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LE PROGRAMME « NATO SUBMARINE RESCUE SYSTEM » (NSRS),


P4
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Une présentation de l'engin ici :

Non, c'est la systeme britannique [je pense que le LR5 va continuer des operations pour des pays etrangers avec l'entreprise "James Fisher Defence"] qui va replacer avec le NSRS. Le RU, la Norvege et la France payent pour le NSRS. Ici, des informations:

Rolls-Royce has put together a powerful team to support its work. They are:

Perry Slingsby Systems Ltd, based near York, providing the SRV and ROV.

The Engineering Business Ltd, based near Newcastle upon Tyne, providing the Portable Launch and Recovery System.

Babcock Design and Technology, based in Weymouth, providing engineering support services

Babcock Naval Services, based in Faslane, providing the base facility

Divex, based in Aberdeen, providing the decompression equipment.

Kongsberg Maritime Limited, based in Waterlooville, providing underwater navigation, tracking and communications equipment.

Links:

http://www.rolls-royce.com/media/showPR.jsp?PR_ID=40076

http://www.rolls-royce.com/marine/downloads/submarine/broc_nato.pdf

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Non, c'est la systeme britannique [je pense que le LR5 va continuer des operations pour des pays etrangers avec l'entreprise "James Fisher Defence"] qui va replacer avec le NSRS. Le RU, la Norvege et la France payent pour le NSRS. Ici, des informations:

Links:

http://www.rolls-royce.com/media/showPR.jsp?PR_ID=40076

http://www.rolls-royce.com/marine/downloads/submarine/broc_nato.pdf

OK Rob... Mais le NSRS n'est-il pas une version améliorée du LR5?
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Rob , si j'ai bien compris la GB disposait déja de moyen de sauvetage sub aquatique avant le NSRS ? Cette mutualisation de moyen autour du NSRS est elle la conséquence de problème budgétaire de la RN ? sinon une question plus technique , si un SM se retrouvait au fond , est on sure que son positionnement permetra au NSRS d'accéder aux écoutilles .

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OK Rob... Mais le NSRS n'est-il pas une version améliorée du LR5?

Oui, mais les deux ne sont pas le meme.

Rob , si j'ai bien compris la GB disposait déja de moyen de sauvetage sub aquatique avant le NSRS ?

Le LR-5, mais c'est un peu vieux. James Fisher Defence achete le LR-5 et cette entreprise offre des services avec le LR-5 je pense.

Cette mutualisation de moyen autour du NSRS est elle la conséquence de problème budgétaire de la RN ?

Le NSRS est un programme tres bon pour le RU, nous faisons le designe, la production et il va baser en le RU [HMNB Clyde]. Nous avons 1/3 du cout, mais [pret a] 100% du travail pour notre industrie.

Ici, James Fisher Defence vend un autre "rescue submarine" au Republic of Korea Navy:

Firm wins contract to make subs for Koreans

Published on 20/12/2006

A BARROW company is celebrating after winning a £10m contract to supply a mini rescue submarine to the South Korean Navy.

James Fisher Defence, of Michaelson Road, beat overseas rivals to the contract, which includes teaching Koreans to use the submersible.

Parts of the mini sub will be built around the UK and then assembled in Scotland.

The contract means work for Barrow-based project management and design staff.

The little craft, similar to the LR5 currently kept on standby by Fisher’s for the Royal Navy, would be used to save sailors in the case of a submarine accidents.

It can go down to a sub in trouble and lock on to it with a dry sealed passageway over the hatch of the sub, allowing sailors to transfer between the two vessels.

Fisher’s subsidiary, James Fisher Rumic of Dalton, has been running the Royal Navy’s Submarine Rescue Service for 15 years — and last year saved seven Russian submariners’ lives in the Pacific using a remotely controlled robot.

Its Royal Navy contract is being taken over by Rolls Royce and a new Nato-based mini submarine next year.

Although it didn’t win that contract, Rumic is working closely with Rolls Royce and will supply some of the staff to run the new service.

Last month James Fisher Defence bought the Royal Navy equipment it has maintained on a 24/7 basis as part of its plan to sell its submarine rescue expertise around the world.

The Korean contract is the first major boost to that policy.

Simon Harris, James Fisher Defence managing director, said: “Our success in winning the contract to supply the new submarine rescue vehicle to the Republic of Korea Navy is testament to the design and build capability of James Fisher Defence and the unrivalled reputation of our operations team. We look forward to working closely with the Koreans and delivering a world-leading rescue submersible.”

Fisher’s was already working with South Korea supporting its existing rescue submersible, the LR5K.

The new DSAR-5 rescue vehicle it will deliver is capable of rescuing up to 16 submariners from a depth of 500 metres in currents of up to three knots.

James Fisher personnel will commission the new submersible and provide training to pilots and maintainers.

Link: http://www.nwemail.co.uk/business/viewarticle.aspx?id=447569
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  • 1 year later...

Les sous marins de sauvetage sont un grand success d'export pour le Royaume-Uni. Le Coree du Sud, Singapore et maintenant l'Inde ont/vont acheter ces petits sous-marins.

En 2007 Singapore a achete un sous-marin.

James Fisher wins order for submarine rescue service with Singapore Navy

LONDON (AFX) - Marine services company James Fisher & Sons PLC said its unit James Fisher Defence Ltd (JFD) and its partner Singapore Technologies Marine Ltd, part of Singapore Technologies Engineering have won a 20-year contract to deliver a comprehensive submarine rescue service to the Singapore Navy.

Financial terms of the contract were not disclosed.

James Fisher Defence will design and supply the complete submarine rescue system, and maintain the rescue assets

It said the contract, which will run until 2029, is estimated to replace the revenue and net earnings from JFD's current contract to operate the UK Submarine Rescue system, which is expected to come to an end in 2008.

newsdesk@afxnews.com bsu/rar

Link.

http://www.hemscott.com/news/latest-news/item.do?newsId=40460739429088

Maintenant l'Inde veux acheter quelques sous-marins.

UK to supply four Sea Harriers to Indian Navy

New Delhi (PTI): The United Kingdom on Saturday said it would supply four Sea Harriers air frames to the Indian Navy to cannabalize them for spares for use in India's fast depleting Jump Jet squadrons.

"We have negotiated a deal with the Navy for supplying four air frames of Sea Harriers from our naval surplus," Hugh Thomas, a top British Defence Ministry official, told newsmen at the Defence expo here.

He also said India and UK were in advanced stage of negotiations for supply to India of Submarine Rescue Vehicles for the Indian Navy. India has for the past four years been striving to acquire these vessels to mount rescue of its submarines in distress.

The British official also said Whitehall had also offered to locate a harrier post design service station in India to overhaul and maintain the navy's Sea Harrier fighters.

The British offer could not have been more timely as a spate of recent crashes have badly depleted Indian Sea Harrier squadrons, with flying having to be restricted because of falling numbers.

Link.

http://www.hindu.com/thehindu/holnus/001200802161863.htm

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  • 11 months later...

Image IPB


Le NSRS (Nato Submarine Rescue System), « mini sous-marin » de sauvetage acquis collectivement par la France, le Royaume-Uni et la Norvège, devrait être admis au service actif en avril prochain. Basé à Faslane en Ecosse, il est actuellement en phase de qualification au large des côtes norvégiennes.

Système de sauvetage conçu pour porter secours aux équipages de sous-marins nucléaires d’attaque (SNA) en perdition, le NSRS, long de 10 mètres pour un poids de 27 tonnes, est capable de descendre jusqu’à plus de 600 mètres de fond. Fruit d’un long travail de coopération internationale entrepris depuis la fin des années 80, il comble les lacunes existantes en matière de sauvetage sous-marin, tragiquement mises en lumière lors des drames survenus ces dernières années.

En 1989, une partie de l’équipage du sous-marin péruvien Pacocha, qui avait pourtant pu être évacué du bâtiment en difficulté, avait péri des suites d’un accident de décompression. Le 12 août 2000, la catastrophe du Koursk, sous-marin nucléaire russe, et l’agonie de ses hommes font la une des journaux télévisés. Si la Russie tarde à faire appel à la communauté internationale pour des raisons politiques, les mauvaises conditions météorologiques et l’incapacité du mini-submersible britannique à se fixer sur les issues du bâtiment ont rendu vaine toute tentative de secours.

Le NSRS, mis en service le 31 octobre 2008, a été conçu pour pouvoir intervenir par mer de force 6 sur l’échelle de Douglas, ce qui correspond à une mer dite « très forte ». Il n’agit pas seul. Un robot, le ROV (Remote operated vehicle), est dépêché sur les lieux de l’accident pour préparer le sauvetage. Ce dernier permet d’expertiser la coque, d'entrer en communication avec les survivants, de leur transférer des ravitaillements par le sas de sauvetage et d’attacher une ligne au sous-marin accidenté pour pouvoir le déplacer lorsque cela est nécessaire. Le NSRS, qui ne nécessite qu’un équipage réduit de trois personnes, vient ensuite se positionner sur le dos du bâtiment, au niveau du sas de secours.

Il faut recréer à l’intérieur du sous-marin la pression extérieure, afin d’éviter tout accident de décompression aux marins.

Un premier groupe d’hommes se place dans le sas de sauvetage du SNA dont la capacité d’accueil n’excède pas douze personnes. L’eau pénètre alors jusqu’à hauteur des épaules afin d’atteindre une pression d’environ 3 barres, comme si les marins se trouvaient en plongée à 30 mètres de profondeur. Cette condition leur permet de s’extraire du sous-marin en perdition et de gagner le caisson de décompression du NSRS, pour être finalement remontés à la surface par le « sous-marin de poche ». Les rotations se succèdent ainsi, jusqu’à évacuer la totalité de l’équipage.

Le NSRS est aérotransportable sur les lieux de l’accident en moins de 72h par avion de transport de type Hercules C-130 ou A400M.

Construit sous la maîtrise d’oeuvre de Rolls-Royce Naval Marine, le NSRS est aujourd’hui, avec le nouveau système américain Submarine Rescue Diving and Recompression System (SRDRS) en service depuis le 1er octobre 2008, l'un des deux moyens de sauvetage sous-marin les plus performants au monde.


Image IPB

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[url=http://www.defense.gouv.fr/defense/focus/le_nsrs_sauveteur_de_sous_mariniers]%7Boption%7Dhttp://www.defense.gouv.fr/

Le NSRS est aérotransportable sur les lieux de l’accident en moins de 72h par avion de transport de type Hercules C-130 ou A400M.

Même en imitant dirk pitt, je vois mal comment le NSRS pourrait déposer les hommes après extraction du sous-marin sans un navire.

Dire que NSRS soit transportable jusqu'à un port puis embarqué à bord de navire serait plus juste. Et se posera toujours la question d'un navire à grande vitesse apte à transporter des troupes et hélicoptères qui seul peut eviter la mise en place de bases dispersés tel un chapelet de perles.

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  • 1 year later...
  • 5 months later...

Un reportage sur la solution NSRS :) page 4

http://www.defense.gouv.fr/content/download/90241/829265/version/1/file/TLV23bis.pdf

Image IPB

Basé en Ecosse à Faslane*, le SRV (Submarine Rescue Vehicle), sousmarin de sauvetage de 30 tonnes, est déployé sur remorque avec camion tracteur. L’ensemble doit rallier l'aéroport voisin en moins de 2 heures pour être embarqué sur gros porteur C-5 Galaxy ou Antonov. Les 300 tonnes du kit de mise en oeuvre suivent. Ils sont aérotransportables par avions cargos militaires type C-130. Destination le port de « mobilisation » qualifié, le plus proche de la zone du naufrage. Là, en 18 heures l’équipe NSRS est capable de transformer tout grand remorqueur type offshore en bateau mère du SRV avec station de recueil des rescapés.

Le NSRS est le système de sauvetage international développé conjointement par la Direction Générale de l’Armement (DGA) avec ses homologues du Royaume-Uni (DE&S) et de Norvège (NDLO). Les équipes de montage du système ainsi que les pilotes sont Britanniques (salariés Rolls Royce). Depuis son admission au service actif en octobre 2008, le NSRS a validé avec succès une série d'essais et de qualifications de complexité croissante en Norvège, Ecosse, France (une mobilisation du système sur la façade Atlantique avait été validée sur le BSAD Argonaute en mars 2008).

Soleil du Sud 2010 est le premier exercice de sauvetage d’un équipage de sous-marin effectué en France à l’aide du système NSRS. Il avait pour objectif de valider l'aptitude du moyen de sauvetage à être déployé en Méditerranée, à partir de grands ports du Sud de la France. Son réalisme a tenu à la participation d’un sous-marin espagnol en situation de détresse simulée.

Que l’expérience commence… Mode opératoire Rade de Hyères, par 45 mètres de fond. Mu par ses deux propulseurs électriques le SRV est en approche à 4 noeuds de son objectif.

Une masse noire apparaît dans le grand bleu. Le sous-marin diesel-électrique espagnol de type Agosta* est posé droit sur le sable. Pour les deux pilotes du SRV cette configuration est optimale mais s’il le fallait ils pourraient prendre une assiette allant jusqu’à 60 degrés pour intervenir sur un sous-marin donnant de la gite. Le SRV apponte en douceur à l’aplomb du sas de sauvetage dont sont équipés les sous-marins de l'OTAN et de la flotte Russe. En surface, sur le BSAD Jason on suit l’opération en temps réel.

A l’arrière du SRV le troisième membre d’équipage se prépare à intervenir dans le module d’accueil des naufragés, hermétiquement indépendant du poste de pilotage. Après équilibrage de la pression avec le sous-marin (le SRV peut gérer des surpressions de 0.8 à 5 bars à l'intérieur du sous-marin en détresse, pouvant résulter d’une voie d’eau par exemple) les panneaux étanches peuvent être ouverts. Les 15 premiers « rescapés » prennent place sur les banquettes grises du sous-marin de sauvetage.

Le SRV effectue sa première rotation avec le Jason. Hissé à bord il est connecté au système de transfert sous pression qui donne accès à deux caissons de décompression de 36 places chacun (dont 6 places médicalisées).

Comme pour des plongeurs, le but est de faire revenir progressivement les naufragés au niveau de la pression extérieure avant qu’ils ne sortent du dispositif. En associant les capacités du caisson de transfert - 12 personnes - de l’engin de sauvetage - 15 - et des deux caissons de décompressions, le système NSRS permet de traiter simultanément jusqu'à 99 personnes, soit plus que l'équipage de la plupart des sous-marins en service.

* Une des bases des sous-marins britanniques * Les contraintes de sureté des sous-marins propulsion nucléaire, ne permettent pas de poser un SNA ou un SNLE sur le fond pour un tel exercice.

Comme une ventouse sur la coque Connexion entre le SRV et le sous-marin Grâce à la manoeuvrabilité de ses moteurs électriques, le SRV se pose de manière très précise sur le siège du panneau de sauvetage du sous-marin en détresse, le pilote se guidant à l’aide de ses caméras.

Une fois le SRV posé, la vidange de la jupe s’effectue soit par gravité dans le sous marin si les conditions le permettent, soit par un système de pompage depuis le SRV.

Cette opération assez longue permet d’équilibrer la pression dans la jupe avec celle du sous-marin puis celle de la chambre de sauvetage du SRV. Une fois les pressions équilibrées, les panneaux peuvent être ouverts pour permettre le transfert de personnel. Les forces s’exerçant sur la jupe peuvent atteindre plusieurs centaines de tonnes et permettent de maintenir le SRV solidaire du sous-marin.

Une fois les panneaux refermés, la séparation entre le SRV et le sous-marin se fait en admettant de l’eau à la pression d’immersion dans la jupe. La pression dans la jupe étant à la pression d’immersion, le SRV n’est plus maintenu et peut rejoindre le bâtiment support.

Une « chaine humaine » pour un exercice « grandeur nature » Travail d’équipe Soleil du Sud 2010 a mobilisé de très nombreuses unités de la Marine Nationale pour la surveillance des plans d’eau, le nettoyage des zones de posé, l’installation d’une cible, la mobilisation du BSAD…. ALFOST, représenté par son bureau sauvetage, était organisateur pour la Marine Nationale et a travaillé en étroite collaboration avec la DGA, CECMED, la CEPHISMER, l’EMO, les partenaires britanniques du NSRS et l’équipage du Mistral.

Tout le système a été installé sur le Jason dans le port de Marseille, dans des conditions météorologiques très difficiles pour les soudeurs, avant un transit vers la zone d’exercice.

Le débarquement s’est effectué à Toulon. Deux ports ont ainsi pu être qualifiés.

C’est via un transfert en SRV que les sous-mariniers espagnols ont eu le plaisir d’accueillir le VAE Baud, ALFOST, le VAE Tainguy, CECMED et l’IGA Cousquer, responsable du pôle architectures et techniques des systèmes navals de la DGA, venus échanger sur la coopération en matière de sauvetage.

Tous les participants peuvent être pleinement satisfaits et fiers des excellents résultats de cet exercice : validation du déploiement du système en Méditerranée à partir de deux ports de mobilisation (Marseille et Toulon), qualification du BSAD Jason comme bâtiment support du système NSRS, validation des certaines performances recherchées - capacité maximale de transfert de personnel et transfert d’un blessé sur civière, validation de la mise en place du système de ventilation sur un sousmarin en détresse par ROV, poursuite et maintien de la qualification des équipes françaises (CRF – Coordinator Rescue Forces, REC – Rescue Element Commander et RCO – Rescue Chamber Operator).

Le NSRS devrait vraisemblablement être reconnu comme pleinement opérationnel au début de l’année 2011. Un nouveau déploiement du système est prévu lors de l’exercice Northern Sun, au large des côtes écossaises, à la mi-septembre 2010. Le prochain exercice « Soleil du Ponant », organisé par ALFOST, aura lieu en 2012, au large de Brest.

LV Julien Droit

EV2 Gwénaëlle Foin

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