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fraisedesbois

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Tout ce qui a été posté par fraisedesbois

  1. Dans un Afghanistan toujours en pleine tourmente, les talibans confirment leur intention d’éradiquer la culture du pavot pour mettre fin au trafic de l’opium. https://amp.rfi.fr/fr/podcasts/aujourd-hui-l-économie/20210830-les-talibans-relancent-la-guerre-contre-l-opium-un-combat-perdu-d-avance?__twitter_impression=true
  2. Je ne suis pas très d’accord, Alexis. Le titre de la tribune de S. Ritter est parfaitement outrancier: The Biden administration’s incompetence has created the conditions for a modern Dien Bin Phu in Kabul Lui, comme nombre d’autres commentateurs, me paraissent être dans le déni complet ( à moins que cela ne soit qu’une vulgaire posture partisane) qu’il y a un accord, depuis fev2020, entre les Taliban et les US, sur le « retrait ». Et qu’un départ safe, sécurisé, des dernières troupes et personnels depuis l’aéroport de Kaboul fait certainement partie de cet accord (je ne vois pas comment il pourrait en être autrement). Mais peut-être l’opinion préfère-t-elle crier « Haro sur le Biden », qu’on lui rappelle que les USA ont fini par « traiter » avec les Taliban (20 ans de guerre, toussa pour ça). Aussi, Kaboul, un Dien Ben Phu à l’américaine: bof. A propos d’ « accord », d’ « assurance » etc: un communiqué du DoS ce jour: Je suis convaincu (parce que cela me semble l’évidence) que c’était prévu ainsi dans l’accord de Doha.
  3. (...) Actuellement, la force Chammal mobilise entre 600 et 800 militaires, principalement en Jordanie, où 230 d’entre eux sont affectés à base aérienne projetée [BAP] H5, d’où sont mis en oeuvre 4 Rafale. Ce dipositif s’appuie également sur la BA 104 d’Al Dhafra [Émirats arabes unis] où 7 Rafale sont susceptibles de conduire des missions au Levant. Ces moyens aériens, ponctuellement renforcés par des avions ravitailleurs et d’alerte avancée, ont assuré 10% des sorties de la coalition Inherent Resolve. En outre, des commandos des forces spéciales [task force « Hydra »] sont également engagés dans la région. Enfin, des militaires français sont présents au sein du « Military Advisory Group » [MAG], une structure relevant d’Inherent Resolve, chargée de conseiller les états-majors irakiens (...) http://www.opex360.com/2021/08/29/quelle-que-soit-la-decision-des-etats-unis-la-france-maintiendra-son-soutien-a-lirak-pour-combattre-daesh/
  4. fraisedesbois

    Marine indienne

    Malabar Exercise 2021: Ant-Submarine Warfare Highlight Of India, US, Japan, Australia Naval Drills “MALABAR-21 would witness complex exercises including anti-surface, anti-air and anti-submarine warfare drill, and other maneuvers and tactical exercises. The exercise will provide an opportunity for participating navies to derive benefit from each other’s expertise and experiences,” the statement read. The Indian Navy’s participation includes frigate Shivalik and corvette Kadmatt as well as P8I patrol aircraft. https://eurasiantimes.com/malabar-exercise-2021-ant-submarine-warfare-highlight-of-india-us-japan-australia-naval-drills/?amp
  5. Idem: Bagdad - L'arrivée des talibans au pouvoir en Afghanistan et la "menace" que continue de représenter le groupe Etat islamique (EI), auteur du sanglant attentat de Kaboul, seront l'objet de toutes les préoccupations à la conférence régionale qui s'ouvre samedi à Bagdad, en présence notamment d'Emmanuel Macron https://www.laprovence.com/article/france-monde/6469891/sommet-regional-a-bagdad-lafghanistan-dans-tous-les-esprits.html
  6. Je ne regarde pas la tévé @Alexis FUBVR!
  7. Ou inversement. [edit]: J’ai vu passer sur twitter que les Taliban avaient condamné les attentats. sinon, à propos de la différence entre Daesh-Afg et les Taliban, j’ai trouvé quelque chose sur le wiki anglais:
  8. A la base, les Taliban c’est l’ethnie Pashtoune, locale, nationaliste au sens où l’Afghanistan c’est Leur pays, parce qu’ils y sont majoritaires. Ils ont un Islam (rigoriste), mais fortement empreint de « localisme ». Pour les Pachtounes, la « branche Khorasan » de l’EI//ISIS-K, c’est: un « corps étranger », avec en plus une prétention transnationale (établissement d’un Califat).
  9. D’après le porte parole des taliban, il est désormais interdit aux Afghans de se rendre à l’aéroport de Kaboul.
  10. (L’Iran, le « pari » de l’Inde) L'Iran sous Ebrahim Raisi : le point de vue de l'Inde 11 août 2021 Attribution : Kabir Taneja, Ed. "Iran Under Ebrahim Raisi : The View from India", ORF Special Report n° 154, août 2021, Observer Research Foundation Introduction L'Iran s'est rendu aux urnes en juin 2021 pour choisir un nouveau président, son huitième, alors que le mandat d'Hassan Rouhani, qui a mené la charge pour Téhéran à partir de 2013, arrivait à son terme. Au milieu des critiques nationales et internationales, le juriste ultraconservateur Ebrahim Raisi a été élu et a pris ses fonctions le 3 août. Raisi est un personnage controversé à bien des égards : proche du Guide suprême Ali Khamenei, sanctionné par les États-Unis (US), et critique de l'accord nucléaire décisif que l'Iran a signé avec les États P5+1 en 2015. Le sexagénaire, dont le nom complet est Sayyid Ebrahim Raisolsadati, prend les rênes alors que l'Iran est au cœur d'une phase bien plus difficile de sa politique étrangère, l'économie du pays peinant à se maintenir à flot au milieu des sanctions occidentales. Ce rapport examine certains des défis régionaux et internationaux que Raisi a hérité de son prédécesseur, le politiquement modéré Rouhani. Ces enjeux sont multiples : une crise économique intérieure profonde, une situation sécuritaire en déclin rapide en Afghanistan, des différends permanents avec les États-Unis, une relation avec la Chine qui se développe rapidement, des batailles par procuration avec Israël et le Golfe arabe dans toute la région, des mers entourant le Moyen-Orient aux territoires de la Syrie et du Yémen, et un rapprochement potentiel avec des adversaires historiques comme l'Arabie saoudite. Le chemin de Raisi vers la présidence n'a pas été sans obstacles. Les critiques insistent sur le fait que l'élection était injuste et qu'elle était conçue pour garantir la victoire de Raisi. Maintenant qu'il est à la tête du pays, le président va probablement réorienter la politique iranienne, en faisant pencher son approche des affaires étrangères et intérieures vers le conservatisme. Cela pourrait compliquer ses relations avec les États-Unis - le facteur le plus crucial dans les tentatives de l'Iran de réintégrer le courant économique et politique mondial. La décision unilatérale prise en 2018 par le président américain de l'époque, Donald Trump, de sortir de l'accord sur le nucléaire iranien (officiellement connu sous le nom de Plan global d'action conjoint ou JCPOA) a sans doute mis le gouvernement Rouhani, et dans une certaine mesure le mouvement modéré en Iran, en phase terminale. L'ayatollah lui-même avait soutenu l'accord dans un premier temps, donnant ainsi du poids aux projets de Rouhani tout en affrontant les vagues de suspicion des conservateurs. Par la suite, pour rectifier le passé, le Guide suprême a contribué à l'élection d'un gouvernement qui fonctionne sur un niveau idéologique singulier. Par exemple, alors que Rouhani orchestrait les pourparlers avec l'Occident, la politique étrangère régionale était largement gérée par le Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI), la branche militaire de l'État chiite qui opère directement sous l'autorité de l'ayatollah. Pour mettre cela en perspective, Rouhani n'avait que peu de contrôle sur les milices soutenues par l'Iran sur des théâtres tels que la Syrie et l'Iran, et l'Occident n'avait que peu de contrôle sur les guerres secrètes menées par Israël à l'intérieur de l'Iran contre son programme nucléaire - deux questions essentielles pour un accord nucléaire global entre Téhéran et l'Occident. Malgré ces lacunes, un accord a été conclu. Alors que les conservateurs iraniens étaient profondément méfiants et largement opposés à toute ouverture avec les États-Unis, les impacts en cascade de la crise économique et de la pandémie de COVID-19 ont poussé le programme modéré au bord du gouffre. Même avec le changement de garde à Washington D.C. et l'arrivée du président Joe Biden, il était trop tard pour Rouhani et le ministre des affaires étrangères Javad Zarif pour ramener l'Iran dans l'accord JCPOA, l'accord dans sa forme originale étant déjà considéré comme discutable à ce moment-là. Sous la direction de M. Raisi, l'Iran devrait calibrer son approche de tous les aspects de la diplomatie et de la politique. Il est intéressant de noter que le ministre indien des Affaires étrangères, S. Jaishankar, a été le premier ministre des Affaires étrangères à rencontrer M. Raisi quelques jours avant son investiture. Cela démontre qu'au cours des dernières années, les échanges diplomatiques entre New Delhi et Téhéran se sont renforcés. Quelques mois auparavant, le ministre iranien de la défense, le général de brigade Amir Hatami, s'était rendu en Inde en février, le premier chef militaire à le faire en plus de 40 ans. Hatami avait suivi le voyage du ministre indien de la Défense Rajnath Singh à Téhéran en septembre 2020. Le Premier ministre Narendra Modi s'était rendu en Iran en 2016, et le président Rouhani lui a rendu la pareille en se rendant en Inde en 2018. Ce rapport examine le changement de titulaire à Téhéran dans de multiples contextes - national, régional et international - et la manière dont il affectera les relations souvent difficiles entre l'Inde et l'Iran, tant au niveau bilatéral que multilatéral. — Dans le premier chapitre, le Dr Manjari Singh se penche sur le projet de port de Chabahar, qui est considéré non seulement comme un projet économique et de connectivité, mais aussi comme un baromètre de l'état des relations entre l'Inde et l'Iran. — Kashish Parpiani, dans son article, se concentre ensuite sur l'élément le plus critique de la politique étrangère iranienne, à savoir sa relation avec les États-Unis. — Antara Ghosal Singh poursuit en exposant la deuxième relation la plus critique pour l'Iran aujourd'hui, celle avec la Chine. — Dans le quatrième chapitre, Kriti M Shah s'intéresse à l'évolution rapide et à la situation difficile de l'Afghanistan voisin, aux gains réalisés par les talibans et à l'effondrement de la sécurité dans le pays. — Saaransh Mishra passe l'économie iranienne au crible et examine comment le commerce du pétrole a été à la fois une bénédiction et un fléau pour la géopolitique de Téhéran. — Enfin, je me penche sur la position générale de l'Iran dans la géopolitique régionale et mondiale, sur ce que la présidence Raisi pourrait préserver de ce qu'elle a hérité de l'administration précédente et sur la forme que pourrait prendre sa relation avec le reste du monde. Ce rapport vise à faire la lumière sur le récent changement politique en Iran, qui intervient après huit ans, et sur les contestations qu'il entraîne. Les six chapitres emmènent les lecteurs à travers diverses géographies et questions critiques tout en gardant l'intérêt et le point de vue de l'Inde étroitement liés aux récits. Kabir Taneja
  11. Dawn (Pakistan) 24août: L'Iran reprend ses exportations de carburant vers l'Afghanistan après la demande des Talibans https://www.dawn.com/news/1642307/iran-resumes-fuel-exports-to-afghanistan-after-taliban-request
  12. fraisedesbois

    Les Frégates de la Royale

    Je passe mon tour, suis pas un matheux...
  13. fraisedesbois

    Les Frégates de la Royale

    SATRAP(e) http://0690026d.free.fr/s2i/sii/accueil/pan.pdf (merci)
  14. Ce n’est pas la question, il leur « suffirait » de réussir à shooter un seul avion, ou de faire péter quelques kamikazes aux approches de l’aéroport, et là...
  15. Apparemment, Les talibans avertissent les États-Unis des "conséquences graves" d'une prolongation de la date limite du 31 août. Selon les rapports, le groupe terroriste considère le 31 août comme la date "finale" à laquelle toutes les troupes américaines auraient quitté l'Afghanistan, comme l'a annoncé le président américain Joe Biden. https://www.hindustantimes.com/world-news/taliban-warns-us-of-serious-consequences-if-august-31-deadline-extended-101629708133818-amp.html?__twitter_impression=true
  16. Un problème, c’est qu’une bonne grosse partie de la logistique de l’ISAF passait par le Pakistan. Pas le choix.
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