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Messages posté(e)s par B52
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Il y a 2 heures, seb24 a dit :
On semble quand même être proche des emports du CDG. avec environ 24 avions.
CdG qui se contente sans problème apparent de 2 catapultes.
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il y a 3 minutes, hadriel a dit :
J'en retiens que la 3e catapulte est en discussion. Elle coute cher et prend de la place dans les hauts donc c'est pas dit que ce soit bénéfique.
Et vu la taille de l'avion que ce PANG aura a embarquer, après le rafale, ca va limiter le nombre embarqué. D'où des questionnements bien légitimes sur le réel besoin d'une 3eme cata.
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Le 20/03/2021 à 23:40, Gibbs le Cajun a dit :
Affirmatif, comme disait un pote cavalier, parfois ça caramélise sévère.
C'est la 1ère fois que je vois ces points de rangement de matos sur le Leclerc.
J'étais persuadé que ces trappes contenaient le blindage composite.... Facilement accessible pour pouvoir remplacer des éléments touchés pendant un combat.
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Le 15/03/2021 à 16:46, Bechar06 a dit :
Je suis pleinement d'accord ! Volonté d'aller jusqu'au bout "en pleine conscience" ET "en pleine confiance de ses moyens" ... Sinon ce n'est plus de la dissuasion
plutôt rouges que morts qu'ils disaient....
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Le 23/03/2021 à 19:57, Pierre_F a dit :
Ce qui sera toujours plus honorable que de finir comme un dictateur... Ce choix lui appartient je pense !
Il en prend le chemin.
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MICA IR et Meteor
dans Europe
Le 24/03/2021 à 11:37, wagdoox a dit :#SCAF ?
On n'est que 3 et c'est déjà le grand bord*l, alors ne va pas en chercher un 4eme.
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il y a 16 minutes, Claudio Lopez a dit :
Avec tout ce qui a été balancé dans la presse depuis 1 mois, avec la lévée de bouclier du complexe militaro-industriel français , Trappier en tête (mais chez Thales et Safran, on n'en pense pas moins ), et avec l'appui de de l'ensemble des parlementaires des 2 chambres --> conclure un accord sur le SCAF avec les exigences allemandes serait un suicide politique.
Tu as raison, mais qui s'intéresse à ce sujet alors qu'on en encore en confinement et que la crise sociale et économique est à nos porte ?
A part une poignée de parlementaires....
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MICA IR et Meteor
dans Europe
il y a 2 minutes, DEFA550 a dit :C'est pas moi, c'est ma calculette. Elle me dit que 1,8 milliards divisés par 567 missiles, ça fait 3.2 millions pièce, développement inclus.
Y en a un qui n'a pas du bien taper sur sa calculette.... hein @Bon Plan
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Il y a 3 heures, rendbo a dit :
C'est bien le problème : tant que personne n'a le courage (politique ?) de lui mettre sa claque, alors la grenouille sera effectivement aussi grosse que le boeuf.
Après à chaud ça ferait du bien de transformer sa marine en maisons pour poissons, et son aviation en pot de fleurs, mais est ce que ça servirait nos intérêts ou les siens ?
La Turquie mérite elle toutes nos concessions ? Du temps de la guerre froide, surement. Maintenant? bof.
Ca fait belle lurette que la Russie ne me fait plus peur. Ca n'était pas le cas de l'URSS, du temps de mon lointain service national.
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Eurofighter
dans Europe
Il y a 1 heure, mgtstrategy a dit :Abandon officiel et scrapping des T1 britanniques . C'est dingue.
Nouvelle petite mauvaise publicité. Dassault lui a su faire évoluer les Rafale M F1 en F3...
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Il y a 11 heures, rendbo a dit :
l'Allemagne sera trop contente d'intégrer la Turquie : de la main d'oeuvre pas cher, et sa communauté turque aux anges...
Sa communauté turque remuante (et incité à le faire par ce bon Erdogan).... pas sur que nos amis teutons l'apprécient tant que ca, surtout si elle grossit.
Je suis persuadé que l'Allemagne préfère la MO des pays de l'Est, plus sociologiquement proche.
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il y a une heure, Oxcart a dit :
Ha bon ? Source ?
J'ai déjà lu des trucs comme ça, mais ca parlait du Mirage IV .....
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Il y a 17 heures, emixam a dit :
les rayons d'action du Rafale en configuration 3 bidon plus Scalp (ou 6 bombes).
Ca doit trainer plus avec 6 bombes que 2 SCALP je pense. Surtout 6 bombes montées comme elles le sont.
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il y a 29 minutes, Pierre_F a dit :
Recep Tayyip Erdogan .. il me fera toujours rire celui là mais je dois avoir un problème mental.
Il va finir par réussir a remettre la Turquie, socialement, au moyen âge. Et ça aux portes de l'Europe que j'espère on lui fermera définitivement.
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- C’est un message populaire.
- C’est un message populaire.
Il y a 6 heures, Patrick a dit :Ah bon?
l'Algérie n'était-elle pas à cette époque réputée être autosuffisante en nourriture? Et même très largement exportatrice?
D'autre part le boom démographique entre 1830 et 1962 n'a pas pu se faire sans nourriture, non?
Quelques éléments sur ce secteur et son évolution au fil des décennies depuis la fin de l'Algérie française:Le constat constant des faiblesses du secteur
Le constat d’une grande faiblesse de l’agriculture de l’Algérie n’est pas nouveau. « L’agriculture algérienne, à partir de 1962, est caractérisée par une stagnation durable qui induit de graves déformations au sein du procès de développement du pays : disparition de l’autosuffisance alimentaire, disparités croissantes entre la ville et la campagne, industrialisation bornée par l’exiguïté du marché intérieur... » (Adair, 1983, p. 1). Certains auteurs attribuent cette faiblesse aux conditions historiques de l’émergence d’une paysannerie fortement contrariée par les conquêtes, l’instabilité et la colonisation. Le résultat étant que ce groupe social s’est peu attaché à la terre, faute de titre de propriété permanent, et qu’il n’a pas pu transmettre dans le temps long les savoir-faire acquis, ni s’identifier et s’ancrer dans ses territoires (Bessaoud, 2004). Pour d’autres auteurs, la paysannerie algérienne ne serait jamais parvenue à constituer une classe suffisamment cohérente et puissante pour influencer les politiques économiques (Bedrani, 2008, p. 58). Les réformes de 1987 (voir infra) ont parfois été interprétées comme une « paysannisation du secteur agricole d’État », mais de manière limitée et ambigüe afin de ne pas remettre en cause le pouvoir des couches dirigeantes de l’État (Bedrani, 1987, p. 65).
D’autres auteurs insistent sur les attentes créées par la décolonisation. Les réformes agraires viseraient, sans y parvenir, à contenir les frustrations engendrées par la période révolutionnaire. « La réforme est octroyée à la paysannerie laissée pour compte par l’industrialisation à marche forcée qui suscite envie et rancœurs, propices à l’occurrence de tensions sociales » (Adair, 1983, p. 158). Certains auteurs mettent en avant la radicalité des conflits autour des terres. Les tensions sont exacerbées dans les régions périurbaines où l’agriculture souffre du développement important et parfois anarchique des villes avec des conflits importants sur le foncier (Boudjenouai, Fleury, Tacherift, 2008). Beaucoup s’accordent sur le manque de clarté, de visibilité ou de cohérence des politiques induisant des chocs de prix extrêmement violents (Benbekthi, 2008, p. 89).
Ce constat critique sur les politiques économiques est nuancé par ceux qui insistent au contraire sur une constante préoccupation de l’État algérien en direction de l’agriculture (Chehat, 1992). Plus en amont, le secteur de la recherche agricole n’est pas en mesure de répondre à tous les défis que pose l’agriculture algérienne malgré des efforts importants pour développer ce secteur (Heddadji, Ferroukhi, Cherfaoui, 1993).
Les éléments d’analyse et de diagnostic sont rendus difficiles par des erreurs statistiques manifestes relevées dans la littérature (Bedrani, 2008, p. 41). D’après ces chiffres, la population rurale représente encore 30 % de la population algérienne en 2010, soit plus de 12 millions d’habitants. L’agriculture constitue en Algérie 20 % de l’emploi (Hadibi, Chekired-Bouras, Mouhouche, 2009) pour seulement 7 à 8 % du PIB. La population agricole est très jeune, puisque plus de la moitié a moins de 20 ans (Bessaoud, 2006, p. 81). Ces chiffres doivent cependant être nuancés selon les régions. En effet, une étude de terrain récente dans la Mitidja Ouest montre au contraire un vieillissement relatif (Habidi et alii, 2009). Un quart de la population rurale est au chômage et de nombreux actifs sont en situation de sous-emploi chronique et cumulent qualifications très faibles, voire analphabétisme pour plus d’un tiers d’entre eux, et mauvaises conditions de travail. L’éparpillement de l’habitat et des infrastructures de transport insuffisantes expliquent un taux de scolarisation beaucoup plus faible que dans les zones urbaines. Il existe par ailleurs des différences assez grandes entre les zones irriguées au nord et les zones de steppe ou de moyenne montagne. Au total, la production agricole ne couvre que 30 % des besoins alimentaires (Benbekthi, 2008, p. 87). Cela invite à se poser la question de l’importance des jachères qui apparaît comme une caractéristique récurrente dans l’histoire agricole récente en Algérie. Elles représentent plus du tiers de la surface agricole utile, comme l’indique le tableau 1, alors qu’elles n’en occupent que 12 % en Tunisie.
La suite est frappante:
Toute comparaison des performances entre pays est périlleuse. Mais avançons quelques éléments. L’Algérie est le pays maghrébin qui connaît le déséquilibre de sa balance courante agricole le plus prononcé. En 2009, les exportations agricoles s’élèvent à 122 millions de dollars tandis que les exportations totales se montent à plus de 5,5 milliards de dollars. Le déficit de la balance agricole représente 4 fois celui du Maroc et presque 20 fois celui de la Tunisie. L’Algérie se démarque surtout de ses voisins par la faiblesse des exportations agricoles.
Tableau 2
Balance commerciale agricole en millions de dollars US courants (2009)
(Ces valeurs ont 11 ans, ça a peut être changé depuis.)
Autre point de comparaison, mais qui doit être considéré avec précaution, les rendements obtenus à l’hectare sont faibles, ce qui rend très hypothétique la perspective d’obtenir un meilleur équilibre alimentaire. Ils sont plus faibles que ce que l’on observe chez les voisins européens de l’Algérie (Benbekthi, 2008, p. 87). Mais, plus grave encore, l’Algérie semble ne pas avoir réussi à améliorer ses rendements à l’hectare depuis 40 ans, malgré le développement industriel du pays, à l’inverse de ses deux voisins. Les tableaux suivants présentent des données sur la période 1970-1990, qui restent largement valables dans leur comparaison avec les pays voisins de l’Algérie.
Tableau 3
Rendements de blé : Algérie, Maroc, Tunisie, 1970-1990 (U = quintal/ha)
Ce résultat est d’autant plus étonnant que l’agriculture algérienne est plus intensive en capital que celle de ses voisins si l’on utilise comme indicateur le nombre de machines agricoles (tracteurs et moissonneuses), l’usage des semences certifiées ou des engrais. Sur tous ces postes, l’Algérie fait beaucoup mieux que ses deux voisins, mais avec un résultat global très décevant. Nous devons cependant nuancer cette remarque : le nombre de tracteurs n’est qu’un indicateur dont la pertinence est remise en cause par les conditions de répartition et d’usage de ces machines.
Tableau 4
Équipement et intrants Maroc, Tunisie, Algérie
La dépendance alimentaire croissante de l’Algérie
La réduction de la dépendance alimentaire est une préoccupation forte exprimée depuis plusieurs années par l’Algérie. La production agricole qui assurait 93 % des besoins nationaux dans les années 1970 n’en assure plus que 30 % au début des années 1980, et aujourd’hui la sécurité alimentaire est tributaire à 75 % des importations (Divéco, 2008). La facture alimentaire représente aujourd’hui plus de 20 % des importations totales, un des taux les plus importants au monde, et qui fait de l’Algérie un des plus grands pays importateurs net de produits alimentaires (Divéco, 2008).
Voilà voilà... C'est plus que préoccupant. Il y a une population jeune mais qui manque de formation de base, il y a plein d'outils et plein de semences, mais le résultat est à la peine et c'est de pire en pire!
Donc le coup de l'algérien qui n'avait rien à manger à cause des colons, déjà c'est assez spécieux, et si en plus on considère la situation actuelle... il va falloir des explications. Parce que tout aurait déjà du s'arranger.
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Sinon pour l'accroissement démographique des populations (sans nourriture ça a dû être compliqué) quelques chiffres:
Puisque, pour te citer à nouveau:
Bah je sais pas mais en tout cas les premiers faisaient bien moins de gosses que les seconds. Difficile sans nourriture.
https://www.persee.fr/doc/remmm_0035-1474_1970_num_8_1_1081
Alors où est la raison sous-jacente des soucis actuels?
Si c'est de la pure organisation, ça ne concerne pas la France.
Si c'est culturel je ne sais pas en quoi la France serait concernée.
Si c'est le climat il faut en parler aux (très) gros pollueurs en CO2 dont la France ne fait pas partie.
Si c'est le stress hydrique pareil, mais je n'en ai pas le sentiment puisque ce qui guide la consommation en eau c'est l'urbanisation et la démographie.
Si c'est la démographie je ne vois pas où est la responsabilité de la France.
Si au milieu de toutes ces raisons, c'est l'héritage indépassable de la colonisation qui pose problème, il va falloir le démontrer et de façon vraiment convaincante. Parce que pour le moment elle a plutôt bon dos/Et surtout, pendant qu'on parle du passé, on ne parle pas du présent et de l'avenir, et c'est plutôt ça qui m'inquiète quand on parle de l'Algérie, particulièrement de sa capacité à nourrir son peuple et à lui offrir un avenir.
Est-ce encore la faute de la colonisation?Tu n'as rien compris. Tous les maux de l'Algérie viennent de France. Même et surtout depuis 1962...
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Il devient urgent pour des tas de raisons, de faire un inventaire complet de ce triste épisode, qu'on puisse passer à autre chose.
J'ai le vif sentiment que pour le FLN, toujours au pouvoir d'une main de fer, il n'y a pas de réelle volonté de tourner la page. Pendant qu'on parle de ça on ne parle pas du chômage, du manque de logements, des nantis qui se gavent etc.... On a su faire la paix avec les allemands en qcq années, là ca pollue l'ambiance depuis 70 ans.
Honnêtement plus personne ne reprochait à un jeune allemand en 2000 d'avoir des parents ou grand parents nazis. Je n'étais pas là en 1830 ni en 1962, alors j'en ai un peut marre qu'on cherche à me culpabiliser. Autre temps, autres mœurs.
Et aussi marre que cette repentance que certains voudraient éternelle doive nous obliger à des concessions sur certains membres de certaines de nos cités qui eux aussi n'était pas là ni en 1830 ni en 1962.
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il y a 26 minutes, Saber a dit :
1 Le pétrole ? N'est pas une infrastructure, en encore moins française, c'est une ressources qui existe sans les français et j'ai expliqué juste au dessus la pertinence de cette assertion.
il t'écrit "puits de pétrole" et tu réponds "pétrole". Tu es hors sujet là.
SI le pétrole est bien dans le sol de ce qu'est l'Algérie d'aujourd'hui (merci la France pour ça peut être...), les puits ont été creusés par des société françaises. Donc la paternité de la découverte du pétrole en Algérie est française. C'est juste un fait.
Je me pose une question : l'Algérie était elle autonome au niveau alimentaire en 1960 ? aujourd'hui c'est clairement pas le cas.
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Si d'aventure ca n'avait pas déjà été posté.
Excellente journée les zamis.
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- C’est un message populaire.
- C’est un message populaire.
En voilà un beau titre, pile dans l'actualité....
http://psk.blog.24heures.ch/archive/2021/03/14/le-scaf-aux-soins-intensifs-870722.html
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Il y a 16 heures, kalligator a dit :
Je rappelle à Nos amis d Outre Manche que c est dans l alcool et les drogues que les illusions sont le moins coûteuses.
Ils n avaient pas déjà envisagé le Catobar (non ce n est pas un troquet pour catholiques) lors de la construction puis renoncé à cause du coût ?
si ! C'est ca. Et puis ca leur faisait mal au c*l de devoir compter le Rafale M parmi mes avions a envisager y mettre.
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Le 27/02/2021 à 10:25, Chronos a dit :
Les armées de conscription devant disposer de la capacité de monter en puissance avec des appelés, ne vont-elles pas se retrouver avec un surcroît d'officiers en temps de paix ?
si. Mais former un Officier ca prend des années. Et un Officier "senior" un peu plus encore.
Un trouffion des mois seulement, et moins si le pays n'a pas une forte sensibilité aux pertes humaines.
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il y a 4 minutes, wagdoox a dit :
quand on voit les arguments anglais déployés avec une arrogance pas possible pour justifier la supériorité des QE vs CdG.
il n'y en a objectivement aucune :
autonomie du navire inférieure,
Vitesse moyenne du groupe aeronaval plus faible (car conso en fuel du porteur),
avions pas au point et qui n'auront qu'une charge utile bien limitée,
Seul avantage : ils ont deux navires (et encore, un qui n'est gréé que comme porte hélico si je me rappelle bien) et nous 1 seul qui nécessite une longue période d'entretien périodique;
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il y a 13 minutes, herciv a dit :
"Je ne vois aucune raison de ne pas pouvoir répliquer les bonnes méthodes et les bonnes pratiques qui permettent au projet de l'Eurodrone certainement de voir le jour très rapidement et de ne pas pouvoir faire de même sur le système de combat aérien du futur", a-t-elle relevé.
L'Eurodrone servira peut être un peu de moyen de pression français?
[Rafale]
dans Europe
Posté(e)
Vous êtes en mesure de voir que c'est le nouvel OSF ?
Moi je ne sais pas faire la différence entre celui en photo et l'ancien.