à la Russie. De là, la médiation turque est indispensable au règlement de la question iranienne. La Turquie n'est pas moins soucieuse d'un passage en force au nucléaire de son voisin persan. Mais, en même temps, le président Gül a toujours insisté, ainsi que le premier ministre Erdogan, sur le droit inscrit dans les traités pour l'Iran de procéder à un enrichissement de son uranium à des fins pacifiques. «Axe chiite» S'agissant de l'environnement stratégique de l'Iran, la Turquie est la seule à pouvoir enrayer subtilement le projet iranien d'«axe chiite» reliant Téhéran, Bagdad après le départ des Américains, Damas et un Beyrouth dominé par le Hezbollah et ses nouveaux alliés. Sans agressivité ouverte, la Turquie a déjà beaucoup fait sur le plan économique et diplomatique (les négociations avec Israël sur le Golan ayant presque abouti) pour détacher Assad de ses conditionnements iraniens trop étroits, ainsi que pour conforter sa démarche d'apaisement vis-à-vis de l'Occident. La marginalisation des éléments les plus durs en Syrie est imputable, pour 25 %, à la main tendue française de Nicolas Sarkozy, mais pour 75 % au dynamisme de la diplomatie turque. Plus discrètement encore, la Turquie conduit, peu à peu, les sunnites libanais et surtout irakiens sur la voie d'un apaisement avec le monde chiite, qui va à l'encontre des suggestions parfois irresponsables de l'Arabie saoudite. À l'inverse, la stabilité définitive d'un Irak évacué en accéléré par les Américains, pour des raisons essentiellement financières, repose sur un gouvernement de coalition. Celui-ci doit s'appuyer, pour les chiites irakiens, sur l'Iran, et pour les sunnites irakiens du Nord de confession hanafite, sur l'appui sans faille de la Turquie laïque. Certes, le compromis final sur le plan nucléaire dépendra des Occidentaux et essentiellement de l'Amérique. Certes également, l'aboutissement d'un compromis israélo-palestinien reposera de la même manière sur les mêmes acteurs, auxquels il conviendrait d'ajouter la Russie. Facilitateur Mais la communauté internationale a besoin d'un facilitateur. Seule la Turquie est en mesure de commencer ce difficile travail, tout en conférant une stabilité énergétique et des entrées économiques au front du refus islamique qui se désagrège. Il faut prendre la mesure de cette opportunité, et cesser de tourner le dos à un pays qui, avec un courage moral exemplaire, demeure l'un des piliers de l'Otan, l'un des meilleurs alliés d'Israël dans le monde, et souhaite, par ailleurs, conformément à la spiritualité politique de ses élites unanimes, faire partie sans discrimination de la construction européenne. Si le front israélo-palestinien est stabilisé, l'ouverture de la Syrie à l'Occident concrétisée, l'élection iranienne tenue dans des conditions normales, ce qui revient à dire qu'Ahmadinejad aura été congédié au profit d'un candidat modéré du type Larijani, le monde entier soufflera, le prix du pétrole demeurera bas et stable, l'Égypte aura été quelque peu confortée. Cet objectif, essentiel pour la réussite d'Obama, permettra la relance économique la plus importante de l'histoire. Il ne faudra pas oublier alors ce puissant et discret allié démocratique de la «mondialisation heureuse» qu'est, dès aujourd'hui, la Turquie moderne. >>> http://www.lefigaro.fr/debats/2009/01/24/01005-20090124ARTFIG00203-la-turquie-cet-allie-trop-neglige-.php
  7. La Turquie a déjà sa place en moyen-orient, elle parle avec tout le monde (Israel, Hizzb***, Iran, Hamas, Arabie saoudite) chose que les Européens ne pourront pas faire... Tu oublie, la Turquie est un pays du moyen-orient... La Turquie a traité Israel de criminel, de traite, et de toute sort de chose, peu de pays qui ont des relations économiques avec se pays pourrait faire cela....
  8. Sargon d'Akkad

    FREMM Grecques

    http://fr.youtube.com/watch?v=APswq_w2yqs :lol:
  9. Ah bon? tu en ai sure? C'est pour cela que dans certains états, on a adopter l'enseignement créationniste...donc voila.. Il y a une liberté religieuse, mais les Usa sont beaucoup religieuse au niveau de l'état que l'Europe...
  10. Fait un petit tour mon cher STNG au Usa... c'est plus compliqué que cela...la religion fait partie intégrante des lobby et de la vie politique Américaine, surtout dans certains états du "Confederate States of America"... C'est avec Jimmy Carter qu'il y a eu un bouleversement au Usa, si tu sous-estime le poids des évangéliste, là je pourrais rien dire...
  11. Usa laïque? Angleterre laïque? etc...? Dans un pays où on jure sur la bible, laisse moi te dire que cela me rend perplexe...
  12. A vrai dire, la Turquie fait des progrès visible depuis moins de 7 ans...avec la venue des islamistes, certains ne seront pas d'accord, mais c'est un constat... Le PIB par habitant il y a 7 ans était de 3 000 dollars par habitants (Si je compare au début de la république, elle était de 83 dollars par habitants en 1923).. Donc il y a eu très peu d'évolution depuis 80 ans en gros, on a perdu trop de temps... mais depuis 7 ans l'espoir est revenu, non seulement les libertés ont avancer, les prisons sont devenues des modèles pour les pays Européens (Avec les prison de type F), le plus important, le PIB par habitant est de 10 000 dollars... Donc ils ont put faire en 7 ans, ce que les autres n'ont pas fait en 80 ans, c'est dure d'accepter cela, mais c'est comme sa... Des ponts ont jeter vers le monde Arabe, ce qui a renforcer le commerce et le développement.. Et puis la Turquie est un pays en autosuffisance alimentaire et agricole, c'est une puissance agricole et on produira d'avantage avec le projet GAP... La Turquie se développe vite...j'ai de l'espoir...
  13. Le premier ministre veut 3 enfants par famille...la Turquie a le taux de natalité la plus forte d'Europe, juste devant la France...dans l'est du pays, la population augmente très vite... On donne des sièges par rapport a la population, vue que la population Allemande diminue, la Turquie devrait atteindre les 80 millions d'habitants en 2010-15... Vue que si il y a adhésion, sa sera dans 15 ans, donc...
  14. banni? Avant de sortir tes salades, tu ferai mieux de te taire!!!!! J'avais quitter les forums pour des raisons professionnelles et de famille..
  15. 100 millions d'habitants en 2050...territoire deux fois plus grand que l'Allemagne...si l'adhésion a l'Europe est confirmé, la Turquie disposera du plus grand nombre de sièges au parlement UE...
  16. On dit souvent que la fin du monde sera en 2012... Source: Maya...
  17. C'est normal, il n'y a pas de frontière définit entre les deux pays...il faut attendre les conséquences du réchauffement climatique et la disparition des îlots Grecques pour que le problème soit résolus.... Les incidents sont normales...
  18. Sargon d'Akkad

    FREMM Grecques

    C'est ce que prétend la chaîne Alpha Grecque..
  19. Sargon d'Akkad

    FREMM Grecques

    Dans un pays où on montre son voisin comme un envahisseur, il est normal que la Grèce se réarme, c'est avant tout psychologique... Certains milieux veulent faire peur aux peuples Grecques...en témoigne cette vidéo: On voit des avions Turcs survolant la mer Egée près de l'île de Samos: GbSXGOzNrOQ
  20. Sargon d'Akkad

    FREMM Grecques

    Septique, malheureusement... Demander a Howaldtswerke-Deutsche Werft, ce que devient les Type 214 Grecque... Ils auraient pas assez d'argent pour payer leur sous-marins, les Polonais seraient intéressaient par les sous-marins Grecque...
  21. La Turquie est un pays stratégique pour l'Europe, elle peut transporter tout le gaz du moyen-orient (Iran, Irak, Koweit, etc..) et des pays d'Asie centrale (Türkmenistan, Azerbeycan, etc..) Les Russes sont inquiet du projet Nabucco...Nabucco doit débuter en 2010... Le potentiel du projet Nabucco!
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