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alexWF

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Tout ce qui a été posté par alexWF

  1. @https://twitter.com/MarquardtA/status/455389551566278656/photo/1 Des militaires Ukrainiens auraient fait défections
  2. Convoi de camions Ukrainien dans l'est. On dirait des lances roquettes multiples sous les bâches (roquettes grad). https://www.youtube.com/watch?v=U_WkmK5vkGc#t=35
  3. Pour Assad, le vent tourne en faveur du régime Le président syrien Bachar el-Assad a évoqué dimanche un tournant dans la guerre en Syrie en faveur du régime, a rapporté la télévision d'Etat. "Il y a un tournant dans la crise au niveau militaire et des exploits permanents réalisés par l'armée dans la guerre contre le terrorisme, ainsi qu'au niveau social concernant la réconciliation nationale", a affirmé M. Assad qui s'adressait à des professeurs et des étudiants de l'école des Sciences politiques à Damas. Depuis le début de la révolte populaire en mars 2011, le régime désigne par le terme "terroriste" les opposants et les rebelles qui cherchent à renverser le président Assad. Ces dernières semaines, les rebelles ont subi des revers, en particulier dans la région du Qalamoun, à la lisière du Liban, mais ils ont réalisé des avancées dans la région côtière de Lattaquié, fief du président Assad. "L'Etat cherche d'abord à ramener la sécurité et la stabilité dans les régions principales attaquées par les terroristes, et ensuite il poursuivra les poches et cellules dormantes", a poursuivi M. Assad. "La Syrie est visée non seulement pour sa position géopolitique, mais aussi pour son rôle historique central dans la région et son influence sur la rue arabe", selon le président Assad. Il s'agit, selon lui d'"une tentative (...) d'affaiblir la Syrie pour qu'elle change de politique", affirmant que la politique de Damas "coïncide avec les intérêts du peuple syrien et diverge avec ceux des Etats-Unis et de l'Occident". M. Assad a accusé en outre Israël de "soutenir les groupes terroristes". De son côté, le Premier ministre syrien Waël al-Halaqi a dénoncé dimanche "une guerre économique féroce" menée contre la Syrie, alors que la valeur de la livre syrienne (SYP) a encore chuté ces derniers jours face au dollar. "Une guerre économique (...) féroce est menée contre l'économie nationale, qui vise à déstabiliser la livre syrienne", a déclaré M. Halaqi, qui présidait une réunion du Conseil de la monnaie et des prêts à Damas, cité par l'agence officielle Sana. Le dollar s'échangeait dimanche à plus de 176 SYP alors qu'il était à 156 SYP la semaine dernière. Depuis le début du conflit en Syrie en mars 2011, la livre syrienne a perdu plus des trois quarts de sa valeur par rapport au billet vert, qui s'échangeait il y a trois ans à 50 SYP. M. Halaqi a appelé à "renforcer le contrôle du marché des changes et à surveiller les changeurs, surtout ceux non agréés" par l'Etat. De son côté, le gouverneur de la Banque centrale de Syrie, Adib Mayaleh, a attribué la baisse de la livre syrienne à "une grande attaque économique contre la Syrie et à des spéculateurs à l'étranger et à l'intérieur" du pays. M. Mayaleh a annoncé que "la Banque centrale allait mettre sur le marché le 21 avril quelque 20 millions de dollars", pour tenter de limiter la chute de la monnaie locale. Cette chute de la livre a entraîné une utilisation croissante du dollar dans l'économie syrienne. http://www.lorientlejour.com/article/863015/pour-assad-le-vent-tourne-en-faveur-du-regime.html
  4. Des morts et des blessés des deux côtés dans les opérations lancés aujourd'hui un ministre ukrainien
  5. Le siège de la prison d Alep aurait été levé.
  6. Ils sont forts sur i tele: le journaliste viens de dire que c'est l armée russes qui intervient dans l est de l ukraine, car les mecs ont des kalashnikov et que selon lui c est l arme de l armée russe. Les russes sont donc en Syrie,Afghanistan, irak... dans toutes les guérillas du monde et meme les cités de Marseille.
  7. Capture d'un poste de police dans l'est de l'Ukraine http://www.youtube.com/watch?v=CJkfbumGbYA Les mecs ont eut du mal a arracher la grille.
  8. Des réfugiés de l’ASL à Ersal relatent leur combat inégal avec les forces d’Assad et leurs alliés Réunis sous une tente à Ersal, dans l'un des multiples camps de réfugiés de cette localité frontalière, un groupe de combattants de l'Armée syrienne libre (ASL) n'a pas vraiment le moral depuis quelques jours. Les nouvelles en provenance des régions frontalières syriennes, notamment de Yabroud, Flita, et Ras el-Aïn, dans le Qalamoun, ne sont pas celles qu'ils avaient envie d'entendre. Ces localités, qui revêtent une importance stratégique pour le déroulement des combats dans cette zone frontalière avec le Liban, sont tombées l'une après l'autre entre les mains du régime baassiste. Si l'on en croit les informations rapportées par certains médias, notamment ceux relevant du régime syrien, la chute de la région de Yabroud, puis celle de Flita, suivies de plusieurs autres villages et villes du Qalamoun, jadis des remparts de l'opposition syrienne et seuls lieux de connexion avec le Ersal libanais, ont constitué un tournant dans la bataille qui a ensanglanté cette région limitrophe du Liban. « Ces localités sont vitales pour les forces syriennes régulières car elles représentent la route pour l'acheminement des armes entre Lattaquié et Tartouss, une voie de passage que les forces du régime devaient absolument sécuriser », affirme Abou Oday, un ancien soldat de l'armée syrienne régulière. Aujourd'hui il a rejoint avec ses trois frères les rangs de l'ASL et a participé aux combats qui ont eu lieu à Flita. À l'instar de son jeune frère, Oday, également une ancienne recrue de l'armée syrienne converti à la cause des rebelles, il a fait le même parcours du Golgotha que l'aîné de la famille, à savoir prison, torture, puis désertion avant d'aller rejoindre ses compagnons d'armes dans la rébellion. Abou Oday, lui, a dû soudoyer les geôliers de la prison où il croupissait depuis un an, en payant 20 000 dollars versés à une multitude d'intermédiaires, dont des juges. Chacun à son tour, ils racontent les difficultés d'une bataille qui les opposait à une armée conventionnelle qui recourait à des armes lourdes et sophistiquées (aviation, missiles, barils d'explosifs, servant à faire le nettoyage parmi la population civile pour mieux repérer par la suite les combattants). Une armée qui, de surcroît, « était soutenue de bout en bout par une guérilla diversifiée formée d'éléments relevant du Hezbollah, de la brigade iranienne el-Badr et de combattants chiites en provenance d'Irak ». « Nous faisions face à ces forces avec les moyens de bord, des armes personnelles et quelques roquettes récupérées sur le lieu de la bataille », témoigne Khaled, le troisième frère. Des traîtres et des « indics » plantés par le régime Le visage assombri par la fatigue des combats, rongé par la tristesse de voir la bataille prendre un tournant accablant pour l'opposition, Abou Ali, à la corpulence impressionnante, s'est transformé en un « géant en papier », brisé par la tournure prise par les événements. Selon lui le facteur déterminant dans cette bataille est sans aucun doute le phénomène des « traîtres » et des « indics » plantés par le régime syrien dans les rangs de l'ASL. Une tactique contre la guérilla bien connue pour ses effets néfastes, à l'instar de la guerre d'Algérie notamment, comme le relève Abou Ali. « Il ( le régime) a incité plusieurs éléments au sein des comités populaires locaux à noyauter les rangs de l'ASL, précise-t-il. Les traîtres sont désormais connus en personne. » Certains d'entre eux ont été tués en cours de route, alors que les autres sont passés dans le camp « ennemi », une fois que Yabroud est tombée aux mains du régime syrien. « Nous les avons vus un beau jour retourner leurs vestes et leurs armes contre nous, alors que la veille, ils combattaient encore les militaires de l'armée régulière à nos côtés, tuant même plusieurs d'entre eux », confie Abou Ali. Ce combattant aguerri de l'ASL est persuadé que n'était cette opération de traîtrise, « Yabroud et les localités environnantes ne seraient jamais tombées ». Les barils explosifs et les drones Pour Hoda, une enseignante arrivée il y a quelques mois de Flita, l'autre élément qui a contribué parallèlement à « désarmer » l'opposition dans la bataille du Qalamoun est l'utilisation en masse des tristement célèbres barils d'explosifs, écrasant par leur impact tout ce qui se trouve dans le rayon d'action de l'aviation militaire qui les balançait. « L'oiseau de mauvais augure, c'était les drones de couleur blanche que l'Iran venait de livrer à la Syrie, et l'on a appris à les détecter grâce au vrombissement très particulier qu'ils faisaient », raconte Hoda. « Une heure plus tard, toutes les localités qui avaient été survolées par ces drones étaient systématiquement pilonnés avec une précision effrayante », indique-t-elle. Tous d'ailleurs relèvent que ces drones survolent souvent l'espace aérien libanais, « la nuit uniquement ». « Ils surveillent le jurd de Ersal et le mouvement des combattants » qui traversent la frontière libanaise en direction du Qalamoun ou vice versa, explique Abou Khaled. À la question de savoir si, selon eux, les centaines de combattants chassés par les forces d'Assad et leurs alliés hors de Yabroud et des régions récupérées dans le Qalamoun par le régime sont venus se réfugier à Ersal, le groupe d'opposants assure d'une même voix que si certains ont effectivement fui en direction du Liban, une grande majorité se trouve toujours en Syrie, dans les grands espaces toujours libres que les forces d'Assad ne contrôlent toujours pas, ne pouvant se déployer dans chaque recoin de l'immense localité du Qalamoun. Mais que dire de toutes les arrestations de Syriens et les saisies d'armes par l'armée libanaise à Ersal et dans ses environs ? « Il faut savoir qu'une grande majorité des éléments interceptés, souvent avec des quantités importantes d'armes, ne sont pas des membres de l'ASL mais plutôt des commerçants d'armes qui font l'aller-retour depuis pratiquement le début de la crise », affirme Abou Louay avant de conclure : « Notre bataille n'est pas au Liban, encore moins avec l'armée libanaise, mais contre le régime syrien d'Assad. » http://www.lorientlejour.com/article/862904/des-refugies-de-lasl-a-ersal-relatent-leur-combat-inegal-avec-les-forces-dassad-et-leurs-allies.html
  9. Marchands de légumes, commerçants ou étudiants, les hommes du Hezb fiers de combattre en Syrie Sur le marché de Bint Jbeil au Liban-Sud, Mahmoud pousse sa charrette à bras remplie de tomates et de concombres. Rien ne le distingue des autres marchands, à part ses faits d'armes au sein du puissant Hezbollah. Pour ce quinquagénaire trapu à la barbe rousse, la « résistance » à laquelle il a participé dans cette ville frontalière à la guerre contre Israël en 2006 est presque de l'histoire ancienne. Il vient de rentrer d'un autre front : la Syrie, où il a combattu durant 25 jours contre les rebelles engagés depuis trois ans contre le président Bachar el-Assad. Depuis que Hassan Nasrallah leur en a donné l'ordre il y a plus d'un an, des milliers de combattants du Hezbollah ont franchi la frontière et permis au régime Assad de reprendre l'initiative. Marchands ambulants, agriculteurs, restaurateurs, infirmiers, chômeurs, commerçants ou étudiants, ils ont tout abandonné pour participer à ce qu'ils décrivent comme une « bataille existentielle » face aux extrémistes sunnites qualifiés de « takfiri ». « Quand le parti m'a demandé d'y aller, j'ai obtempéré. J'ai laissé mon travail et je suis parti pour empêcher les takfiri d'arriver au Liban », assure Mahmoud. « J'ai combattu dans plusieurs régions et nous avons fait prisonniers des combattants arabes et d'autres nationalités », ajoute-t-il. « Notre cause est juste. Eux sont des mercenaires venus de Tchétchénie, du Yémen, de Libye pour faire tomber le régime Assad, qui nous a énormément soutenus durant la guerre de 2006 contre Israël. Notre devoir est de l'assister », explique ce combattant aguerri. Suivre le chemin des martyrs Aux yeux du mouvement chiite, qui profite de son énorme arsenal venu d'Iran, ces armes transitant obligatoirement vers la Syrie, les rebelles en majorité sunnites veulent renverser M. Assad non pas pour instaurer une démocratie, mais par haine des alaouites, branche à laquelle appartiennent la plupart des cadres du régime. Dans un autre village frontalier d'Israël, Fatima a encouragé son fils de 16 ans à partir se battre, malgré la mort de son mari en juin 2013 dans les combats dans la ville syrienne de Qoussair. « J'ai envoyé Khodr, avec des dizaines d'autres jeunes, suivre un entraînement militaire d'un mois. Il faut qu'il apprenne à manier les armes pour devenir un combattant comme l'a été son père », dit cette veuve de 46 ans. À côté d'elle, Khodr prépare en silence des plants de tabac. Une barbe naissante, les yeux tristes, il porte à son cou une photo de son père et sur sa chemise un pin's de Hassan Nasrallah accompagné de l'une de ses formules : « La victoire nous attend. » Son aîné, Wissam, 25 ans, est rentré de Syrie il y a une semaine. « Nous obéissons à sayyed Hassan quand il nous invite à combattre. Mon père est tombé en martyr et il faut suivre son chemin. » En effet, s'il n'y a toujours pas de chiffres officiels, les experts estiment que le Hezbollah a perdu plusieurs centaines de combattants en Syrie. Entraînement en Iran « Allons-nous les laisser venir, ces extrémistes sunnites, nous égorger comme des brebis, comme ils l'ont fait aux chiites d'Irak et de Syrie ? Non ! Nous allons les défaire comme nous avons défait Israël », insiste Wissam. Réticents au début, les combattants du Hezbollah aujourd'hui parlent avec fierté de leur engagement en Syrie, même s'ils refusent de donner des détails sur les opérations militaires, le nombre de combattants engagés et le montant de leur solde. Un journaliste de l'AFP dans le sud du Liban a vu des affiches du Hezbollah apposées à l'entrée d'écoles annonçant des sessions de scoutisme, mais la photo de jeunes en treillis laisse supposer qu'il s'agit plus d'un entraînement militaire. Rare voix discordante, le père d'un jeune homme tué en Syrie exprime son amertume. « Ils ont envoyé mon fils à la mort sans mon approbation. Qui leur a dit que je voulais que mon fils meure en Syrie ? » dit-il, tout en refusant d'être identifié pour ne pas subir l'ire du parti. Mais il fait incontestablement partie d'une minorité dans la communauté chiite. Car le Hezbollah assure qu'en cas de décès, il s'occupera de tout. « L'avenir de ma famille est assuré si je meurs. Il pourvoira à la scolarité de mon fils de 9 ans et à sa santé », confie Oussama, 38 ans, permanent du parti à Tyr. À Baalbeck, Hussein, un étudiant en psychologie de 22 ans qui a combattu à Alep, s'apprête à suivre en Iran un entraînement pour devenir chef d'unité. « C'est une promotion », confie-t-il tout excité, sous l'œil attendri de sa mère. http://www.lorientlejour.com/article/862890/-marchands-de-legumes-commercants-ou-etudiants-les-hommes-du-hezb-fiers-de-combattre-en-syrie.html
  10. Encore des pépites française en Syrie http://www.liveleak.com/view?i=62e_1397085546
  11. Dossier très complet sur le Hezbollah en Syrie http://www.understandingwar.org/sites/default/files/Hezbollah_Sullivan_FINAL.pdf
  12. Combat très très rapproché http://www.youtube.com/watch?v=J9pSyXYjnpY
  13. Deux attentats à la voiture piégée a Homs, on dénombre 25 morts et 107 blessés
  14. Vidéo d'un Djihadiste Français en Syrie, il nous présente son équipement ( glock, M4 ...) http://www.liveleak.com/view?i=c0c_1396912933
  15. Carte de la région du Qalamoun Le Hezbollah et l'armée syrienne seraient rentrés dans Rankous (à confirmer)
  16. Début de l'offensive de l'armée sur Rankous Les forces loyalistes syriennes ont commencé mardi leur offensive sur Rankous, dernière grande localité tenue par les rebelles dans la région du Qalamoun, située au nord de Damas et à la lisière du Liban, selon une ONG et une source militaire. La télévision Al-Manar, appartenant au mouvement chiite libanais Hezbollah et dont les combattants sont en première ligne dans la bataille, a aussi annoncé le début de l'attaque sur Rankous, une ville située à 45 km au nord de Damas et qui comptait 20.000 habitants avant le début de la guerre, en 2011. Une source militaire a affirmé à l'AFP que les forces du régime avaient pris les collines autour de Rankous et encerclaient la ville. "La région de Rankous, dans les collines de Qalamoun, est la cible d'un violent bombardement et de raids aériens depuis lundi, pour préparer le terrain à une offensive", a affirmé de son côté à l'AFP le directeur de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), Rami Abdel Rahmane. Selon lui, c'est le Hezbollah qui mène l'offensive dans cette région, avec le soutien de l'armée syrienne qui a réussi à reprendre ces dernières semaines le contrôle d'une grande partie de cette région qui était tenue par les rebelles. Un autre bastion des rebelles, Yabroud, avait été repris le 15 mars dans cette même région. Avec cette capture, les forces rebelles avaient vu leurs routes d'approvisionnement du Liban coupées. http://www.lorientlejour.com/article/862314/syrie-debut-dune-offensive-des-forces-loyalistes-sur-rankous-ong-.html
  17. Vidéo d'une nouvelle embuscade dans la gouta de l'est, au moins une quinzaine de morts http://www.liveleak.com/view?i=ab4_1396883350
  18. NDF sur le front de Lattaquié http://www.liveleak.com/view?i=555_1396800848
  19. Reportage sur le Hezbollah en Syrie http://www.liveleak.com/view?i=d1b_1396703880
  20. NDF http://www.youtube.com/watch?v=0LakIddtb1E#t=15
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