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Ponto Combo

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Messages posté(e)s par Ponto Combo

  1. Il y a 2 heures, Patrick a dit :

    Pas de train avant compatible avec une catapulte, décollage STOBAR.
    Pour enfoncer le clou, l'article du site dont est tiré l'image en question parle longuement du "sea typhoon" et du fait qu'il ait été agité comme menace en cas de non-accès aux codes sources du F-35 pour les anglais. Sauf qu'ils mentionnent également qu'un delta canard était considéré comme pas capable de se poser sur PA, à cause d'un... manque de visibilité.
    Ne rions pas.
    Pauvres anglais. Ou pas en fait.

    Ils avaient envisagé de catapulter par élingue sous le fuselage et par le train avant des les études initiales (1997), puis STOBAR pour l'Inde.

    L'ami jackonico avait publié des images d'étude dans ces configurations mais elles ont été effacées entre temps. Je dois les avoir encore sur mon PC.

    Voir la discussion sur pprune: http://www.pprune.org/archive/index.php/t-285968.html

    Même ses camarades britons se foutaient de sa gueule...

    Citation

    Aircraft Carriers may use Typhoon.........as Anchors.

    Dans les images il y avait:

    • un péricope sur le dessus du cockpit (increased AOA periscope) pour la visibilité à l'appontage
    • les trains renforcés dans des excroissances sous le fuselage (podded main undercarriage)
    • une étude sur un catapultage par le train avant toujours avec une excroissance une fois rentré.

    Tout ça non visible sur les images PR.

    Sea+Typhoon+1.jpg

    Quelques info marrantes et très optimistes sur le lien suivant: https://ukarmedforcescommentary.blogspot.fr/p/eurofighter-typhoon.html

    Citation

    These looked promising and in 1997 a further 27 month contract was let to study in more detail both catapult-launched (CTOL) and STOBAR variants, these would have in common a strengthened undercarriage and an arrestor hook, and possibly a larger thicker wing with power folding and more powerful vectored thrust EJ200 engines.  Both variants would have required a large conventional carrier design equipped with an angled flight deck and arrested wires for landing.

    The Sea Typhoon lost appeal in 1999/2001, when the Joint Strike Fighter started to grow in strength, propelled by (unrealistic) promises of amazingly low and affordable prices. Problems that were also pointed out where the very low ground-clearance between deck and big loads on some of the Typhoon’s pylons during rough deck landings, and a Delta-Canard design was considered not optimal for carrier landings because of how its shape restricted the pilot’s visibility. In 2001, the JSF became the UK’s choice for the Joint Combat Aircraft requirement. ...

    ...

    The greatest moment, the true maturity of the Sea Typhoon, however, has come with its official presentation, last 9 to 13 February 2011, at the Bangalore defence show in India. The new, main target of the Sea Typhoon is, in fact, India: the Indian navy is preparing for the entry in service of the INS Vikramaditya in 2014 (the ex URSS Admiral Gorshokov) and of its new, home-built carrier that will follow it in the water.

    ...

    The Sea Typhoon as presented is a STOBAR aircraft, which needs arresting wires but does not require a catapult, being capable to take off comfortably with just a sky jump. It thus matches the capability offered by the MIG-29K in this sense, and represents an “easy and cheap” solution. Eurofighter is not worried by entering the sea domain, because the Typhoon, already as it is, is made at the 85% of composites, much less affected by corrosion from salty water. The studies have confirmed that a Sea Typhoon would require partial strengthening of some areas of the airframe (the wing’s root, the air intake of the engines and some bulkheads) for just about 340 kg of increase in weight. The undercarriage needs to be strengthened and the shock absorber needs a longer available run to handle rough landings, and a new, strengthened arresting hook is also obviously necessary. The very reduced amount of strengthening needed on the airframe (already built to very demanding standards) is a particular good news because it means low costs, little redesign and very high commonality with the normal “land” Typhoons, estimated at values as high as 95%. A 2001 MOD source put the cost of Sea Typhoon at "25% more than a normal Typhoon". This is now seen as a pessimist estimate, but it gives us an idea of a possible unit cost. Assuming the 67 million pounds figure for Typhoon, Seaphoon might cost as much as 84 millions. 

    The adoption of Thrust Vectoring Nozzle is required to improve handling, particularly in the delicate landing phase, but also to help the fighter to take off. Simulations made by Eurofighter, however, showed that the Typhoon would have no problems taking off from a sky jump with a full 23 tons weight, with conformal fuel tanks, 6 BVRAAMS, 2 SRAAMS and heavy weaponry of the Storm Shadow class. (the images shown by Eurofighter in India showed anti-ship missiles RBS-15 Penguin, actually, but just because an anti-ship missile is required by the Indian Navy, while they are not interested in Storm Shadow, at least for now) The Thrust Vectoring Nozzles would add a further 70 kg of weight, but this would merely compensate the weight saved by adopting an AESA radar in place of the current Mechanical one.

     

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  2. il y a 59 minutes, BPCs a dit :

    Vu la quantité de matériels à renouveler, il semblerait logique que l'option la moins coûteuse (rénovation des F-18 et achat de 20 nouveaux avions) soit privilégiée.

    Comme d'hab ce seront des considérations de politique interne et dans une moindre mesure étrangère, qui seront décisifs.

    Suivant le but à atteindre l'accent sera mis sur tel ou tel critère pour justifier le choix.

  3. Il y a effectivement un paragraphe spécifique pour le Gripen p162 du rapport:

    https://www.newsd.admin.ch/newsd/message/attachments/48445.pdf

    De manière générale, il y a beaucoup de références au refus du Gripen suite à la votation, souvent avec une pointe de regrets.

    Autre préoccupation, le renouvellement nécessaires pour beaucoup d'autres matériels qui va impacter le budget:

    Citation

    Le plus grand défi des années 2020 tient au fait qu’outre l’ensemble du système de pro

    -

    tection de l’espace aérien (avions de combat, défense contre avions, système de sur

    -

    veillance de l’espace aérien Florako), presque tous les autres systèmes principaux de

    l’armée, acquis en assez grand nombre avant ou juste après la fin de la guerre froide,

    arriveront en l’espace de quelques années à la fin de leur durée d’utilisation. Sont en

    particulier concernés l’artillerie, le char de combat Leopard II, tous les véhicules spé

    -

    ciaux du génie et de l’artillerie développés à partir du char de grenadiers M-113, les

    véhicules d’exploration 93, ainsi que l’ensemble de la flotte de chars de grenadiers à

    roues Piranha. Les capacités encore couvertes par ces systèmes (p. ex. la conduite du

    combat interarmes, la protection ou la mobilité) continueront, selon les prévisions ac

    -

    tuelles, à être essentielles à l’accomplissement de la mission de l’armée.

     

  4. il y a 40 minutes, Bon Plan a dit :

    Quatre options pour l’avenir de la force aérienne suisse

    Christophe Keckeis, ancien pilote et ex-chef de l’Armée suisse (2004-2007) est revenu sur le précédent appel d’offres, finalement annulé après l’échec de la votation de 2014.

    « Le meilleur était clairement le Rafale. À la surprise générale, Ueli Maurer, alors ministre de la Défense a choisi le Gripen, estimant que l’appareil le meilleur marché était le seul capable de convaincre une majorité. L’histoire nous a montré le contraire. Les Suisses préfèrent acheter le meilleur, quitte à payer plus cher. D’autant plus que si vous montez de catégorie, tout le monde en profite : l’industrie comme les écoles polytechniques. Et puis, en cas de combat aérien, il y a un seul appareil qui revient : le meilleur des deux », a ainsi confié l’ancien chef de l’Etat-major général de l’armée suisse, au quotidien « La Tribune de Genève ».

    http://www.opex360.com/2017/05/30/quatre-options-pour-lavenir-de-la-force-aerienne-suisse/

    Laurent Lagneau nous lit... Le commentaire de C Keickeis a été signalé antérieurement dans le fil "Force aérienne suisse" :happy:

  5. Il y a 12 heures, KnewEdge a dit :

    A noter cette phrase digne d'un sketch des Inconnus imitant à merveille France Télévision : "La France s’illustre, mais manque de chance sur certaines épreuves" héhé.

    Citation

    ...D’autres scénarios obligent les soldats à sortir de leurs blindés afin de participer à des épreuves sportives ou au tir avec un pistolet à poing.

    ...

    Sans doute rédigé par Kevin...:happy:

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  6. Citation

    La défense aérienne suisse coûtera jusqu'à 18 milliards

    Nouveaux avions de combatsDifférentes variantes sont envisagées par les experts. Celle qui tient la corde veut l'acquisition de 30 avions pour 6 milliards.

    ...

    Ce scénario n'est cependant qu'une des quatre variantes retenues pour assurer la sécurité aérienne. Un groupe d'accompagnement politique privilégie une solution nettement moins chère à 8,5 milliards.

    Que comprennent exactement les 4 variantes? Voici un résumé succinct:

    1. La solution la plus chère à 70 jets

    C'est l'option tout compris mais qui coûte bonbon: entre 15 et 18 milliards. La Suisse achèterait entre 55 et 70 nouveaux avions de combat ainsi que des systèmes de défense sol-air de longue et de courte portées.

    ...

    2. La solution qui privilégie les avions de combat

    C'est l'option qui mise d'avantage sur les jets que sur la défense sol-air. Elle consiste à acheter quelque 40 avions de combat et un système de défense sol-air de longue portée.

    ...

    3. La solution à 30 jets qui séduit les politiques

    C'est la solution à 8,5 milliards, soit environ peu ou prou la même somme que l'option 2. En revanche, les choix sont différents. Là ,on réduit l'acquisition du nombre d'avions de combat à 30 (au lieu de 40). En revanche, la défense sol-air de longue portée serait plus étendue puisqu'elle couvrirait une surface de 45 000 km2 environ

    ...

    4. La solution minimaliste à 20 jets

    C'est la solution minimaliste et la meilleure marché puisqu'elle ne coûte «que» 5 milliards. La Suisse achèterait 20 avions de combat modernes et un système de défense sol-air de longue portée.

    ...

    http://www.tdg.ch/suisse/defense-aerienne-suisse-coutera-jusqu-18-milliards/story/17955986

  7. Il y a 2 heures, prof.566 a dit :

    Il n'est pas déjà développé lui? Il serait temps vu que sa gestioin fera partie du package F3R.

    Le proto a volé il y a un an environ. La qualification est prévue pour l'année prochaine après les inévitables mises au point. La série est donc pour un peu plus tard encore...

     

  8. Citation

    Ancien chef de l’armée, et ancien pilote, Christophe Keckeis a suivi de très près le dossier du Gripen. Deux ans après l’échec en votation, il a signé un long «Débriefing» dans la «Revue militaire suisse», revenant sur les erreurs commises durant la campagne de 2014 et proposant des pistes d’amélioration. Interview.

    ...

    – Sur les cinq appareils pressentis, lequel lui recommanderiez-vous?
    – Il est beaucoup trop tôt pour évoquer un type d’appareil en particulier. Il faut attendre les rapports d’experts, puis analyser quelles sont les possibilités qui s’offrent à la Suisse. Il faut faire une appréciation géostratégique et se demander comment nous voulons défendre notre espace aérien. De quoi a besoin un pays neutre comme le nôtre? Des discussions avec d’autres pays sont également indispensables pour s’imprégner de leurs réflexions. Nous ne sommes qu’au début d’un processus, qu’il ne faut surtout pas précipiter.

    – Dans votre débriefing, vous dites toutefois que c’était une erreur d’avoir pris le Gripen parce qu’il était l’avion le meilleur marché.
    Un travail considérable a été entrepris à l’époque pour évaluer les différents types d’appareil. Le meilleur était clairement le Rafale. A la surprise générale, Ueli Maurer, alors ministre de la Défense a choisi le Gripen, estimant que l’appareil le meilleur marché était le seul capable de convaincre une majorité. L’histoire nous a montré le contraire. Les Suisses préfèrent acheter le meilleur, quitte à payer plus cher. D’autant plus que si vous montez de catégorie, tout le monde en profite: l’industrie comme les écoles polytechniques. Et puis, en cas de combat aérien, il y a un seul appareil qui revient: le meilleur des deux.

     

    Citation

    Décollage imminent pour le futur avion de l'armée suisse

    Défense aérienneTrois ans après l’échec du Gripen en votation, l’achat d’un nouveau jet entre dans une phase concrète. Le peuple pourrait bien ne pas avoir son mot à dire.

    ...

    Vous avez aimé la saga du Gripen, vous allez adorer la prochaine production sur l’achat d’un nouvel avion de combat. Après des mois d’attentisme, le dossier s’accélère à Berne. Le conseiller fédéral Guy Parmelin devrait présenter la semaine prochaine les conclusions des deux rapports d’experts et d’accompagnants «politiques» qu’il a mandatés. On en saura alors davantage sur les besoins concrets de la défense aérienne, sur la procédure mise en place ou les aspects industriels que devra offrir le futur jet.

    http://www.tdg.ch/suisse/decollage-imminent-futur-avion-armee-suisse/story/14561895

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  9. F-35 : des résultats opérationnels surprenants

    Citation

    ....

    l’USAF a été plus discrète quant à la toute première participation du F-35A au dernier exercice Red Flag 17-1, qui s’est déroulé à Nellis AFB (Nevada) à la fin de l’hiver. Durant trois semaines de février, la participation des premiers F-35A y a été particulièrement impressionnante, donnant un nouveau souffle à l’exercice, en démontrant la capacité de «Force Multiplier» intrinsèque au nouvel avion.

    ...

    Plus particulièrement couronnées de succès ont été les frappes air-sol des F-35A, où la capacité des systèmes de l’avion — notamment en matière de fusion de données — ont fonctionné à plein pour éviter les pièges tendus par les servants des systèmes sol-air.

    Sur les 51 missions qui leur étaient confiées pour l’attaque de sites de missiles antiaériens extrêmement défendus, 49 se sont soldées par la neutralisation des cibles, avec aucune perte enregistrée côté F-35. Les deux missions ratées ont été le fait d’un mauvais fonctionnement des bombes employées. En air-air, les F-35A ont été victorieux de quasiment tous les engagements réalisés avec un ratio de 20 contre 1. Il reste que les JSF agissaient en collaboration avec des F-22 et que l’USAF n’a pas révélé exactement l’étendue du rôle joué par les Raptor. Dans presque tous les cas, les «victimes» ont été abattues par des missiles BVR de type Raytheon AIM-120. C’est dire à quel point les jours des combats aériens enroulés (dog fights) sont derrière nous — et ce qui augure bien pour les utilisateurs à venir du Meteor de MBDA, missile hypersonique déjà retenu sur les F-35 des forces européennes, Royaume-Uni et Italie en tête.

    Singulièrement appréciée par les autres acteurs de la «Blue Force» agissant contre l’inévitable agresseur «rouge» a été l’aptitude des F-35A engagés à relayer vers eux (via Liaison 16) une image de la situation générale en temps réel et à alerter l’un ou l’autre de l’approche d’un agresseur (joué par des F-15 et des F-16 pilotés par des moniteurs particulièrement coriaces). Très remarquée : l’aptitude des F-35A à marquer les cibles adverses au profit des missiles et bombes tirés à distance de sécurité par les B-1B volant, eux, largement en dehors de la bulle antiaérienne «rouge» sur le polygone d’exercice. Ces capacités nouvelles ont valu aux F-35 le sobriquet de «mini AWACS», décerné par les autres participants présents, dont des aviateurs australiens et britanniques.

    ...

    http://www.ttu.fr/f-35-resultats-operationnels-surprenants/

  10. Citation

    bon eux, ils sont toujours la, ce qui est marrant, c'est que le gripen E n a toujours pas fait son premier vol, c'est paper jet vs old jet

    DOGFIGHT: The Gripen vs F-16 For India

    http://www.livefistdefence.com/2017/05/gripen-vs-f-16-the-definitive-indian-dogfight.html

     

    Citation

    In every way, the single engine fighter contest is exponentially more ambitious and complex than the M-MRCA.

    MDR... Ils ne s'en sortiront jamais.

     

    Gripen

    Citation

    Saab clearly broke new ground in development methodology even if it avoided the expense of developing the costliest subsystems by buying the engine (General Electric F414), the ES-05 Raven AESA radar and Infra-Red Scan and Track (from Leonardo-Finmeccanica) and several other subsystems off-the-shelf from first-rank suppliers. It now seems, however, that a Saab-developed AESA radar will replace the Raven in production aircraft.

    Donc il semblerait que Saab développe son propre radar pour la série. Première fois que je vois cette info...

    http://www.defense-aerospace.com/articles-view/feature/5/183525/first-flight-of-gripen-e-will-reveal-true-cost-of-fighter-development.html

  11. Il y a 2 heures, 1foismax a dit :

    Si tu allumes un avion de ligne avec un laser de poche, on t'envoie en prison. Sur des videos j'ai vu tout le cockpit illuminé par un laser comme ca.

    Les longueurs d'onde utilisées en télémétrie laser sont dans l'IR et "eyesafe". Par contre pour l'illumination laser ce n'est pas eyesafe du tout.

    Il y a 11 heures, g4lly a dit :

    Il faut aussi rappeler que pour une bonne mesure il faut procéder a un éclairage qui dure plus qu'une chouilla d'instant, en général on procéde meme a une serie de mesure, rapide certes mais serie quand même.

    Enfin l'asservissement du "pointeur" laser n'est pas parfait, et donc la tache doit gigoter sur la cible. Il est bien possible qu'elle soit complètement repeinte à chaque télémétrie.

    La fréquence des impulsions laser doit tourner autour de la dizaine de Hz.

    La tache ne doit pas gigoter tant que ça, la stabilisation de l'image obtenue sur l'OSF étant de très bonne qualité, favorisée par le fait que la pointe de l'avion est une zone à très faible niveau vibratoire.

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  12. Il y a 5 heures, web123 a dit :

    Est-ce efficace ?

    Le détecteur détecte là où il est.

    Exemple (un grand classique) :

     

    Si un laser frappe un réservoir, c'est détecté? Je crois pas qu'il y ait de détecteur sur les réservoirs.

    Si la tache laser est grosse, très diffuse, elle peut être probablement détectée. Mais théoriquement le diamètre d'un laser ne change pas dans un milieu homogène. L'air n'est pas homogène, surtout qu'il y a des variations thermiques, peut-être que la tache est beaucoup plus grosse que je l'imagine ? Peut-être que les détecteurs se contentent d'une réflexion, ils n'ont pas besoin d'être "frappé" directement ?

    Désolé d'être pénible, mais je comprend pas.

    Le faisceau du laser a une certaine divergence en sortie que l'on atténue en mettant une optique.

    A la distance de 20 ou 30 km le diamètre de ce faisceau fait plusieurs mètres de diamètre donc une très grosse partie de l'avion sera arrosée

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  13. L'interview vidéo de Ian Black (celui de l'article de Hush-kit).

    Le récit de sa première journée à Orange est hilarant, 6 ans pour faire la même chose dans la RAF (humour on). Beaucoup d'anecdotes intéressantes. Ça débute à 49 07 pour le M2000.

     

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  14. Il y a 2 heures, Gaspardm a dit :

    Le 16/9 ne me semble pas particulièrement indiqué pour l'OSF comme pour le pod TALIOS. Je pense que c'est plutôt le détecteur JUPITER-MW qui doit êtres utilisé sur le TALIOS et devrait êtres utilisé sur OSF. Il a plus de pixels 1280X1020 contre  1280X720 et surtout il a des pixels plus grand 15μm contre 10μm ce qui augure d'une meilleur sensibilité. De plus son taux de rafraîchissement et supérieur 120Hz contre 85Hz ce qui permet certainement d'avoir une meilleur précision pour les mesures de vitesse et d'angle de la cible. Par contre le capteur est forcément plus gros ce qui nécessite une optique plus grosse.

    Le 16/9 me semble plus destiné au activités de surveillance de surface là ou on peut avoir besoin d'un champ large et une vision panoramique.

    Il y a cependant le masque du nez de l'avion qui limite le champ vers le bas et autour de l'axe.

    Le domaine actuel est plus limité dans le plan vertical qu'horizontal.

    La diminution du pitch va dans le sens de l'histoire et le fait de travailler à une température plus élevée permet de gommer un des pb actuel qui est le refroidissement.

    Comme d'hab il y a du pour et du contre.

     

    Il y a 5 heures, JASHUGAN a dit :

    D'ailleurs, ce capteur de SOFRADIR : http://www.sofradir.com/product/daphnis-hd-mw/

    pourrait-il être utilisé à cet effet (OSF NG : TV+IRST) ? Serait-ce possible et pertinent ?

    Il me semble qu'il s'agit du capteur IR utilisé par le pod TALIOS

     

    Pour la voie TV c'est plus que peu probable... Il faut une optique très petit champ (donc grande focale) avec un diamètre de pupille beaucoup plus grand que dans le visible ou proche IR. C'est possible dans un pod mais pas dans les pustules sur le nez de l'avion. Le développement de la voie TV-IT étant récent il ne devrait pas y avoir de remise en cause.

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    Gripen

    il y a 27 minutes, Kiriyama a dit :

    On avait aussi mis en doute l'utilité de ce cockpit mono-écran. 

    Difficile de mettre une VTM collimatée avec un écran de cette taille.

    L'avantage de cette VTM est que l'oeil n'a pas besoin d’accommoder sur la planche de bord d'où un gain de temps pour visualiser les informations les plus importantes.

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  15. Le 13/11/2013 à 22:39, Rob1 a dit :

    Donc en gros, c'est simplement que le capteur regarde à travers une face de la pyramide plutôt qu'à travers une "bulle".

     

    Le 13/11/2013 à 22:47, g4lly a dit :

     

    Je pense, comme les fenetre a facette des optronique du F-35 ou de certaine missile air-surface "furtif". Le capteur n'étant pas focalisé au niveau de l'IR dome mais tres loin a l'infini, les "montants" des facettes doivent passer inapercue ou presque apportant juste un léger assombrissement de l'image quand elle sont dans le champ.

     

    Un IR dome conique doit soit etre trop complexe a produire, soit n'etre pas optiquement neutre. L'IR dome sphérique doit etre trop défavorable énergétiquement pour un missile sol-air léger donc quand on peut la pyramide a un avantage aérodynamique.

    Petit déterrage...

    Quand on regarde à travers un IRdôme pyramidal comme celui du Mistral on a un superbe kaléidoscope. Avec quelques astuces (non visibles sur les photos) on peut en limiter les effets, surtout pour un concept qui ne repose pas sur de l'imagerie. Si cela avait été la panacée, le concept aurait été réutilisé sur le Mica. On aurait gagné en portée.

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