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mirage IV

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Messages posté(e)s par mirage IV

    mais quel est cet avion?

    dans Vidéos et Photos

    Posté(e)

    Tom Clancy en fait une super star dans "Tempète Rouge".

    D'ailleurs dans le bouquin, les Tu22-M coulent le Foch et endommagent plusieurs navires US, dont un CVN.

    Mais bon l'honneur est sauf, puisque les Crusader du Foch en abattent quelques uns. (l'histoire ne dit pas où ont aterri les Crouzes)

    Délire à part, une formation de Backfire pourrait faire de gros dégats à une force navale : ils sont rapides (difficiles à rattraper) , ils volent bas (difficiles à détecter) et tirent des missiles à très longue portée, rapides et puissants.

    Il est encore en service?

    Chez les Russes uniquement (moins d'une centaine je crois). Il n'a pas été exporté et l'Ukraine a ferrailé les siens à cause de certains traités.

    Formation et parcours scolaire

    dans Divers

    Posté(e)

    Devenez Pilote avec votre BAC !

    Contrairement à certaines idées reçues, le baccalauréat vous permet d'accéder directement à la formation de pilote.

    L'armée de l'air recrute ainsi chaque année entre 50 et 80 jeunes titulaires d'un Bac général ou technologique par le biais de son recrutement d'Elèves officiers du personnel navigant.

    • Comment devenir élève officier du personnel navigant ?

    • être titulaire d'un BACCALAUREAT de l'enseignement général ou technologique ;

    • être âgé de plus de 17 ans et de moins de 22 ans :

    - au 1er juillet de l'année en cours si la candidature est déposée durant le premier semestre ;

    - au 1er janvier de l'année suivante si la candidature est déposée au second semestre ;

    • être de nationalité française.

    • Dépôt de candidature

    Auprès du Bureau Air Information (BAI), le plus proche de votre domicile, à toute époque de l'année.

    • Sélection des EOPN

    Plusieurs étapes conditionnent votre parcours jusqu'à l'accès à la formation d'officier du personnel navigant. Elles sont éliminatoires et entraînent la poursuite des épreuves.

    §1: Au Centre de sélection de l'armée de l'air (base aérienne de Brétigny-sur-Orge, 91), vous passerez :

    - un examen psychotechnique destiné à évaluer votre pronostic de réussite en école et d'adaptation au métier de "pilote" ou de "navigateur officier systèmes d'armes" ; les résultats obtenus lors de cet examen conditionneront votre parcours de sélection et de formation dans l'un ou l'autre cursus ;

    - des épreuves sur simulateur d'évaluation des candidats pilotes (SECPIL) destinées à mesurer vos aptitudes psychomotrices par l'exécution de tâches simultanées (uniquement pour les candidats "pilotes") ;

    - des épreuves sportives destinées à évaluer votre forme physique ;

    - une épreuve d'anglais sous forme de questionnaire à choix multiple ;

    - des entretiens destinés à estimer votre motivation, vos aptitudes ainsi que vos capacités à vous adapter aux fonctions d'officier du personnel navigant.

    §2: Dans un centre d'expertise médicale du personnel navigant, pour une visite d'aptitude.

    §3: Au Cours spécial de formation de l'officier, sur la base aérienne de Salon-de-Provence, pour une formation militaire initiale d'une durée de 4 semaines.

    Vous suivrez par la suite une formation militaire commune entre élèves pilotes et élèves NOSA qui comprend une formation militaire de l'offcier, un stage d'anglais ainsi qu'un stage de parachutisme, pendant 11 semaines à Salon-de-Provence.

    • La formation

    La formation du Navigateur officier systèmes d'armes (NOSA)

    La formation du Pilote (avion de chasse, de transport, ou hélicoptère)

    Environ deux ans et demi après l'obtention de votre Brevet, vous signerez un contrat d'engagement de 8 ans, et accèderez au grade de Sous-lieutenant.

    • Perspectives de carrière

    Statut : Officier Sous Contrat (OSC)

    Vous pouvez servir sous contrats successifs pendant 20 ans au maximum, à compter de votre accès au grade de sous-lieutenant.

    Possibilités d'accès au corps des officiers de carrière :

    - par le concours d'admission à l'Ecole Militaire de l'Air ou sur titres ;

    - dès le grade de Capitaine, sur demande, sous réserve de réunir les conditions d'ancienneté d'officier et d'âge.

    • La solde mensuelle de l'élève-officier du personnel navigant

    - grade d'Aviateur (début du cursus de formation) : 1.290 euros net.

    - grade d'Aspirant (obtention du brevet de NOSA, environ 2 ans de service) : 1.725 euros net.

    - grade d'Aspirant (obtention du brevet de pilote, environ 3 ans de service) : 2.340 euros net.

    Soldes au 1er janvier 2006, pour un célibataire. Comprend l'indemnité pour services aériens. A cette solde de base peuvent s'ajouter des indemnités selon votre situation familiale et votre affectation géographique, ainsi qu'une prime d'engagement.

    • Témoignage de l'élève-officier Gatien REGENT, 21 ans

    « Les avions, voler, l'immensité du ciel... Mon rêve, c'était les avions de chasse. Alors, dès mon Bac obtenu, j'ai présenté les épreuves de présélection pour devenir Officier du personnel navigant sous contrat. Je n'avais pas la patience d'effectuer le cursus classes prépas-Ecole de l'air, et je voulais dans le futur me consacrer exclusivement au vol.

    Aujourd'hui, je suis sur le point de conclure ma phase de préparation au brevet de pilote de chasse. Mais avant d'en arriver là, il a fallu du temps, et du travail. Au début, il faut compter à peu près 1 an 1/2 sans voler, entre la formation militaire, le stage d'anglais, et le stage ATPL (Air Transport Pilot License), qui nous apprend toute la théorie du vol. Puis vient la phase d'apprentissage en vol, qui nécessite un important travail préparatoire pour mettre au point les différentes missions, ainsi qu'une attention de tous les instants. Une fois mon brevet obtenu, ma formation continuera, avec comme objectif intégrer un escadron opérationnel. Je pourrais alors mettre en oeuvre ce pourquoi j'ai été formé : mener à bien des missions de combat.»

    • Témoignage de l'élève-officier Guillaume WATTEYNE, 24 ans

    « Ma fascination pour les avions de chasse remonte vers l'âge de 12-13 ans : de les voir évoluer dans le ciel, je m'imaginais à leur bord, en train de piloter l'appareil. Au fil du temps, je me suis intéressé de plus en plus à l'aéronautique, lisant des revues spécialisées, et me rendant dans des meetings afin de pouvoir admirer ces engins de plus près. Cette passion m'a accompagné tout au long de ma scolarité, et une fois mon Bac S en poche, j'ai enfin pu passer les tests de présélection pour devenir pilote dans l'armée de l'air. Et j'ai été reçu !

    Au fur et à mesure de notre progression, les missions deviennent de plus en plus intéressantes. Ainsi, récemment, j'ai effectué un vol de formation où j’étais seul à bord : je devais effectuer des évolutions par rapport à mon leader en très basse altitude puis en haute altitude ! Même si je suis encore élève, et qu'il me reste beaucoup à apprendre, j'ai conscience d'exercer un métier hors du commun. Parfois, c'est dur, mais il faut y croire et savoir se remettre en cause. Je me souviens qu'avant de débuter, je me disais que c'était réservé aux meilleurs, et je n’étais pas le premier de la classe… Pourtant, je répondais aux conditions d'âge, de niveau scolaire, et j'ai réussi les tests. En fait, il ne faut pas brûler les étapes : c'est comme ça que mon rêve est devenu accessible. Et peut-être qu’un jour, j'aurais la chance d'être aux commandes d'un Rafale… »

    Ecouter le spot radio enregistré par Guillaume

    • Témoignage de l'élève-officier Chrystel NADEAU, 26 ans

    « Pour moi, l’aviation est une passion depuis l’adolescence ! Et l’aspect militaire et opérationnel, le fait d’effectuer des missions variées sur des avions performants m’a séduite. Tout en continuant mes études, je me suis donc préparée aux tests de présélection pour devenir pilote dans l’Armée de l’air. Et ça a marché !

    J’ai commencé mon apprentissage militaire sur Epsilon, un avion à hélices, avec des objectifs à tenir, une progression à réaliser, et des missions à réussir. Chaque jour, il faut être à la hauteur, et relever un challenge différent ! D’ailleurs, il y a 9 mois, je débutais sur AlphaJet : je me souviens encore de mon « lâcher », seule aux commandes de l’avion, après seulement 5 vols en double commandes. Et là, je viens juste d’obtenir mon brevet de pilote de chasse !

    Aujourd’hui, je ne regrette pas d’avoir tenté ma chance, car l’avion me fait toujours autant rêver. Je suis une jeune brevetée heureuse ! »

    Source :

    recrutement.air.defense.gouv.fr

    Ici on cause fusil

    dans Matériel

    Posté(e)

    la france y vas coool avec la mitrailleuse :

    dnas le même genre : … mp;search=

    Ben ouais, ce sont des militaires : les munitions coûtent chers et mieux vaut un tir en rafales précis.

    Les US qui possèdent des M2 se font plaisir en pulvérisant tout ce qu'il y a devant eux et en creusant des tranchées à la 12,7 autour de la cible.

    Formation et parcours scolaire

    dans Divers

    Posté(e)

    Tu as cliqué sur "métiers", puis sélectionné "défense publique", puis sélectionné encore "défense publique"?

    Tu as tous les cursus pour devenir officier et des infos sur les conditions de travail.

    Pour l'AdA :

    Accès au métier

    De bac à bac + 5

    Pour devenir officier de carrière, il faut réussir le concours d'entrée de l'École de l'air de Salon-de-Provence. Les épreuves sont réservées aux élèves de prépaMP, PC ou PSI. Attention à la sélection : on compte 800 candidats pour 80 places en moyenne ! De solides aptitudes physiques, un excellent niveau en sport et une bonne santé sont impératifs pour réussir les épreuves. Les élèves officiers suivent alors trois ans d'études rémunérées, sanctionnées par un diplôme d'ingénieur. Les deux premières années sont consacrées à la formation militaire et sportive (instruction militaire, commandement, initiation au pilotage...), scientifique et technique, et en sciences humaines et sociales (langues, communication, histoire, géo). La troisième année est une année de spécialisation (pilote, mécanicien de l'air ou officier de base), qui se déroule dans un établissement militaire spécifique. L'officier est ensuite affecté en fonction de son rang de classement.

    Il existe également des officiers sous contrat. Tous les corps d'officiers sont concernés.

    Ceux qui visent le pilotage doivent posséder un bac général ou technologique et être âgés de moins de 22 ans. La sélection se fait sur la base de plusieurs tests d'aptitude au pilotage et d'une formation militaire de quatre semaines suivie d'épreuves finales de sélection en vol. Les élèves admis deviennent élèves officiers du personnel navigant (EOPN) et suivent trois ans de formation à l'École de l'air pour décrocher leur brevet de pilote (chasse ou transport).

    Pour postuler dans le corps des mécaniciens et des officiers des bases aériennes il faut avoir un niveau bac + 3 et moins de 30 ans. Admission sur dossier, épreuves orales (notamment d'anglais) et entretien. Les candidats retenus suivent trois semaines de stage de formation de l'aspirant, puis une formation générale et militaire de deux ou trois mois au sein du cours spécial de formation des officiers (CSFO) de l'École de l'air. En fin de parcours, ils effectuent un stage professionnel dans leur unité de spécialisation.

    Enfin, le concours de commissaire de l'air, commun aux trois armées, est ouvert aux jeunes de moins de 25 ans, licenciés en droit ou en sciences économiques, ou diplômés de Sciences Po. Ceux qui sont admis suivent deux ans de formation militaire, juridique et administrative à l'École de l'air, suivis d'une spécialisation, avant de débuter dans leurs fonctions d'administrateur en base aérienne.

    Concours d'accès au métier :

    Élève à l'Ecole polytechnique filière MP - PC

    Élève à l'Ecole polytechnique filière PSI

    Élève à l'Ecole polytechnique filière PT

    Élève à l'Ecole polytechnique par la filière universitaire

    Élève commissaire des armées

    Officier navigant et non navigant de l'Armée de l'air (Ecole de l'air)

    Officier navigant sous contrat de l'Armée de l'air (cours spécial de formation des armées)

    C'est pas ça que tu recherches?[21]

    mais quel est cet avion?

    dans Vidéos et Photos

    Posté(e)

    Ouais, mais il a un rayon d'action largement inférieur et il emporte moins d'armes.

    Son point fort réside ailleurs : il est presque bisonique, ce qui est long d'être le cas du B1 (et du B52).

    Les Russes l'utilisent notamment pour des missions de pénétration basse altitude et d'attaque antinavire au ras des flots avec des gros missiles pour couler les PAN US (et filer avant l'arrivée des Tomcat).

    Superbe engin. Un Mirage IV en plus gros.

    50T de charges millitaire

    [09] Je crois que c'est moitié moins.

    Déjà sur un B1, ca fait lourd.

    Le Combat aerien moderne c'est quoi?

    dans Europe

    Posté(e)

    Historiquement, d'ailleurs, les aviations qui ont tenté de s'en passer y sont en général revenu (voir l'histoire du Phantom au Vietnam : tout était misé sur le pheonix puis finalement on a remis des canons en catastrophe vu leur nécessité)...

    Et c'est surtout qu'à cette époque, on en était quasiment à la 1ère génération de missiles AA. Les 1ères versions du Sidewinder étaient biens moins performantes que celles de maintenant.

    Si je me souviens bien, à cette époque, pour pouvoir tirer un Sidewinder B sur une cible, l'avion tireur devait s'aligner dans un "cône" dont le sommet est constitué par les réacteurs de la cible (en gros il fallait être dans les 6 h). Ce qui n'était pas facile à faire avec des Mig 15/17/19, surtout en pilotant un F4.

    Avec les dernières versions (AIM9-L...), le cône est inversé : son sommet est formé par le nez de l'avion tireur. Il "suffit" de pointer le missile sur la cible.

    Aujourd'hui, le canon n'est plus nécessaire pour le combat AA. Les missiles sont beaucoup plus fiables.

    D'ailleurs, les Anglais ont décidé de s'en passer pour le Typhoon. Il sera monté (sans munition) sur la 1ère série mais par sur le reste des appareils.

    Et comme l'a dit Neo, c'est "plus au cas où".

    Car il faut bien viser : d'après ce que j'ai compris, avec les 125 obus du Rafale, ça fait que 6 tirs.

    J'ai lut que le MICA IR pose de gros probleme de risque de tir fratricide. Pourquoi un IR pose plus de probleme qu'un EM ?

    C'est pas les détracteurs du Mica (et du Rafale) qui disent ça, en fait?

    Ici on cause fusil

    dans Matériel

    Posté(e)

    Voici un panorama du M-14 , existant depuis plus d'un demi-siècle !

    Imaginez la meme chose avec le MAS 49-56 .

    Le MAS 49/56 est toujours utilisé dans certaines unités françaises comme arme de soutien. On peut en voir un dans la video postée il y a quelques jours sur le CENZUB.

    Maintenant d'après ce que j'en ai vu, il n'a pas subi de modifications comme le M14. Il y a juste une lunette.

    "Adieu au Roland"

    dans Europe

    Posté(e)

    Pour en revenir au sulet initial, est-il envisageable de monter des MICA sur un blindé? MBDA propose un camion avec VLC, mais le missile et sa conduite de tir pourraient-ils être adaptés sur un chassis Leclerc? (comme avec l'AMX Rolland) La France envisage-t-elle d'ailleurs de se doter de MICA-VL?

    comment inclure de l'SVT ou des maths dans un TPE?

    dans Divers

    Posté(e)

    Tu es en série S, c'est ça?

    Deux pistes:

    Savants et sciences, hier et aujourd'hui

    -> L'apport des sciences dans le domaine aéronautique : modélisation, loi des aires, crashtest...

    Ingénieurs et sciences, une histoire partagée

    -> simulation, impact sur la société des progrès aéronautiques (nouvelles habitudes, nouveaux matériaux...)

    Tu peux pas faire un TPE physique-histoire? Ce serait plus simple.[26]

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