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phenix

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  1. nous sommes sur ce fil pour parler d'Iran et Israël, limite de voir ses alliances dans le monde et dans la région, je ne vois pas la relation entre soulèvement des peuples arabes contre leurs régimes et le sujet qui nous intéresse, sauf si vous voulez dire qu'Iran il y est pour quelle que choses , la seule avantage pour Iran pour instant on parle moins de son programme nucléaire le régime du Shah exécutait plus mais personne n'en parlait à l'époque, (à titre exemple entre 10 janvier 1978 le début la révolution et 10 février 1979 il y a eu plus de 50000 morts , le régime du shah a jeté les cadavres dans les lacs salés) aujourd'hui la majorité des exécutions sont fait sur la base du droit civique, trafique , viole, assassinat, j'admets que il y a ou il y a eu aussi des exécutions de nature politique mais il ne faut pas oublier Iran depuis 22 septembre 1980 est en situation urgence et exceptionnelle, et tant que il ne signe pas la traité de paix avec Irak , il restera Perso; expliquer ne veut pas dire être d'accord
  2. De toute façon il y a une rubrique spécifique d’Afghanistan, ne mélanger pas vos pinceaux merci
  3. As-tu déjà oublié le massacre (égorgé) de 10 diplomates et 2 journalistes iraniens et 4000 Hazaras à Mazâr-e Charîf en 1998 et la suite, je te rappel que le même USA et Co qui ont empêché l’Iran d’attaquer les Talibans à cause des intérêts économique qu’on découvre aujourd’hui, peut être si ils n’ont pas intervenue, il n’y avait pas eu le 11 septembre 2001,plus de 3000 morts coté USA et plus de 500000 coté afghans. J’ai passé deux semaines à Téhéran pour la fête de la fin d’année, j’ai vu plus qu’une mèche de cheveux qui dépassaient de leur voile des jeune femmes iraniennes en particulière en ville de Rey réputé d’être une ville très religieux et fermée, et personne ne pas défoncer leur crânes alors il ne faut pas croire ce que on te dit, dans mon avions A 300 de retour à Genève presque plein, il avait beaucoup occidentaux, une suissesse m’a dit, Iran n’est pas l’enfer que les occidentaux veuillent nous faire croire et non plus le paradis que les dirigeants iranien nous présente, c’est un pays comme les autres avec ses problèmes spécifique à lui-même. Concernant les propos d’Ahmadinejat, il faut rappeler qu'il s’agit le régime de sioniste et non des juifs et faire parallèle entre actuel gouvernement iranien et des Nazi est totalement infondé, il faut lire un peu l’histoire avant avancer de ce gendre d’argument. Je te précise Iran depuis 1947 était contre la création l’état d’Israël et cela n’a rien avoir avec la république islamique d’Iran.
  4. Selon vous il peut y avoir une relation entre ce petit duel d’artillerie et la conférence G 20 qu’il y a eu en Corée du sud récemment ?
  5. Bush a demandé un plan pour frapper l'Iran, avant d'y renoncer L'ancien président américain George W. Bush a demandé à ses généraux un plan pour frapper l'Iran afin de détruire d'éventuels sites nucléaires militaires. Il a toutefois renoncé à une telle opération, écrit-il dans ses mémoires parus mardi aux Etats-Unis. Guerre en Irak, suspects soumis au simulacre de noyade: George W. Bush assume les décisions les plus emblématiques de sa présidence. Il assure qu'il referait la même chose pour "défendre les Américains". "J'ai ordonné au Pentagone d'étudier ce qu'il serait nécessaire (de faire) en vue d'une frappe. Une opération militaire aurait toujours été sur la table, mais en dernier recours", explique l'ex-chef de la Maison blanche au sujet d'une attaque en Iran dans son livre, intitulé "Instants décisifs". "L'objectif aurait été d'arrêter le compte à rebours de la bombe (atomique), au moins momentanément", affirme-t-il. Mais l'ex-président raconte qu'il a renoncé à ce projet car il doutait de son efficacité et craignait ses répercussions en Iran ainsi qu'en Irak. En novembre 2007, un rapport de ses services de renseignement a en outre "lié les mains" du président en affirmant que l'Iran n'avait pas d'activités nucléaires militaires. Après ce rapport, "comment pouvais-je justifier de recourir à l'armée pour détruire les installations atomiques d'un pays dont les services de renseignement venaient de dire qu'il n'avait pas de programme nucléaire militaire actif ?", demande M. Bush. http://www.romandie.com/infos/ats/display.asp?page=20101110071203910172019048164_brf007.xml&associate=phf9200
  6. ici chacun peut exprimer dans le cadre de la politesse et le respect son avis sauf si tu vois autrement. pour les réferances et Tomcat peut etre aussi te confirmer il y a un livre "le nid des espions) en 10 volumes, publié en iran basé sur les doucemnts trouves dans l'ambassade c'est un des livre qui est interdit en Europe , Canada et USA, tu veux me faire croire comme ex porte parole de la maision blanche quand un journaliste Press TV a lui posé la question "pourquoi vous avez donné des médailes aux équipages USS Vincennes qui ont tué 290 innocents, la repose était net et claire je me souviens pas cette affaire je dois consulté les archives, biensur ça vous n'avez jamais entendu mais c'est passé sur press TV. ah j'avais oublié les iraniens ne sont pas arabe quoique je n'ai rien contre eux et ni plus des juifs, (un des meilleur copins et collègue de mon pére était un juif) et moi j'ai des amis aussi bien arabe que juif ou d'autres, alors n'essaie pas me passer pour un débile fanatique
  7. à ma connaissance il n'y a plus contentieux et litiges contre iran de la part des pays europens et USA , si tu me donne plus d'info, je vais poser la question à qui de droit et je t'informorai
  8. veux tu me dire quand j'ai parlé des théories du complot arabophone ? il me semble tu connais bien les blogs jihad.com etc, moi aucun oui ta raison les diplomates US étaient les anges, mais à titre exapmple plusieurs livers basé sur les doucement sont interdit en europe et etat unies , même plusieures iraniens ont été condamé à longues prisons pour avoir ces livre dans leurs bagages le moment entrer en USA et Canada, au faite les americains ont déjà parlé de leurs missions secret en Kurdistain d'iran peu apres la révolution ( comme aujourd'hui en Baluchestain) ?
  9. Khominey ne restait que 5 mois en France et non un an et à la demande du shah lui même. Il ne faut pas oublier non plus les avoirs iraniens confisqués par USA et non à la suite de l’affaire de l’ambassade à Téhéran, mais après annulation des contrats achats des armes (8,7 milliards $) par ex dernier première ministère du shah Chapour Bakhtiar, la deuxième revendication des étudiants qui on occupés l’ambassade après l’extradition du Shah était la restitution de ces avoirs et les fonds que le Shah et ses proches ont pillés dans la caisse d’état (40 milliards $). une des plus grande contentieux entre Iran et USA, c'est la restitution des avoirs iraniens par USA (avec l’intérêt) pour instant l’administration américaine a répondu, par la bouche d’Obama, les iraniens doivent oublier le passé!!!!!!!!!
  10. pour répondre de cette question il faut remonter le temps jusqu'à 1975, après la 1ère choque pétrolier et la création de la force déploiement rapide par usa et en perspective d'occuper les champs pétroliers de MO, il faut chercher la réponse dans une interview que l'ex-shah d'Iran a accordé en 1977, il a dit l'Iran ne laissera jamais ses richesses pétroliers tombe entre les mains d'étrangers, il préféra de les détruis (1978 était la fin des licences qui ont été données à cinq entreprises pétrolières américaines, en plus de la Royal Dutch Shell et de la Compagnie française de pétroles à la suite de coupe d'état 1953 et pour 35ans et qui a donné le pouvoir aux américains de contrôler plus de 75% de production et exportation des hydrocarbures iraniens). Ex-shah ne voulait plus renouveler et tomba en disgrâce des américains son plus grand allié , il faut savoir la plupart des champs pétroliers et gazière en golfe persique sont relier par des couloirs souterrain et une ou plusieurs explosions nucléaires va contaminer la grande partie des réserves des hydrocarbures dans cette partie du monde, le régime actuel en Iran ne fait que suivre les projets de ex shah. pour cette raison que US est inquiet puisque ils le savent pour quoi et pour quelle usage Iran veut des bombes atomique
  11. vous voulez ou non Ahmadinejad a été gagnant de la dernière élection (j'ai voté contre lui), je l'admets, pas au première tour mais au second tour oui, mais il me restait toujours cette question pour quelle raison ils ont fait un putsch, j'ai trouvé la réponse lors mon dernière voyage , le coup d'état 1953 organisé par US (à l'époque les religieux restaient presque nautre) et plus récent le coup d'état d'août 1991 qui a mis la fin au régime modéré Gorbatchev et arriver au pouvoir Boris Eltsine et chao total qui arrangeait bien les affaires US pendant des années avant arriver camarade putin, Mahmoud n'est ma tasse de thé, mais il est un vrai perse depuis 150 ans qui a pris la règne d'Iran, aujourd'hui, le pouvoir n'est plus entre les mains des religieux mais de celles des militaires, comme Israël @ S-37 Berkut que penses tu d'USA quand ils ont utilisé par deux les bombes atomique contre les civils japonaises? merci de me pas sortie cette excuse bidon que les américains voulaient écourté la guerre, ce n'est plus valable.
  12. Nucléaire iranien : la convergence des contraires LEMONDE.FR | 30.06.10 | 09h17 • Mis à jour le 30.06.10 | 10h37 l y a encore des choses à découvrir dans les derniers développements du dossier nucléaire iranien. Par exemple, que l'accord tripartite signé le 17 mai à Téhéran autour de Lula, d'Erdogan et d'Ahmadinejad, et qui a tant irrité l'Amérique, est le fruit d'une négociation expressément soutenue par Obama et Hillary Clinton. Le 20 avril, le président américain écrivait ainsi à son homologue brésilien, en une lettre rendue, depuis, publique : "Pour nous, l'accord de l'Iran au transfert de 1 200 kg de son uranium légèrement enrichi hors du pays créerait de la confiance et réduirait les tensions régionales en diminuant substantiellement ce stock d'uranium… Je souhaite encourager le Brésil à représenter à l'Iran l'occasion qu'est cette offre d'entreposer son uranium en Turquie pendant le temps où son combustible nucléaire est fabriqué". Et le 13 mai, Ahmet Davutoglu, ministre turc des affaires étrangères, s'entretenait du sujet avec Hillary Clinton. Le porte-parole du Département d'Etat indiquait alors : "En ce qui concerne le réacteur de recherche de Téhéran, ceci a été mis sur la table à l'automne dernier pour développer la confiance de la communauté internationale… Notre position est que l'Iran doit, ou répondre, ou affronter les conséquences d'une résolution des Nations unies". L'Iran répondait positivement quatre jours plus tard. Il a néanmoins subi une cinquième résolution du Conseil de sécurité durcissant les précédentes sanctions. Il s'apprête aussi à se voir infliger des sanctions complémentaires de la part des Etats-Unis et de l'Union européenne. Comment en est-on arrivé là ? D'abord parce que du côté occidental, l'on s'était convaincu que Turcs et Brésiliens échoueraient eux aussi en cette affaire. Tout en leur disant de négocier puisqu'ils en avaient envie, l'on avait déjà mentalement fermé la parenthèse de la main tendue par Obama à l'été 2009 sur l'idée que faute de pouvoir tout régler, mieux valait tenter de renouer sur un projet ponctuel, avec l'espoir d'avancer ensuite sur cette base. Et, miracle ! Ahmadinejad avait aussitôt manifesté son intérêt. Mais il se heurtait à la résistance de son propre milieu. Les Occidentaux, devant les atermoiements de Téhéran, revenaient à leur terrain familier : négocier de l'Iran entre eux et avec tout le monde, sauf avec l'Iran. Peu importait que cette façon d'agir ait, au fil des ans, plutôt conforté qu'affaibli le régime et n'ait en rien ralenti son programme nucléaire. Certes, l'on offrait simultanément à Téhéran de négocier sur une sortie de crise, mais le préalable posé : la suspension de ses activités d'enrichissement, ressemblait trop à l'objectif : l'arrêt définitif des mêmes activités. Et c'est au moment où Hillary Clinton parvenait enfin à convaincre Russes et Chinois de parrainer une nouvelle résolution au Conseil de Sécurité que l'accord de Téhéran était signé. Deux trains qui n'auraient jamais dû se rencontrer entraient en collision spectaculaire. D'où la rhétorique déployée en urgence : alors que le refus de l'Iran à se séparer de son uranium offrait hier une trace de ses noirs desseins, son acceptation devenait une nouvelle manœuvre, à laquelle deux naïfs s'étaient prêtés. L'on reprochait à l'accord de Téhéran de laisser entier le problème de la poursuite des activités d'enrichissement iraniennes, alors que le projet initial n'avait jamais effleuré le sujet. L'on soulignait qu'à l'époque où l'idée d'un échange avait été lancée, les 1 200 kg demandés composaient 80 % du stock iranien. Ils n'en pesaient plus désormais que la moitié et laissaient donc à l'Iran la matière d'une bombe. Certes, mais outre que ce chiffre n'avait jamais été corrigé, c'était ignorer que la situation eût été la même en ce mois de mai si l'accord avait été conclu à l'automne dernier. Enfin, l'on affirmait que la campagne d'enrichissement d'uranium à 20 % lancée entre temps par l'Iran invalidait le processus, alors que le sort de cette opération, de fait peu avancée, aurait pu faire partie des questions à régler dans la mise au point de l'échange. Bref, Turcs et Brésiliens avaient tout faux. Mais la volte-face des Etats-Unis marquera longtemps la mémoire de ces deux pays. En Iran, les opposants à tout arrangement avec l'Amérique peuvent triompher devant l'évidence à leurs yeux de la duplicité de Washington. Enfin, l'on a le sentiment d'une défaite d'Obama face à sa propre administration, en tous cas du premier Obama, celui qui croyait à la possibilité de faire évoluer la relation de son pays avec l'Iran. Le voilà ramené par ses propres troupes, Hillary Clinton en tête, sur la ligne de George W. Bush, pour lequel la seule solution au problème nucléaire iranien était le Regime change. A-t-il encore l'envie, aura-t-il la force d'imposer sa vision ? FEU CROISÉ A voir les postures familières dans lesquelles chacun s'est réinstallé, l'on en vient à se demander si la situation actuelle ne convient pas à beaucoup de monde. Elle pourrait être assez confortable si, tout bien pesé, la menace nucléaire iranienne n'avait pas l'intensité qu'on lui prête. Depuis vingt ans que l'on crie au loup à partir de révélations constamment renouvelées, force est de constater que le sombre horizon d'un Iran doté de la bombe s'éloigne au fur et à mesure que l'on s'avance. Certes, l'Iran a beaucoup progressé dans la technologie de l'enrichissement, susceptible de lui fournir la matière première d'un engin explosif. Mais il y rencontre encore des difficultés. Et de ce que l'on peut observer, il est loin de posséder la gamme complète des compétences, à la fois variées et très spécialisées, permettant de produire une bombe. Enfin, si tout ceci devait prendre forme, on le verrait venir. Les moyens de détection ont fait de grands progrès. L'expérience des trente dernières années démontre que des programmes de cette complexité, quand ils approchent de la maturité, ne peuvent rester clandestins une fois l'attention du monde éveillée. En attendant ce moment, s'il vient jamais, la tension internationale cultivée autour du dossier offre au régime iranien un motif durable d'en appeler à la cohésion du pays face à l'étranger. Sur cette ligne, il n'est guère contesté. Et l'isolement qui lui est imposé contribue à raffermir son emprise sur sa population. Israël aussi peut y trouver son compte. Chaque provocation d'Ahmadinejad renforce la crédibilité d'une menace existentielle sur laquelle le gouvernement peut s'appuyer pour rallier sa population, mobiliser ses amis à travers le monde, et faire passer au second plan le règlement de la question palestinienne. Les Etats arabes du Golfe trouvent en cette affaire un sujet d'entente, et la satisfaction de se faire confirmer la protection américaine. Quant aux Etats-Unis, ils peuvent mieux rassembler leur camp autour de la lutte contre la prolifération et de leurs programmes de défense anti-balistique face au Sud. Principale victime de cette convergence des contraires : la population iranienne, prise sous un feu croisé. Sanctions d'un côté, répression de l'autre, il est admirable qu'elle arrive encore à réagir et à espérer. François Nicoullaud, ancien ambassadeur de France à Téhéran http://www.lemonde.fr/web/imprimer_element/0,40-0@2-3232,50-1380651,0.html
  13. Non au contraire, soit BB ment en disant que Hamas dispose plus de 10000 rockets ? Soit par cette annonce l’effet de ce blocus était nul (dans le sens qui n’a pas pu empêcher Hamas de s’armer).
  14. T’as raison, les palestiniens sont libre (relative) d’être canarder par les colons, d’être confiscer leurs terre et maison, des fouilles systématique et check- point tous les 500m, sans parler le fameux mur, enfin un paradis pour les palestiniens .
  15. veux tu nous dire depuis l'an 2000, combien civil palestiniens ont été tué, mutilé ou blessé par les gentils soldats israéliens?
  16. l'hopital qui se fout de la charité Flottille: des élus US attaquent Ankara "Des élus de la Chambre des représentants américaine ont violemment critiqué le rôle de la Turquie, au cours d'une conférence de presse, dans l'affaire de la flottille humanitaire pour Gaza qui a fait l'objet d'un raid israélien sanglant. "Il y aura des conséquences si la Turquie conserve sa tendance actuelle de rapprochement avec l'Iran et de confrontation croissante avec Israël", a déclaré le numéro trois républicain de la Chambre des représentants, Mike Pence. M. Pence et plusieurs de ses collègues républicains ont durement critiqué Ankara, pour avoir soutenu la flottille et protesté contre Israël après le raid qui a coûté la vie à neuf ressortissants turcs. Ils ont également critiqué Ankara pour s'être opposés aux efforts américains visant à imposer de nouvelles sanctions contre Téhéran pour ses ambitions nucléaires. "C'est d'autant plus scandaleux que la Turquie est un membre de l'Otan", a déclaré le démocrate Eliot Engel. Selon les élus, Ankara est responsable de la mort de ses neufs ressortissants. "Je pense que le sang est sur les mains de la Turquie", a dit le représentant républicain Peter King. Par ailleurs, la démocrate Shelley Berkley a estimé que la Turquie ne "mérite pas d'être membre de l'Union européenne tant qu'elle ne se comportera pas davantage comme une nation européenne et beaucoup moins comme l'Iran " souce:http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/06/16/97001-20100616FILWWW00683-flottille-des-elus-us-attaquent-ankara.php
  17. Iran: sanctions "inefficaces" (Poutine) AFP 09/06/2010 | Mise à jour : 14:03 Réactions (14) Le Premier ministre russe, Vladimir Poutine, persiste à penser que les sanctions sont "inefficaces" pour résoudre les crises nucléaires, malgré le ralliement de son pays à une nouvelle résolution de la communauté internationale contre l'Iran. "Vous connaissez un seul exemple de sanctions efficaces? (...) Dans l'ensemble, elles sont inefficaces", a déclaré M. Poutine dans une interview à l'AFP réalisée lundi à Sotchi (sud) et diffusée mercredi, à la veille d'un voyage de deux jours en France. L'ONU devait infliger mercredi à l'Iran des sanctions pour son programme nucléaire controversé. Le texte prévoit que l'Iran ne pourra investir à l'étranger dans certaines activités sensibles comme les mines d'uranium et que ses navires pourront être inspectés en haute mer. Le projet interdit aussi la vente à l'Iran de huit nouveaux types d'armements lourds, notamment des chars. Soutien traditionnel de l'Iran, la Russie construit actuellement à Bouchehr la première centrale nucléaire iranienne, qui doit entrer en service d'ici à août. "Contre la Corée du Nord, des sanctions ont été appliquées. Le programme se développe, de plus c'est sous le coup de sanctions que les dirigeants nord-coréens ont annoncé posséder l'arme nucléaire. Que valent-elles ces sanctions?", a poursuivi Vladimir Poutine. Insistant sur la "prudence" de son pays en matière de sanctions, le chef du gouvernement russe a exhorté la communauté internationale à ne pas engager de "gestes brusques, irréfléchis" envers l'Iran. "Imaginez-vous le jour où il n'y aura plus aucun contrôle de la communauté internationale et de l'AIEA! Ce serait mieux? Et on fera quoi alors?", a-t-il averti. Il s'est aussi à nouveau positionné contre des menaces militaires. "L'usage de la force d'une façon ou d'une autre, il me semble qu'il ne faut même pas en parler. Selon moi, cela conduirait à une énorme tragédie sans le moindre résultat positif", a martelé M. Poutine, évoquant les "conséquences catastrophiques" en matière de déstabilisation régionale et de "radicalisation du monde islamique". http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/06/09/97001-20100609FILWWW00503-iran-sanctions-inefficaces-poutine.php
  18. Bien venue dans la réalité Made in USA
  19. Non, Le président Khatami en contre partie a demandé une justice pour les équipages USS Vincennes responsable de la destrustion Airbus Iran Air vol 655 (290 victimes civils) qu'à leur retour à San Diego, leur port d'attache, étaient tous décorés?
  20. Tu as raison c'est vraiment du pipeau, parce que même les USA ne veulent pas perdre une marché aussi jouteuse que IRAN, les américains accusent tous les pays du monde de non respecte des embargos contre Iran, mais ils sont les 1èr à détourner les embargos, dernière temps la vendre de cinq B747 neufs par intermédiaire une société bidon basée en GB, et cinq autres par biais d’Arménie,montant amande infligée à cette société 18 million $ ? En réalité les USA ont décrété les embargos contre Iran dans leurs propre intérêt, grader le marché Iranien sous leurs influences et ne pas rembourser les avoirs iraniens gelés depuis plus 31ans, dans l’espoir qu’un état pro-américain prendre le pouvoir et il oublie les passés des américains en Iran depuis 1953 comme Obama a suggéré il y a quelque mois. Le rêve n’est pas interdit .
  21. Je ne vois pas pour quoi vous êtes étonnes, l’Israël continue de faire depuis plus 50 ans, même contre leurs meilleurs amis Incident de l’USS Liberty http://en.wikipedia.org/wiki/USS_Liberty_incident
  22. @g4lly, tu me permets d’avoir doute sur « simple JDAM » ! tu veux dire 5000 m et non pieds, tout dépende l’architecture des canons AA et leurs positions, rappelle toi la défense AA du Viêtnam de nord et les pertes des américains, mais il est vrais nous sommes plus dans les années 60 /70 ? un F117 abattu par un simple canon 23mm !
  23. Peut être t’as raison !, mais comme disait un général israélien en 82 «par définition les armes plus simple sont plus efficace », pour réco, il suffit de tirer les balles éclairants pour masquer l’objectif, crois moi c'est aussi simple qu’il soit, pour le bombardement, tous les pilotes savent qu’il faut descendre plus bas possible pour avoir une précisions optimale, (même avec les armes de très grandes précision ! rien que pour indentifier l'objectif), regards les résultats des bombardements US/OTAN en Afghanistan et US/UK en Irak, bien sûr il peut balancer des bombes d’une tonne d’une altitude de +6300 m et sur une quartier résidentielle et dire après que nous avons atteindre avec grande précision l’objectif ?, pendant la guerre Iran/Irak les Mig 25 irakien transformé par les français comme bombardier, ont tenté à une cinquantaine fois de bombarder avec des précisions les installations militaires et les objectifs politique à Téhéran, jamais réussit, venant d’ouest à une altitude de + 20000 m à une vitesse de Mach 0,95 avec deux bombes ou fusée de 250 Kg, à 100 km de Téhéran ils plongeaient de cette altitude jusqu’à 8700 m, ils larguaient ses charges, ils reprenaient l’altitude et fuyaient « danger zone » avec une vitesse Mach 2 ,7 pendant 62 seconds, à l'époque Téhéran n’est défendu que par des canons de calibre 14,5 à 100 mm, voilà l’importance des canons AA, bien sûr il y a mieux!
  24. Tir des canons anti aériens serrent comme tire de barrage, pour empêcher que les chasseurs descends plus bas, d’autre part il faut se mettre à la place de pilote, même expérimenté, quand il voit les balles il va avoir la chaire de poule, d’autre part il ne faut jamais fier aux apparences, un arbre peut cacher un foret
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