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L'Iran continue ses provocations antisémites !


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Tiens, voici les rabbins ultra-orthodoxes anti-sionistes :

Image IPB

Visiter leur site:

http://www.nkusa.org/index.cfm

Un petit extrait sur la section française du site:

Le Jour de l’indépendance d’Israël est un jour de

deuil pour les juifs fidèles à la Torah

Ni par la puissance, ni par la force, mais bien par mon esprit…

Zacharie 4 :6

Lorsque les sionistes fêtent l’anniversaire de la fondation de l’État d’Israël, la communauté mondiale de(s) juifs fidèles à la Torah marque l’anniversaire comme un jour de douleur et de tragédie. Nous manifestons notre chagrin en faisant pénitence avec le sac et le cendre et en hissant des drapeaux noirs de deuil.

La fondation de l’État sioniste est en contradiction flagrante avec l’enseignement de la Torah qui interdit toute proclamation d’un État juif. La Torah nous contraint à rester en exil jusqu’à la délivrance divine qui annoncera la paix éternelle parmi toutes les nations du monde.

Le Talmud babylonien (Traité Ketoubot 111a) rapporte qu’il y a deux mille ans, lorsque le Temple de Jérusalem fut détruit, les juifs prêtèrent serment à D-eu:

de ne jamais immigrer en masse en Terre d’Israël,

de ne jamais (se) rebeller contre les autres nations et

de ne jamais tenter de terminer l’exil.

Les juifs fidèles à la Torah doivent se comporter d’une manière responsable, honnête et reconnaissante à l’égard de toutes les nations du monde qui leur offrent lieu de séjour.

L’initiative sioniste de proclamer l’État d’Israël constitue une révolte contre la volonté divine, contre la Torah, une révolte qui a engendré une vague interminable de violence et de souffrance. À l’occasion de la fondation de l’État hérétique, les juifs fidèles à la Torah pleurent cette tentative d’extirper les enseignements de la Torah, de transformer les juifs en une « nation laïque » et de réduire le judaïsme au nationalisme.

Nous déplorons les tragédies que la révolution sioniste a provoquées chez les juifs, notamment l’oubli du précepte fondamental de la Torah d’agir avec compassion.

Nous déplorons les tragédies que la révolution sioniste a provoquées chez les Palestiniens, notamment des déportations, l’oppression et la subjugation.

Nous déplorons le gaspillage de milliers de vies humaines dans les conflits futiles et cruels qu’ont provoqués la proclamation et le maintien de l’État sioniste.

Ce jour tragique, nous jeûnons et nous nous assemblons dans des synagogues à travers le monde et nous prions pour un démantèlement prompt et pacifique de l’État d’Israël. Que nous méritions que cette année toutes les nations, en acceptant la souveraineté divine, puissent se réjouir dans une Palestine libre et dans une Jérusalem libre! Amen.

Offert par Netouré Karta International : www.nkusa.org

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En tout cas, le président iranien a perdu les élections municipales et celle des experts ! Déjà un vote sanctions Sur TV5 Monde, un correspondant journalistique allemand relatait le mécontement de la population iranienne à l'égard du président iranien et de sa politique étrangère notamment son paranoïa anti-Israel.

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Cela n'a rien à voir avec l'antisémitisme iranien : Téhéran passe du dollar à l'euro pour ses réserves et son commerce [ 19/12/06 ] Le gouvernement iranien a annoncé, hier, qu'il allait abandonner le dollar au profit de l'euro pour ses opérations commerciales et ses réserves de change. Mais les modalités de cette substitution soulèvent des interrogations. La Commission européenne s'est refusée, hier, à « spéculer » sur l'impact que pourrait avoir la décision de l'Iran de remplacer le dollar par l'euro dans ses opérations commerciales et ses réserves de change. Il faut « se garder de spéculer sur ce que pourrait être l'impact d'une décision dont on ne connaît pas les contours exacts », a déclaré Amelia Torres, la porte-parole du commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires, Joaquin Almunia. Peu avant, dans la matinée, le porte-parole du gouvernement iranien, Gholam Hossein Elham, avait révélé, notamment pour contourner les pressions américaines visant à limiter les échanges extérieurs du pays, que « les sources de l'étranger et les revenus pétroliers ser[aient] calculés en euros, et [qu'ils] les recevr[aient] en euros pour mettre fin à la dépendance à l'égard du dollar ». Et d'ajouter : « Nous procéderons aussi à ce changement pour ce qui concerne les avoirs iraniens à l'étrangers. » Une décision qui n'a rien de surprenant du fait de la politique américaine recommandant aux banques de ne plus traiter avec des clients iraniens. D'où les difficultés croissantes des entreprises et organismes iraniens pour conclure des contrats à l'étranger. Le président de l'association iranienne des industries de l'aluminium, Hebatollah Fazeli, a ainsi indiqué, hier, que même des banques à Bahreïn et aux Emirats arabes unis refusaient l'octroi de lettres de crédit aux importateurs iraniens de ce métal. Déjà, en septembre, Washington, suspectant l'Iran d'agir comme la banque centrale du terrorisme, avait décidé de couper tout lien entre le système financier américain et la banque iranienne Saderat, l'un des premiers établissements du pays. Les réactions ne se sont pas fait attendre. A la mi-novembre, le ministre de l'Economie, Davoud Danesh Jafari, avait expliqué que la République islamique allait « mener ses transactions en devises avec une autre monnaie que le dollar », en raison des « entraves posées par les banques américaines ». « Un processus difficile » Conséquence de la décision d'hier de troquer le dollar contre l'euro, le gouvernement a indiqué que « la base de calcul du budget, qui reposait sur les entrées en devises en dollars, était en train d'être changée ». Mais, comme le laisse supposer la réaction de Bruxelles, les modalités techniques de cette substitution soulèvent un certain nombre d'interrogations. Morteza Tamadon, membre de la commission du Budget au Parlement, a jugé « peu probable que le gouvernement effectue un changement complet pour le chapitre des revenus budgétaires en devises ». Il a aussi pointé du doigt « les contrats à long terme » déjà signés en dollars, qui « nécessiteraient des opérations de change multiples pour l'avenir, un processus difficile et coûteux ». Interrogé par l'AFP, l'économiste Mohammad Reza Behzadian partageait, hier, ce point de vue, estimant à propos du pétrole dont l'Iran est le quatrième exportateur mondial que « l'échange des pétrodollars en euros serait très coûteux pour l'Iran ».

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