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S-37 Berkut

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  1. Au moins 11 Rafales de plus c'est bon a prendre.

     

    Attendre de les voir avant de crier victoire. Souvent, on est plus proche de 4 à 6 appareils par an que de 11.

    Et souvent, ils ne sont pas encore payé. Mais même si à se rythme il faudra encore plusieurs décennies pour finir d'équiper l'armée de l'air, je suis d'accord, sur le fait que ce serait une bonne nouvelle. Affaire à suivre donc.

  2. @Bruno

     

    Faut vraiment être aveugle sur la situation économique et budgétaire actuelle pour penser une seconde que tu aurais plus d'argent avec tout autre gouvernement, de droite ou de gauche. La différence c'est qu'au moins JYLD gère au mieux son budget et connait son job.

    Après tout ce qu'on a vu passer comme couleuvres depuis qu'il est ministre, je me demande sur quoi tu base ton argumentation pour dire qu'il gère au mieux son budget ?

    J'aimerais quelques détailles concret SVP.

     

     

    Grosses tensions sur les véhicules de l’armée de Terre

    http://www.opex360.com/2014/10/25/grosses-tensions-sur-les-vehicules-de-larmee-de-terre/

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  3. Armées : des matériels militaires de moins en moins disponibles

    deux-mille-militaires-francais-actuellem

    La disponibilité du parc des hélicoptères de manœuvre pourrait s'améliorer entre 2013 et 2014 pour passer de 45 % à 50 % (Crédits : © Copyright Thomson Reuters 2013. Check for restrictions at: http://about.reuters.com/fulllegal.asp)

     

    En 2013, la disponibilité des blindés légers VAB s'est péniblement élevée à 40 %, celles des chars AMX 10 RCR et des hélicoptères de l'armée de terre à 35 et 45 %. En revanche, les avions à usage gouvernemental sont disponibles 90 % de leur temps.

     

    Les matériels de l'armée française sont actuellement mis à très rude épreuve (trop ?). Notamment à cause de nombreuses opérations extérieures (OPEX) : Afghanistan, Mali, Centrafrique et maintenant Irak. Du coup, la disponibilité des équipements, notamment les programmes les plus anciens, est médiocre. Et encore le référentiel a été modifié pour le projet de loi de finances de 2014 pour atténuer les effets négatifs. Il ne prend plus en compte l'ensemble du parc mais les matériels nécessaires à la satisfaction des contrats opérationnels. Donc des matériels prêts à servir en OPEX.

    Même avec ce nouveau référentiel, la disponibilité de l'ensemble des matériels terrestres de l'armée de Terre ne devrait pas atteindre pas la barre des 50 % (49 %) en 2014. Comme en 2013 d'ailleurs (49 %) alors que la prévision initiale était de 69 %. En revanche, celle des appareils aéronautiques de l'armée de terre devrait s'élever à 62 % en 2014, en croissance par rapport à 2013 (58 %) tandis que la disponibilité des matériels aéronautiques et des appareils embarqués de la marine pourrait atteindre respectivement 50 % et 48 %. Enfin, la disponibilité de l'ensemble des matériels de l'armée de l'air est plutôt satisfaisante et atteindrait 70 % cette année (61,7 % en 2013).

     

    L'armée de terre sacrifiée ?

    La disponibilité des matériels terrestres a été marquée par le haut niveau d'activité opérationnelle du premier semestre 2013 lié à l'opération Serval au Mali. "La remise à niveau du matériel suite au retour des opérations (Afghanistan, Mali) conditionnera la remontée de disponibilité attendue dans les prochaines années", explique le ministère de la Défense. Dans le détail, la disponibilité du parc des chars Leclerc, après une diminution sensible, devrait "se stabiliser dans les prochaines années à un niveau tout juste suffisant pour les activités prévues", estime l'Hôtel de Brienne. En 2014, elle devrait atteindre 60 % comme en 2013.

    Pour le parc des vieux chars AMX 10 RCR, la disponibilité est catastrophique (35 %), tout comme en 2013. "Les effets de la forte sollicitation lors de l'opération Serval ont reporté, d'au moins une année, l'amélioration attendue de la disponibilité liée au programme de retrofit", constate le ministère. Il prévoit en 2015 une remontée à 40 %. C'est aussi le cas pour les "chameaux" de l'armée de Terre, les VAB (40 % de disponibilité en 2014). L'amélioration de la disponibilité n'est pas attendue avant la fin de la remise en condition du matériel revenant d'Afghanistan et du Mali. "Cela exigera plusieurs années d'efforts", note le ministère, qui table sur une remontée à 50 % en 2015. En revanche, la disponibilité des matériels nouveaux comme le VBCI correspond au niveau contractuel du marché de soutien initial (75 %). C'est le cas aussi du système d'artillerie Caesar, qui corrige le vieillissement des parcs d'AUF1 et TRF1 (45 %).

    S'agissant des matériels aériens de l'armée de terre, la régénération des hélicoptères, très sollicités en OPEX, est lente en raison de l'état des parcs d'ancienne génération, d'attentes d'approvisionnements et d'un manque de personnels spécialisés dans la maintenance."Malgré les efforts réalisés, la disponibilité demeure sous le seuil critique depuis plusieurs mois et dégrade la préparation opérationnelle des pilotes", regrette le ministère. La disponibilité du parc des hélicoptères de manœuvre pourrait s'améliorer sur un an entre 2013 et 2014 pour passer de 45 % à 50 %.

    Enfin, la disponibilité du parc hélicoptères de reconnaissance et d'attaque atteindrait en revanche 75 % en 2014 (contre 70 % en 2013). "La réduction du parc Gazelle entrainera une remontée de la disponibilité, explique le ministère. Pour le Tigre, la résolution des défauts de conception et la mise en place de lots de déploiement supplémentaires au bénéfice des opérations extérieures, devraient préserver la logistique en métropole. Les perspectives pour 2015 permettent d'envisager une consolidation des résultats 2014 sous réserve de l'allocation des ressources financières programmées".

     

    Disparité dans la marine

    Les prévisions et les objectifs de la marine tiennent compte du programme de maintenance majeure (porte-avions) et intermédiaire. En 2013, la disponibilité du porte-avions s'est élevé à 30 % (38 % dans les prévisions initiales 55 % en 2012) et elle pourrait atteindre 47 % cette année. En outre "les difficultés rencontrées sur l'appareil propulsif des sous-marins nucléaires d'attaque (SNA) et des frégates expliquent en partie la baisse" de la disponibilité en 2013 : de 60 % en 2012 à 58 % en 2013 alors la prévision initiale tablait sur 70 % pour les SNA. Le taux de disponibilité des frégates a atteint l'an dernier 48 % (contre 53 % prévus), en hausse toutefois par rapport à 2012 (45 %). En 2014, la disponibilité des SNA et des frégates pourrait s'élever respectivement à 70 % (62 % en 2015) et à 49 % (53 % en 2015).

    En raison d'aléas techniques et de difficultés de production des ateliers de maintenance, la disponibilité des matériels de l'aéronautique navale a été en 2013 "en deçà des prévisions pour la flotte des avions de patrouille maritime (ATL2)", constate le ministère. Après être tombée à 39 %, la disponibilité de cette flotte devrait s'améliorer en 2014 (41 %) et 2015 (42 %) grâce au plan d'actions lancé en 2011. La disponibilité des appareils embarqués (Rafale marine...) qui été relativement médiocre en 2013 (49 %), ne devrait pas s'améliorer en 2014 (48 %) et 2015 (48 %). Enfin, celle des hélicoptères est juste au-dessus de la barre des 50 % (52 % en 2013) et devrait le rester en 2014 (51 %) et en 2015 (51 %).

     

    L'armée de l'air au top

    Les activités de régénération des appareils ayant servi aux opérations en Libye se poursuivent. S'ajoute celles du Mali et d'Irak. "La baisse de disponibilité des différentes flottes est accentuée par un bas niveau de stocks de rechanges, conséquence directe des compressions logistiques sur le MCO (maintien en condition opérationnelle) aéronautique, précise le ministère. Ce phénomène est particulièrement important sur les flottes de transport tactique vieillissantes (C160). Il est accru par des difficultés d'ordre industriel pour le C130. En 2014, les prévisions de disponibilité technique opérationnelle sont en hausse par rapport à 2013 du fait de la diminution du nombre d'avions nécessaires pour satisfaire les besoins organiques et opérationnels liés aux nouveaux contrats".

    La disponibilité de l'aviation de combat s'est élevé à près de 60 % en 2013 (contre 66,8 % en 2012). Elle devrait atteindre 75,9 % en 2014 et 77 % en 2015. Celles des avions de transport tactique a atteint 52,9 % en 2013 et devrait progresser en 2014 (58,6 %) et en 2015 (64 %). Enfin, la palme de la disponibilité revient aux avions à usage gouvernemental avec des taux très satisfaisants : 90 % en 2013 (90 % en 2014 et 2015).

    L'entretien des matériels, une priorité de Jean-Yves Le Drian

    L'entretien programmé des matériels est l'une des grandes priorités du ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, qui avait constaté "une insuffisance de ressources sur la période 2010-2012". Ce qui avait entraîné une baisse du niveau d'activité opérationnelle"passé en deçà des normes". Les crédits de paiement prévus pour 2014 sont, comme en 2013, en hausse : 3,1 milliards d'euros, soit une augmentation de 155 millions (+ 5,5 % à périmètre comparable).

    Le projet de la loi de programmation militaire (LPM) prévoit ensuite une progression moyenne annuelle d'environ 4 %, qui permettra d'accompagner la hausse structurelle des coûts d'entretien, et à partir de 2016, de retrouver progressivement des niveaux d'activité conformes aux normes, au fur et à mesure de la réalisation du nouveau modèle d'armée. Vu le niveau de disponibilité actuel des matériels, ce sera difficile pour le ministère de la Défense de couper sous la pression de Bercy dans ce poste de dépense. "On ne peut pas demander tout et son contraire", soupire-t-on au ministère : engager la France dans de nombreuses opérations extérieures et ne pas entretenir les matériels au péril de la vie des militaires sur le terrain.

     

    Source : LaTribune

    http://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/20140926trib000850630/armees-des-materiels-militaires-de-moins-en-moins-disponibles.html

  4. « La France livrera un navire de guerre Mistral à la Russie à condition qu’un cessez-le-feu soit instauré dans l’est de l’Ukraine et qu’un « règlement politique » soit trouvé à la crise, a déclaré jeudi le président français, François Hollande, à Newport »http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/09/04/97001-20140904FILWWW00272-le-mistral-livre-a-la-russie-en-cas-de-treve.php

     

    On émet pas de conditions politiques à la livraison d'un navire déjà payé. On livre ou on rembourse et on renvoie les poupes, point.

     

     

    Tout ce ci, connaissant la mentalité russe, est plus que contre productif et ne va pas arranger les négociation au sujet de l'Ukraine.

    Répondre par des menaces de vole de bien matériel ou financier en cas de non obéissance politique, en vers un peuple qui s'est sentie humilié durant les dernières décennies, risque de provoquer plus de ressentiment anti-occident que d'apaisement propice aux négociations. Le but devrait être à l'apaisement, et non à l'encouragement des plus dures du régime. 

     

    Tout ceci montre que la Russie dans l'esprit de nos politiciens n'est souvent considérée que comme une république bananière parmi d'autres.

    Les russes sont un peuple orgueilleux qui réagit mal à la contrainte extérieur et aux menaces. 

    Il y a un gros manque d'experts de la Russie en occident, ça fait peur.

  5. Tt à fait d'accord HK.

     

    L'important c'est la clarté.  Etre lisible c'est être compris. Et en période de forte instabilité, c'est la variable qu'il faut cibler. 

     

    Les conneries neuvropatostrategiques, c'est ça le danger.

     

    Après... Deux mois, 6 mois voire un an, de toutes façons, cela ne fait aucune importance. C'est pas 1.6Md qui va nous faire jumper la barre des 3%. de déficit.

    Et même si le refus de vente doit être définitif, au prix où ils sont affichés, je doute que personne ne soit intéressé par une future reprise.  Ils sont quand même beaux ces BPC.

     

    Il ne faut pas rêver. Pour être revendu, il faudra d’abord les découper et retirer les poupes qui ont été fabriquée en Russie, ce qui risque d'endommager sérieusement la viabilité structurel des navires. Après je ne suis pas ingénieur naval, il faudrait poser la question à un spécialiste, mais je les vois plus tôt le contribuable Français payer pour le démantèlement des carcasses, après avoir remboursé la Russie et financer le découpage des poupes et leur renvoie en Russie. Enfin, si, cela aura forcément des conséquences commercial, car les pays acheteurs sauront que la France peut changer d'avis à tout moment, si le besoin politique s'en fait ressentir. C'est une donné à prendre en compte. Les autres cas cité (Israël, Irak, etc...) n'ont rien à voir. Les commandes n'avaient pas encore été passée ou n'avaient pas été payé et souvent certains de ces pays devaient de l'argent à la France (comme l'Irak). La il s'agit d'un cas d'école de manque de fiabilité d'un fournisseur déjà rémunéré. Dans tous les cas, la Russie avait posée des options pour plusieurs autres BPC, et là il est claire qu'avec tous ces louvoiement sur la livraison ou non de ces navires déjà payé, c'est tombé à l'eau. Et ce n'est pas les éventuellement commandes Polonaises qui compenseront les pertes des chantiers navales. La facture pourraient être salée. Quant au budget de la France. Les sommes payées par la Russie ont été utilisées par l'Etat Français depuis bien longtemps, et vu l'état des finances, entre 1 et 2 milliards d'€uros augmentation des dépenses pour l'année avenir n'est pas une bonne nouvelle, pour un Etat qui commence à avoir du mal à lever des impôts supplémentaires pour financer des augmentations de dépenses qui se comptent pour beaucoup en millions et non en milliards. Après, je doute que l'UE ou les USA vienne au secourt de la France dans cette histoire.

     

    Ce ne sera pas la catastrophe, mais ça ne va pas arranger la situation économique de la France, ne prenons pas nos rêves politiques pour des réalité financières.

    Un sous perdu, reste un sous perdu jusqu'à preuve du contraire.

  6. Voici un article très critique de 2011 de ria novisti sur le pouvoir et qui explique en fin l'influence du pétrole :

     

    http://fr.ria.ru/discussion/20111118/192028416.html

     

     

    "Le budget 2012-2014 ne sera équilibré que si le prix du pétrole est de 115 dollars le baril, déclare à RIA Novosti l’économiste Anton Stroutchenevski de la société d’investissement Troïka Dialog. C’est un prix très élevé, et il est tout à fait possible qu’il soit largement inférieur.

    "Par ailleurs, si le prix du baril chutait jusqu’à 80 dollars, il serait impossible de respecter les chapitres du budget", estime Anton Stroutchenevski. Le séquestre rapide des dépenses, y compris sociales, serait alors inévitable.

    L’Etat ne peut pas renoncer aux engagements pris concernant les retraites et l’augmentation des soldes des militaires, déclare l’expert, mais il était nécessaire de réduire d’autres dépenses sociales. D’autant plus que même en réduisant les dépenses sociales, le budget prévu pour les trois prochaines années sera un "facteur de risque", déclare Anton Stroutchenevski."

     

    Le baril est actuellement à 95 et tourne autour de ce prix depuis 2011.

    Oui enfin il faut relativiser la gravité de la chose, la France tient des budgets en déséquilibre depuis plus de 30ans et ne s'est pas encore effondrée. Donc la Russie ne va pas forcément plier au 1er janvier 2015.

  7. Ok, merci G4lly pour ces lumières. Même si je suis toujours surpris de voir que le gouvernement met moins de temps pour envoyer du matériel lourd a des armées du tier monde, que pour installer une troisième cabine de douche dans la base de M'Poko en Centre-Afrique.

     

    Si les pechmerga en font bon usage je préfère les voir les utiliser eux que nos soldats!!

     

    Toujours aussi terrifiant de lire ce genre de réflexion.

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  8. Selon France 2, des conseiller militaires français vont arrivé en Irak.

    Le journaliste parle de livraisons de casques, de gilet par balles, de NVG, de mitrailleuses lourdes, de mortiers et de blindés.

     

    http://www.francetvinfo.fr/monde/proche-orient/offensive-jihadiste-en-irak/video-exclusif-france-2-la-france-envoie-des-formateurs-avec-les-armes-livrees-aux-kurdes_669631.html

     

    Mais d'où ils sortent tout ça ?  :blink:

     

    L'armée Française est en pénurie de casque, même les vieux F1 manquent, les gilet par balle (body armor) sont si rare qu'on ne les sort pas à l'entrainement, et je ne parle pas des NVG qui sont si précieuses que leur prêt s'accompagne toujours d'un discourt de sanctions, punitions et autre supplice en cas de perte ou de dommage.

     

    Ca ne choque donc personne sur le forum ??? 

    Le gouvernement FR aurait donc des stocks de matériel secret qu'il ne distribue pas à ses soldats?

     

    Ce midi, le journaliste de I-télé disait que la France avait toujours des stocks de matériel moderne à donner à des pays alliés en cas de besoin.

    C'est quoi cet histoire ? France2 raconte n'importe quoi, ou quelqu'un a des information là dessus ?

  9. C'est officiel depuis une heure, François Hollande l'a annoncé, la France va livrer des stocks d'armes aux kurdes
     
    http://www.lesechos.fr/monde/afrique-moyen-orient/0203700982022-les-etats-unis-reflechissent-a-levacuation-urgente-des-civils-au-nord-de-lirak-1032700.php
     

    Eduardo Rihan-Cypel Secrétaire national du Parti Socialiste chargé de la Défense, a annoncé il y a quelques minutes sur I-tv que la France allait livrer des stocks d'armes, et surtout de munitions aux kurdes. Il a précisé qu'il s'agirait de munition pour les "mitraillettes" et d'obus. Il a également parlé de livraisons d'armes lourdes, sans en préciser la nature. Il a dit que s'était top secret.

    Est ce que quelqu'un a des infos sur ces stocks d'armes et de munitions secrètes que posséderait la France ? ???

  10. Irak : Le gouvernement allemand est réservé sur la livraison d’armes aux combattants kurdes

     

    À la demande de Laurent Fabius, le ministre français des Affaires étrangères, et de son homologue italien, Federica Mogherini, dont la pays assure la présidence tournante de l’Union européenne, le comité politique et de sécurité (COPS) rassemblant les 28 ambassadeurs des États membres devait se réunir, ce 12 août, pour évoquer la situation humanitaire en Irak et la livraison éventuelle d’armes aux combattants kurdes irakiens, qui sont en première ligne face à l’offensive des jihadistes de l’État islamique (EI) dans le nord du pays.

    « Nous examinons avec nos principaux partenaires européens les moyens les plus efficaces pour stopper l’avancée des jihadistes de l’Etat islamique (EI). Il ne s’agit pas d’une intervention militaire mais d’un soutien, y compris militaire, au gouvernement kurde », avait expliqué Mme Mogherini.

    Constitués en force de protection, les combattants kurdes (Peshmergas) n’ont pas forcément l’expérience du combat comme peuvent l’avoir leurs adversaires. Et surtout, ils sont sont bien moins équipés que les jihadistes qui disposent des armes prises aux forces syriennes et irakiennes. Aussi, plusieurs pays de l’UE, dont la France et le Royaume-Uni, ont évoqué d’éventuelles livraisons d’armes à leur intention.

    Seulement, il sera compliqué, encore une fois, de concilier l’inconciliable, c’est à dire la position des 28 États membres. En effet, l’Allemagne ne devrait pas être d’accord pour que des armes soient livrés aux Peshmergas. Et cela, même si elle reconnaît la situation de détresse que vivent les 200.000 déplacés ayant fui l’avancée des jihadistes.

    Le 11 août, le ministre allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, a ainsi confié dans les colonnes du Süddeutsche Zeitung qu’il était en contact avec Massoud Barzani, le président de la région autonome du Kurdistan irakien « pour voir  comment nous pouvons offrir un soutien dans cette situation extrêmement critique ». Et d’ajouter : « Nous devons aider ces gens ». Mais pas en livrant des armes…

    Car le porte-parole de la chancellerie allemande, Steffen Seibert, a dans le même temps rappelé que « l’un des principes de la politique d’exportation d’armes de ce gouvernement, comme pour tous les précédents, est de ne pas fournir d’armes à des zones de crise et de guerre. » Et d’ajouter : « Le gouvernement actuel restera attaché à ce principe ».

    Cette position est soutenue par Norber Röttgen (CDU, chrétien-démocrate)  le président de la commission des Affaires étrangères du Bundestag (chambre basse du Parlement allemand, ndlr). « Les livraisons d’armes dans une situation de conflit militaire aigüe contreviendrait clairement aux lignes directrices de notre politique d’exportation d’armes et n’apporterait pas une solution au conflit ». Cela dit, cette façon de voir les choses fait débat au sein du parti d’Angela Merkel.

    Pour Rolf Mützenich, un expert des relations internationales au SPD (sociaux-démocrates, gauche), les livraisons d’armes « n’amélioreront pas la situation en Irak », pays qui en est largement pourvu, selon lui. « Plus de 12 milliards de dollars ont été dépensés au cours des dernières années pour les armes », a-t-il avancé, en disant craindre que les armements livrés pourraient être utilisés « dans une nouvelle guerre civile », étant donné le manque d’unité politique à Bagdad. « L’Allemagne devrait d’abord travailler avec d’autres pays occidentaux pour aider à établir un gouvernement d’unité nationale en Irak », a-t-il ajouté. Pas sûr, cependant, qu’il soit vraiment conscient de ce qui est en train de se jouer dans le nord irakien et en Syrie…

    Plus à gauche sur l’échiquier politique allemand, l’on se dit à la fois opposé aux livraisons d’armes et aux frappes américains contre les jihadistes. Une élue au Bundestag, Ulla Jelpke, a estimé qu’il fallait aider plutôt les combattants du Parti des travailleurs kurdes (PKK)… qui ne sont pas irakiens mais turcs.

     

    Quant aux écologistes allemands, ils n’ont pas d’état d’âme, leur chef de file, Cem Özdemir s’étant prononcé pour la livraison d’armes aux Peshmergas, qui « ont déjà sauvé la vie de milliers » de personnes. Et « ils n’ont pas fait cela avec des tapis de yoga, mais avec des armes. Et ils ont reçu ces armes des Américains », a-t-il plaidé. « La communauté internationale ne doit pas permettre que les Yézidis et les chrétiens, qui vivent dans cette région depuis des millénaires, soient anéantis », a-t-il dit.

    http://www.opex360.com/2014/08/12/irak-le-gouvernement-allemand-reserve-sur-la-livraison-darmes-aux-combattants-kurdes/

     

    Je crois surtout que l’Allemagne ne veut pas se fâcher avec le gouvernement turc en armant des kurdes même irakiens.

  11. Conflit en Ukraine: une initiative US selon 80% des Russes (sondage)

    Près de 80% des Russes estiment que l'opération spéciale dans l'est de l'Ukraine a été ordonnée par le président Piotr Porochenko à l'initiative des Etats-Unis, indique un sondage publié mardi par le Centre analytique Levada.

    Selon 52% des sondés, le désir de Kiev de se rapprocher de l'Europe s'explique par le fait que "l'Ukraine est un fantoche entre les mains de l'Occident et, plus particulièrement, des Etats-Unis qui pratiquent une politique antirusse". Seuls 26% des personnes interrogées estiment que les Ukrainiens sont mus par le désir de rendre leur pays "démocratique, prospère et libre". Pour 6% des sondés, les événements en Ukraine traduisent la volonté de la population de "surmonter le passé soviétique".

    33% des participants à l'étude estiment que la Russie ne s'ingère pas dans la crise ukrainienne et 24% sont persuadés que Moscou doit prendre part au règlement du conflit, mais qu'on l'empêche de le faire.

    85% des Russes considèrent le rattachement de la Crimée comme un grand succès des dirigeants politiques du pays. Seuls 7% des sondés estiment que les autorités ukrainiennes sont capables de sortir leur pays de la crise.

    L'étude a été effectuée du 1er au 4 août 2014 auprès de 1.600 personnes vivant dans 134 localités de 46 régions de la Russie.

     

    http://fr.ria.ru/world/20140812/202122669.html

  12. Les cinq parlementaires de l'Aude, le député européen et le président du Conseil général seront reçus par le président de la République le 9 septembre prochain à 18 h, pour évoquer, entre autres, l'avenir du 3e RPIMa de Carcassonne, menacé de dissolution dans le cadre de la réduction des effectifs dans l'armée.

     

    http://www.lindependant.fr/2014/08/01/3e-rpima-les-elus-de-l-aude-a-l-elysee-le-9-septembre,1913847.php

  13. La souffrance des turbines du Caracal au Sahel

    Au milieu de la régionalisation dans la bande sahélo-saharienne (BSS dans le jargon militaire, on vous prépare une carte) se posent des problèmes techniques pour les forces françaises de l'opération Barkhane.

    Exemple avec l'hélicoptère Caracal qui supporte très mal la chaleur et la poussière...

    Les turbines des Caracal, hélicoptères lourds utilisés pour les opérations de recherches et de sauvetages, sont ainsi prévues pour durer 3 000 heures. Au Sahel, leur espérance de vie est comprise entre 60 et 106 heures ! Or chaque turbine coûte 850 000 € et et son maintien en condition opérationnelle est très élevé. La fréquence élevée des opérations d'entretien a aussi pour conséquence la faible disponibilité des appareils. 

    Le problème du Caracal confronté au sable fin est connu depuis des opérations au Tchad en 2008. Mais un programme d'amélioration n'a pas été mis en œuvre avec le constructeur pour des raisons financières. Une politique de court terme négative quand on l'oppose au coût de la turbine.

     

    http://defense.blogs.lavoixdunord.fr/archive/2014/08/05/caracal-sahel-13236.html

  14. A vendre: 56 chars Léopard, état neuf

     

    La moitié des 112 chars Léopard que possède encore la Belgique, et qui seront mis hors service fin 2014, va bientôt être mise en vente publique, rapporte samedi Le Soir. Le marché n'est réservé qu'aux firmes certifiées, à savoir des sociétés qui ont reçu l'aval du pays vendeur et du pays producteur de l'armement (Allemagne).

     

    Les 56 chars acquis en 1967 -la Belgique en avait alors acheté 334- ont dès lors défilé pour la dernière fois le 21 juillet dernier à l'occasion de la Fête nationale.

    Même si depuis, la majorité a été dotée d'un système de tir guidé par laser, d'un système de guidage de tir infrarouge et d'un calculateur balistique.

     

    Depuis 1994, plusieurs ventes publiques de ces blindés ont déjà eu lieu, réduisant la puissance de feu de la Composante terre. Selon les chiffres du service presse de l'armée, il demeurerait de tout cet arsenal quelque 112 Léopard en versions diverses.

    Tous les chars configurés en version offensive seront retirés avant la fin de l'année. S'il n'y pas d'acheteur pour ces 56 chars, ils iront à la casse. 24 chars seront toutefois utilisés pour étoffer les collections de musées ou pour devenir des monuments historiques.

     

    http://www.rtbf.be/info/belgique/detail_a-vendre-56-chars-leopard-etat-neuf?id=8326839

  15. Russie-Inde: début des exercices navals à Vladivostok
     
    La cérémonie de lancement des exercices navals conjoints russo-indiens Indra-2014 a eu lieu le 15 juillet à Vladivostok (Extrême-Orient) à bord du croiseur lance-missiles russe Variag, a annoncé mardi à RIA Novosti le porte-parole de la Flotte russe du Pacifique Roman Martov.
    Selon lui, la phase active des exercices se déroulera du 17 au 19 juillet.
    Le programme des exercices prévoit des manœuvres techniques, la protection des navires et un échange d'hélicoptères. Les parties effectueront des tirs de missiles et d'artillerie sur des cibles maritimes et aériennes.
    La partie indienne est représentée par le destroyer Ranvijay, la frégate Shivalik et le navire de ravitaillement Shakti. Le convoi de navires russes comprend le croiseur lance-missiles Variag, le grand navire de débarquement Admiral Vinogradov, le navire de débarquement Peresvet et des navires de ravitaillement.
    Les manœuvres impliqueront également l'aviation de la Marine des deux pays.
    Moscou et New Delhi tiennent régulièrement des exercices militaires conjoints. La première  édition des manœuvres Indra a eu lieu en mai 2003.

     

    http://fr.ria.ru/defense/20140715/201820591.html

     

    Photos de l'exercice naval

     

    201883657.jpg201883700.jpg201883741.jpg201883782.jpg201883826.jpg201883904.jpg201883953.jpg201884000.jpg201884045.jpg

     

    http://fr.ria.ru/photolents/20140721/201884109.html


    Quelques photos supplémentaires du premier Il-38N livré à la Marine russe
     

    201831984.jpg201832005.jpg201832020.jpg201832071.jpg201832089.jpg201832104.jpg201832119.jpg201832135.jpg

     

    http://fr.ria.ru/photolents/20140716/201830601.html

  16. Russie: un nouveau radar d'alerte précoce mis en service d'ici la fin de 2014

    La Russie peut mettre en service un nouveau radar d'alerte précoce de type Voronej à Barnaoul (Altaï) d'ici la fin de l'année, a annoncé mercredi à Moscou le porte-parole des Troupes de défense aérospatiale russes Alexeï Zolotoukhine.
     
    "Le ministre russe de la Défense veille au respect du calendrier des travaux de construction des sites prioritaires pour les Troupes de défense aérospatiale. Les rythmes actuels des travaux permettent de lancer un nouveau radar Voronej-DM dans le territoire de l'Altaï d'ici la fin de l'année et de détecter les attaques de missiles en provenance du sud-est", a indiqué M.Zolotoukhine au terme d'une visite d'inspection effectuée par le commandant des Troupes de défense aérospatiale Alexandre Golovko à Barnaoul.
    Les radars de type Voronej, qui utilisent entre autres les ondes décimétriques, surpassent largement leurs prédécesseurs, les stations Dniepr et Darial créées à l'époque soviétique. Ils ont une portée de 6.000 kilomètres et peuvent détecter une attaque contre les postes de commandement et les sites civils importants. Le ministère russe de la Défense envisage de remplacer d'ici 2020 tous les radars datant de l'époque soviétique par ces nouvelles stations.
    La Russie compte déjà quatre radars préfabriqués de type Voronej. Deux radars Voronej-DM (ondes décimétriques) sont situés à Pionerski, dans la région de Kaliningrad, et à Armavir, dans le territoire de Krasnodar (sud). Deux radars Voronej-M (ondes métriques) sont déployés près de Saint-Pétersbourg et à Oussolie-Sibirskoïe, dans la région d'Irkoutsk (Sibérie orientale). Outre Barnaoul, le ministère de la Défense entend construire des radars de type Voronej à Enisseïsk (région de Krasnoïarsk), à Orsk (région d'Orenbourg) et dans la région d'Omsk.

     

    http://fr.ria.ru/defense/20140716/201841904.html

  17. Budget militaire : 3 à 6 milliards d'économies supplémentaires sur 3 ans

     

    Le Point.fr - Publié le 

    21/05/2014 à 12:54

    Cette fois, on entre dans le dur. Bercy demande une remise en cause de la loi de programmation militaire 2014-2019. Hollande reste muet.

    Cette fois, c'est fait ! Selon nos informations, recueillies auprès de sources crédibles, le ministre des Finances et des Comptes publics Michel Sapin a enfin fait connaître en haut lieu, verbalement à ce stade, qu'il souhaite une remise en cause des engagements budgétaires de la loi de programmation militaire votée par le Parlement en décembre 2013. Les responsables militaires ont pris connaissance très récemment de ces précisions, conformes aux déclarations du député UMP Xavier Bertrand le 11 mai dernier. Selon nos sources, Michel Sapin a réclamé une baisse de 1 à 2 milliards d'euros sur les trois prochaines annuités budgétaires, soit un total compris entre 3 et 6 milliards d'euros de 2015 à 2017.

     

    Bec et ongles

    Si la Défense se bat bec et ongles contre ces réductions, c'est qu'elles viendraient en plus de celles qui ont déjà été imposées depuis le vote de la loi de programmation militaire (LPM) 2014-2019. Rappelons que la "sanctuarisation" du budget à son niveau de 2013, à savoir 31,4 milliards d'euros, est déjà toute relative, puisqu'elle est amputée chaque année de la valeur de l'inflation. Mais François Hollande s'est accroché à ce slogan, sur lequel le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian s'appuie aujourd'hui pour dire qu'il ne "lâchera rien" puisque, dit-il, il a "déjà donné". 

    Effectivement, les armées ont payé 500 millions d'euros en 2013 pour participer au financement des opérations extérieures - Opex (1,2 milliard d'euros en 2013) - si chères au président de la République, cette somme devant être restituée au budget militaire en 2014. Sans compter que le "surcoût Opex" sera sans doute plus proche de 650 millions d'euros que des 450 millions d'euros initialement prévus.

    "On ne saurait pas faire"

    L'année 2014 prévoit 200 millions d'euros pour le financement de plusieurs programmes essentiels, qui ont déjà pris de très nombreuses années de retard alors qu'ils sont réellement cruciaux. Il s'agit notamment du programme Scorpion de nouveaux blindés de l'armée de terre, du programme de satellites d'espionnage Ceres (Capacité de renseignement électromagnétique spatial), des drones Male Reaper acquis aux États-Unis et des drones tactiques Watchkeeper, ainsi que des nouveaux avions-ravitailleurs A330 MRTT. 

    Absolument nécessaires pour la dissuasion nucléaire et les opérations extérieures, ces avions, dont l'achat a pris des années de retard, doivent remplacer les ravitailleurs C135 FR acquis aux États-Unis lors du lancement de la force de frappe en... 1964, toujours en service ! 

    La défense a fait valoir que les 23 500 suppressions de postes budgétaires venant s'ajouter aux 8 000 qui restaient à acter après la précédente LPM génèrent 4,4 milliards d'euros d'économies sur la durée de la LPM. Et que les baisses des achats d'équipements sur la même période représentent 14 milliards d'euros sans qu'aucun site industriel ait été fermé.

     

    La balle est clairement dans le camp de François Hollande, qui n'a pas prononcé un mot sur le sujet depuis dix jours et les déclarations de Xavier Bertrand. 

     
     

    http://www.lepoint.fr/editos-du-point/jean-guisnel/budget-militaire-3-a-6-milliards-d-economies-supplementaires-sur-3-ans-21-05-2014-1826357_53.php

  18. Manifestement tu as du mal à comprendre ce qui pose soucis. Il y a une différence entre être favorable, en essayant de comprendre/défendre une position tout en restant réaliste et équilibré, et être ultra partisan en ne regardant que ce qui va dans son sens, voir même en déformant/inventant les faits pour qu'ils correspondent à ce que l'on veut.

     

    Et bien souvent tes contributions tombent dans la deuxième catégorie, et c'est ça qui est fatiguant...

     

     

    En même temps, tout le boulot de diffamation au sujet de la Russie est déjà fait par d'autres, ajouter une couche supplémentaire ne servirait pas à grand chose.

    J'aimerais en effet que tes contributions et celles de certaines personnes soient plus équilibrées et moins idéologisées, ça me ferait des vacances.

     

    Mais bon, je fais avec, alors si j'y arrive, tu dois pouvoir le supporter toi aussi, a moins que tu sois moins patient que moi ?

     

    Bon, sur ce, si on pouvais arrêter le HS ? Merci

  19. Je m'y attendais et je rigole. Regarde mes contributions avec honnêteté et on en reparlera de mon partis pris. J'ai critiqué ici même Kiev sur son usage des missiles Grad, la demande de nos partenaire d'arrêter la vente de Mistral, et j'ai aussi dis ici que j'étais favorable au retour de la Crimée dans le giron russe même si je condamnais la méthode. Je ne me prétends pas impartiale car oui j'ai plus de sympathie pour l'ouest, mais j'essaie de prendre de la hauteur pour comprendre les deux parties et dire ce qui ne va pas des deux côté.

     

    Tu as le droit d'être favorable à la Russie, mais quand ça se transforme en une posture pavlovien avec aucune retenu dans les déclaration bien orienté voir mensonger (le coup du texte écrit noir sur blanc qui n'existe pas est un bel exemple) c'est déjà lourd, si en plus tu viens te la raconter avec tes "J'en ai marre d'avoir toujours raison" péremptoire sur une analyse en plus très discutable, autant arrêter de suite de la conversation.

     

    Le mensonge ? Quel mensonge ? Si tu est incapable de voir les conséquences logique de l’extension de l'OTAN en Europe, et le fait qu'une armée européenne aurait dû remplacer l'OTAN depuis plus de 25 ans, ce n'est pas ma faute. Cette guerre est dû en partie à l'extension de l'OTAN depuis la fin de la guerre froide. Dommage que tu ne vois pas cet aspect du problème. 

    Si ça t'énerve, c'est que je dois taper dans le mille.

     

    Maintenant, à titre personnel, je n'ai pas plus de rancune contre les US que contre les russes.

    Chacun avance ces billes.

    Les seuls qui m'énervent vraiment, sont les UE et leur incapacité à défendre leurs intérêts.

     

    Après, si tu penses qu'il faut arrêter de discuter avec des gens d'opinions contraire à la tienne, c'est peut-être toi qui a un problème ?

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