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Messages posté(e)s par Alberas

  1. Il y a 2 heures, Pakal a dit :

    Moi je trouve curieux qu'il faille attendre 3 mois pour faire ces essais. 

    Si c'est annoncé pour dans 3 mois, c'est que ça a dû être préparé depuis longtemps des 2 cotés pour avoir le maximum de chances de réussite et que la date convient à toutes les parties prenantes.

    Boeing a fait son essai tout seul dans son coin et il a donné son résultat après coup. 

  2. Il y a 8 heures, Delbareth a dit :

    Moui certes... Mais je pense que c'est plus profond que ça.

    Le F35 comme le Rafale a été prévu pour voler modestement vite. Les entrées d'air ont été dimensionnées en conséquence. Et le moteur prévu exploite au mieux le flux d'air permis par les entrées. Comme sur le Rafale.

    Sauf que le F35 a il me semble pris un sacré poids, et c'est une patate volante. Du coup il galère en transsonique, et quand on veut booster ses moteurs on peut pas. Comme pour le Rafale (sauf que lui ne galère pas en transsonique).

    Cela parait assez logique comme explication. Mais alors, si les US veulent remplacer le F135 par un nouveau moteur plus puissant, il va leur falloir augmenter le débit d'air. Difficile sans modifier l'avion, Non?

    Et tous les clients potentiels du F35, à commencer par la Finlande et les EAU (ou l'air est plus léger et plein de sable) ils en pensent quoi de ce super moteur?

  3. Article de ce matin dans revue italienne SMART

    "Comment Macron va prôner le Rafale de Dassault au Moyen-Orient

    par Giuseppe Gagliano

    Le président français Macron cherche à promouvoir la vente des avions Rafale de Dassault aux Émirats arabes unis. L'étude approfondie de Giuseppe Gagliano

     

    L'équipe diplomatique de l'Elysée se concentre actuellement sur les préparatifs de la nouvelle tournée d'Emmanuel Macron au Moyen-Orient de son quinquennat présidentiel, qui devrait le conduire à Abou Dhabi et Riyad, avec une éventuelle escale à Beyrouth. Le voyage est prévu après son voyage en Ukraine. Selon plusieurs sources, le dirigeant français pourrait s'inviter en guest star au Dubai Air Show (DAS), qui se tiendra du 14 au 18 novembre aux Emirats arabes unis. Il devrait également s'entretenir avec le prince héritier Mohamed ben Zayed al-Nahyan (MbZ).

    INTERVENIR DANS LA GUERRE FROIDE AMÉRIQUES-EMIRATS

    Pour Paris, il s'agit de tout prouver : le PDG de Dassault Eric Trappier et le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian s'affairent déjà à mener à bien l'affaire Rafale, actuellement bloquée dans le pays. Dans la brouille entre Abu Dhabi et Washington, les stratèges de l'Elysée et du Quai d'Orsay voient une opportunité de faire passer cet accord. Pour les dirigeants émiratis, la relance de la campagne du Rafale pourrait leur permettre de monter la barre avec Washington.

    Depuis des mois, la Maison Blanche tente d'utiliser cet accord pour vendre des avions F-35, évalués à 23 milliards de dollars, comme monnaie d'échange. Les États-Unis souhaiteraient que les négociations stratégiques entre Pékin et Abou Dhabi soient abandonnées. Cependant, les Émirats arabes unis ne semblent pas inquiets de cette décision, alors que les projets entre les Émirats et les groupes stratégiques chinois se poursuivent.

    Depuis plus de douze ans, Dassault rêve de conclure un accord avec le Rafale aux Emirats Arabes Unis. Depuis, le groupe a rejoint les nouveaux besoins industriels d'Abu Dhabi. Aux côtés d'Airbus Group, de Lockheed Martin et de Thales, Dassault a désormais un partenariat avec Global Aerospace Logistics (GAL), la société dédiée à la maintenance aéronautique et désormais intégrée au conglomérat semi-public EDGE Group, en charge de l'industrie de la défense. Depuis avril 2020, le GAL est dirigé par l'ancien officier de l'armée émirienne Mohamed al-Khemairi. Il est épaulé par le consultant du groupe Rodrigo Torres, ancien vice-président de Renault et également directeur financier d'EDGE.

    Dans le même temps, Dassault espère une nouvelle commande de Rafale en provenance d'Inde. Emmanuel Bonne, le conseiller diplomatique d'Emmanuel Macron, s'intéresse particulièrement à cet accord indien. Alors que l'Air Marshal Vivek Ram Chaudhari, le nouveau chef de l'Indian Air Force (IAF), n'a pas ouvertement déclaré le chasseur multirôle Rafale comme candidat désigné pour le nouveau programme de chasseurs multirôles 114, il a confirmé qu'il ne cherchait pas à apporter un nouveau type d'avion de chasse de son armée de l'air. Il a fait cette annonce lors de sa première conférence de presse à New Delhi le 5 octobre.

    De hauts responsables de l'IAF ont maintenant admis que le ministère indien de la Défense était favorable à l'achat de 36 chasseurs Rafale supplémentaires dans le cadre d'un accord intergouvernemental (G2G) avec la France. Chaudhari aurait déjà conseillé au ministre de la Défense Rajnath Singh de soutenir l'accord, à condition que Dassault soit prêt à transférer près de 100 % de la technologie de conception et de fabrication en Inde.

    Pour relever ce défi industriel, le gouvernement réfléchit à une nouvelle approche. Cela impliquerait la construction de 114 combattants polyvalents via un consortium basé sur un partenariat public-privé, dans lequel le partenaire technologique étranger aurait également une participation. Cependant, rien n'est encore décidé.

    Le nouveau chef de l'IAF souhaite que les prochains Rafale répondent à la norme F4 de 2024. Les chasseurs IAF actuels sont de la norme F3R, avec des caractéristiques qui répondent aux exigences indiennes. Alors que le coût pour l'Inde serait plus élevé pour le F4, cela ouvrirait la voie à l'introduction de technologies de cinquième génération dans le pays.

    INFLUENCE SUR LE TERRAIN

    Pour étayer son offre, Dassault s'appuie sur nombre de généraux de l'IAF à la retraite et d'anciens diplomates devenus consultants, ainsi que sur son partenaire indien Reliance Industries, dont le promoteur Anil Ambani a des liens très étroits avec le Premier ministre Narendra Modi. - Un groupe de diplomatie d'entreprise basé à India Foundation, dirigé par Shaurya Doval, fils du conseiller à la sécurité nationale Ajit Doval. Les membres du conseil d'administration de la Fondation indienne sont des politiciens influents du BJP au pouvoir, notamment Ram Madhav, Vinay Sahasrabuddhe, Swapan Dasgupta, Jayant Sinha et Jay Panda. Ils sont également des membres influents du conseil d'administration de diplomates à la retraite, dont Amar Sinha et Preeti Saran.

    La première enquête (RFI) de l'IAF pour 114 chasseurs polyvalents a été envoyée aux équipementiers mondiaux en juin 2018. Les équipementiers américains Boeing et Lockheed Martin, Dassault en France, SAAB en Suède, Airbus Group en Europe, MiG en Russie et Sukhoi ont tous montré intérêt à l'époque. Cependant, pour le moment, aucun calendrier définitif n'a été fixé. "

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  4. Il y a 10 heures, clem200 a dit :

    C'est petit quand même ... 

    En l'occurrence les erreurs peuvent très bien venir des remorqueurs équatoriens. 

    Pas de blessé c'est déjà ça, et le Cisne Branco devrait être réparable. 

    Autant pour moi. J'avais pas vu que ça s'est passé en  Équateur. 

  5. il y a 2 minutes, pascal a dit :

    çà n'a pas l'air de suffire

    En tout cas, merci d'avoir décrit le fonctionnement du Spectra. J'ai appris pas mal de choses et que ceux qui voudront se frotter au Rafale risquent de s'en prendre une:bloblaugh:

  6. Merci.

    C'est très intéressant. Le ratio de 1 à 10 entre le coût de l'offset pour le vendeur (son investissement) et la valeur d'offset qui lui est créditée est raisonnable. Mais l'investissement n'est pas le seul coût pour le vendeur. Il s'y ajoute le cou^t de la préparation du projet d'offset, celui de la gestion de tous les contrats avec les sous traitants locaux et du contrat global d'offset avec le client. Le tout étant partagé avec les contributeurs de 1er rang et de 2nd rang de l'avionneur.

    On peut estimer que ça coutera de 3 à 5% du contrat d'offset de 3G€. Après, il faut tenir compte du paramètre de la durée de réalisation des 3G€ d'offset et du mode de calcul des crédits d'offset.

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  7. Il y a 1 heure, Boule75 a dit :

    Ce serait bien d'identifier et de casser les ressorts de ces comportements.

    C'est un vœu pieux! En pratique,

    • les pays qui ont une BITD forte (France, GB, Allemagne, Italie (?)) ne demandent pas d'offset
    • les pays qui une BITD faible (Grèce, Norvège, Espagne , Roumanie, Suisse, Pologne, Finlande....) exigent des offsets
    • Bref, chaque pays fait ce qu'il veut et, surtout, il n'y a pas de règles communes de valorisation des offsets.
    • Les offsets coutent cher et font monter les prix en fonction du niveau exigé par le client et de ses capacités industrielles (le cas indien en est l'exemple le plus ultime)

    La conséquence est que les offsets représentent un risque important pour le vendeur, car ils se traduisent par des coûts et des risques financiers s'il ne tient pas ses engagements.

    Evidemment, avec le FMS, les américains s'en exonèrent largement.

    Pour illustrer l'absence de critères communs sur ce sujet, je vais prendre 2 exemples de ce qu'auraient pu être les offsets sur la Suisse.

    La France a acheté des Pilatus. Leur prix de vente et celui des pièces détachées sur x années est de l'offset (peut être avec un facteur multiplicatif) 

    Les USA ont proposé d'assembler 4 F35 en Suisse. Cela peut être déclaré comme du transfert de technologie (valeur offset) et peut permettre de considérer que toutes les opérations de maintenance faites par les Suisses sur 30 ans seront aussi valorisées en offset car, sans ce transfert de techno, elles auraient du être faites aux USA. L'économie réalisée est un offset.

    il y a 31 minutes, herciv a dit :

    C'est quoi ce bordel ? Un lobbyiste pro f-35 commence à vouloir demander de la transparence à ses autorités politiques si autre chose qu'un f-35 est choisi !!

     

    Il a pété un plomb:angry:

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  8. il y a une heure, Boule75 a dit :

    je m'interroge sur sur ce qui pourrait conduire nos alliés européens à le faire, dans nos actes passés et présents. La France a-t-elle jamais commis l'erreur, ces dernières années, de menacer l'un de ses partenaires de l'UE (+Norvège, Suisse, Islande, Norvège) de le priver de pièces détachées ou de services critiques pour un armement qu'elle lui aurait vendu, ou développé en commun avec dépendances croisées ? Dit autrement : est-on fiable à 100% sur ce point ? Il me semble que oui, mais a-t-on des contre-exemples ?

    Présenter la question comme ça conduit à répondre que la France, pas plus que les autres pays européens n'a commis ou ne commettra ce genre d'erreurs. Mais je pense qu'il faudrait reformuler la question dans le cadre du projet HX:

    "Quel pays présente le risque de priver la Finlande de pièces détachées ou de services critiques pour les armements qu'il lui aurait vendu, si la Finlande entre en conflit avec son voisin Russe, sans que l'OTAN ne soit encore engagé dans ce conflit? "

  9. Il y a 2 heures, Boule75 a dit :

    Non ! J'imaginais que Paris aurait pu parfois user des leviers que lui donnaient la dépendance de l'Allemagne ou d'autres à des armements produits ou co-produits avec la France. A-t-on usé de ce levier déjà ? Quand ? Des malveillants prétendent-ils qu'on l'ait fait ? Qu'est-ce qui, à la fin, conduirait des nations européennes à redouter qu'on en use ?

    Quelqu'un a-t-il des exemples clairs de négociation où nous (français) aurions fait pression sur des alliés européens par le biais des armements qui leur avait été vendus ? Je n'en est pas, mais est-ce redouté, et si oui, pourquoi ?
    En ce qui concerne les USA, on sait qu'il s'agit d'une pratique assez courante, ouverte même (plus de munitions pour les uns, plus de pièces détachées pour les autres, double-clé par ci ou par là) : est-ce le même type de pratique que d'autres pays redoutent de la part de Paris, et si oui est-ce appuyé sur des exemples historiques ? (et je ne parle pas des non-livraisons à des pays qui, entre le moment où ils commandent des matériels et le moment où ils doivent les recevoir, se mettent à violer des traités, c'est encore un cas à part).

    J'avais interprété les "manières douteuses" comme étant celles utilisées dans les temps anciens et qui utilisaient beaucoup les paradis fiscaux! Ce doit être mon passé chez Thomson-CSF qui m'a fait interpréter comme celà.

    En fait, si je comprends bien, tu mets en cause la fiabilité de la France vis à vis de ses clients. 

    Le problème est que cette fiabilité (confiance, alliance, ...) doit être à double sens. Ca ne fait aucun doute avec les pays de l'OTAN (quoique la Turquie ...) c'est plus difficile avec des pays comme le Pakistan, la Lybie,l'Irak, etc .... Certes c'est critiquable sur le plan droitdel'hommiste, mais ça peut se justifier sur les plans géopolitiques et économique.

    De tous ces pays, celui qui me pose le plus de questions, c'est la Russie lors de la vente des BPC. C'est quand même l'adversaire de l'OTAN. Je me demande comment Poutine a hypnotisé Sarko?

  10. Il y a 13 heures, Boule75 a dit :

    Personnellement, je soupçonne plus des soucis politiques que d'authentiques calculs d'apothicaires : est-on (français) imbuvables dans certaines négociations, jouant de leviers pas glorieux ? N'est-on pas surtout, sur un certain nombre d'approches, assez originaux ? Et pas forcément dans le bon sens (par exemple, en étant d'une rigidité de bois, en façade, sur les exportations d'armement, en laissant dire sans fin que nous serions des va-t-en-guerre, alors même vend à tour de bras par le biais de filiales ? Et n'avons-nous pas pendant des décennies négligé tant de monde qu'en retour on se retrouve isolés ?

    Clairement, pour l'Allemagne et les avions, il y a une question de fierté allemande, bien mal placée hélas, ou de complexe d'infériorité.

    C'est un peu trop généraliste à mon goût.

    • La CIEEMG est un autre sujet.
    • "Les exportations d'armement " couvrent tout.
    • Les performances commerciales de chaque industriel (et le soutien politique qu'il obtient ou pas ) conduisent à des échecs et aussi à des succès. Les concurrents ne sont pas tous des incapables.

    J'ai oublié les "leviers pas glorieux" . Tu fais référence à Biden en Suisse?

  11. Il y a 14 heures, Boule75 a dit :

    Financer une industrie dont on n'a pas l'équivalent chez soit, en quoi cela pose-t-il problème ?

     

    Il s'agit d'une industrie que peu de pays dominent! Et Loin ou près, ça pose le même problème: est ce que j'accepte  que ma défense dépendre de ce pays pendant 30 ans? Et est ce que cette dépendance va m'aider ou me géner dans les autres rapports politiques/économiques que j'ai avec ce même pays?

    On voit bien que ces questions se posent dans tous les marchés où le Rafale est en course contre les avions US. 

     

    Il y a 13 heures, Boule75 a dit :

    Possible : mais s'ils ont des sous-traitants capables, on peut alors les les faire travailler au titre des compensations industrielles. Et en retour, c'est s'attacher le pays-client.

    Les offsets sont un sujet qui mériterait un file spécifique. Ce n'est pas le critère principal d'attribution d'un contrat. A ne pas le confondre avec la co-production, style EF ou style F35. 

     

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  12. il y a 16 minutes, WizardOfLinn a dit :

    Salauds de prolos qui rêvent d'un pavillon avec jardin.
    Et comme elle a elle-même une baraque de 250 m², elle s'en est pris plein la tronche.
    Pas bien futée quand même, elle aurait pu prévoir qu'on irait jeter un oeil à sa déclaration de patrimoine.

     

     

     

    Il faut aussi interdire les résidences secondaires, qui sont triplement anti écologiques: leur construction est génératrice de CO², elles bouffent de l'espace et elles inctent à se déplacer pour en profiter.

    Tout le monde en cage à lapin et sans en sortir!

    Vive l'écologie punitive.

  13. Il y a 3 heures, Teenytoon a dit :

    F-35 en Finlande on vous dit ! :rolleyes:

    L'article est clairement favorable aux 2 offres US et rhabille les 3 autres pour l'hiver.

    Est ce le résultat du lobby US ou cela traduit-il l'appétence US de l'AA Finlandaise? Parce que, s'ils considèrent que les problèmes actuels du F35 et de son moteur ne sont que de simples défauts de jeunesse, on ne peut rien faire contre le F35.

    Il faut donc espérer que le choix du f35 sera considéré comme trop risqué pour eux (avec cependant une question sur l'avis de la Norvège ). Mais ça pourrait les remettre dans les bras de Boeing.

  14. il y a une heure, herciv a dit :

    Dassault à lâché une info pour la Finlande. Commentaire vu sur F-16.net de Magistsu, un des finlandais là-bas. Avec une info importante.

    je cite :

    " ils ont estimé que la génération d'énergie du Rafale était insuffisante (tout comme celle du Gripen, dont ils pensaient qu'il faudrait quelque chose d'étonnant à l'avenir en raison de la faible puissance du moteur unique) et que les panneaux n'étaient pas impressionnants par rapport aux grands écrans des autres appareils.
    Dassault leur a dit que la Finlande exigeait certaines choses spécifiques et ils ont donc baptisé leur offre Rafale F4+. Je pense qu'il comprend probablement une partie de l'avionique supplémentaire demandée par l'Inde.

     

    En 2008 (environ!) on entendait chez Thales que les UAE étaient intéressés par le Rafale mais qu'ils voulaient des moteurs plus puissants. A l'époque, j'ai retenu que notre AA n'était pas demandeuse et qu'il n'y avait donc pas de financement pour le faire. De plus, Thales avait refusé (sur d'autres contrats et sur injonction de Dassault) d'accepter les nouvelles conditions d'offset que les UAE voulaient imposer. A la suite de quoi, Thales avait été boycoté par les UAE.

     Dans les rapports de PARIKRAMA, on mentionne aussi une augmentation de puissance de 7500 à 8300 KN.

    Cette critique sur la puissance des M88 est donc ancienne. Certains membres du forum doivent savoir si qq chose a été fait ou est prévu, mais c'est peut être confidentiel?

  15. Il y a 2 heures, DEFA550 a dit :

    Punchline validée :biggrin:

    Vu d'ici la plupart sont dues à des collisions volatiles.

    Quand j'étais étudiant , il y avait au CEAT de TOULOUSE, un "canon à poulet" pour tester les capacités de résistance des parebrises d'avion aux impacts de volatiles. Il y avait encore quelques traces de plumes! Après, on était passé à des "poulets" synthétiques standards.

     la SNECMA faisait aussi ses essais d'ingestion (ou indigestion!) de volatiles par les étages de compresseur des réacteurs. Les aubes n'aimaient pas trop!

  16. il y a 18 minutes, SLT a dit :

     

    C'est plus clair oui en effet, merci. Mais :

    C'est bien ça que je ne saisis pas trop. Ce programme et ses achats sont tellement étalés dans le temps à force, que j'ai l'impression que les économies d'échelle, c'est très limite pour le coup. Ou du moins que les premiers utilisateurs qui ont passé des commandes ne vont pas en profiter, de ses économies annoncées.

    A moins que ce "au même moment" ne soit sur un temps plus long que ce que j'ai en tête ? :unsure:

    Merci pour les explications (et à tous les autres aussi)

    Si tu prends le cas du Rafale, les ventes export de 2015-2017 ont permis de faire passer la cadence de fabrication de 1 /mois à 2/mois et celles de Grèce/Egypte2 à  3/mois l'année prochaine.

    C'est évidemment bénéfique pour toute la chaine de production. Pour le client, c'est moins évident parce qu'on est pas dans un système sms à prix fixe pour l'Etat.

    Il y a aussi une limitation du sms qui, si le même système existait en France, n'aurait pas été possible en Inde; d'une part du fait des modifications demandées et payées par l'Inde, d'autre part par les obligations d'offset qui impactent fortement le prix de vente.

     

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  17. il y a 44 minutes, jeannelaflamme a dit :

    Surprise dans le projet HX : Eurofighter veut un calendrier condensé – « La version proposée à la Finlande serait le chasseur multirôle le plus moderne de la compétition HX »

    https://www.tekniikkatalous.fi/uutiset/yllatys-hx-hankkeessa-eurofighter-haluaa-tiivistetyn-aikataulun-suomelle-tarjottava-versio-olisi-hx-kilpailun-modernein-monitoimihavittaja/db6e7661-c2f6-479c-a4f0-e58a0ef217fd

    Plus on s'approche du terme, plus la tension monte!

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