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  1. Pour info, le CDG part pour l'est de la Méditerranée : Selon une source proche du ministre de la Défense, le porte-avions français Charles de Gaulle devrait rejoindre de façon imminente le "théâtre est-méditerranéen, quelque part entre Chypre et les cotes syriennes". La même source indique que "la décision a été prise, même si elle n’est pas encore officielle". La porte-avion nucléaire, fleuron de la marine nationale, est à nouveau opérationnel après une remise à neuf effectuée lors d’un arrêt technique de plusieurs mois au chantier naval DCNS de Toulon. La sortie du porte-avion, sur ce qui pourrait devenir un théâtre opérationnel, se fera en collaboration avec la marine américaine qui a déjà positionné un destroyer supplémentaire en Méditerranée. Au total quatre navires de l’US Navy équipés de missiles de croisière Tomahawk y seront présents. http://www.challenges.fr/monde/20130827.CHA3270/la-france-envoie-le-porte-avions-charles-de-gaulle-vers-les-cotes-syriennes.html
  2. D'après Radio Shems, une radio tunisienne, Kadhafi s'apprêterait à quitter la Libye. A prendre avec des pincettes bien sur vu que K aurait déjà dû partir 10 fois depuis le début du soulèvement... Le seul point concordant pourrait être que les troupes de K se sont rassemblées au point de passage de Ras Jdir à la frontière tunisienne ces dernières heures. Point discordant c'est la destination, que viendrait il faire en Europe ?? A voir dans les prochains jours mais je crois pas des masses à cette news. Voici l'article qui vient à l'instant de sortir et qui fait la UNE de la radio : Les médiations se poursuivent en Libye et semblent se diriger vers une issue diplomatique après plusieurs mois de guerre. D'après nos sources, la famille Kadhafi est prête à quitter la Libye à travers le point de passage de Ras Jdir, actuellement sous contrôle des troupes loyales au colonel Kadhafi. Ce dernier, sa famille élargie et ses proches collaborateurs auraient pour destination l'Europe, mais leur départ est remis en cause en raison de l'intention des forces de l'OTAN de bombarder la zone frontalière par laquelle le clan au pouvoir devra passer. Outre les Kadhafi et leurs proches se trouvent les émissaires vénézuéliens envoyés par le président Hugo Chavez. Un avion attend l'ensemble de la délégation à Djerba, et si le départ des Kadhafi est désormais certain, on ne sait pas quand il sera effectif
  3. L'article de DEBKA retranscrit par SLATE : La Turquie avec l'aval des Etats-Unis aurait donné jusqu'au 27 août à Bachar el-Assad pour mater la révolte populaire en Syrie et lancer des réformes institutionnelles selon le site Debkafile. Cette décision ferait suite à la rencontre de six heures au début de la semaine entre Bachar el-Assad et le ministre turc des affaires étrangères, Ahmet Davutoglu. Le dirigeant syrien a affirmé à son interlocuteur que la révolte était menée essentiellement par des Islamistes extrêmistes et notamment les Frères musulmans. Le quotidien turc Hurriyet accrédite cette thèse d'un dernier répit donné à Damas en faisant part de la remise d'une lettre du Président turc Abdullah Gul à Bachar el-Assad, qui est un ultimatum demandant rapidement la fin des violences contre les manifestants. «Jusqu'à maintenant, nous avons essayé de convaincre les nations occidentales de donner à Assad plus de temps pour mener des réformes. Nous sommes aussi amicaux que nous le pouvons - nous avons tenu des réunions ministérielles communes et avons annulé le besoin d'un visa pour entrer en Turquie de Syrie», aurait écrit Abdullah Gul selon Hurriyet. Il aurait ajouté: «Mais si le régime syrien n'écoute pas nos conseils, en tant qu'ami et voisin, et continue à tirer sur son peuple, nous ne pourrons plus être amis». La Turquie a décidé d'accorder une dernière chance à Bachar el-Assad. Mais s'il ne suit pas les «recommandations turques», Ankara reprendra les discussions avec Washington au sujet d'une possible intervention militaire en Syrie. Ankara a mobilisé vendredi 12 août des officiers réservistes et les a envoyé à la frontière syrienne notamment pour faire face à l'afflux de réfugiés. Il est de toute façon difficile de faire confiance au Hassad. Mardi 10 août, le régime syrien avait invité le ministre turc des affaires étrangères et des journalistes (pas étrangers, ils sont persona non grata en Syrie) a voir par eux-mêmes le retrait des chars de la ville de Hama qui a été le théâtre de la répression la plus sanglante. A peine Ahmet Davutoglu était parti, les chars étaient de retour dans les rues. Des milliers de personnes sont d'ailleurs encore descendues dans les rues vendredi 12 août dans les villes de Homs, Hama, Damas, Deir al-Zour, Alepp et Idlib non loin de la frontière turque. A de nombreux endroits, les forces de l'ordre ont ouvert le feu sur les manifestants et auraient au moins tué 20 personnes et blessé des dizaines d'autres. Selon un docteur cité par la BBC, «tout médecin découvert en train de soigner un blessé par balle est immédiatement arrêté». Sinon, les fantasmes russes : Un haut diplomate russe a récemment révélé que l’Otan avait d'ores et déjà déjà mis au point un plan afin d'envahir la Syrie, attendant seulement de trouver les sources de financement. Cette source, qui fait partie de la délégation russe auprès de l’Otan, et citée par le quotidien russe Izvestia, affirme que le plan ressemble à celui appliqué en Yougoslavie. Les sources de financement de l’opération, estimée à 15 milliards de dollars, sont recherchées auprès des pays arabes du Golfe. Le chef de cette délégation, le Général Dmitri Rogozine, avait auparavant révélé pour Ria Novosti (agence de presse russe), que ce plan visait à renverser le régime de Bachar al-Assad et à mettre en place un pont littoral qui puisse servir à attaquer l’Iran. Le haut diplomate russe a indiqué avoir entre les mains des documents montrant un plan semblable à celui appliqué en Yougoslavie, pour la traduction de Slobodan Milosevic devant le Tribunal Spécial pour la Yougoslavie. Ce plan prévoit un bombardement aérien intensif durant plusieurs semaines, prenant pour cible les centres de commandement et menant à la capitulation du régime syrien dont les responsables seront traduits comme des criminels de guerre devant un Tribunal Spécial pour la Syrie. « Les données que nous avons pu obtenir montrent que l’Otan a mis au point les plans détaillés nécessaires pour cette opération, et a déjà précisé, entre autre, la liste des cibles qui seront bombardées » précise la source russe, précisant qu’il ne reste plus qu’à s’acquérir des couvertures juridique, politique et financière, d’où la nécessité de parvenir à faire voter une résolution au sein du Conseil de sécurité de l'ONU ! L’éventualité d’un veto russe et chinois, ou de l’un des deux, est toutefois envisagée, et l’Otan est prête à mener cette campagne sans couverture internationale, prévoyant une confrontation politique avec les Russes et les Chinois. Le plan prend également en considération le cas où le Hezbollah et l’Iran entreraient dans la ligne de crise, et ouvriraient un front contre l’entité sioniste, engendrant un conflit régional ouvert. Selon la source russe, les discussions au sein du commandement de l’Otan ont été marquées par une colère virulente au moment où l’armée syrienne investissait la ville de Hama. Les dirigeants de l'Otan ont en effet conclu à un comportement du régime syrien « stupide et irréfléchi », parce qu’il n’avait pas compris que la visite des deux ambassadeurs américain et français dans cette ville signifiait qu'elle jouissait désormais de la protection de l’Otan, et que toute attaque contre Hama ferait payer au régime syrien un prix politique cher. Les cibles syriennes choisies par l’Otan, en cas de bombardement aérien, comprennent trois stations radars, les batteries sol-air de type Batsner vendues par la Russie à la Syrie il y a deux ans pour protéger ses sites stratégiques et qui agissent en basse altitude, et les autres batteries sol-air qui sont installées dans les environs de Damas. Les bases aériennes et les sites de communication affiliés aux commandements militaires syriens font aussi partie de la liste des cibles. Les dirigeants russes ont informé, il y a plus de deux semaines, les autorités syriennes des préparatifs de l’Otan…
  4. Après l'Arabie Saoudite, la Turquie s'impatiente sérieusement sur la situation en Syrie : Le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan a convoqué une réunion d'urgence lundi à Ankara pour examiner la situation générale et les développements en cours en Syrie. Selon des sources médiatiques, les travaux de la réunion seront axés sur les développements en cours en Syrie, ainsi que sur les mesures sécuritaires à prendre sur les frontières liant les deux pays voisins, «avant toute opération militaire probable». Cette réunion regroupe le chef d'Etat Major turc, le général Nejdat Ozal, les ministres de la Défense et de l'Intérieur, ainsi que de hauts responsables du gouvernement, selon les mêmes sources. Cette réunion intervient à la veille du déplacement du ministre turc des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu, à Damas. ... Le minitre des Affaires Etrangères devrait adresser "un message décisif" à Damas. Réponse des syriens : La conseillère politique et médiatique de la présidence syrienne, Bouthaina Chaaban, a affirmé dimanche "qu'au cas où le ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Davitoglu transmettrait à la Syrie un message ferme, il entendra alors une position syrienne plus ferme sur l'attitude de son pays qui n'a pas encore condamné les massacres commis par les groupes terroristes armés, contre les citoyens, la police et les militaires."
  5. Des insurgés chargés d'emmener à Benghazi le général Abdel Fattah Younès pour y être interrogé l'ont tué avant de jeter son corps à l'extérieur de la capitale de la Cyrénaïque, a annoncé vendredi Ali Tarhouni, membre du gouvernement libyen rebelle. Selon cette version, un chef de milice qui avait reçu l'ordre d'aller chercher près de Bréga l'ancien compagnon d'armes de Mouammar Kadhafi passé dans les rangs de la rébellion a été arrêté. Il est passé aux aveux et a reconnu que ses hommes avaient tué l'ancien ministre libyen de l'Intérieur. Ceux qui ont tiré sur lui sont en fuite. La mort dans des circonstances mystérieuses de ce chef militaire pourrait masquer de profondes divisions au sein de la rébellion ou un assassinat commis par des fidèles de Mouammar Kadhafi. Autre extrait du nouvel obs : Mohammed Agoury, un membre des forces spéciales sous le commandement de Younès, a accusé une faction rebelle de l'avoir tué. Il a déclaré vendredi à l'Associated Press qu'il était présent lorsque des membres de cette faction, la Brigade des martyrs du 17 février, sont arrivés dans son QG avant l'aube mercredi et l'ont emmené pour l'interroger. Agoury précise avoir voulu l'accompagner, "mais Younès leur faisait confiance et est parti seul", a-t-il expliqué. "Ils nous ont trahis et l'ont tué." La Brigade des martyrs du 17 février est composée de centaines de civils qui ont pris les armes pour rejoindre la rébellion. Ses hommes participent aux combats sur le front contre les troupes de Kadhafi, mais le groupe fait également office de force de sécurité intérieure officieuse de l'opposition. Une partie de ses dirigeants sont issus du Groupe de combat islamique libyen (LIFG), qui a mené une campagne de violence contre le régime Kadhafi dans les années 1990. Selon Mohammed Agoury, la Brigade en voulait à Younès, car ce dernier, ancien ministre de l'Intérieur de Kadhafi, avait été impliqué dans la répression contre le LIFG. Plus prudent, le chef du Conseil national de transition (CNT, organe politique de la rébellion) Mustafa Abdul-Jalil a attribué sa mort à des "hommes armés", précisant qu'un suspect avait été arrêté. Abdul-Jalil a précisé que Younès avait été "convoqué" à Benghazi pour être interrogé sur une "affaire militaire" et avait été tué avec deux de ses collaborateurs alors qu'il faisait route vers le fief rebelle. Mais quelques heures avant l'annonce de sa mort, le porte-parole des rebelles Mohammed al-Rijali avait déclaré que Younès avait été emmené à Benghazi pour être interrogé sur des suspicions de liens entre sa famille et le régime de Kadhafi.
  6. A priori, une opération se prépare en Syrie, contre des unités de l'armée dissidentes (MediArabe) : Selon plusieurs sources syriennes, le régime de Damas prépare une vaste opération militaire contre Deir Ezzor. Des troupes sont envoyées en renfort et des unités blindées sont massées en vue de mener une expédition punitive contre la ville de l’est de la Syrie. Selon les mêmes sources, l’aviation militaire s’apprête à pilonner la 7ème unité mécanisée qui est entrée en dissidence et qui a rejoint la révolte. L’opposition syrienne affirme que le massacre en préparation prouve que le régime de Bachar Al-Assad vit une véritable hystérie. L’opposant historique Riad Turk affirme ce matin que « la démocratie ne peut s’installer en Syrie tant que Bachar Al-Assad est au pouvoir. Sa chute est indispensable pour démocratiser le pays ». Sinon, les manifs du jour avaient pour thème la dénonciation du silence de la communauté internationale. Le mois du ramadan sera sans doute capital, vu qu'il y aura des prières tous les jours, ça va partir en manifs tous les jours. Si l'opposition se structure, ça peut contribuer à la chute d'Assad, une bonne fois pour toute! Au passage, le président israëlien a déclaré il y a quelques jours que Bachar devait partir.
  7. D'après Al Jazeera, Younes aurait été tué par un groupe armé dont le chef a été arrêté (avec 2 autres lieutenants). Younes avait bel et bien été convoqué à Benghazi pour un interrogatoire sur la situation à Brega. Le reporter d'Al Jazeera aurait assisté à une discussion houleuse devant un hôtel de Benghazi avant l'assassinat de Younes. Dans la foulée, puissantes explosions à Tripoli.
  8. Salut ;) Dépêche de Reuters : Le chef militaire de la rébellion libyenne rappelé du front Les insurgés libyens basés à Benghazi ont rappelé des lignes de front Abdel Fattah Younès, qui dirige leurs opérations militaires contre Mouammar Kadhafi, a-t-on rapporté ce jeudi de source rebelle. On ignore pour le moment la raison pour laquelle Abdel Younès, ex-ministre libyen de la Sécurité qui a fait défection pour rejoindre la rébellion en février, a été rappelé. Le bruit a toutefois couru qu'il était soupçonné d'avoir mené des discussions secrètes avec le gouvernement de Mouammar Kadhafi. Une source rebelle a dit qu'Abdel Younès avait été rappelé jeudi matin de Brega, mais sans pouvoir en indiquer la raison. Un responsable du Conseil national de transition (CNT) a confirmé qu'Abdel Younès se trouvait à Benghazi, mais en ajoutant qu'il était revenu du front en se disant insatisfait de la situation sur le terrain et que des responsables tentaient de le persuader d'y retourner. Le domicile d'Abdel Younès à Benghazi était gardé jeudi par des soldats qui bloquaient la rue et ne laissaient passer personne, a constaté un journaliste de Reuters. — Reuters
  9. Et le bureau du Colonel a été détruit ! Les forces de l'Otan ont détruit, tôt lundi, un bâtiment de la résidence de Bab al-Aziziyah de Muammar Kadhafi, à Tripoli, une attaque qualifiée par un responsable du gouvernement de tentative d'assassinat du colonel libyen. Les pompiers s'employaient toujours à éteindre les flammes s'échappant du bâtiment détruit lorsque des journalistes ont été conduits sur place quelques heures après l'attaque. Selon un responsable chargé de la presse, qui a requis l'anonymat, Kadhafi utilisait ce bâtiment comme bureau pour des réunions ministérielles. Quarante-cinq personnes ont été blessées, dont quinze grièvement, et des personnes sont portées disparues, a ajouté ce responsable, qualifiant l'attaque de tentative d'assassinat de Kadhafi. Il n'était pas possible de confirmer ce bilan de source indépendante. Trois puissantes explosions ont secoué Tripoli dans la nuit de dimanche à lundi. À la suite de cette série d'explosions, trois chaînes d'État, la télévision libyenne, Jamahiriyah et Shabaiyah, ont interrompu leur diffusion pendant une demi-heure avant de reprendre leur programmation.
  10. La TV d'Etat libyenne est en partie HS (3 chaines), des frappes auraient détruit les systèmes telecom à Tripoli Le Libyan Broadcasting Building sur Alnaser Street a été très durement touché. Fortes explosions sur Bab al Azizia où des gens sont en train de fuir la caserne, explosions également sur Siyahiya street A priori, l'OTAN s'attaque durement aux moyens de télécom ce soir ! De fortes explosions secouent le centre de Tripoli TRIPOLI - Des fortes explosions ont secoué dans la nuit de dimanche à lundi le centre de Tripoli, tandis que des avions survolaient la capitale libyenne, ont constaté des journalistes de l'AFP. Les détonations, les plus fortes ayant secoué la capitale jusqu'ici, ont fait trembler l'hôtel hébergeant les correspondants de la presse étrangère à Tripoli, pas loin du centre ville. Les explosions ont été ressenties lundi vers 00H10 locale (22H10 GMT dimanche) dans plusieurs quartiers de la capitale libyenne, cible depuis vendredi de raids intensifs de l'Otan. Tentative de détournement d'avion ROME - Un homme a tenté dimanche soir d'agresser une hôtesse avec un couteau sur un vol Paris-Rome d'Alitalia, avec le projet de le détourner vers Tripoli, avant d'être immobilisé, a indiqué l'agence ANSA, citant des sources de la police italienne des frontières.
  11. Je suis assez d'accord avec toi, peut-être qu'on fait trop dans l'angélisme, mais il faut tenter, de toute façon.
  12. Oui c'est vrai qu'on peut se poser des questions sur le timing... Surtout que les rebelles sont en train de gagner du terrain à Misrata... Curieux.
  13. Le leader rebelle à Misrata demande une intervention au sol ! MISRATA (Libye) - Un responsable des rebelles qui contrôlent Misrata, ville libyenne assiégée depuis des semaines par les forces loyales au colonel Kadhafi, a indiqué mardi qu'ils demandaient formellement l'intervention de troupes occidentales au sol pour assurer leur protection. Nouri Abdallah Abdoullati a indiqué à la presse que les rebelles demandaient l'envoi de soldats français et britanniques sur la base de principes "humanitaires". "S'ils ne viennent pas, nous allons mourir", a-t-il déclaré. Les rebelles à Misrata n'ont pas de contact direct avec les forces de la coalition, et M. Abdoullati a indiqué que leur requête avait été envoyée la semaine dernière sous forme de lettre via le Conseil national de transition, organe politique représentatif de la rébellion et basé à Benghazi. Mais ils n'ont pas encore obtenu de réponse, a-t-il ajouté. "Nous n'avons accepté (jusqu'à présent) la présence d'aucun soldat étranger dans notre pays, mais désormais, nous sommes confrontés aux crimes de Kadhafi et nous demandons sur la base de principes humanitaires et islamiques que quelqu'un vienne et fasse cesser la tuerie". Il souligne que le Coran stipule qu'en cas d'impossibilité pour des musulmans d'apporter leur aide, il est acceptable d'être aidé par des chrétiens. "Auparavant, nous demandions qu'il n'y ait aucune interférence étrangère, mais c'était avant que Kadhafi utilise des roquettes Grad et des avions". "Désormais, il s'agit d'une situation de vie ou de mort", a-t-il ajouté. "Même si 400.000 personnes meurent, et 100.000 vivent, ce sera une victoire", a-t-il poursuivi, insistant sur le caractère "urgent" de la situation. La coalition internationale a commencé à intervenir en Libye le 19 mars, sous mandat de l'ONU, afin de protéger les civils par des frappes aériennes. La question de l'envoi de troupes au sol fait l'objet d'un débat parmi les pays participants, dont la France et la Grande-Bretagne. L'Otan a pris le commandement des opérations le 31 mars.
  14. Tremblez ! C'est cool de mettre une succession de liens, mais il faut être sûr que les sources sont potables. Pour le Figaro, comme le précise un commentaire à la fin, l'interview est bidon, l'info vient d'un quotidien arabe publié au RU. L'info a même été démentie par Al Qaida via Al Jazeera et un autre quotidien arabe. Bien sûr qu'il y a de l'Al Qaïda en Libye, comme y en avait noyé dans les révolutions tunisiennes et égyptiennes, comme il y en a en Syrie. Comment veux tu empêcher l'infiltration de quelques cellules dans ces périodes d'anarchie ? Pas pour autant qu'ils vont parvenir à installer des émirats à Tunis, Le Caire ou Tripoli ni à conquérir le pouvoir dans ces pays. Pour la peine, Fillon vient de déclarer que la France allait intensifier ses frappes.
  15. Deux obus de mortier des forces pro-Kadhafi sont tombés lundi après-midi du côté tunisien de la frontière avec la Libye dans la zone de Dehiba, dans le grand Sud tunisien, selon des témoins interrogés mardi par l'AFP et des sources militaires. Apparemment toutes ces violations du territoire tunisien ne dérangent pas les autorités...
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