Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

Situation politique en Amérique Centrale et en Amérique du Sud


Messages recommandés

Est ce qu'en France il y'a des commentateurs sérieux (pas une émission satirique) qui traite sarkozy de fou, appelant à le renverser, ou passant ses discours en les couvrants avec des bruits de singes ?

Pas vraiment, en ce moment en France, la télé c'est lèche cul, p*** et soumise.

Regardez le documentaire que j'ai mis, et vous comprendrez un peu mieux de quoi vous parlez, et surtout que si ce que faisait les médias au Venezuela arrivait en France, vous seriez d'accord pour les interdire et envoyer leurs responsables devant la justice.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

L’Unasur a décidé de convoquer un sommet extraordinaire sur le sujet des bases américaines en colombie, fin août en Argentine. Barack Obama pourrait y être invité, a suggéré le chef de l’Etat brésilien, Lula Da Silva.

http://www.liberation.fr/monde/0101585008-l-armee-americaine-s-incruste-en-colombie

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 3 weeks later...

Un compromis a été trouvé lors du sommet de l'UNASUR sur les bases américaines en colombie : http://www.lefigaro.fr/international/2009/08/31/01003-20090831ARTFIG00565-compromis-sud-americain-sur-la-presence-de-l-armee-us-.php

Même si le sommet a revélé des divisions entre les membres de l'UNASUR, on peut constater que c'est la première fois que 12 pays sud-américains s'entendent ensemble sur une question de sécurité.

Pour rappel, l'UNASUR se construit sur la base du modèle de l'Union Européenne : http://fr.wikipedia.org/wiki/Union_des_Nations_sud-am%C3%A9ricaines

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

De toute façon cette annonce d’implantation de bases en Colombie et plus l’officialisation d’un état de fait, plutôt qu’un véritable séisme géopolitique.

Tout le monde connaît l’étroitesse des relacions USA/Colombie.

Un petite analyse plutôt intéressante :http://www.affaires-strategiques.info/spip.php?article1828

Course aux armements en Amérique latine

28 août

Par Thiago de Arago, chercheur associé à l’IRIS

L’Amérique latine est une nouvelle fois marquée par des troubles politiques, après quelques mois de calme relatif. La situation au Honduras, qui a remis au goût du jour l’habitude du coup d’État militaire sur le continent, n’est pas encore totalement clarifiée. Le gouvernement non-reconnu de Roberto Micheletti, a jusqu’à présent résisté aux menaces de sanctions qu’il a reçues.

Depuis que Manuel Zelaya, le président renversé du Honduras, a été arrêté et extradé, il est intéressant d’observer le rôle des principaux protagonistes du continent. Hugo Chávez, au Venezuela, a été le premier à défendre l’usage de la force pour rétablir le président Zelaya. Beaucoup plus habitué à la rhétorique qu’à la pratique, Chavez a fixé un délai à Micheletti pour qu’il accepte le retour de Zelaya, sans quoi il aurait à « faire face aux conséquences de l’utilisation de la force ». Comme nous pouvions nous y attendre de Chávez, le délai est venu et rien n’est arrivé. Dans cette affaire, l’attitude du gouvernement des États-Unis - et spécifiquement d’Obama - a viré au cauchemar pour Chávez. Obama, en déclarant que Zelaya devait revenir et que Micheletti devait quitter le gouvernement, a privé Chávez de l’utilisation de son refrain favori contre les Etats-Unis. Le discours du dirigeant vénézuélien se nourrissant de la confrontation avec les USA, toute situation dans laquelle les deux leaders partagent la même position vient forcément perturber l’habituel discours bolivarien de Chávez.

Pendant ce temps, la situation au Honduras traîne en longueur. Le président renversé n’a pas le soutien populaire dont il aurait aimé profiter, et ne peut que constater qu’il n’y a pas de pression du public pour son retour. Dans le même temps, le nouveau gouvernement ne semble pas redouter une quelconque sanction. Comme il n’y a pas de dirigeants assez fous pour s’engager dans un conflit armé contre le Honduras, la situation est totalement entre les mains des auteurs du coup d’Etat. Le scénario le plus satisfaisant dans la situation actuelle aurait été le retour de Zelaya, avec la promesse d’élections législatives anticipées. Ainsi, il eût été probable qu’une troisième force politique, non liée à Zelaya ou Micheletti, s’impose et remporte le scrutin.

Par ailleurs, la situation du Honduras a permis aux thèses conspirationnistes de fleurir de nouveau. Des rumeurs persistantes laissent penser que les coups d’Etat risquent de reprendre sur le continent, après la démonstration de la relative impuissance de la communauté internationale dans le cas du Honduras. Certaines personnes croient – tandis que d’autres prennent les paris ! – que le Paraguay sera le prochain sur la liste.

Du fait de la neutralisation de Chavez sur le dossier du Honduras, l’attention s’est alors focalisée sur un autre sujet relatif au continent, à savoir la construction de bases militaires en Colombie. Moment inespéré pour Chávez, lui permettant de retrouver le souffle qui lui manquait. Cette officialisation est aussi tombée à pic pour Chavez car elle a dès lors totalement éclipsé l’annonce de la découverte dans des bases des FARC (Forces armées révolutionnaires de Colombie), d’armes suédoises vendues au Venezuela et que celui-ci avait semble-t-il fournies aux terroristes.

Profitant de l’émoi suscité sur le continent par l’annonce de cet accord entre la Colombie et les Etats-Unis, Chavez a – classiquement – rappelé son ambassadeur de Bogotá et immédiatement dénoncé l’existence d’un plan d’invasion américaine contre son pays.

La Colombie, tout comme les États-Unis, qui avaient préféré garder le silence le plus longtemps possible sur cet accord, ont dû changer de stratégie face à l’émoi de la communauté sud-américaine. C’est ici qu’entre en scène le président brésilien Lula, qui a ainsi pu faire part de sa préoccupation vis-à-vis du processus de militarisation du continent, rejoint par la présidente du Chili, Michelle Bachelet.

La réponse vénézuélienne ne s’est en fait pas limitée à la traditionnelle rhétorique ou au rappel de son ambassadeur, puisque la possibilité d’implanter des bases militaires russes au Venezuela a alors été évoquée. Proposition officiellement rejetée par la Russie, qui a fait savoir qu’elle n’avait aucun intérêt à avoir des bases militaires en Amérique du Sud. Pourtant, la contre-proposition vénézuélienne était vraiment intéressante pour les Russes qui auraient pu, via ces bases militaires, fabriquer des armes dont le principal client aurait été le pays d’accueil, à savoir le Venezuela.

Enfin, la position du Brésil fut de dénoncer les risques de la militarisation du continent. Il ne pouvait pas en être autrement de la part d’un pays qui, étant donné sa taille, est le leader du continent. Cette « course aux armements », si elle fait du continent une zone d’étude intéressante, la transforme également en zone potentiellement dangereuse. Quant au comportement brésilien, il est quelque peu hypocrite, lui qui est en pleine période d’achats de sous-marins nucléaires, d’hélicoptères de combat et d’avions de combat de quatrième génération. Ses décisions ont évidemment provoqué, par ricochet, le besoin d’acheter des armes en Argentine, au Pérou et en Equateur.

Evidemment, le Brésil doit renforcer ses forces armées pour se préparer aux exigences de la puissance globale. Mais le plus étrange dans cette affaire, c’est que, dans le cas du Brésil, la souveraineté officiellement attendue des transferts de technologie, condition sine qua non des contrats en cours de négociation pour l’achat des hélicoptères, des sous-marins et des aéronefs, risque de faire de la France le seul fournisseur possible de l’armée brésilienne. La souveraineté du Brésil serait alors de façade, un seul pays « contrôlant » en réalité la fourniture des armes du pays le plus important d’Amérique du Sud.

Quel est le lien entre tout cela ? Alors que les gouvernements du Brésil, du Chili et d’autres pays critiquent le processus de militarisation du continent, on voit bien que l’Amérique latine est en train de devenir le théâtre d’une rivalité impliquant trois superpuissances politiques (Etats-Unis, France, Russie).

La France dispose de bases militaires en Guyane française, la Russie pourrait en établir au Venezuela, et les Etats-Unis disposent notamment de leurs bases en Colombie. Cette bande de terre, dans le nord du continent sud-américain, devient l’un des points les plus sensibles de la planète, pas seulement parce qu’elle est proche de l’Amazonie, mais aussi en raison de la tension créée par un homme (Chavez), de la guérilla terroriste en Colombie (FARC, AUC) et du processus de modernisation militaire du plus grand pays d’Amérique du Sud, à savoir le Brésil.

Si le Brésil critique cette course aux armements, il devrait donner l’exemple en ne contribuant pas à la création sur le continent, d’une scène possible d’affrontements géopolitiques entre grandes puissances étrangères. Car l’achat d’armes à un seul pays est présenté comme justifiant, au moins un peu, la préoccupation de modernisation militaire de ses voisins.

Bien que de la a avoir la main mise sur le Brésil comme ce qui est sous entendue, c’est un pas que je n’ose franchir. :rolleyes:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Tiens, la France est encore considéré comme une superpuissance  8)

Cela fait tout de même plaisir à lire pour un mangeur de grenouilles  :lol:

A noter la récente création d'un listing des guerres qui on opposé les Etats d'Amérique Latine, le Brésil qui à deux infobox spécialement pour lui à eu énormément de crises et de révoltes depuis sa création :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Historique_des_conflits_latino-am%C3%A9ricains

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

REUTERS : "Des manifestations en faveur de Hugo Chavez et d'autres qui lui étaient hostiles ont eu lieu samedi au Venezuela, signe des profondes divisions qui agitent le pays. Le président vénézuélien reste populaire auprès des classes modestes et des ouvriers mais d'autres lui reprochent sa politique de nationalisation et l'accusent de tenter une mainmise sur les médias et de bâillonner l'opposition.

Le ministre des Infrastructures, Diosdado Cabello, a annoncé samedi la fermeture prochaine de 29 autres stations de radio, après que 34 radios aient cessé d'émettre en juillet sur ordre du gouvernement.

Tandis que les opposants défilaient dans les rues de Caracas, la capitale, des rassemblements étaient organisés dans plusieurs villes du pays par les partisans de Chavez. De nombreuses manifestations des deux camps ont eu lieu depuis le début de l'année au Venezuela, les anti-Chavez affrontant à plusieurs reprises la police. Mais on est loin de la tension qui a pu exister en 2002, lorsque des défilés monstres se sont conclus par plusieurs morts et une tentative de coup d'Etat."

Un truc qui va pas plaire aux américains :

AFP : TEHERAN (AFP) - Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad et son homologue vénézuélien Hugo Chavez, principal allié de Téhéran en Amérique latine, se sont engagés samedi à soutenir les "nations révolutionnaires" et les "fronts anti-impérialistes", a rapporté l'agence officielle Irna. "Venir en aide aux nations révolutionnaires et opprimées et développer les fronts anti-impérialistes sont les deux missions principales de l'Iran et du Venezuela", a déclaré le président iranien à l'issue d'une rencontre avec M. Chavez, en Iran pour une visite de deux jours. Téhéran et Caracas "doivent aider les nations révolutionnaires en renforçant leurs liens bilatéraux", a ajouté. M. Chavez. Le Venezuela travaille à un projet préliminaire pour la construction d'un "village nucléaire" avec l'aide de l'Iran, "afin que le peuple vénézuélien puisse compter à l'avenir avec cette extraordinaire ressource utilisée à des fins pacifiques", a poursuivi M. Chavez, l'un des premiers à féliciter M. Ahmadinejad pour sa réélection contestée en juin. Selon l'agence iranienne Mehr, il s'agit de sa septième visite en Iran. Il s'était rendu auparavant en Libye et en Algérie et doit encore visiter le Belarus, la Russie, le Turkménistan et l'Espagne. Lors de son dernier voyage en Iran en avril, M. Chavez avait signé un accord pour la création d'une banque binationale destinée à financer des projets irano-vénézuéliens. Les deux pays ont des projets de coopération dans plusieurs secteurs (défense, industrie, technologie)."

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Les manifs anti-chavez n'ont pas fait le buzz espéré par leurs organisateurs, et la journée contre lui dans le monde a été un bide.

Normal, les décisions de fermer les stations de radios qui émettent sans autorisations sont parfaitement légales et justifiés.

Par contre il a fait un triomphe en Syrie

http://www.dailymotion.com/video/xaegm3_acto-de-masas-chavez-siria_news

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Quand on a des amis comme Sassou Nguesso, Bongo, Moubarak, Ben Ali, ou le roi d'arabie Saoudite, bref que des grands démocrates, on n'a de leçons à donner à personne.

Quand au nucléaire, c'est une question de droits, évidemment si on donnait l'exemple en y renonçant, on serait plus crédible en père la morale.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Jusqu'à présent la seule suspicion qui pourrait nous faire croire que l'Iran veuille la bombe atomique, c'est que si on était à leur place, c'est ce qu'on essayerait de faire.

La plupart des manifs anti-nucléaires partent d'un bon sentiment, mais je doute que ces gens soient prèts à payer leur électricité 3x plus cher.

Il vaudrait mieux abonner cette énergie tant que le problème des déchets n'aura pas été résolu de manière satisfaisante, par contre la recherche doit être poursuivi, ne serais ce que pour se débarasser des déchets.

Si on arrivait à la fusion contrôlé, ça serait une avancé majeur.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Ceci est un autre début, mais les physiciens travaillent sur la fusion depuis déjà quelque décennies et l'on ne voit toujours rien venir alors que dans les années 80, on nous disait que cette technologie serait bientôt au point. Il doit me rester quelques ''sciences et vie'' de l'époque dans un carton ou l'on promettait monts et merveilles....

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

La Bolivie futur moyen-orient du Lithium : http://www.lefigaro.fr/international/2009/09/08/01003-20090908ARTFIG00367-la-bolivie-futur-moyen-orient-du-lithium-.php

"Une bataille de portée internationale va commencer ici (Bolivie) autour d'une nouvelle ressource : le lithium dont le Salar d'Uyuni contiendrait près de 40 % des réserves mondiales. Ce qui fait de la Bolivie le «nouveau Moyen-Orient du lithium». Déjà utilisé dans les piles des petits appareils électroniques, il devrait être l'élément essentiel pour le développement de la voiture électrique. Le lithium est le plus léger des métaux et se recueille sous forme de carbonate de lithium, qui a l'aspect d'un sel très blanc. Pour l'instant, les principaux producteurs sont le Chili, avec le Salar d'Atacama (39,3 % de la production mondiale), la Chine (13,3 %) et l'Argentine (9,8 %), selon les statistiques du Meridian International Research."

Nulle doute que la Bolivie va exploiter économiquement et politiquement cette nouvelle richesse.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Hugo donne le change aux base U.S en colombie ;)

International

Chavez achètera une centaine de chars à Moscou

22:12 | 08/ 09/ 2009

 

MOSCOU, 8 septembre - RIA Novosti. Un contrat sur la livraison d'une centaine de chars russes au Venezuela sera signé dans le cadre de la visite du président vénézuélien Hugo Chavez en Russie programmée pour les 9-10 septembre, a annoncé mardi à Moscou un responsable haut placé de l'industrie de défense russe.

"Un contrat sur la livraison d'environ cent chars T-72 et T-90 pour quelque 500 millions de dollars au Venezuela sera signé pendant la visite", a indiqué le responsable.

Le 10 septembre, M.Chavez s'entretiendra avec son homologue russe Dmitri Medvedev. Les entretiens déboucheront sur la signature de plusieurs documents bilatéraux dont un accord de coopération pétrogazière.

Les parties discuteront également de l'exportation d'un lot de nouveaux blindés de combat d'infanterie russes vers le Venezuela.

Le président vénézuélien a récemment déclaré que le gouvernement de son pays avait l'intention d'acheter plusieurs bataillons de chars russes en réaction à l'éventuelle augmentation de la présence militaire américaine en Colombie.

Selon les experts militaires, le Venezuela importera principalement des chars T-72, d'un coût de 2 millions de dollars chacun, qui répondent mieux aux besoins du marché de l'Amérique latine. Un char T-90 produit par l'usine Uralvagonzavod de Nijni Taguil coûte entre 5 et 7 millions de dollars.

Le gouvernement vénézuélien a acheté des armements russes, entre autres des hélicoptères, des avions de combat et des fusils d'assaut Kalachnikov, pour 4 milliards de dollars depuis 2005.

http://fr.rian.ru/world/20090908/123028997.html

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

AFP : "Le président vénézuélien, Hugo Chavez, annonce, jeudi 10 septembre, que Caracas reconnaît l'indépendance des régions sécessionnistes géorgiennes d'Abkhazie et d'Ossétie du Sud. "Le Venezuela se joint dès aujourd'hui à la reconnaissance de l'Ossétie du Sud et de l'Abkhazie", a déclaré M. Chavez à la résidence du président russe en banlieue de Moscou, à Barvikha. Le Venezuela devient ainsi le troisième pays à reconnaître la souveraineté de ces deux territoires géorgiens, après la Russie et le Nicaragua. Moscou avait reconnu leur indépendance après la guerre russo-géorgienne d'août 2008 pour le contrôle de l'Ossétie du Sud. "Merci Hugo, tu as fais une série de déclarations sérieuses et importantes", a répondu M. Medvedev au dirigeant vénézuélien. Le président du Venezuela rencontre son homologue russe pour des pourparlers axés sur la coopération militaire et énergétique. M. Chavez achève à Moscou une tournée l'ayant conduit en Libye, Algérie, Syrie, Iran, au Turkménistan et en Biélorussie."

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Restaurer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

 Share

  • Statistiques des membres

    5 960
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Lecteur de passage
    Membre le plus récent
    Lecteur de passage
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,5k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...