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AIR-DEFENSE.NET

bibouz

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Messages posté(e)s par bibouz

  1. A propos de radar quelle est finalement la solution achetée : Sagem offrait le picosar,  mais il est réputé moins bon que le radar de thales (imaster). Ça ne m'étonnerait qu'à moitié que la DGA ait imposé le radar de Thales en définitive (aussi une forme de compensation pour Thales). 

     

    Effectivement l'armée de terre aurait pu garder un drone plus "tactique"  (type ScanEagle,  catapulte et skyhook),  mais alors il fallait dire adieu à l'emport de charges utiles multiples (EO/IR + Radar +...). Est-ce que ce critère etait indispensable,  ou était-ce plus un moyen de ne pas dépendre de l'armée de l'air,  ça c'est une autre histoire (et je n'en n'ai aucune idée !)... 

  2. Et c'est aussi l'éternel problème de la discriminabilité: face à un missile assaillant,  si notre ennemi ne peut pas savoir s'il subit une frappe conventionnelle ou nucléaire,  comment risque-t-il de réagir ? A priori c'est ce type de réflexion qui s'oppose (s' opposait ?) a la conversion des ICBM en missiles à charge conventionelles. 

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  3. :pleurec: surtout que comme Judi le dit, il y a de fortes chances que les chars prélevés sur le stock de l'armée française ne soient jamais remplacés... Évidement ça ne sera pas prévu ainsi à (l'éventuelle) signature du contrat, mais ça sera annulé quelques années plus tard en toute discrétion. Enfin j'espère me tromper...

  4. Il y a 2 heures, 2020 a dit :

    Y a un peu de ca ! Lol

    Dans l espace on resseNt l acceleration, combien de temps faudrait il pour atteindre 10% de la vitesse limieRe lumiere? Sans se retrouver avec un esuipage Equipage avec le cerveau en bouilli.!!

    Desol Desole impossible d editer ni d utiliser ecriture intuitive avec le portablr

    Si on veut attendre 10% de c à accélération constante:

    - accélération = 0.1g (de mémoire ce qui est considéré acceptable pour les ascenseurs) , il faut 3E7 seconde, soit un tout petit peu moins qu'une année

    - accélération = 1g (du coup idéal pour générer une fausse pesanteur à condition de bien "orienter" le vaisseau), il faut un peu plus d'un mois

    Du coup la phase d'accélération n'est pas extrêmement longue (si je me plante pas...)

  5. il y a une heure, DEFA550 a dit :

    C'est purement philosophique.

    Je ne suis pas d'accord: cette forme d'impunité (ainsi que la plausible deniability qui va avec l'usage des drones) à potentiellement un impact majeur. En effet elle abaisse potentiellement pour le pouvoir politique le seuil de recours à la violence, et favorise donc celle-ci. 

    Pour ma part c'est le seul argument que je peux imaginer contre l'armement des drones.

  6. J'ai souvenir d'un article de DSI qui défendait justement ce point de vue, et appelait à la création d'un véritable véhicule d'appui dédié. Malheureusement je n'arrive pas à remettre la main dessus.

  7. De mémoire il n'a pas de freins,  tout simplement. On voit le brin saisi ici: http://m.aviationweek.com/2015-highlights-stories-shaped-aerospace-defense/unmanned-systems-highlights-2015?slide=524921-8#slide-8-field_images-1377471. Par ailleurs je ne suis même pas sûr qu'il puisse taxier seul (on le voit tout le temps tiré par ce vehicle : http://img.over-blog-kiwi.com/0/54/74/56/20150603/ob_88c6ba_watchkeeper-photo-thales-group.jpg

  8. Le watchkeeper a besoin de brins d'arrêt sur la piste,  ainsi que d'un dispositif de guidage externe (Magic Atlos de mémoire)  au sol,  avec différentes balises et radar. 

    Sur ce point le patroler est gagnant.  M'enfin vu la position de la charge optro et de l'entrée d'air / radiateur du moteur,  je pense qu'on peut oublier le déploiement sommaire comme mode nominal dans tous les cas ! 

  9. Est-ce que le temps de mise en oeuvre est vraiment compatible avec le préavis d'alerte en cas de détection de missiles assaillants ? Certes on peut faire décoler le drone d'avance par précaution dans les situations un peu tendues, mais alors on se heurte à son autonomie très limitée. Ils avaient un projet de charge pyro pour les avalanches que je trouvais déjà plus crédible.

  10. Pour rester dans le HS (mais promis je le ferai plus), chez Eurocopter à Donauworth, mon chef se plaignait que les inspecteurs qualités de l'armée allemande était toujours plus pointilleux en fin d'exercice... Permettant de manière fort opportune mais "évidemment fortuite" de repousser la livraison sur l'exercice suivant!

  11. Le concept est original... Je crois me souvenir d'avoir vu un schéma d'une solution équivalente pour récupérer un drone sur un navire, en venant s'accrocher dans un filin sous un hélicoptère.

    PS: juste pour faire le pénible il n'y a pas d'accent sur le "o" de drone (c'est un mot anglais...)

  12. La vidéo du TALON:

     

    Personnellement je trouve les solutions à base de drone VTOL tethered plus intéressantes, dans la mesure où elles fonctionnent même lorsque le navire est à l'arrêt. Elles permettent aussi de déporter légèrement le drone par rapport au navire, pour limiter son exposition.

    Les besoin de transmission en énergie limitent par contre peut être d'avantage la longueur de l'ombilic (beaucoup plus d'énergie à transférer)...

    Je me demande vraiment pourquoi ces solutions de sont pas plus développées, même sur les petites unités : la masse des équipements (com, radar) est-elle trop importante des qu'il s'agit d'avoir un peu de portée? Ou bien le besoin n'est pas réel?

  13. Bonjour,

     

    Je n'ai pas trouvé de fil dédié au ravitaillement en mer, du coup je poste ici... Sur de nombreuses photos illustrant le ravitaillement en mer (par les pétroliers ravitailleurs), on voit en général deux navires se faire ravitailler simultanément (un à bâbord, l'autre à tribord) : est-ce que c'est juste pour la photo, ou bien est-ce que ça représente un intérêt opérationnel (limiter la durée globale pendant laquelle les navires sont accouplés) ? Naïvement j'aurai pensé qu'au contraire on chercherait à simplifier cette opération suffisamment complexe avec un seul navire ravitaillé.

     

    Merci d'avance  pour votre éclairage!

  14. Pour moi le choix va être entre un appareil en service, éprouvé, mais aux capacité d'évolution plus faibles, et un appareil qui reste un proto à maturer, mais qui dispose d'une marge d'évolution bien supérieure....tout ça mélangé avec un peu de politique industrielo-européenne (favorise-t-on un constructeur national, ou bien un projet europeen)

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  15. Il y a un troisième candidat dans la compétition SDT, qui est plus "tactique". C'est le candidat d'Airbus / Textron, sur base Shadow mk2... Mais il n'a aucune chance semble-t-il. 

    Ensuite concernant les masses des vecteurs aériens  des autres systèmes, elle est en fait imposée par la nécessité d'offrir une capacité d'emport simultanée d'une charge EO/IR et radar. Les plus petites plates formes ne peuvent pas le faire en garantissant les 10h+ d'autonomie demandées (plus le chiffre exact en tête)... Et qui dit masse importante dit décollage et atterrissage sur piste classique.

    Au passage la perte de tacticité par rapport au sdti est particulièrement criante pour le Watchkeeper : il nécessite de nombreuses infrastructures au sol  (balise et radar ATOL, brin d'arrêt pour s'arrêter). Ces infrastructures vont compliquer le partage de pistes avec les autres aéronefs.

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