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Messages posté(e)s par loac

  1. il y a 18 minutes, loac a dit :

     

    perso le VAB c est 20 ans de ma carriére et les voir déchirer comme cel cela me dis que j ai eu beaucoup de chance 

    je ne sais pa s comment ils les utilissent , mais remplir les coffre extérieure d eau c est pas mal et metre des sac a terre au sol c est bien aussi , cela absorbe un peux les londes de choque.

     Aprés les tappes ouvertes cela permet déjecter les gars c est pas mal aussi??? 

  2. Le 26/10/2022 à 12:24, Robert a dit :

    Quelques soudures, un bon coup de peinture et il sera comme neuf !

     

    Le 26/10/2022 à 12:12, olivier lsb a dit :

    Un VAB qui a pété sur une mine, apparemment l'équipage a été protégé. Grosse attrition matérielle tout de même. 

    J ai personnellement été victime de la ùéùe chose en ex yougosslavie (il y a 25 ans )

    J en garde 5 vis dans l épaule et un nez de travers .

    J éspere que le groupe sens ai aussi bein tirer.

    perso le VAB c est 20 ans de ma carriére et les voir déchirer comme cel cela me dis que j ai eu beaucoup de chance 

    • J'aime (+1) 3
  3. il y a 24 minutes, Manuel77 a dit :

    PH 2000 en mission près de Bakhmut. Brigade d'artillerie 26. Ils tirent au coup par coup, pas de MRSI. Quand je regarde à partir de 1:00, ils chargent sept segments de charge propulsive. Le journaliste parle de 40 secondes de vol.
    Est-ce que c'est un tir lointain ? Il parle de 30 km.

     

     

    je suis impressionner par la différence de qualité des matériaux occidentaux (pzh 2000, ceasear,himars ...) et le matériel russe.

    Je ne m attendais pas a une telle différence

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  4. il y a une heure, Ciders a dit :

    On se posait la question avec Dorf sur Twitter. On ne sait pas mais il y a clairement quelque chose qui ne fonctionne pas depuis le début du conflit.

    Pas tellement au niveau des pertes que de l'incapacité russe à détruire l'aviation ukrainienne, à l'empêcher d'agir et à soutenir les assauts au sol. Il nous manque des données du problème mais il me semble qu'il y a vraiment un truc qui nous échappe.

    Comme avec l artillerie il semble manquer lourdement de coordination avec les troupes au sol.

    Je me demande a quoi doit ressembler une équipe JTAC russe ....? 

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  5. à l’instant, Akhilleus a dit :

    Ca depend ou la roquette va taper et qui est dans le véhicule

    Si la roquette tape l'habitacle à fantassins, une charge HEAT fera un petit trou et des éclats mais si y'a personne derrière (sauf le pilote et le radio tireur à l'avant) ca n'empechera pas le véhicule de continuer a fonctionner voire à constituer une menace

    Si elle tape à l'avant et neutralise l'équipage conducteur, c'est autre chose

    Où encore rencontrer en traversant la caisse une boite de munition ou un obus.

    Les véhicules de combats en sont remplis et dans ce cas la il y a de grande chance qu' il explose

    Mais comme le fait remarquer akhilleuse , avec de la chance, le vhl  peux sans sortir quasiment indemne 

  6. il y a 33 minutes, Mangouste a dit :

    Je ne sais pas trop ou en est cette fameuse livraison de Léopard 1 allemand , mais quitte a continué dans la voie du réarmement de l'Ukraine je pensais que nos AMX 10RC dont nous sommes entrain de nous séparer ne serais pas un mauvais choix .....

    Le temps que les équipages soit formés le terrain sera sec et c'est un blindé qui allie vitesse et puissance de feu (capable de mettre hors de combat la plus part des MBT russe).

  7. il y a 8 minutes, Banzinou a dit :

    Première apparition des Ka-27 russe en Ukraine

     

    Sur le même compte twitter on voit l'apparition d'un LG MILKOR et ,de ce qu'il me semble, être un RP7 made in USA .

    il y a 6 minutes, loac a dit :

    Sur le même compte twitter on voit l'apparition d'un LG MILKOR et ,de ce qu'il me semble, être un RP7 made in USA .

    Je voulais bien sur parler d'un RPG7 et cela pourrais être un PSRL1.

     

  8. Il y a 5 heures, Robert a dit :

    Dans un journal russe ce matin, interviewe d'un "officier ukrainien qui se serait rendu à Marioupol"

    Les ATGM occidentaux sont inefficaces et trop compliqué a l'usage.

    Les soldats ukrainiens ne sont pas formés a l'utilisation de ce  genre de système.

    Bref...le soldat ukrainien est nul !

    Me font marrer ces journaux russes.

    Dans pas longtemps il pourra donner son avis sur le 155 mm OTAN ...

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  9. il y a 30 minutes, Benoitleg a dit :

    On voit d'ailleurs les fantassins (l'équivalent d'un peloton peut-être ?) bouger dans la tranchée sans être atteints. Par chance, aucun obus ne fuse dans la tranchée.
    Ils font par contre l'erreur classique de se grouper à un endroit, plutôt que de se disperser par groupe de 2 ou 3.
    Si un coup frappe le peloton groupé, on aura 10-12 victimes d'un coup là ou 3/4 groupes de 3/4 fantassins n'auront qu'un groupe décimé en cas d'impact direct sur la tranchée.

    Personnellement je suis surpris par la précision des frappes d'artillerie (des deux camps) depuis le début du conflit ...

    Concernant cette vidéo les hommes semblent attendrent dans la tranchée , mais mes yeux peuvent me tromper.

    Ils devraient rapidement ce faire des abris perpendiculaires a la lignes de tranchée pour s' y abriter. 

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  10. Il y a 13 heures, olivier lsb a dit :

    Marioupol. Tir de NLAW, pas de détonation. Un peu proche on dirait, sécurité inhérente au système ?

    Effectivement je pense aussi que la charge n'a pas eu le temps de s'armer.

    Cela a sauvé la vie des tankistes ,mais aussi celle du caméraman, qui aurais pu voir s'approcher très vite de sa caméra un gros bout de métal ....

     

     

     

  11. il y a 18 minutes, Claudio Lopez a dit :

    Vidéo intéressante. Par contre, la puissance de destruction des missiles, c'est pas terrible.. . Mais où sont les flammes et la "belle" explosion tel qu'on le voit dans les films ? :mechantc:

    La puissance de l explosion viens de ce que rencontre la charge creuse ...

    Un jerricane ,des munitions donne une explosion 

    Un mur des éclats de briques 

  12. il y a 13 minutes, vince24 a dit :

    Il y a moins d’avions descendus en ce moment - l’aviation russe apparaît-Elle encore dans l
     

     

    Aujourd4 hui 300 sorties , d après les chaine d info direct.

    Mais ils tirent tous depuis les zones contrôlé par les russes (Crimée,Bielorussiue,mer d'Azlov...)

    La détense AA Ukrainienne renseignée en temps réel par les alliés demeure extrêmement performante .

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  13. Il y a 3 heures, Akhilleus a dit :

    Difficile à dire

     

     

     

    Il sort d'un déplacement rapide, son 30 n'est peut être pas bien stabilisé (voir la séquence ou il en colle pas mal au dessus quand il revient pour une deuxième passe)

    J'en sais rien

    A cette distance il doit probablement y avoir un problème d'entraxe (la différence entre l'axe du viseur et du canon) et il n' a pas du y penser tout de suite ???

    (Au Famas pour toucher le point viser a moins de 10 mètres il faut viser 7 cm au dessus ....)

  14. il y a 34 minutes, Akhilleus a dit :

    Moi ce que je note c'est une prodigalité dans l'usage des munitions.

    Bon à la place de l'équipage du BTR4 j'aurais fait pareil (arroser jusqu'à un départ de flammes) mais le 30 mm il ne perce pas du premier coup..... même un BRM1K de face

    prodigalité =dépense excessive ? J ai du aller voir sur internet !

    Et bien de mon point de vu ,il y a la toute la différence entre l'instruction (ISTC en France) et le vrai combat.

    Je suis un fervent défenseur de l instruction de l'ISTC , mais dans la mesure ou nous admettons quelle ne réponds pas a toute les solutions.

    Au combat le volume du feu est très important dans certaines situations et parfois au dépends des bases de l'ISTC.

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  15. il y a 11 minutes, Gran Capitan a dit :

     

     

    En tout cas je trouve étonnant les dégâts sur ce T72, comparés à ceux sur le BMP1 d'il y a quelque jours.

    Etonnant dans quels sens ?

    Les impacts sur le BMP arrive sur un blindage relativement faible mais avec une forte incidence .

    Ceux sur le T72 arrive sur le bas de la caisse (qui ne doit pas être beaucoup plus blindé) mais sur une surface plane et donc avec une efficacité maximum .

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  16. il y a 3 minutes, Gran Capitan a dit :

    J'allais dire la même chose. Il sait exactement où taper avec le 30mm. En 4-5 coups le T72 s'embrase. Est-il abandonné ?

     

    En tout cas ces vidéos sont impressionnantes. On aperçoit également l’infanterie ukrainienne d'accompagnement.

    C est ce qui manque cruellement au blindés russes qui pourrais les protéger a coup de rpg7 

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  17. Il y a 4 heures, loac a dit :

    Engagement majeur, engagement de haute intensité. De quoi parle-t-on réellement ? Ces termes qui appartiennent au langage militaire, sans toutefois y recouvrer une définition précise, peuvent apparaître à nos concitoyens comme une notion floue. Il convient donc en introduction de ce dossier de préciser ce que pourrait être un tel type d’engagement.

    L’appellation « haute intensité » est vraisemblablement l’enfant de la pratique consistant à contourner les réalités incommodantes ou effrayantes par des ellipses ou des périphrases.

    Or, de quoi s’agit-il ? Évoque-t-on un sévère accrochage, pendant quelques heures, d’une unité engagée en opérations extérieure ? Ou bien envisage-t-on plutôt une large bataille de chars et d’artillerie, semblable à celles que la seconde guerre mondiale a inscrites dans notre imaginaire ?

    En réalité, il s’agit bien ici de la guerre. Ce mot que nous avons écarté de notre langage depuis le conflit algérien, il y a soixante ans, à l’exception d’une courte réapparition, au début des années 90, à l’occasion de la première guerre du Golfe.

    Le propos de ce dossier est donc d’envisager la perspective d’un conflit armé conséquent, que l’on considérera, pour notre réflexion, conduit hors du territoire national.

    Certes, notre expérience des opérations extérieures doit servir de base à notre réflexion, mais il convient d’aller au-delà pour un conflit qui pourrait présenter quatre caractéristiques dont les conséquences majeures seront abordées dans les différents chapitres de ce dossier :

    son ampleur par la quantité de forces déployées ;

    sa violence, impliquant des pertes à un niveau inconnu pour notre pays, du fait d’un adversaire lourdement équipé, fortement motivé et pouvant agir selon des références culturelles ne correspondant pas à notre éthique ni au droit de la guerre ;

    son caractère multinational, avec les atouts mais aussi les contraintes et les fragilités qu’entraîne cette configuration ;

    ses effets très importants sur le territoire national, tant en termes de sécurité, que par la mise en place d’une forme « d’économie de guerre » partielle, touchant les secteurs nécessaires au soutien de l’engagement (armement, transport, santé, information…).

    Lourdes pertes, « coup de collier » budgétaire et industriel, menaces sur le territoire national, nous sortons là de toute situation connue depuis le milieu du siècle dernier. Pour s’y préparer, autant qu’il en soit possible, il convient de bien en circonscrire le cadre de l’action, dans toutes ses dimensions. C’est l’objet des pages qui suivent.

    Bonne lecture.

    GCA (2S) Éric MARGAIL

    Cela vient de theatrum belli .

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  18. Engagement majeur, engagement de haute intensité. De quoi parle-t-on réellement ? Ces termes qui appartiennent au langage militaire, sans toutefois y recouvrer une définition précise, peuvent apparaître à nos concitoyens comme une notion floue. Il convient donc en introduction de ce dossier de préciser ce que pourrait être un tel type d’engagement.

    L’appellation « haute intensité » est vraisemblablement l’enfant de la pratique consistant à contourner les réalités incommodantes ou effrayantes par des ellipses ou des périphrases.

    Or, de quoi s’agit-il ? Évoque-t-on un sévère accrochage, pendant quelques heures, d’une unité engagée en opérations extérieure ? Ou bien envisage-t-on plutôt une large bataille de chars et d’artillerie, semblable à celles que la seconde guerre mondiale a inscrites dans notre imaginaire ?

    En réalité, il s’agit bien ici de la guerre. Ce mot que nous avons écarté de notre langage depuis le conflit algérien, il y a soixante ans, à l’exception d’une courte réapparition, au début des années 90, à l’occasion de la première guerre du Golfe.

    Le propos de ce dossier est donc d’envisager la perspective d’un conflit armé conséquent, que l’on considérera, pour notre réflexion, conduit hors du territoire national.

    Certes, notre expérience des opérations extérieures doit servir de base à notre réflexion, mais il convient d’aller au-delà pour un conflit qui pourrait présenter quatre caractéristiques dont les conséquences majeures seront abordées dans les différents chapitres de ce dossier :

    son ampleur par la quantité de forces déployées ;

    sa violence, impliquant des pertes à un niveau inconnu pour notre pays, du fait d’un adversaire lourdement équipé, fortement motivé et pouvant agir selon des références culturelles ne correspondant pas à notre éthique ni au droit de la guerre ;

    son caractère multinational, avec les atouts mais aussi les contraintes et les fragilités qu’entraîne cette configuration ;

    ses effets très importants sur le territoire national, tant en termes de sécurité, que par la mise en place d’une forme « d’économie de guerre » partielle, touchant les secteurs nécessaires au soutien de l’engagement (armement, transport, santé, information…).

    Lourdes pertes, « coup de collier » budgétaire et industriel, menaces sur le territoire national, nous sortons là de toute situation connue depuis le milieu du siècle dernier. Pour s’y préparer, autant qu’il en soit possible, il convient de bien en circonscrire le cadre de l’action, dans toutes ses dimensions. C’est l’objet des pages qui suivent.

    Bonne lecture.

    GCA (2S) Éric MARGAIL

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