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rendbo

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Messages posté(e)s par rendbo

  1. Il y a 12 heures, nemo a dit :

    HA mais il est certain qu'ils ont dans leur plan militaire le fait d'être capable de bloquer le passage. Une telle capacité ne s'improvise pas et cela fait certainement des années qu'ils y pensent et s'y préparent. Mais développer une capacité et se retrouver dans le contexte ou on l'utilise sont deux choses différentes.

    J'aurais vu ça comme le moyen de dissuasion ultime (du pauvre) si les évènements militaires avaient mal tourné il y a quelques années contre la coalition saoudienne/émiratie. Le fait qu'ils s'en servent maintenant est assez étonnant :

    • soit ils sont prêt à plus sur le front intérieur mais quelqu'un les retient... mais si les USA les reconnaissent, alors se ne serait tout de même un gros gain à peu de frais ;
    • soit la cause palestinienne leur tient vraiment à coeur...

     

  2. Le 04/04/2024 à 21:48, herciv a dit :

    Quand tu attaques des moyens militaires français ou danois qui n'ont pas grand chose à voir avec Israël je pense que la Palestine est bien un alibi pour les houthis.

    Le fameux voyageur égaré, comme certains l'appellent dans d'autres fils", bah quand il est entre le lanceur et le cargo, bah il se prend (ou pas) un missile dans la bouche...

  3. Il y a 6 heures, Ciders a dit :

    C'était bien la peine d'investir des centaines de milliards dans la conception, le développement et la modernisation d'une triade nucléaire et de forces conventionnelles gigantesques pour se faire dessus à la première roquette.

    Qui disait que la Russie n'était pas une menace déjà ?

    @rendbo Ce n'est peut-être pas aussi simple qu'une partie de Stardew Valley. Sinon, l'URSS serait devenue en trois ans la première puissance céréalière galactique.

    Bah si. le choix a été fait de produire des agro carburants plutot que du blé, et même de délocaliser ailleurs les grains de moutarde emblématique de la région dijonnaise. Après évidemment s'il faut justifier le risque alimentaire que ferait courir la Russie, alors là je m'incline, le dogme est roi.

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  4. Il y a 20 heures, CANDIDE a dit :

    Ce qui dit Attal n'est peut-être pas totalement idiot. D'ailleurs moi-même je l'ai évoqué dans le forum il y a quelques semaines. Si la Russie absorbe l'Ukraine ou même seulement les terres noires à l'Est, elle contrôlera 20%+15% des exportations mondial de blé. Avec le contrôle de 35% des exportations de blé, elle sera en quelque sorte l'Arabie Saoudite du blé. Et il me semble que le pouvoir de l'AS d'orienter les prix et quantités n'est pas négligeable. 

    Ce que dit Atal est complètement con (en tout cas à première vue) vu qu'à la différence du pétrole, le blé tu le plantes et ça pousse.

    Il serait donc intéressant de se demander pourquoi nous n'avons plus ou pas cette fameuse souveraineté alimentaire...

    • Confus 1
  5. Il y a 19 heures, ksimodo a dit :

    mais bon, tous les consulats et ambassades d'ISr de part le monde vont devoir passer leur plan d'état d'alerte de violet pourpre à noir. Et quand une pétera, la question n'étant pas "si" mais "quand et ou", ce sera une raison d'escalader. L'escalade est permise sans motif, alors avec un motif tu penses bien....

    Pas que eux. La Géorgie ayant fait sauter le verrou psychologique de la trêve olympique, je pense qu'à Paris il y en a qui doivent avoir de grosses sueurs froides à cause de l'EI et d' "Israël & voisinages"...

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  6. il y a 37 minutes, Lordtemplar a dit :

    que tu donnes des exceptions pour certains diplomes ingenieurs, docteur etc... par contre des diplomes comme beaux art, literature, histoire, etc... ne sont pas la priorite quand ton pays est envahi.

    La covid ne serait pas passée par là, sans doute que j'aurais été à moitié d'accord avec toi (j'évoque les éditos post covid critiquant que Macron cherchait plus à sauver des entreprises que la culture et les festivals, qui font aussi pourtant vivre un tas de gens et rapporte un tas d'argent) .

    Qu'est ce qui fait que l'Ukraine est l'Ukraine et pas la Russie ou la France ? C'est sa culture, transmise, affinée ou réinventée de génération en génération par des penseurs, des idéologues, des historiens, des écrivains, des musiciens, des... J'ai beau être un super technicien (dans le sens homme de la technique), je ne peux que constater le gouffre entre un "penseur" ayant réfléchi sur un sujet et moi, le même gouffre que quand on se place devant un sujet technique et que je les vois dans les choux.

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  7. Il y a 17 heures, rasi a dit :

    Selon la radio bosniaque Radio Sarajevo , le président faisait peut-être référence à la décision du haut représentant de Bosnie à l'ONU, Christian Schmidt, de modifier la législation électorale du pays. 

    Ce serait bien de savoir quelle est la modification, histoire de pouvoir fonder un avis un minimum objectif... parce qu'à la lecture de cet article, la situation a l'air complexe quand on lit cet article d'octobre 2022 :

    Citation

    https://blogs.letemps.ch/leon-de-perrot/2022/10/06/elections-en-bosnie-herzegovine-une-reforme-de-la-treizieme-heure/

    Ce dimanche 2 octobre 2022 se sont tenues des élections générales en Bosnie-Herzégovine. Ont alors été renouvelés les Parlements des deux entités, le Parlement et la Présidence tripartite du pays, ainsi que la Présidence de l’entité Republika Srpska (RS). Une élection majeure donc, en particulier au vu des tensions qui l’ont précédée : le Haut-Représentant, envoyé plénipotentiaire de la Communauté internationale, a été au centre de l’attention, ayant dû imposer les moyens financiers nécessaires aux élections par décret suite à la tentative de blocage de la part des partis ethno-nationalistes croates et serbes, mais surtout en tentant d’imposer une réforme électorale très polémique. Le principal parti ethno-nationaliste croate, la Communauté Démocratique Croate (HDZ BiH), a par ailleurs menacé jusqu’à la onzième heure d’un boycott des élections si ses revendications concernant la modification de la législation électorale n’étaient pas adoptées.

        Élections bosniennes : une révolution électorale ?

    Les résultats de l’élection présidentielle auront été au bas mot surprenants, du moins en ce qui concerne l’entité voisine de la RS, la Fédération (FBiH). Ont ainsi été élus aux sièges bosniaque et croate de la Présidence tripartite du pays deux candidats n’appartenant pas aux principaux partis ethno-nationalistes. Denis Bećirović, candidat social-démocrate bosniaque, a ainsi remporté haut-la-main son duel avec près de 57 % des voix contre le leader du Parti d’Action Démocratique (SDA), principal parti ethno-nationaliste bosniaque [...].

    Du côté du membre croate de la Présidence, c’est le sortant de centre-gauche Željko Komšić (Front Démocratique, DF) qui remporte avec 54,6 % des voix son quatrième (!) mandat face à Borjana Krišto candidate du principal parti ethnonationaliste croate bosnien aux tendances sécessionnistes ambiguës, le HDZ BiH. Celle-ci n’a d’ailleurs pas reconnu la victoire de son concurrent, voire n’a tout simplement pas reconnu son existence-même, [...]. Les réactions ne se sont d’ailleurs pas faites attendre de Croatie, où le très polémique Président Zoran Milanović a appelé le Haut-Représentant en Bosnie-Herzégovine à refuser à Komšić son élection et à l’écarter du poste auquel il a pourtant été démocratiquement élu, tandis que le parti conservateur croate Most (Pont des listes indépendantes) cherche quant à lui à déclarer Komšić persona non grata dans le pays.

    Si l’autre entité bosnienne, la Republika Srpska, aura créé moins de surprise avec l’élection à 52 % des voix de Željka Cvijanović de l’Alliance des Sociaux-Démocrates Indépendants (SNSD) dont le le chef est le membre sortant de la Présidence tripartite, le leader sécessionniste Milorad Dodik, c’est la presque non-élection de ce dernier à la Présidence de l’entité RS qui n’était en revanche pas attendue. [...].

    Révolution électorale en Bosnie-Herzégovine ? Pas vraiment. Aux résultats de la Présidence tripartite et de la Présidence de l’entité RS, fonctions fortement personnalisées, s’opposent ceux des élections parlementaires. C’est ainsi le trio habituel des partis ethno-nationalistes bosniaque (SDA), croate (HDZ BiH) et serbe (SNSD) qui sortent largement en tête. Le SNSD garde ainsi la main-haute en Republika Srpska avec près de 40 % des voix, tandis que le HDZ se profile en faiseur de roi en FBiH entre le SDA, toujours premier parti de l’entité et du pays, et les oppositions de centre-gauche (Naša Stranka, Front Démocratique, Parti social-démocrate). Des analyses estiment néanmoins que le SNSD et le HDZ BiH pourraient être exclus du gouvernement bosnien au niveau national.

        Christian Schmidt, le retour

    Et pourtant les résultats des élections ont été rapidement éclipsés par un autre événement : à la surprise et confusion générales, le Haut-Représentant de la Communauté internationale en Bosnie-Herzégovine Christian Schmidt a décidé d’imposer en plein décompte des résultats une réforme de la législation électorale de la FBiH. La réforme porte principalement sur l’augmentation du nombre de délégués dans la Chambre Haute du Parlement de la FBiH ainsi que sur le délai de formation d’un gouvernement, dans l’espoir – explique Christian Schmidt – de « débloquer » la situation après les élections. Le Haut-Représentant avait déjà tenté d’imposer une autre réforme législative et constitutionnelle sur les questions électorales dans un format plus radical en juillet dernier, mais avait dû la retirer après la polémique majeure provoquée par la fuite du projet dans la presse : le Haut-Représentant Schmidt, dont les liens forts avec le HDZ au pouvoir en Croatie et sa branche-sœur bosnienne le HDZ BiH sont fréquemment critiqués, avait alors été accusé de favoriser le parti ethno-nationaliste croate bosnien, seul acteur à saluer sa proposition de réforme (voir notre article à ce sujet ici). Mais aujourd’hui, personne n’est satisfait : tous les partis dénoncent le principe-même d’imposer une réforme, en particulier à ce moment précis, tandis que le HDZ BiH regrette des réformes « cosmétiques » et que les autres acteurs politiques accusent à nouveau le Haut-Représentant de jouer le jeu des ethno-nationalistes croates bosniens. Ajoutant de l’huile sur le feu, le gouvernement d’Andrej Plenković en Croatie voisine a reconnu avoir collaboré « discrètement » (sic) avec Christian Schmidt dans l’élaboration de la réforme, quelques jours avant l’annonce de celle-ci.

    Au-delà de l’ingérence grave d’un pays voisin dans un État souverain et de l’imposition d’une réforme qu’aucune majorité politique ne soutient par un délégué de la Communauté internationale auquel fait défaut la légitimité démocratique, c’est surtout le timing et le décalage complet entre le résultat des élections et la décision du Haut-Représentant qui choquent, et l’entêtement de ce dernier à imposer sa réforme électorale, par ailleurs controversée au sein de la Communauté internationale-même et qui menace d’éroder encore davantage la légitimité déjà bien mise à mal de l’institution. Comme le souligne le sociologue Eric Gordy dans un récent commentaire, la décision de ce plénipotentiaire allemand non-élu va complètement à l’encontre de la complexité du choix politique exprimé par la population bosnienne ce dimanche dans les urnes. [...].

    Enfin, dans un pays où le taux de participation est déjà très bas et où la confiance dans les institutions politiques et démocratiques flirte avec le fond de l’abîme, l’imposition d’une modification de la loi électorale pendant le décompte des voix paraît totalement absurde et irrationnel, même si celle-ci n’affecte que les corps législatifs et exécutifs élus indirectement et non les sièges attribués pendant l’élection directe. La transparence et prévisibilité du processus électoral, même des chambres élues indirectement, sont des principes fondamentaux essentiels de la démocratie représentative : dans le jeu électoral, la seule incertitude qui doit régner en démocratie est celle qui entoure le nom du vainqueur, pas les règles du jeu. [...].

        Problème international, institutionnel, individuel ou « all of the above » ?

    Dans Democracy by Decree (2015), le politologue Adis Merdzanovic souligne que l’exercice des pouvoirs du Haut Représentant dépend en grande partie de la conception individuelle que celui-ci a de son travail et de sa mission, de sa philosophie personnelle en quelque sorte. Si notre article précédent dédié au Haut Représentant nuançait ce propos, mettant l’emphase sur la position plus encline à favoriser les partis ethno-nationalistes qui prévaut actuellement au sein de la Communauté internationale, il est ici difficile de faire plus « personnel » que la décision de Schmidt, dont la Commission européenne elle-même s’est distanciée de manière ambiguë. [...].

     

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  8. Il y a 2 heures, Lordtemplar a dit :

    rire ou pleurer?  

    l'Arabie Saoudite siege preside la commission de l'ONU pour le droit des femmes!  je me demande dans quel monde on vit.

    https://www.theguardian.com/world/2024/mar/27/saudi-arabia-un-womens-rights-commission

    c'est à  pleurer selon notre définition, mais selon la leur, ils vont sans doute enfin pouvoir agir pour redonner aux femmes la vraie place que eux pensent être la meilleur (en se disant que nous nous fourvoyons)...

  9. il y a 8 minutes, MIC_A a dit :

    Et comment il a fait à l'allée pour rentrer au port et charger, il est bien passé sous ce pont que je sache.
    Sur la photo, c'est évident qu'en l'état il ne puisse plus passer !

    C'est la mature le point le plus haut du navire sur la passerelle, les conteneurs arrivent sous le niveau de la passerelle.

    l'a fait comme les camions quand ils sont juste pour passer dans un tunnel : dégonfler tous les pneus !:chirolp_iei: 

    (j'avais pourtant bien mis les smileys pour bien faire comprendre que le navire passe et que les questions de certains sont étranges pour moi)

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  10. il y a une heure, Colstudent a dit :

    Ca va faire du bien ça sur le front !   

    Je ne sais pas. Les équipements sont livrés à un rythme tel que certes ils augmentent le coût humain et matériel pour les Russes, mais ça ralentit à peine le processus de recul engagé depuis deux ans (et les humains eux ne se remplacent pas), quand à imaginer regagner les territoires perdus, à moins d'un profond changement interne en Russie ou d'une entrée en guerre massive de l'Occident, cela ne me semble pas possible en l'état.

    Au final on saigne plus longtemps l'Ukraine, on prolonge son calvaire, et pour quoi ? 

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  11. il y a 11 minutes, Akilius G. a dit :

    A la folie (aucune limite), énormément (envoi de troupes), beaucoup (des milliards), moyennement (des équipements), un peu (de vieux équipements), pas du tout (?).... On a un peu du mal à s'y retrouver côté intention...

    vu qu'il n'y a plus les autoroutes, suffit de privatiser les hôpitaux et les retraites...

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