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colonio

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Messages posté(e)s par colonio

  1. "Encore c'est rapide parce qu'il faut d'abord analyser les retex en faire une synthèse. Les faire remonter en haut puis une fois vu. Ils demandent des préconisation puis on lance une étude qui doit elle aussi validé. Ensuite on lance un appel d'offre et il faut encore choisir parmi les candidats."  

    Un peu le même système que dans l'armée rouge en 1970.

    Il y a un mec qu'on a payé 3 ans pour analyser que le lit du mec il était pourri. Il a lancé une étude, il a fait une étude au cas ou on lui aurait menti une expérimentation doctrinale d'emploi du lit picot!!! 1 an de sieste.Après il a choisi le lit dont le critère de choix était français ou et le moins chers.Mes respects.

    Là il se lance dans un programme de modernisation des brosses à cirage.Il faut compter une petite dizaine d'années à priori.

    Si je payais pas d’impôts je croirais à une blague. La place est libre je signe tout de suite.

  2. il y a 9 minutes, Scarabé a dit :

    En 2025 Si les effectifs reste identique l'armée de terre sera organisé en 18 GTIA Scorpion.

    Si on passe à 2% du Budget en 2020 on reste à 18 GTIA par contre on augmente la cadence des livraisons et on rajoute 3 Régiments dans l'organigramme. Tout est déjà prévu.

    Environ 5000 hommes supplémentaires devraient être recrutés .     

    Pour le VBRM Léger l'appel d'offre européen pour l'achat sur étagère des 558 engins doit être notifiée avant la fin de l'année 2017. Pour des livraison prévu en 2019.

     

    SI. GTIA à dominante INF ou ABC?

    SI. Alors qu'on rajoute 3 régiments de légion car il sera difficile de recruter plus.

    combien de soldats faut il recruté pour augmenter le total de 5000H, 10000?

    Et on en fait quoi des VBRM légers? On les stocke au parc d'alerte?Ou bien on change tout le parc sur un théatre en fonction du régiment qui arme la mission? 

     

  3. C'est le débat classique de la BP. La BP permet de conserver une capacité aéroportée mais dans le même temps elle est engagée au même titre que les autres brigades avec le même matériel "médian" et les mêmes structures imposées à tout le monde. Il est donc difficile de la sous dimensionnée par rapport à une autre brigade et difficile de l'équiper différemment. Alors certes conserver une capacité aéroportée à cette échelle cela à un cout. Mais c'est aussi parce qu'on le veut bien, le problème est connu personne ne semble vouloir toucher à quoi que se soit. Au fond que l'on déploie la BP ou une BB sur un théâtre à partir du moment ou l'on doit durer on est bien obliger  de le faire sur le même matériel. Ce qui plaide pour une famille unique de véhicules avec des kits armement et protection modulable selon la mission et non pas le développement de 15 projets. Qui croit sérieusement que le VBMR ne servira pas de monture à tout le monde du para au méca à l'instar du VAB? Si l'on déploie  du lourd ou du léger on tourne sur 2 brigades uniquement avec 7000 mecs à sentinelle s'est compliqué. Oups j'ai failli oublié la mission économique des armées "soutenir à grands frais l’ensemble de l'industrie nationale que le besoin soit  réel ou non". 

     

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  4. Je pense comme G4lly le pb c'est les effectifs. On peut tout à fait emporter une gamme élargies d'armement mais il faut des servants. La solution de l'infanterie française pour l'instant c'est la modularité. Tu as le choix et tu choisis selon ton besoin (exemple RX ou MAG, RX et MAG). Le feu dans la manœuvre c'est la combinaison des effets des armes. Si tu veux pouvoir combiner l'ensemble des effets il faut pouvoir simultanément déployer une trame AC et AP suffisante, donc il faut plus de monde. La solution peut etre technologique, le MMP est sensé pouvoir traité du char et du fantassin par exemple. Mais celà devient plus compliqué dans le choix mitrailleuse ou lance roquette. L'autre pb des petites sections c'est la résilience bien entendu. Dans tous les cas d'expérience le choix groupe appui et groupe de voltige est tactiquement une contrainte tout comme les structures impairs.    

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  5. Le 12/02/2017 à 21:34, Clairon a dit :

    Ce que je comprends du post de Colonio :

    Chaque RI comprendra 5 compagnies de  combat et une Compagnie d'appui

    Chaque compagnie de combat comprendra 3 sections de combat et une section d'appui.

    La section d'appui comprendra un groupe MMP (2x MMP, reversible en Mit selon les besoins) et un groupe Mortier 81, en opération cette section se verra confié un groupe TE en provenance de la section TELD faisant partie de la Compagnie d'Appui.

    La Compagnie d'Appui comprendra une SAED, une Section AC/MMP reversible en Mit si besoin, une Section TE (qui sera souvent saucissonnée entre les compagnies)

    Comme quantité d'armement :

    10 Mo81 en effet, et pour les MMP minimum 12, voire plus si la SAC/MMP à un effectif plus important que le groupe MMP de chaque compagnie.

    Clairon

    C'est çà

    pour les sous off CDP MMP on verra en pratique quand on aura les MMP.

    La SAD a 6 pièces je crois .

    Dans les faits la création d'une cie supplémentaire ne s'est pas encore concrétisé par l'arrivée d'armement supplémentaire donc celà reste très théorique

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  6. il y a 15 minutes, Fanch a dit :

    Oui enfin c'est riche un chef de groupe pour une pièce...

    Oui mais celà se justifie certainement par la TAVD et le nombre de soldats servants la pièce. On est plus sur du Milan  avec un cdg qui voit la cible que voit la pièce. Mais sur une capacité d'appui indirect qui offre d'autres perspectives à intégrer dans la manœuvre du SGTIA ou du GTIA  dans le cas de la SAD. On peut donc imaginer un combat indépendant par système . 

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  7. Il y a 10 heures, Serge a dit :

    Ce sont les unités qui ont acheté les portes-plaques. Elles font alors mettre les plaques des gilets réglementaires. Or, ces dernières ne sont sans doute pas stand alone. 

    Le résultat est donc qu'en cas d'impact, il manquerait le pack balistique souple nécessaire à la bonne protection du soldat. 

    Les unités n'ont rien acheté, les THOR sont achetés par l'ADT. Dans un porte plaque pas de place pour les packs souples..

  8. Pour les CA (compagnies d'appui)

    on trouve la SAED, avec un parcours AED confirmé qui permet à toutes les SAED de partager des savoirs faire commun (stage commando AED, aérocordage ...)  . Et des GAED inscrits dans les effectifs sur les différents théatres niveau GTIA.

    Une SAD (section d'appui direct) avec des MMP et en doule dotation des 12,7, à noté que chaque pièce MMP est commandé par 1 chef de groupe.

    Une STE inchangée.

    Donc pour les sections d'appui en compagnie on trouve 5 X 1 groupe MMP à 2 pièces,1 groupe mo 81 à 2 pièces, 1 groupe TE issu de la STE de la CEA.

    Avec l'augmentation des effectifs la réorganisation des régiments et surtout l'entrainement reprend.:amusec:

    Celà veut dire que l'on fréquente les centres nationaux, entre 2 rotations sentinelle, enfin pour les brigades projetées, qui ne font pas QUE du sentinelle.Pour ce qui est des niveaux 6 et 5 (groupes et sections) :pleurec:

     

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  9. Les systèmes sont complémentaires. STC simulation de toutes les armes à distance réelle interagissant entre elles, service de l'arme conforme à la réalité. Airsoft et simunition, pas de service de l'arme identique pour l'airsoft, que du tir ALI, courte portée mais marquage précis des impacts et sanction physique.Donc on ne simule ni n'apprends les mêmes choses selon le système utilisé.Donc les STC sont très bien pour les tirs interarmes  toutes distances, on peu avoir 500 mecs avec toutes leurs armes qui s'allument en terrain libre, on sait qui est touché.L'airsoft c'est plus pour des tirs courtes distances, au niveau d'un groupe de combat pour apprendre les actes élémentaires et le tir. Pour résumer, car le facteur logistique, cout entretien rusticité des systèmes n'est pas le même. Il est intéressant d'utiliser tel ou tel moyen selon l'effet à obtenir, on peut aussi les mélanger c'est très intéressant. 

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  10. Bon globalement on retrouve la même chose que sur la vidéo précédente. Exposition des chefs, soldats mal postés, çà c'est culturel, les afghans avaient le même réflexe. Le courage physique est un critère  important socialement de fait se protéger est considéré comme une forme de lâcheté. Discipline de feu catastrophique, je pourrais cité des exemples similaires en afga de la part de l'ANA, maintenant sur youtube il y a plein de vidéos de soldats français qui rafalent à la libanaise ou utilisent n'importe comment armes et munitions. C'est pas faute d'entrainement, si on rajoute une dose de volume de feu cher aux anglo saxons çà n'arrange rien. Après tactiquement il y a un vrai effort de planification et de conduite.Une utilisation de l'interarmes bien visible sur la dernière vidéo. Appui permanent, recherche d'itinéraire défilé. Bien sur trop de regroupements et un gros souci de postures individuelles notamment avec l'armement. Le sergent certainement issu du rang est tout simplement plus aguerri, il a survécu et appris et est donc plus efficace.Bref le niveau n'est pas choquant compte tenu de la difficulté du terrain, du peu d'expérience de la troupe, des facteurs culturels. N'oublions pas qu'un soldat français est formé bien plus longtemps avec des moyens sans communes mesures.Conclusion çà va durer longtemps. Maintenant la solution pour accélérer le tempo, faire le boulot à leur place.       

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  11. J'explique un peu plus en détail le principe.

    Le pb des équipages ce sont les qualifications, il faut par exemple 6 mois de PL confirmé pour être pilote VBCI. Les stages de CTVI ne prennent pas en compte l'instruction tactique ni celle de l'environnement (trans, NEB ...). Les EVAT évoluent dans leur carrière et changent de fonction ou s'en vont. Les régiments VBCI sont aussi projetés en VAB. Les parcs des régiments sont poolés les véhicules sont perçus au gré des missions sont donc moins bien entretenus ou peu utilisés ce qui nuit aussi à leur maintien en condition. Les régiments n'ont rarement plus de 3 compagnies engagées en OPEX ou exercice en même temps.

    Le principe est le même que la STE. On regroupe les spécialistes, ils sont qualifiés et entrainés de manière centralisée puis projetés au gré des besoins.

    Je suggère de regrouper les équipages pour 4 compagnies ternaires. Chaque groupe d'équipage de quoi combattre avec une section serait sous les ordres d'un cch CTVI . Chaque groupe d'équipage de compagnie sous les ordres d'un sous off. La section équipage disposerait de 2 SOA, 1SOAT tactique pour l'entrainement centralisé au combat embarqué, 1 SOAL logistique en charge du suivi de l'entretien, des potentiels des engins, de la gestion des matériels d'environnement (trans etc.).

    Avantages:  Suivi des carrières avec qualifications sur divers véhicules, fidélisation via la création d'une filière qui permet à un soldat d'évoluer dans une spé particulière, voie intéressante pour des EVAT anciens ou comme perspective de 2° partie de carrière,mise à disposition des équipages formés tactiquement et techniquement de façon permanente donc hausse qualitative dans le service des engins, autonomie des équipages plus grande, prise en compte des parcs régimentaires donc entretien et suivi des matériels mieux gérés donc à priori augmentation de la disponibilité des engins. Pour la ressource humaine elle existe déjà mais est sous exploitée dans le sens ou l'entrainement des équipages en compagnie ne se fait que quand la dite compagnie utilise des engins, ce qui peut faire peu selon l'emploi du temps. 

      Inconvénients: les sections n'ont plus leurs équipages au quotidien pour la vie quotidienne 

     

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