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Cadia

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  1. Cadia

    Armée Suisse

    Le montage avec une lampe est efficace et fonctionne sur le même principe que le pointeur-laser utilisé avec les ILR. Après l'arme est légèrement déséquilibrée mais on s'y habitue assez rapidement. Sinon une crosse téléscopique = ^-^
  2. Oui, c'est typiquement le genre de poste à 10'000 CHF par mois qui permet par la suite de se vanter d'avoir fait du social en Afrique. Je me rappelle qu'à l'école primaire on envoyait des cadeaux pour les pauvres enfants maliens qui étaient nos correspondants. Nous devions les aider à construire des écoles et des puits si mes souvenirs sont bons. Ces élèves étaients présentés comme l'avenir du Mali, dire qu'à cet âge j'y croyais. 20 ans plus tard la situation n'a fait qu'empirer et quel gâchis de ressources et de temps. :'(
  3. Pourquoi on devrait s'ingérer dans la politique de ce pays? Le seul fonctionnaire que je choisirais de déployer dans un pays africain aurait pour unique tâche de faciliter le transfert des requérants d'asile déboutés.
  4. Après un solide 2 % de croissance atteint en 2013, le Groupe d’experts table sur une accélération de l’expansion du PIB à 2,2 % en 2014 et à 2,7 % en 2015 en Suisse. http://www.seco.admin.ch/themen/00374/00375/00376/?lang=fr
  5. Ce n'était pas l'objectif visé. Si une personne est à l'AI, elle n'a théoriquement pas besoin de l'aide sociale (après la fin des indemnités chômage). Les frais de l'aide sociale étant supportés par les communes et les cantons, Genève a évité ces frais en se "débarrassant" de ces personnes dans une assurance fédérale (dans ce cas l'AI). Comme quoi, il n'y a pas que les particuliers qui tentent de détourner le système
  6. Le plein emploi n'existe également pas en Suisse. Le taux de chômage n'est pas aussi bas qu'on voudrait bien le faire croire. On a aussi assisté à une explosion des CDD dans certaines professions et les agences de placement temporaire s'engraissent (que je considère comme des parasites) =(
  7. Une personne active même par le biais de différentes mesures se portera toujours mieux qu'une personne laissée à son compte. Sans compter que ces mesures permettent également au chômeur d'avoir un peu plus d'argent à la fin du mois. Une mesure par le biais d'un emploi aidé, diminue par deux la durée de chômage pour les personnes concernées. Malheureusement ces emplois aidés sont limités en nombre. A la fin des indemnités chômage, elle aura droit à l'aide sociale (sous certaines conditions) qu'on pourrait comparer à une sorte de revenu universel. :| En théorie, ceci est moins coûteux pour la société mais, on assiste à une explosion des coûts médicaux liés aux problèmes psychiques et d'alcool. A l'aide sociale, 2/3 des dossiers nécessitent un suivi constant de la part d'assistants sociaux. Cette situation entraine une augmentation du nombre de fonctionnaire nécessaire pour traiter un dossier (un gestionnaire + un assistant social). De plus les cas étant plus lourds et sensibles que pour un chômeur, un gestionnaire travaillant à l'aide sociale traitera moins de cas par mois qu'un gestionnaire travaillant pour le chômage. Les travailleurs aidés ne font pas réellement concurrence aux travailleurs normaux du fait que ceux-ci ont déjà un emploi. Et il est plus facile de trouver d'emploi lorsqu'on a un travail que lorsqu'on est au chômage :-[ Etant donné qu'il est assez facile de changer d'emploi en Suisse, un patron qui sous-paye systématiquement ses employés risque de les perdre. Les employés dans cette situation ont de plus tendance à partir en groupe ce qui induit une perte de connaissance et des frais supplémentaires à l'employeur (recrutement, doublement des salaires du fait des personnes qui doivent être formées, engagement en urgence).
  8. Pour ceci, il suffit d'avoir un marché de l'emploi souple et un code du travail qui permet de licencier/démissionner de manière simple et rapide. Une société peut licencier un employé sans donner la moindre justification. Sa seule obligation est de respecter les délais de congé (ici pour les CDI). - 1 mois pendant la première année de service (pour la fin d’un mois) - 2 mois de la deuxième à la neuvième année de service (pour la fin d’un mois) - 3 mois dès la dixième année de service (pour la fin d’un mois) Seul un licenciement pour faute grave (licenciement avec effet immédiat et fin du droit au salaire) doit être justifié. Mais, les prud'homme ainsi que les caisses de chômage examineront toujours de près ce type de situation afin d'éviter les abus.
  9. Pour le placement dans le privé il y a une autre mesure nommée AIT (allocation d'initiation au travail). Durant les 6 premiers mois, l'employeur ne paie "que" le 50% (sans rentrer dans les détails) du salaire mais, en contrepartie, il a l'obligation de garder cette personne durant 1 année au minimum. Les 6 derniers mois seront payés à 100% par l'employeur. Evidemment il y a eu des abus, surtout parce que lorsque cette mesure était mise en place elle était sous le nom du chômeur et non pas de l'entreprise =( Un patron de PME malin pouvait engager 2-3 employés en AIT en s'adressant à des offices de placement ne se trouvant pas dans la même région. Un office établissait un contrat AIT sans savoir qu'un autre avait fait de même. L'avantage de cette mesure, est qu'elle force tout de même l'employeur à garder l'employé durant une année complète, il n'est pas forcément rentable de licencier ces personnes dans les domaines qui demandent des connaissances autres que basiques. Par contre dans la vente dans certaines grandes-surfaces... :'(
  10. Non, en fait c'est un des effets pervers de cette mesure. L'objectif de base est que ces personnes retrouvent rapidement un travail par les voies normales pas qu'ils fassent les 6 mois complets. Le problème c'est qi'ils se plaisent dans ces mesures vu que ces emplois sont intéressants, qu'il y a parfois un horaire libre et que l'ambiance est souvent bonne. La conséquence est qu'ils se donnent moins de peine dans les recherches d'emploi et se donnent à fond dans cette mesure en espérant être engagés (et c'est compréhensible). Beaucoup disent à leurs amis qu'ils ne sont plus au chômage et qu'ils travaillent en CDD pour l'Etat. Un des dangers de cette mesure, c'est que le chômeur n'a plus vraiment l'impression d'être au chômage. Malheureusement, le délai cadre d'indemnistation continue à courir et après ces 6 mois, il peut ne pas rester énormément de temps avant l'extinction du droit.
  11. Attention, ils ne font pas partie d'une sous-catégorie sociale. Ils travaillent 42 heures par semaine, sont considérés comme des employés en CDD et bénéficient d'une attestation de travail ne mentionnant pas qu'il s'agissait d'une mesure mise en place par le chômage. Le chômeur profite de cette occasion pour occuper le poste et avec un peu de chance il pourrait obtenir cette place par la suite. Il n'y pas de faire valoir dans cette mesure. A tout point de vue pour un futur employeur (dans le privé), cette personne est en emploi et effectue un CDD tout ce qu'il y a de plus standard. Cette mesure ne s'adresse qu'aux chômeurs motivés à retravailler. La personne placée ne touchera que ses indemnités chômage durant cette période (70-80% de son ancien salaire) c'est-à-dire la même chose qu'un autre chômeur qui passe ses journées devant sa TV. Le seul avantage est que les repas sont payés (15 chf par jour ouvrable).
  12. Pourquoi cumuler avec une formation externe? La formation se fait par le bias du travail effectué. Les emplois proposés sont adaptés aux compétences du requérant et répondent à un réel besoin (manque de personnel dans certaines administrations). Nous considérons qu'un métier ne s'apprend pas uniquement dans un collège mais surtout en travaillant. En Suisse, l'apprentissage dure en règle générale 3 ans (80-60% du temps en emploi et le reste à l'école) et les jeunes sont parfaitement adaptés au marché du travail lors de la dernière année d'apprentissage. Lors d'un futur entretient d'embauche, un ancien apprenti ne dira JAMAIS dans quel collège il a étudié (tout le monde s'en moque) mais dira auprès de quelle entreprise il a débuté sa carrière. La mesure que j'ai mentionné s'adresse aux chômeurs ayant déjà une expérience professionnelle mais ayant perdu leur emploi pour X raisons. Une personne bénéficiant de cette mesure pouvait travailler dans une fiducière qui a fait faillite et ne pas retrouver rapidement d'emploi par la suite. Pour éviter de la laisser sans activité, on pourrait la placer à l'office des impôts. Le "chômeur" se forme sur des nouveaux programmes et développe ses connaissances. Les résultats de ces mesures sont probants, il est bien plus facile de retrouver un emploi grâce à ces mesures et surtout on peut casser un chômage de longue durée en réintégrant une personne par ce biais. Nous évitons ainsi les trous dans les CV qui sont désatreux auprès des employeurs potentiels.
  13. Il y a un système en Suisse où le chômeur reçoit ses indemnités tout en travaillant (limité à 6 mois au maximum) auprès d'un service de la Confédération ou d'un canton. Il se trouve que certaines admninistrations manquent de personnel mais n'ont pas reçu de budjet pour engager des collaborateurs supplémentaires. Durant ce laps de temps, des chômeurs peuvent demander à y travailler. L'avantage est que le chômeur reste actif, ses repas sont payés et s'il donne satisfaction sera probablement engagé quand la situation le permettra ou trouvera plus facilement une place dans le privé. Globalement, ses chances de retrouver un "véritable" emploi rapidement augmentent de près de 50%. Le chômeur est resté actif et a développé des nouvelles connaissances ce qui est un atout non négligeable sur son CV. Pour l'administration, l'avantage est d'avoir du renfort sans augmenter son budjet (le chômeur est payé par l'assurance chômage en totalité) et lui évite des coûteuses procédure de recrutement par la suite. Bien qu'il s'agit de "travail au gris" tout le monde y trouve son compte, y compris l'assurance chômage étant donné que ces personnes retrouveront plus rapidement un emploi.
  14. Le frontalier est-il de manière générale un travailleur qualifié? Pour revenir sur la votation du 9 février 2014 (contre l'immigration de masse), il a régulièrement été annoncé par certains milieux que les frontaliers étaient surtout des travailleurs qualifiés indispensables à notre économie. Dans la dernière étude de l'OFS, nous pouvons retenir ceci: "Les frontaliers (17,9% d’entre eux) exercent nettement plus souvent une profession élémentaire que le reste de la population active occupée (3,7%). De manière générale, la main-d'œuvre frontalière tend à travailler dans des professions moins qualifiées" http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/news/medienmitteilungen.html?pressID=9316
  15. J'ignorais que la population de mon pays n'était composée que de 50% de ressortissants suisses... ??? Oh, on m'indique que les suisses représentent 75% de la population. On est donc très loin d'un suisse sur deux si on se rapporte à la population totale.
  16. Statistique policière de la criminalité en Suisse - rapport annuel 2013 (rapport publié le 24.03.2014). http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/news/publikationen.html?publicationID=5513 Une nouvelle fois, nous pouvons observer la forte proportion d'étrangers parmi les prévenus. "Seulement" 46% des prévenus pour des infractions pénales sont Suisses.
  17. Je me suis mal exprimé sur ce point. Il est normal qu'un étranger ayant cotisé puisse bénéficier des prestations comme tout le monde. Certains politiques prétendent que les étrangers cotisent plus que ce qu'ils nous coûtent. Oui, c'est vrai... tant qu'ils ne peuvent pas bénéficier des rentes vieillesse (qui est le poste de dépense le plus importants des assurances sociales), lorsque ces personnes auront 64/65 ans la courbe va s'inverser ou au mieux se superposer. En attendant, les postes moindres comme le chômage ou l'aide sociale dont les prestations sont disponibles peut importe l'âge creusent notre taux de prestations sociales (TPS = part des ressources économiques dédiées au versement de prestations d'assurances sociales). Notre taux de charge sociale augmente peu voir pas (TCS = part des ressources économiques dédiées au financement des assurances sociales) contrairement au TPS. Prenons l'exemple d'un ressortissant de l'UE qui vient travailler 12 mois (minimum pour avoir droit au chômage) en Suisse chez son "cousin" puis est licencié par celui-ci. Cette personne aura droit aux indemnités chômage car elle respecte le délai cadre de cotisation. Mais elle n'a travaillé que durant 1 année, le TCS global a donc peut augmenté alors que le TPS va exploser après même pas un mois de chômage. Les indemnités étant limitées dans le temps, cette personne se verra dans l'obligation de recourir à l'aide social si elle se trouve toujours sans emploi. Son revenu étant faible, elle ne paiera pas d'impôts, le TCS va stagner voir baisser si elle en payaient avant. Le TPS lui va continuer d'augmenter. L'assurance chômage est en déficit depuis de nombreuses années (la seule pour l'instant) avec 6.3 milliard de déficit en 2010 alors que notre PIB tourne dans les 570 milliard. La cotisation de 2.2% paritaire est trop faible pour faire face à la situation mentionnée ci-dessus.
  18. En d'autres termes, cette aide sociale sert aussi les entreprises, qui sans cette aide sociale publique ne pourraient embaucher à si bas coût et attirer autant de travailleurs à de si basses conditions de salaires... La distribution d'aides sociales que tu sembles présenter comme une perte nette pourrait d'une être perçue, entre autres, comme une aide aux entreprises indirecte dans certains contextes. Faux en partie, 70.4% des bénéficiaires de l'aide social sont des personnes sans emploi ou non actives. Parmi les 29.6% restant, on y trouve par exemple des femmes de ménages employées dans des ménages privés (+/- 8 heures par semaines) ou des travailleurs du bâtiment sur mandat venus en Suisse grâce à un "cousin" entrepreneur. Ceux-ci sont engagés durant 1-2 mois à 100% puis licenciés (en réalité, le travail proposé n'était qu'un prétexte pour le permis 8) et ces personnes ne travaillant qu'à l'heure et n'ayant pas droit au chômage pourront bénéficier de l'aide sociale. Pour revenir au graphique de l'OCDE (impact avec pension), heureusement que l'impact fiscal est positif pour l'instant ! 2/3 des cotisations sociales versées sont dédiées à l'assurance vieillesse, c'est une évidence que la majorité des prestations n'ont pas encore été versées L'assurance vieillesse (AVS) est la plus coûteuse et elle basée sur la répartition et la solidarité => prestations à 65/64 ans (hors prestations pour les orphelins, veufs/veuves), normal que les cotisations versées par les immigrés en dessous de cet âge participe au financement et ne coûte rien... pour l'instant. Par contre lorsqu'il faudra payer ces rentes, il n'est pas certain que les cotisations seront suffisantes. Pour l'instant, personne en Suisse n'a la moindre idée du résultat. Positif pour l'instant certe, même peut être une catastrophe dans 20 ans. Petite précision, TOUT le monde cotise à l'AVS et bénéficie à la retraite au moins d'une rente minimum (sans rentrer dans le détail), les cotisations AVS d'un chômeur ou d'une personne à l'aide sociale sont payées par ces services. Une personne ayant passé toute sa vie à l'aide sociale, aura le droit d'obtenir la rente minimum AVS même si elle n'a jamais rien cotiser directement (la rente minimum correspond à la moitié de la rente maximum). Assurance chômage est en déficit depuis de nombreuses années => fort taux de chômage de la population étrangère n'a pas aidé à maintenir les comptes dans le vert. Assurance invalidité (AI) => déficit comblé grâce à un tout de magie comptable. Je ne vais pas faire une comparaison de chiffre, car je suis le 1er à reconnaitre que beaucoup d'immigrés en Suisse occupent des postes qui demandent peu de qualifications dans le domaine de la construction. Ce domaine étant notoirement dangereux, il est normal que plus de prestations soient versées aux étrangers. Détail amusant, les rentes sont versées également en cas de départ à l'étranger, sauf pour les kosovars retournant vivre au Kosovo (la faute aux nombreuses fraudes observées). Aide sociale => voir les liens. A noter qu'aucune cotisation n'est nécessaire pour en bénéficier, contrairement aux autres assurances sociales. Dès son 1er jour en Suisse, une personne pourrait en bénéficier si elle remplit les conditions. D'où les fréquents emplois fictifs chez un membre de la famille pour pour pouvoir entrer en Suisse puis un licenciement ce qui permet à cette personne de bénéficier du système social suisse qui est relativement généreux (forfait d'entretient + loyer payés + divers frais et cotisations payées comme l'assurance maladie, ou internet).
  19. Oui en effet, on remarque également que la proportion des ressortissants de l'UE est faible (voir également mon message concernant l'aide sociale). Les Suisses ne rerpésentent toutefois que 38.8% des détenus condamnés. Pour information, j'ai voté non à la dernière votation, mais je ne supporte plus que l'on nous vende que sans les "étrangers" la Suisse n'exiterait plus. L'élargissement de l'UE à l'est n'a rien de positif pour mon pays. 3.1% des ressortissants de l'UE bénéfice de l'aide sociale en Suisse, ce qui est un chiffre correct (le taux d'aide sociale correspond généralement au taux de chômage). Mais la Slovénie a un taux de 7.7%, la Lettonie de 7.6% et la Roumanie et la Bulgarie de 5.4% (France 3.4%). Prenons maintenant des pays hors UE mais qui pourraient prochainement (ou pas) rentrer dans l'UE. Albanie taux entre 20 et 30% ??? , Bosnie entre 10 et 20%, Serbie, Monténégro et Kosovo entre 6.3 et 10%. La Croatie (membre de l'UE, mais pas encore reconnune par la Suisse) a par contre un taux inférieur à la moyenne (6.3%) des bénéficiaire de l'aide sociale de nationalité étrangère.
  20. Prisons surchargées en Suisse et sa principale cause. Selon l'office fédéral de la statistique, 74.3% (!) des détenus sont d'origine étrangère. http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/themen/19/03/05/key/ueberblick/wichtigsten_zahlen.html Malheureusment, le détail par nationalité n'est pas disponible au niveau fédéral. Je me permets ainsi de prendre comme "exemple" la prison de Champ-Dollon (Genève). https://www.ge.ch/champ-dollon/doc/rapport-d-activites-2011.pdf - 7.7% des personnes détenues à la prison de Champ-Dollon sont de nationalité suisse et 11.8% de l'UE. - 96.8% des détenus sont des hommes - 28.7% des détenus proviennent de l'Europe de l'Est, des pays balkaniques, du Caucase ou de la Russie. - 29.8% des détenus sont âgés de 24-29 ans - 56.7% des détenus sont musulmans
  21. Pour revenir sur les condamnations, une synthèse des délits graves (donc hors LCR) peut également être trouvée. http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/themen/19/04/05/01/02.html Concernant l'aide sociale (qui est financée par le biais des impôts uniquement), elle n'est fournie que si le demandeur n'atteint pas le minimum social. Le détail par nationalité peut également se trouver sur ce même site. Pour vous rassurer, aucun pays de l'UE ne se trouve dans le top 10 (mais en fin de classement) des demandeurs. http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/themen/13/03/03/dos/04.html réf: (je-f-13.04.03.04.09.01) Je ne juge pas, je me contente d'indiquer des chiffres, rien ne vous empêche de faire de même si vous trouvez des enquêtes qui vous conviennent (et éviter de faire des généralités par le biais d'expériences privées).
  22. Il n'y aurait pas d'unité de matière, les paramètres seraient trop nombreux à prendre en compte. Ici, il ne s'agit que des bénéficiaires de l'aide sociale. On pourrait par exemple citer la criminalité qui peut être un facteur de production de richesse, mais je ne suis pas certain que ceci soit pertinent. Pour essayer de comprendre le vote des Suisses, le taux de criminalité et de chômage ont eu un impact non négligeable sur le résultat. 52.8% des condamnation ont été prononcées contre des étrangers. http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/themen/19/03/03/key/ueberblick/wichtigste_zahlen.html 47.5% (moyenne hommes/femmes) des chômeurs sont d'origine étrangère. http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/themen/03/03/blank/data/04.html
  23. Pour la période 2005-2012, 46.1% des bénéficiaires de l'aide sociale étaient des étrangers, soit 2.2% des Suisses et 6.3% des étrangers. http://www.bfs.admin.ch/bfs/portal/fr/index/themen/13/03/03/dos/04.html Pour l'Insee, impossible de trouver le détail des bénéficiaires par nationalité.
  24. L'enquête fédérale est en cours (statistique suisse des bénéficiaires de l'aide sociale). Je ne suis pas certain que ce type de statistiques soient établies en France, donc il est probable que je ne vais rien comparer du tout :) Mais je suis preneur, que se soit pour département, une ville,ou un pays. Et pour conclure, Genève à l'honneur ! https://www.ge.ch/statistique/graphiques/affichage.asp?filtreGraph=13_03_2&dom=1
  25. L'Europe a souvent mentionné que les ressortissants européens venaient en Suisse pour travailler et non pas bénéficier de l'aide sociale. Selon les statistiques définitives pour 2012 (Canton de Vaud), 52.2 % des bénéficiaires sont des étrangers. 40.1% des étrangers en bénéficiant viennent de l'UE (27) et AELE. http://www.vd.ch/themes/social/prestations-assurances-et-soutien/revenu-dinsertion/documentation/ => statistique de l'aide sociale 2012 à partir de la page 51. Est-ce que vous pourriez nous indiquer des liens/sites pour vos pays respectifs afin d'effectuer un comparatif ? Merci.
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