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Sargon d'Akkad

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Tout ce qui a été posté par Sargon d'Akkad

  1. C'est facile, c'est une région très instable, le gouvernement ne contrôle que réellement Kaboul, plus de 72% du territoire afghan est sous l'influence des talibans... La Chine et l'Iran sont frontaliers a l'Afghanistan, et faut pas oublier le Pakistan, une grande partie des armes sont alimentés par ce pays par le biais de l'ISI et les généraux qui veulent d'un un gouvernement qui s'approcherai beaucoup trop de l'Inde, le Pakistan voit l'Afghanistan comme un pays avec "une profondeur stratégique"... Les chinois aussi ne voient pas de bon oeil, les occidentaux en Afghanistan, pour plusieurs raisons, notamment pour le gaz et le pétrole en asie centrale et la Chine se sent encerclés.. Pour les iraniens, c'est tous bénef, sa occupe les occidentaux en Afghanistan et sa retarde le processus d'un bombardement même si ils sont les ennemis des talibans idéologiquement et politiquement, ils préfèrent les soutenir.. L'Argent? C'est facile, les talibans prennent des commissions sur la production de drogue en Afghanistan, et les pays du golfe alimente l'argent des insurgés...il y a aussi un soutien financier de la part du Pakistan, les pakistanais auraient détourner de l'argent venant de l'Us au profit des talibans..
  2. Ankara manœuvre habilement entre Bruxelles et Moscou En signant un important accord énergétique avec la Russie le 6 août 2009, similaire à celui qu'elle avait signé avec l'Union européenne le 13 juillet dernier, la Turquie se positionne à une place essentielle sur l'échiquier énergétique européen. Et gagne considérablement en poids politique et géopolitique. La visite du Premier ministre russe Vladimir Poutine en Turquie, le 6 août 2009, a été couronnée d'un succès "assez inattendu", se réjouit le webzine moscovite Vzgliad : une vingtaine d'accords de premier plan ont été signés, dont douze dans le domaine énergétique. Ankara a notamment accepté que le gazoduc South Stream, voulu par Moscou, passe dans ses eaux territoriales en mer Noire. L'accord d'Ankara était primordial pour que puisse être lancé un chantier pharaonique de 25 milliards de dollars, piloté par le russe Gazprom et l'italien ENI, censé permettre à l'horizon 2010 d'acheminer en Europe le gaz russe sans passer par l'Ukraine. Même satisfaction dans les colonnes du quotidien turc Milliyet sous la plume de Sami Kohen : "Si l'on prend en compte les nombreux accords signés et les résultats concrets auxquels Vladimir Poutine et Recep Tayyip Erdogan [le Premier ministre turc] sont parvenus, on peut sans aucun doute dire que la courte visite de Vladimir Poutine aura été la plus réussie de ces dernières années." Le journaliste analyse les raisons du rapprochement russo-turc : "Ankara voit en la Russie un pays puissant qui respecte ses intérêts économiques et politiques, ainsi que ses efforts pour être un facteur d'équilibre dans la région. La Turquie s'est aussi découvert un grand potentiel économique en Russie, surtout dans les domaines du commerce et du tourisme. Moscou, pour sa part, trouve que la Turquie est un pays qui agit de manière indépendante et impartiale dans la région. Son statut de pays de transit pour le gaz encourage la Russie à lui donner encore plus d'importance. L'atmosphère de méfiance a disparu entre les deux pays, surtout grâce au développement de leurs liens économiques." Erdal Safak, le rédacteur en chef du quotidien Sabah, apporte un autre argument. "En août 2008, pendant la guerre russo-géorgienne, Moscou a changé son point de vue sur la Turquie du fait de la politique équilibrée et mesurée qu'a menée Ankara. Peut-être est-ce une simple coïncidence si Poutine est venu en Turquie à la veille du premier anniversaire de cette guerre, mais le message est simple : les relations entre la Turquie et la Russie ont changé." Toutefois, le quotidien moscovite en ligne Gazeta.ru reste prudent : "Il n'est pas entièrement garanti que la Turquie ne change pas d'avis" sur South Stream, écrit-il. "Ankara peut mettre à profit ses bonnes relations avec la Russie, soit pour faire accélérer son entrée dans l'Union européenne (UE), soit pour maintenir son indépendance sur l'échiquier international, très avantageuse d'un point de vue géopolitique." Il n'a pas échappé au quotidien que, le 13 juillet 2009, la Turquie avait signé avec l'UE un accord énergétique similaire à celui de South Stream mais, cette fois-ci, pour lancer la construction du gazoduc Nabucco, destiné à acheminer le gaz de la mer Caspienne vers l'Europe sans passer par la Russie et donc à permettre à l'UE de réduire sa dépendance énergétique vis-à-vis de Moscou. "Entre South Stream et Nabucco, les autorités turques choisiront le projet le plus avantageux économiquement et politiquement", assure Gazeta.ru. Gila Benmayion, chroniqueuse du quotidien Hürriyet, relève également l'ambiguïté de la situation : "Il ne faut pas oublier que South Stream et Nabucco sont des projets concurrents. Les experts soulignent que, inévitablement, un des projets devra être ajourné faute de financement. Alors pourquoi donner le feu vert à un projet qui met en danger Nabucco ?" http://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/2009/08/07/ankara-manoeuvre-habilement-entre-bruxelles-et-moscou
  3. Il faudrait faire la différence entre capitaux privés (qui agit que selon les intérêts) et les capitaux étatique qui dépend de pays en pays, par exemple, je vois mal le Royaume-Uni et l'Italie soutenir une telle décision contre la Turquie, leur intérêts dépassent beaucoup trop la politique commune. L'UE a une faille, la désunion quand les intérêts des pays divergent, la Turquie joue sur sa.
  4. La Turquie n'a pas de problème avec le gaz russe, la crise entre la Russie et l'Ukraine/UE n'ont pas perturber le transit du gaz russe vers la Turquie, on à d'autres alternatives: - Iran (Achat de gaz depuis 5-7 ans) - Asie centrale (Nabucco) - Algérie (livraison de gaz) - Golfe Les turcs ont signaient ce contrat pour tenir les européens par les couilles en quelques sortes pour facilités l'adhésion.
  5. South Stream compromet l'indépendance énergétique de l'UE Silvio Berlusconi (Italie), Recep Tayyip Erdogan (Turquie) et Vladimir Poutine (Russie) ont signé l'accord qui permet de lancer le projet "South Stream", un gazoduc qui passe en Mer Noire. En donnant son agrément pour le passage d'un gazoduc russo-italien à travers les eaux territoriales turques, Ankara porte un coup à un autre projet, Nabucco, dont le but est de dégager l'UE de sa dépendance au gaz russe. La Turquie, au carrefour des mondes, entre l'Asie centrale, l'Europe occidentale et le Caucase, est tiraillée entre son aspiration à intégrer l'Union Europénne et à maintenir des échanges économiques conséquents avec la Russie (26,4 milliards d'euros pour l'année 2008). Plus d'un million de touristes russes qui visitent tous les ans le pays et qui représentent une manne financière pour l'économie du pays. 60% de ses importations de gaz proviennent de la Russie. L'Union européenne dépend, elle, à hauteur de 25% du gaz russe. Elle reste marquée par les événéments de janvier dernier où le Kremlin coupa le "robinet gazier", à ses portes, en Ukraine, pour sévir contre les contestations tarifaires de Kiev. L'Union Européenne pensait s'être départie de cette dépendance énergétique en concluant, le 12 juillet dernier, le passage d'un gazoduc sur les territoires turcs par un projet dénommé "Nabucco". Mais devant la peine éprouvée par les Européens à obtenir des engagements fermes de la part de potentiels pays d'approvisonnement craignant des pressions de Moscou comme le Turkménistan, l'Ouzbékistan et le Kazakhstan, la Turquie s'est tournée vers leur grand frère russe. Ce jeudi 6 août, le premier ministre turc, Recep TayyipErdogan, a donc, lors d'une rencontre avec son homologue, Vladimir Poutine, autorisé la Russie à entamer les études géologiques qui permettront de commencer les travaux de pose d'un gazoduc sous les eaux territoriales turques, en Mer Noire. Ce grand tuyau traversera aussi la Bulgarie, la Grèce et enfin l'Italie, trois Etats membres de l'Union européenne. Silvio Berlusconi, convié à la rencontre, est, avec le Premier ministre russe, à l'origine de ce projet dénommé "South Stream": il sera l'oeuvre des sociétés italienne et russe, ENI et Gazprom,. En échange de son soutien à South Stream, Rome avait obtenu, en avril dernier, le rachat à un prix bien supérieur au marché des 20% détenus par ENI de Gazprom. Le sort de la diversification de l'approvisionnement de l'Union Européenne n'est pas scellé mais ses membres ont, indubitablement, fait montre de leur désunion sur ce sujet. http://www.lexpress.fr/actualite/monde/southstream-compromet-l-independance-energetique-de-l-ue_779010.html
  6. Du râlement, version franco-française.. =)
  7. Le rapport est nouveau, donc le document est récent.
  8. La moitié de l'Afghanistan sous la menace des taliban KABOUL - Près de la moitié de l'Afghanistan vit sous la menace d'attaques islamistes et certains secteurs sont sous le contrôle de l'ennemi, selon une carte confidentielle dressée par le gouvernement de Kaboul et dont Reuters a obtenu une copie. A deux semaines des élections présidentielle et provinciales, près de huit ans après l'intervention internationale pour chasser les taliban, ce document montre que 133 des 356 districts du pays sont jugés zones à haut risque et que treize sont considérés comme étant aux mains des insurgés. Cette carte, frappée des tampons du ministère afghan de l'Intérieur, de l'armée afghane et du département des Nations unies chargé de la sécurité, porte la date du 23 avril 2009, avant même que les insurgés n'intensifient leurs opérations à l'approche des élections du 20 août. Le ministère afghan de l'Intérieur, malgré plusieurs coups de téléphone et courriels, n'a pas commenté ces informations. Pratiquement tout le sud du pays, selon la carte, est sous la menace extrême d'attaques islamistes, de la province de Farah, dans l'Ouest, jusqu'à celles de Paktia et de Nangarhar, près du Pakistan, en passant par celle d'Helmand, dans le Sud. Le porte-parole du ministère afghan de la Défense, le général Zaher Azimy, a toutefois tenu à assurer mercredi que les forces afghanes et la Force internationale d'assistance à la sécurité (Isaf) étaient "prêtes à assurer la tenue des élections" dans de bonnes conditions. PERTURBER LES ÉLECTIONS Les Nations unies ont confirmé l'authenticité de cette carte, précisant qu'il s'agissait d'un document établi par les autorités afghanes. "Ce n'est certainement pas à nous de nous exprimer publiquement à ce sujet", a dit Aleem Siddique, porte-parole de l'Onu à Kaboul. En décembre, un institut international, le Conseil international sur la sécurité et le développement (Icos), plus connu sous le nom de Conseil de Senlis, affirmait que les taliban étaient en permanence présents sur 72% du territoire afghan. L'Icos définissait une "présence permanente" par la capacité pour les insurgés de mener au moins une attaque ou plus par semaine en moyenne sur l'ensemble d'une année. Ce rapport avait été contesté par l'Otan et le gouvernement afghan. Les taliban ont juré de perturber l'organisation du scrutin et ont appelé la population à le boycotter. Mardi, ils ont tiré au moins neuf roquettes sur Kaboul, blessant un enfant, ont annoncé la police et des témoins. Cela faisait plusieurs années que la capitale afghane n'avait pas été visée par une attaque d'une telle ampleur. Les combattants islamistes ont intensifié leurs opérations à l'approche des élections mais la capitale avait été relativement épargnée ces derniers mois, les attaques se concentrant essentiellement dans l'est et le sud du pays. Lors d'une conférence de presse organisée conjointement à Kaboul avec le président Hamid Karzaï, le nouveau secrétaire général de l'Otan, le Danois Anders Fogh Rasmussen, a invité les Afghans à rejeter les menaces des taliban et à voter massivement le 20 août. "Il est important pour le peuple afghan de ne pas céder aux menaces et aux violences", a-t-il dit. http://www.lexpress.fr/actualites/2/la-moitie-de-l-afghanistan-sous-la-menace-des-taliban_778779.html
  9. Afghanistan: des roquettes sur Kaboul Huit roquettes ont été tirées tôt ce matin sur Kaboul, sans faire de blessés ni de dégâts, ajoutant encore aux inquiétudes à l'approche des élections présidentielle et provinciales afghanes du 20 août, a annoncé le ministère de l'Intérieur. La capitale afghane n'avait pas subi de telles attaques depuis plusieurs mois.Les roquettes sont tombées dans différentes parties de la ville, au moins l'une d'entre elles tombant près de l'ambassade américaine et d'autres aux alentours de l'aéroport international, a précisé le ministère. "Nos informations initiales font état de huit roquettes tirées à Kaboul tôt ce matin, sans faire de victimes", selon la même source.Les tirs de roquette, courant pendant des années à Kaboul, se sont raréfiés ces dernières années et ont fait peu de victimes. Le 28 avril, une roquette avait explosé sur une base militaire située en périphérie de Kaboul, blessant trois soldats français. Le précédent incident rapporté remontait au 27 décembre, lorsque trois femmes afghanes avaient été tuées par un tir de roquette qui avait atterri près d'une école de police dans l'ouest de la capitale. Les roquettes pleuvaient en revanche sur la capitale au cours de la guerre civile meurtrière que se sont livré les chefs de guerre afghans entre 1992 et 1996, et qui a tué entre 50.000 et 80.000 personnes. http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2009/08/04/01011-20090804FILWWW00209-afghanistan-des-roquettes-sur-kaboul.php
  10. Al-qaida aurait infiltrer le MI-5 (services secrets britanniques): http://www.lemonde.fr/europe/article/2009/08/03/erreur-de-casting-pour-les-recrues-musulmanes-du-mi-5-le-contre-espionnage-britannique_1225238_3214.html
  11. Alors, cela montre l'hypocrisie de certains, on doit ce retirer de ce merdier et laisser les occidentaux dans ce bled paumé...
  12. C'est pas notre guerre, on es là pour le peuple afghan, enfin pour le rapporter un peu d'aide et de réconfort et en retour, les talibans ne nous jamais attaqués et le peuple afghan nous aimes. Et puis, on attends toujours les soldats de l'Otan dans le kurdistan pour qu'ils nous donne un petit coup de main, mais c'est pas la peine, on s'en sort très bien. Moi, j'appel le gouvernement turc a retirer nos braves soldats de cette merdier, les routes afghanes sont peu sûres pour nos soldats.
  13. Je vois pas l'info, je vois juste une citation..
  14. J'ai pas vue l'info...pourrais-tu me le montrer stp?
  15. [info]Deux soldats de l'Otan tués dans le sud de l'Afghanistan Deux soldats de l'Otan ont été tués ce samedi par l'explosion de deux bombes au passage de leurpatrouille dans le sud de l'Afghanistan, annonce dimanche l'Alliance atlantique sans autre détail. Cela porte à six - cinq Américains et un Français - le nombre de soldats de la coalition tués dans les combats contre les insurgés islamistes pour la seule journée de samedi. http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Deux-soldats-de-l-Otan-tues-dans-le-sud-de-l-Afghanistan-_-1023453_actu.Htm[/info] L'Otan a obtenu de faibles résultats en Afghanistan Les députés britanniques ont rendu dimanche un rapport accablant sur la mission des forces internationales en Afghanistan, moins efficace que prévue. Les élus mettent notamment en cause «l'éparpillement des objectifs et le manque de sensibilité culturelle». Alors que l'Afghanistan connaît à l'approche de la présidentielle du 20 août une flambée de violence, des députés britanniques ont publié dimanche un rapport au vitriol sur l'efficacité de la mission de l'Otan dans le pays. «En huit ans, l'Alliance n'a pas rempli les objectifs promis», déplorent les députés de la commission des Affaires étrangères des Communes. «L'effort international a donné beaucoup moins de résultats que prévu. Son impact a été considérablement affaibli par l'absence d'une vision cohérente basée sur les réalités de l'histoire, de la culture et de la politique en Afghanistan», écrivent-ils. En cause notamment, «l'important manque de sensibilité culturelle» de certains militaires et les bombardements aériens meurtriers pour la population civile. Cela a amoindri «le soutien des Afghans aux troupes», pointe le rapport. La mauvaise organisation des priorités de l'Otan est aussi responsable de ce mauvais bilan. «Des fautes évitables, comme l'éparpillement ou les chevauchements dans les prises de décision rendent aujourd'hui» la tâche de l'Alliance «beaucoup plus difficile». L'Occident est aussi desservi dans ses efforts par l'absence de «progrès tangible dans la lutte contre la corruption». «Une force de police corrompue pousse les Afghans à chercher la justice auprès des talibans», s'alarment les députés. L'Otan devrait également songer à mieux répartir l'effort de guerre entre tous les pays membres. «L'incapacité de certaines nations à faire en sorte que le fardeau soit partagé exerce une tension inacceptable sur une poignée de pays». Le risque est grand de voir les efforts de l'Otan entravés et sa réputation en tant qu'alliance militaire, à même de mener des opérations en dehors de son périmètre, gravement atteinte», lit-on dans le rapport Ce document accablant survient à un moment critique pour l'Alliance atlantique. La force a perdu en juillet 75 hommes, un record absolu depuis la chute des talibans fin 2001. Le mois d'août ne s'annonce guère meilleur. Pour la seule journée du 1e août, l'Otan a annoncé le décès de six de ses soldats, trois Américains, un Français du 3e Rima, basé à Vannes et deux soldats dont la nationalité n'a pas été précisée. Toutefois, les députés insistent : il n'est pas question de retrait. La communauté internationale doit rester jusqu'à ce que les autorités afghanes soient «en mesure de prendre le contrôle de leur propre sécurité. Ceci doit être l'objectif premier». La stratégie de Londres aussi très critiquée Les députés britanniques sont d'une même sévérité lorsqu'il s'agit d'évaluer la stratégie britannique en Afghanistan. «Notre déploiement dans la province du Helmand a été compromis par une planification irréaliste, un manque de coordination entre les services et d'une manière cruciale, par une incapacité à donner une orientation claire aux militaires», estiment les députés. Non seulement Londres, distrait par son intervention en Irak, a donné des consignes imprécises mais il a mal jugé les attentes des Afghans. Le gouvernement britannique a aussi pénalisé ses troupes en n'envoyant pas suffisamment d'hommes dans le Helmand, en proie à l'insurrection talibane. En outre, l'armée britannique, engagée au nom de la lutte contre le terrorisme international, se concentre sur des tâches trop lourdes et non prioritaires comme la lutte contre la drogue. «En acceptant d'être le principal responsable de la lutte contre les narcotiques, l'Angleterre a reçu un calice empoisonné». 267 millions de dollars ont été dépensés dans cet effort anti-drogue entre 2004 et 2008 sans résultats : la production d'opium a triplé sur la même période, note le rapport. Londres doit «concentrer ses ressources limitées sur une priorité comme la sécurité», recommandent les élus. Les députés soulignent également que la menace d'al-Qaïda émane désormais du Pakistan et non plus de l'insurrection talibane afghane. Le réseau de Ben Laden a potentiellement accès à l'arsenal nucléaire d'Islamabad. Ce rapport devrait embarrasser un peu plus le gouvernement de Gordon Brown dont l'action en Afghanistan est sur la sellette depuis l'explosion des pertes dans les rangs britanniques. 22 soldats ont été tués sur le seul mois de juillet. http://www.lefigaro.fr/international/2009/08/02/01003-20090802ARTFIG00077-l-otan-a-obtenu-de-faibles-resultats-en-afghanistan-.php
  16. [info]KABOUL — Les talibans ont appelé jeudi les Afghans à boycotter les élections présidentielle et provinciales du 20 août et à "rejoindre les rangs du jihad" pour "libérer leur pays occupé des envahisseurs", dans un communiqué diffusé par courrier électronique. "En tant qu'Afghans et que musulmans, tous les Afghans doivent boycotter ce processus américain mensonger", déclarent-ils à propos des élections. "Pour rétablir une réelle indépendance au lieu de se rendre aux bureaux de vote factices, (les Afghans) doivent rejoindre les rangs du jihad et par la résistance et le jihad, ils doivent libérer leur pays occupé des envahisseurs", ajoute le document signé par "l'Emirat islamique d'Afghanistan". "Prendre part à ces élections signifie sympathiser et soutenir les envahisseurs américains, et donc donner une légitimité à l'invasion américaine", poursuit-il. "Tous les moudjahidine doivent s'assurer que ce processus impur échoue. Ils doivent lancer des opérations contre les bases ennemies, ils doivent empêcher les gens de prendre part aux élections, et la veille des élections, toutes les routes doivent être fermées à tous véhicules gouvernementaux et civils. Ils doivent aussi informer la population", ajoutent les talibans. http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-40007235@7-60,0.html[/info]http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iY86-7uK35h8ciGWtTunyQWKKKFQ KABOUL - Un convoi électoral de partisans du président sortant Hamid Karzaï a été attaqué à cinq reprises samedi par des taliban entre Ghazni, dans le sud-est de l'Afghanistan, et Kaboul. Selon le camp présidentiel, le chef de l'Etat, qui se représente au scrutin du 20 août, ne figurait pas dans le cortège, faisant à ce moment-là campagne dans la province septentrionale de Baghlan. Un garde de sécurité a été tué dans ces attaques, qui ont fait aussi deux blessés dans le camp de Hamid Karzaï. "Ces embuscades étaient bien planifiées mais nous avons réussi à nous en sortir", a déclaré à Reuters Fazel Ahmad, membre de l'équipe de campagne du chef de l'Etat. Il s'agissait de la quatrième attaque visant un candidat ou un convoi électoral en un petit peu plus d'une semaine. Parmi les personnalités déjà visées figure le colistier de Hamid Karzaï pour le poste de vice-président, Mohammad Qasim Fahim. Faisant campagne à Kayan, une vallée du nord montagneux du pays, Hamid Karzaï a promis samedi de redoubler d'efforts pour parvenir à un retour à la paix civile en cas de victoire au soir du 20 août. "Nous sommes partagés entre bonheur et doléances. Le terrorisme continue de nous frapper, l'assassinat d'êtres humains et la destruction de cette terre se poursuivent", a déclaré l'orateur devant une foule de ses partisans estimée à plusieurs milliers de personnes. "Après avoir gagné grâce à vos suffrages, la première préoccupation de la première journée de mon nouveau mandat sera d'intensifier les efforts de paix dans ce pays", a-t-il dit. Les taliban ont jusqu'ici rejeté toutes les ouvertures de paix faites par le chef de l'Etat, fixant comme préalable à tout dialogue le retrait de toutes les forces étrangères présentes en Afghanistan. Samedi, trois militaires américains ont été tués dans le Sud, de même qu'un soldat français du 3e RiMa de Vannes qui a trouvé la mort lors d'un accrochage avec des insurgés dans la vallée de Ghayne, au nord de Kaboul. Deux autres militaires français ont été blessés dans cette opération mais leur pronostic vital n'est pas engagé, a précise le ministère de la Défense à Paris. Les rebelles taliban, qui ont juré d'empêcher l'élection présidentielle, ont accentué ces dernières semaines leurs attaques contre les forces gouvernementales et les contingents étrangers.
  17. Oui, si j'étais un commandant Taliban, j'aurai commencer à attaquer les plus faibles parmi les soldats de l'Otan, par faiblesse je parle des pays qui redoute leur propre opinion, la France serait parmi ses pays... Sun Tzu dit: "S'il est lâche, il risque la capture." Ho Yen Hsi dans le Ssu Ma Fa, on lit: "Celui qui place la vie au-dessus de tout sera paralysé par l'irrésolution, Pour un général, l'irrésolution est une catastrophe."
  18. Ahhh Akhilleus, tu me déçois.. En Turquie, il y a un budget brut que le gouvernement verse a l'armée par le biais du ministère de la défense et contrôler par le parlement et un budget réel qui est pas contrôler par le gouvernement turc, ce sont les chiffres d'affaires des entreprises militaires et des dons venant de citoyens... L’armée est présente dans l’économie du pays à travers deux organismes : le Fonds de pension des forces armées (OYAK) et la Fondation pour le renforcement des forces armées (TSKGV). Fondé en 1961, l’OYAK est un holding militaro-industriel coiffant une trentaine d’entreprises (construction automobile, agroalimentaire, travaux publics, assurances, tourisme…) et employant dans les années 2000 plus de 30 000 salariés. Il possède, à travers OYAK Bank, l’une des plus grandes institutions financières du pays. Le TSKGV, qui coiffe également plus d’une trentaine d’entreprises de production d’armements allant de la conception à la fabrication de systèmes électroniques militaires, de fabrication sous licence de chasseurs F-16 et de production de radars et d’armement classique (blindés, armes lourdes et légères de diverses catégorie, transport de troupes…). Elle emploie plus de 20 000 salariés. Ces deux holdings réalisent un chiffre d’affaires estimé à plusieurs milliards de dollars par an.
  19. C'est juste le budget brut...le budget réel s'approche des 20 milliards $...
  20. Voici les avions ravitailleurs Kc-135 de la TUAF (Turkish air force) 8) :
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