Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

dr.watson

Members
  • Compteur de contenus

    662
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages posté(e)s par dr.watson

  1. http://www.marines.mil/marinelink/mcn2000.nsf/lookupstoryref/200710513344

    Ici le maj. Reece reconnait lui-meme que les F-5 marocains ont été modernisés (meme s'ils ont encore 2 canons), et perso je le croirais plutot lui ;)

    Je n’ai pas dis le contraire ! Les F-5 ont bien leurs avioniques modernisées mais je parle évidement du Radar

    Ma question est :

    Est-ce possible de mettre un radar à capacité BVR dans un F-5 sans modification du Radome en plus des deux canons sachant qu’il n’y a aucune modification sur les F-5 Marocains

  2. Israel and Morocco hold F-5 upgrade discussions

    MOROCCO AND ISRAEL are in secret negotiations over the latter country providing an upgrade of Moroccan air force Northrop F-5.

    The negotiations are believed to cover the upgrade of around 20 F-5s, which the air force uses in the fighter/ground-attack role. If successfully concluded, the deal would be the first Israeli upgrade of military equipment for a Muslim state.

    Morocco and Israel have recently established partial diplomatic relations. "Interest offices" in each country are used as the channel for growing economic relations.

    The air force of Morocco operates some 20 F-5E/Fs, and the upgrade programme is aimed at enhancing their combat capability. Two Israeli companies, Israel Aircraft Industries (IAI) and Elbit, are offering to carry out the work.

    IAI has upgraded the F-5s of the Chilean air force and Elbit is upgrading Singaporean F-5s.

    Potential elements of either upgrade could include improved cockpit avionics, including head-up displays, multi-function displays and weapons-delivery and navigation systems. Weapons upgrades could include the Rafael Python 3 infra-red-guided short-range air-to-air missile, with a variety of air-to-surface weaponry also on offer.

    Israel will supply ten Rafael Litening laser designation and navigation pods to Romania as part of its Mikoyan MiG-21MF Fishbed upgrade.

    DATE:21/02/96

    Brazil favours Grifo F radar for F-5BR upgrade

    The Brazilian air force appears set to drop the Elta EL/M2032 radar in favour of the Fiar Grifo F for its Northrop F-5BR upgrade. In a reciprocal move, it is looking to the Italian air force to adopt the improved version of the Embraer Aermacchi Alenia AMX light fighter.

    The air force is understood to favour switching to the Italian multimode radar for the upgrade of its 48 F-5E/Fs. Its previous selection of a new 400W version of the EL/M2032 has become embroiled in controversy over cost, development schedules and operational performance.

    Earlier installations of the Israeli radar in Chilean F-5E/Fs has required extensive modifications to the aircraft. The air force wants to fit a larger antenna, with wider ±60° angle of sweep, and the provision to add later an active-guided beyond-visual-range missile capability.

    :arrow:

    Il y a aucune modification de cone radar sur les F-5 Marocains

    Et il n'ont pas de capacités BVR

    :arrow:

    The air force has test flown the Singapore air force's upgraded version of the F-5S/T, fitted with the Grifo F radar. Elbit was the integrator for the Singapore programme and recently took delivery of the 44th and final radar set. It has been selected as the integrator for the F-5BR upgrade, with local Brazilian manufacturer Embraer the prime contractor.

    Brazil, in turn, is keen to capitalise on a proposed Italian air force upgrade of about 70 of its AMX fleet with new cockpit displays, mission computer, global positioning system and replacement radar for the ranging-only system. Requests for information have been sent to five potential vendors, including Israel Aircraft Industries, Elbit, Honeywell and Sextant.

    The FAB's version of the AMX is fitted with the Alenia/Tectelcom Scp-01radar, and it owns the intellectual rights to integrate the system. In addition, the aircraft is being upgraded with new Elbit-supplied head-down displays, central processor and stores management system. Venezuela has ordered eight aircraft.

    Pour les connaisseurs

    Les F-5 Marocains sont TigerII ou TigerIII sachant qu'il n'y a aucune modification du Radome et qu’il dispose encore de deux canons

    Image IPB

  3. F16 : Pourquoi M6 a eu raison

    Par le général (CR) Étienne Copel*

    Le Maroc avait vraiment l'intention d'acheter des avions de combat Rafale. Le roi l'avait clairement laissé entendre au président Jacques Chirac, et les industriels concernés, au premier rang desquels Dassault, avaient tendance à considérer que, le problème ayant été réglé au niveau politique, le marché était définitivement gagné (voir aussi pp. 86-87). Comme l'on sait, les Marocains ont finalement décidé d'acheter des F-16 américains. Que s'est-il passé?

    Pour certains, l'explication est simple: « c'est la faute à [Hervé] Morin ». En septembre, lors d'un colloque à Toulouse, le nouveau ministre français de la Défense avait en effet estimé que le Rafale était certes un avion « formidable », mais difficile à vendre. Tollé chez les industriels de l'armement et les spécialistes des questions de défense !

    Chez Dassault, par exemple, on s'était déclaré « consterné ».

    Comme pour enfoncer le clou, Morin avait alors expliqué que les militaires français avaient un peu trop tendance à choisir des armes trop sophistiquées...

    Il est vrai qu'il peut sembler suicidaire de reconnaître les difficultés d'exportation du Rafale au moment où les négociations avec le Maroc étaient, croyait-on, sur le point d'aboutir. Si Morin l'a fait c'est, sans nul doute, qu'il savait déjà que le projet était moribond, sinon mort et enterré. A-t-il tenté de dédouaner le président Nicolas Sarkozy avant sa visite officielle dans le royaume ? Si cette hypothèse est la bonne, cela signifie que sa déclaration n'était pas une bévue, mais une manière

    de préparer l'opinion française à un nouvel échec du Rafale.

    Reste à comprendre pourquoi le roi et ses conseillers ont été amenés à préférer le F-16 au « formidable » avion français. La raison en est simple : ce dernier est trop cher, en investissement comme en fonctionnement. D'une part, parce que c'est un biréacteur. De l'autre, parce qu'il a été développé et « industrialisé » par un seul pays, en nombre forcément très limité, et que son coût ne peut être amorti.

    Avoir deux réacteurs puissants contribue largement à rendre le Rafale « formidable ». Cela lui permet de monter à la verticale en accélérant : le rêve de tout pilote de chasse amateur de sensations fortes.

    Le problème est de savoir à quoi sert de monter aussi vite. Longtemps, le fait de posséder une vitesse ascensionnelle importante fut une qualité essentielle des avions de défense aérienne. Face à des bombardiers volant à haute altitude, il fallait monter très vite pour les intercepter avant qu'ils aient atteint leurs cibles. En outre, face aux chasseurs escortant ces bombardiers, il fallait disposer de beaucoup de puissance pour gagner les « combats tournoyants », qui, à l'époque, se terminaient généralement par des tirs de mitrailleuse ou de canon.

    Si les missiles n'avaient pas été inventés, la surpuissance du Rafale serait parfaitement justifiée. Mais aujourd'hui, l'important est d'avoir le meilleur radar, celui qui voit le plus loin ; d'être capable de traiter le maximum de cibles simultanément ; et, surtout, de disposer du meilleur missile, celui qui tire le plus loin et résiste le mieux aux leurres de l'adversaire. Or, dans ces domaines, le Rafale n'est pas « formidable ».

    Non en raison de l'insuffisance des ingénieurs français, mais tout simplement par manque d'argent. Le programme Rafale coûtant déjà aux contribuables français la bagatelle de 32 milliards d'euros, il n'y a plus de financement disponible pour main tenir en permanence l'appareil au niveau en matière d'équipements.

    Les Américains ont, semble-t-il, proposé trente-six F-16 à un prix inférieur à la première proposition française pour dix-huit Rafale. Les Marocains sachant fort bien que l'entretien des réacteurs représente une part considérable du coût global de l'heure de vol - et que, bien sûr, plus il y a de réacteurs, plus la facture est salée -, ils ont très intelligemment demandé à la France une nouvelle proposition prenant en compte la maintenance des appareils. Après quoi, ils ont reculé devant le prix.

    À noter également qu'un biréacteur dispose d'un rayon d'action plus réduit. Plutôt que de voler avec deux réacteurs à puissance très réduite, mieux vaut le faire avec un unique réacteur - à mi-puissance, par exemple - et remplacer le poids du réacteur absent par du carburant.

    À court terme, Mohammed VI aurait assurément rendu service à l'industrie aéronautique française en commandant des Rafale. À longue échéance, il n'est pas exclu qu'il lui ait rendu un service encore plus grand. À condition que ses responsables tournent vite la page du Rafale, comme ils ont su le faire pour le Concorde, et lancent rapidement, avec leurs collègues européens, un programme d'avion de combat monoréacteur à long rayon d'action.

    Alors, peut-être le Maroc sera-t-il le premier pays à commander cet avion « formidable ».

    *Président du Collège des experts du Haut Comité français pour la défense

    civile.

    IN : Jeune Afrique N° 2443 - DU 4 AU 10 Novembre 2007

    AUTEUR : Etienne Copel DATE : 04 novembre 2007

  4. (le Mi28N n'est pas proposé en ce moment à pas mal de clients je pense que c'est parce que la Russie va monopoliser la production)

    Motu

    Selon la revue AIR ET COSMOS dans son dernier numéro, un hélicoptère de combat MI28N a été envoyé en algerie pour évaluation ,il y aurait séjourné de juin à juillet dernier, et aurait été testé dans des conditions climatiques éprouvantes avec des températures très élevées et beaucoup de poussière ,ainsi qu'en haute altitude, l'équipe d'ingénieurs ainsi que les militaires algeriens qui ont participé à cette campagne d'essais ont été impressionnés et plus que satisfaits du comportement irréprochable de l'appareil qui s'est adapté sans aucun problème à ces condition extrèmes. l'algerie est citée comme étant le plus probable client export pour la version MI28NE, et les pourparlers sont bien avancés pour voir les chaines d'assemblage commencer la production d'unités pour l'algerie en parallèle avec la production déstinée à l'armée russe qui attend la livraison de quelques dizaines d'unités d'ici 2015.

    Source Air-Cosmos

  5. Les photos ne sont pas de très bonne qualité mais on ne va pas ce plaindre

    Il y a des choses que nous pouvons identifier comme le L-150 Pastel/Sirena 

    Image IPB

    Image IPB

    Différence MKM à gauche MKI à droite

    Evidement c’est des maquettes mais c’est très proche de la réalité et cela me permet de faire une comparaison sur les éléments de l’avion

    Antenne RWR comme sur le MKM

    Image IPB

    Image IPB

    Image IPB

    Image IPB

    Pour finir le MKA est différent du MKM et ce positionne surtout entre le MKI et MKM donc c’est bien une version proprement Algérienne

    Vous pouvez constater qu’il n’y a pas le MAW-300 ni le LWS-310 qui est d’origine Sud-AF mais remplacé par des équipements Indiens et Russe comme sur le MKI

    Vous pouvez voir la poussé vectoriel des AL-31FP car l’axe des canards est légèrement vers le bas comme pour les moteurs qui pointe vers le haut

    L’Algérie a donné 10% (180 Millions) du contrat à Thales pour son équipement donc comme le MKM il dispose d’un écran de visualisation tête haute de dernière génération, d’une nacelle de désignation laser DAMOCLES (source AFM) du récepteur multi mode TLS-2020, un interrogateur  TACAN NC-12, le NAVFLIR intégré au pylône de la nacelle Damoclès ainsi que le viseur tête haute IFFTSB-2510 et certainement d’autre chose …

    Pour les Russe ils ont fournis l’OLS-31, les viseurs de casque SURA-M le brouilleur actif SAP ainsi que le L-150 et évidement le radar a balayage électronique BARS

    Donc voici ma petite analyse des photos

  6. Peut-être à cause des attentats du FIS et du GIA, pour éviter que ces mines ne tombent entre les mains des copains des services secrets Algériens. Il est évident aussi que les Marocains avaient fait pression pour que ces mines restent à leur place. Ne parlons pas du détournement de l'Airbus d'Air France à Alger par des Terroristes dont l'enquête à prouvé qu'ils avaient été aidés par des gens de la Police et des moines de Tibérine qui ont été donnés par les services secrets Algériens au GIA... qui les a ensuite massacrés.

    Oui, pourquoi 

    On se demande, vraiment...

    Donc D’après toi les services Algériens sont responsable des attentats ?

    Maintenant si on part de ton point de vue .

    Tu pense que les services Algériens donc le gouvernement n’ont pas les moyens d’apporté des explosifs autres que des pauvres mines ? Bref C’est vraiment n’importe quoi

    Et puis cette histoire de canon... C'est ridicule franchement. Qu'on leur renvoie leur canon si ça leur fait plaisir. Qu'est-ce qu'on en a à foutre.

    C'est dingue ça...

    Un canon...

    Il n'y a pas des trucs plus importants ?

    Au delà du canon il faut voire ici la symbolique des relations Franco-Algérienne

  7. (en droit pénal si on devais faire une analogie l'article 222-23 du code pénal serait adéquat pour exprimer ce que les emiratis ont subis)

    :lol: :lol: :lol:

    Juste une chose, les gars leur Roi souhaite des avions neuve c'est claire et net. Les F-16 seront donc neuf  et svp restons sérieux j'ai entendue les MLU..(lol)ca seras sois des 50/52/ voir 60. Et personne connais le prix de la transactions, a part le rois et les américains.

    J'ai entendue patrler d'un article sur le Canard qui relève les dessous de la visite de NS au maroc, il parle d'achat financer par les saoudiens ou un truc dans le genre...??

    Le prix du F-16 sera forcement moins élevé que celui du Rafale

    Il faut en plus oublier un financement Saoudien car dans le cas du Rafale tous les articles disent qu'il n'a en réalité jamais existé 

  8. Pendant la sale guerre beaucoup de mines étaient récupérés par les groupes terroristes afin de commettre des attentats contre la population ou les militaires et il y a aussi énormément de personne victime des mines antipersonnel dans les régions frontalière du pays

    Depuis 1963 l’Algérie s’efforce a déminé les régions minés par des mines du Type APID 51 et de type APMB 51/55

    Donc l'Algérie a toujours eu besoin des plans de mine comme elle a toujours eu besoin des plans de canalisation et réseaux d'eau que Chirac a eu l'amabilité de donné seulement en 2005

    Image IPB

    Les relations entre les deux pays n'ont jamais été couper et les accord d'evian Respecté

    La B-A de Bous fer fut restitué en 1971

    Il y avait le 1 RCP ainsi que des Fouga pour la formation des Pilotes Algériens par la France

    Donc, Non ! Les ponts n’étaient pas coupés

    http://www.hemaridron.com/twodescphotos43.html

    La france dispose de plein de chose qu'ele ne souhaite pas rendre a l'Algerie

    Algérie-France

    L'amitié à portée de canon

    par Laurent Védrine

    Une pièce d'artillerie datant du XIIe siècle figure parmi les nombreux objets saisis par l'armée française lors de la conquête d'Alger, en 1830. Une campagne se développe en faveur de sa restitution

    Ce n'est peut-être qu'un timide rayon de soleil dans les eaux souvent froides et agitées des relations franco-algériennes, mais pourquoi ne pas en accepter l'augure? Butin d'une guerre lointaine, mais toujours présente dans les esprits, un canon de bronze, saisi voilà près de deux siècles par l'armée française dans la rade d'Alger, pourrait bien, par sa restitution aujourd'hui envisagée, œuvrer de façon symbolique à renforcer les liens entre nos deux pays. L'épopée de cette lourde pièce d'artillerie, la Consulaire, trônant aujourd'hui dans la cour d'honneur de l'arsenal de Brest, commence durant cette période méconnue des passions franco-algériennes. Grande absente des manuels scolaires, occultée dans le débat public par la guerre, l'indépendance et leurs stigmates, la conquête de l'Algérie à partir de 1830 est pourtant le point de départ de l'Empire colonial français en Afrique. Aujourd'hui, cent-soixante quinze ans après les faits, la France conserve aussi jalousement quelques centaines d'objets patrimoniaux saisis lors de la prise d'Alger, butins de guerre symboliques de cette «équipée glorieuse» .

    La suite

    http://www.lexpress.fr/info/france/dossier/algeriecolonial/dossier.asp?ida=436671

  9. L'Edito de JEAN-PIERRE CASAMAYOU

    Rédacteur en Chef d’Air & Cosmos

    Coup de sirocco

    Entre autres VRP de l’industrie française, le président de la République français est revenu de son voyage officiel au Maroc avec quelques promesses de contrats. Mais sans avoir pu vendre le Rafale, auquel Rabat aurait préféré le F-16 américain.

    Après le “coup de bambou” de Singapour, le Rafale vient de subir un “coup de sirocco” au Maroc.

    Mais doit-on encore parler d’échec et de fiasco pour qualifier ce revers aussi décrit comme un “gâchis franco-français” ?

    En assurant que ce marché était “imperdable” pour la France, les commentateurs ont vite oublié que l’acquisition de dix-huit Rafale par le Maroc avait été décidée de gré à gré entre deux chefs d’Etat (dont un n’est plus aux affaires) et, surtout, que son financement n’était pas assuré.

    On comprend dès lors les réticences des administrations françaises à financer l’opération, alors que dans le même temps elles préparaient un budget de rigueur. Leurs homologues américaines n’ont pas eu ces réserves et, au contraire, ont mis leur poids dans la balance.

    Même si on peut mettre en avant un cafouillage entre services officiels et industriels français, comme l’a montré l’excellente enquête de notre confrère “Les Echos”, ce revers illustre, une nouvelle fois, que le marché des avions de combat n’est pas une vente comme les autres. Il ne peut s’analyser selon des critères objectifs de performances, de disponibilité opérationnelle, de coûts ou de rapport qualité/prix habituels.

    Surtout quand il n’y a pas d’appel d’offres transparent, comme c’est le cas pour le Maroc.

    Si le royaume chérifien recherche des avions de combat taillés pour contrer la nouvelle menace créée par les Su-30 et MiG-29 commandés par son voisin algérien, il est clair que l’acquisition d’avions de cette classe – F-15, Typhoon ou Rafale – est la meilleure riposte.

    Certainement pas des F-16 de conception déjà ancienne et aux performances limitées.

    C’est un peu comme si le Maroc achetait deux Logan pour faire comme son voisin qui roule en Porsche Cayenne.

    Le fort engagement américain en faveur des positions marocaines, l’avantageux financement du contrat, voire les “dons” à des projets de développement locaux, dont on aimerait qu’ils soient passés au crible des règlements anticorruption européens, ont certainement été plus importants que les critères opérationnels.

    Souhaitons que les futurs F-16 marocains ne se retrouvent jamais face aux Su-30 algériens. Ils pourraient être victimes, à leur tour, d’un sacré coup de sirocco!

    http://www.air-cosmos.com/site/r9/edito.html

×
×
  • Créer...