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  1. Turquie: le Parlement autorise une intervention militaire contre l'EI

     

    Publié le 02/10/2014 à 19:33

     

    Le Parlement turc a approuvé jeudi à une très large majorité un projet de résolution du gouvernement islamo-conservateur autorisant l'armée à mener des opérations contre les jihadistes du groupe Etat Islamique (EI) en Syrie et en Irak.

     

    Après l'avoir explicitement refusé, la Turquie a fait savoir ces derniers jours qu'elle était prête à rejoindre la coalition militaire anti-EI formée par les Etats-Unis, accusée de multiples exactions, selon des modalités qu'elle n'a pas précisées.

     

    Le texte du gouvernement, qui dispose de la majorité absolue au Parlement, a recueilli l'approbation de 298 députés, contre 98 se prononçant contre.

     

    Conformément à la Constitution turque, il donne son feu vert à une éventuelle opération militaire de l'armée turque sur les territoires syrien et irakien et autorise également le stationnement sur le sol turc de troupes étrangères qui pourraient y participer.

     

    Le Premier ministre turc Ahmet Davutoglu a convoqué une réunion des principaux responsables civils et militaires du pays juste après ce vote pour préciser les modalités de l'engagement turc auprès de la coalition.

     

    Le président turc Recep Tayyip Erdogan a répété ces derniers jours que son pays était prêt à faire "ce qui est nécessaire" pour combattre l'EI, tout en rappelant que la chute du régime du président syrien Bachar al-Assad restait une de ses "priorités".

     

    M. Erdogan, qui a jugé mercredi que les actuelles frappes aériennes ne constituaient qu'une "solution temporaire", milite pour la création dans le nord de la Syrie d'une zone-tampon destinée à protéger les réfugiés syriens et le territoire turc.

     

    Ce vote intervient alors que les combattants de l'EI se trouvaient jeudi aux portes de la ville syrienne de Kobané (Aïn al-Arab en langue arabe), à quelques kilomètres à peine de la frontière turque.

     

    Le Point

     

  2. Bon s’il y avait le moindre doute concernant une éventuelle participation de la Turquie à la coalition, désormais il est définitivement balayé.

     

     

    Le chef du PKK redoute la chute de Kobané au main de l'EI et avertit Ankara

     

    Reuters | 02.10.2014 à 10h40

     

    Le leader séparatiste kurde emprisonné, Abdullah Öcalan, a averti que les négociations de paix entre son organisation, le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), et l'Etat turc tourneraient court si la population, majoritairement kurde, de la ville syrienne de Kobané, assiégée par les djihadistes de l'Etat islamique (EI), venait à être massacrée.

     

    « Si cette tentative de massacre parvient à ses fins, cela signera l'arrêt du processus », a déclaré Abdullah Öcalan, leader du Parti des travailleurs du Kurdistan, dans un communiqué rendu public jeudi 2 octobre par une délégation d'un parti prokurde qui lui avait rendu visite en prison la veille. Les forces kurdes syriennes de l'YPG, alliées au PKK, cherchent à mettre fin au quasi-encerclement de la ville Kobané – également appelé Aïn Al-Arab –, par le groupe extrémiste sunnite.

     

    « ASSUMER LEURS RESPONSABILITÉS »

     

    Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, qui était à l'époque premier ministre, a lancé le processus de paix avec Öcalan en 2012, dans le but de mettre un terme à trente ans d'insurrection séparatiste du PKK dans le sud-est de la Turquie. Le conflit a fait environ 40 000 morts, en majorité des Kurdes. « Je demande à tous ceux, en Turquie, qui ne veulent pas que le processus de paix et la démocratie échouent, d'assumer leurs responsabilités à Kobané », a déclaré Öcalan dans ce communiqué.

     

    Le gouvernement turc a transmis mardi soir au Parlement un texte qui autoriserait Ankara à ordonner une action militaire pour « déjouer les attaques dirigées contre [le] pays par tous les groupes terroristes en Irak et en Syrie ». Les parlementaires sont appelés à se prononcer jeudi par un vote. La proposition du gouvernement devrait être approuvée compte tenu de la forte majorité dont dispose le Parti de la justice et du développement (AKP), le parti islamo-conservateur au pouvoir.

     

  3. Plus de précisions...

     

     

    Turkey plans safe haven in areas controlled by Free Syrian Army and Islamic Front

     

    October/01/2014

    Sevil Erkuş, ANKARA

     

    Turkey is drawing up plans for a safe haven on the border in Syria that will secure regions controlled by the Free Syrian Army and the Islamic Front, possibly manned only by Turkish troops, according to security sources.

     

    Ankara would prefer any safe haven to be established by U.S.–led coalition forces, but the Turkish Armed Forces is preparing to establish a safe haven even unaccompanied by foreign troops, sources said.

     

    The safe haven will not include any region in northern Syria that is under the control of the Democratic Union Party (PYD) or Islamic State of Iraq and Levant (ISIL), so the Turkish forces will not come into contact with those groups, they added.

     

    Turkey is willing to declare a safe haven in Syria in order to contain the mass influx of Syrians into Turkish territory before they cross into the border. Ankara also plans to transfer Syrian refugees that are currently taking shelter in Turkish territory to new camps in the intended safe haven in northern Syria.

     

    Meanwhile, the Turkish government is set to ask Parliament for authorization to allow foreign soldiers to use its bases for cross-border incursions against Islamic State militants, and to send Turkish troops into Syria and Iraq.

     

    Hurriyet Daily News

     

  4. Voilà qui change la donne.

    Mais c'est un ingrédient un peu inflammable, je me demande bien comment ca va se passer avec les kurdes, même si l'intérêt commun l'EI est bien là pour tous.

     

    On ne semble pas réticent bien au contraire.

     

     

    Turquie : le gouvernement veut intervenir en Irak et en Syrie

     

    Publié le 30/09/2014 à 20:58

     

    Enclave

     

    Accusée d'avoir armé les groupes rebelles les plus extrémistes engagés dans la guerre contre le régime du président syrien Bachar el-Assad, dont l'EI, Ankara a totalement changé de discours après la libération, le 20 septembre, de 46 de ses ressortissants enlevés en juin à son consulat de Mossoul (Irak) par l'EI. Le président Recep Tayyip Erdogan, qui doit ouvrir mercredi la nouvelle session parlementaire, a répété ces derniers jours qu'il était prêt à faire "ce qui est nécessaire" pour combattre l'EI au sein de la coalition.

     

    Il s'est également prononcé pour la création d'une "zone tampon" aux contours encore flous dans le nord de la Syrie pour accueillir les réfugiés et protéger sa frontière.

     

    L'un des chefs du principal parti kurde de Turquie s'est rendu mardi dans la ville syrienne d'Aïn al-Arab assiégée par l'EI et a pressé la Turquie d'intervenir rapidement pour venir en aide à sa population kurde. "Si tout le monde conjugue ses forces, personne ne peut battre un peuple qui défend une cause légitime", a plaidé le coprésident du Parti démocratique populaire (HDP), Selahattin Demirtas à son retour au poste-frontière turc de Mursitpinar, à quelques kilomètres à peine d'Aïn al-Arab.

     

    160 000 réfugiés en Turquie

     

    L'armée turque a renforcé lundi son dispositif de sécurité dans le secteur. Une cinquantaine de chars, véhicules blindés et autres pièces d'artillerie y étaient déployés mardi face à la Syrie, a constaté un photographe de l'AFP. L'offensive des djihadistes dans cette région, débutée mi-septembre, a poussé plus de 160 000 personnes à trouver refuge en Turquie.

     

    Le gouvernement turc a par ailleurs indiqué mardi que les djihadistes s'étaient rapprochés du tombeau historique de Souleimane Shah, une enclave turque située dans le territoire syrien, mais a démenti des informations de presse affirmant que les 36 soldats turcs chargés de sa protection avaient été faits prisonniers.

     

    Le Point

     

    http://www.lepoint.fr/monde/turquie-le-gouvernement-veut-intervenir-en-irak-et-en-syrie-30-09-2014-1868131_24.php

  5. Nouvel entrant dans la coalition avec de larges prérogatives. O0

     

     

    Turkey’s ISIL mandate includes 'military action abroad, opening bases to foreign troops'

     

    September/30/2014

     

    The mandate the Turkish government is seeking from the Parliament to authorize the army to send troops into Iraq and Syria to deal with growing threat of extremist jihadists does also include opening its bases to foreign troops, a senior government official has said, signalling about potential Turkish contribution to the international military campaign against the Islamic State of Iraq and the Levant (ISIL).

     

    “The motion we are about to send the Parliament is going to be comprehensive and to deal today’s and tomorrow’s threats,” deputy Prime Minister and spokesperson of the government, Bülent Arınç told reporters Sept. 30 following weekly cabinet meeting.

     

    Upon a question whether the motion to be sent to Parliament will include sending troops to foreign countries to establish security zones, to allow deployment of foreign troops and to open Turkish military bases to foreign troops, Arınç said “Let me include one more option: All. The motion will refer to all of these points you have asked.”

     

    “We are a determined government. We perfectly know what’s going on inside and outside Turkey. This issue of security zone and other issues all have diplomatic and military reflections,” he added.

     

    After another question, Arınç said that the ISIL militants are advancing on Suleyman Shah Tomb in northern Syria, which Turkish soldiers continue to guard.

     

    Turkey is insisting to establish safe havens in Syria for the protection of Syrian refugees inside the country. Apart from a security zone, it does also ask coalition members led by the United States to establish no-fly zones over Syrian airspace.  

     

    The motion is based on Article 92 of Turkey's Constitution that stipulates parliamentary authorization for sending troops to another country or to allow deployment of foreign troops on Turkish soils.

     

    Arınç said the motion has two parts, its reasoning and demands from the Parliament, and underlined that it will be as comprehensive as possible so that the government will not need a fresh parliamentary mandate.

     

    “We were planning to extend already existing motions on Iraq and Syria that will expiry in October. Their validity could be extended in a routine way but we have thought to work on a text merging these motions that would address all threats and risks Turkey is facing in its region,” Arınç stressed.

     

    The motion is expected to be voted at the Parliament on Oct. 2 following a closed session due to sensitivity of the issue.

     

    Hurriyet Daily News

     

  6. Obama admits ISIS threat was misjudged as U.S. splits emerge

     

    By Kevin Liptak, CNN White House Producer

    September 29, 2014 -- Updated 0034 GMT (0834 HKT)

     

     

    The President warned the campaign probably won't conclude any time soon.

     

    "There is a cancer that has grown for too long that suggests that it is acceptable to kill innocent people who worship a different God.

     

    "And that kind of extremism, unfortunately, means that we're going to see for some time the possibility that in a whole bunch of different countries, radical groups may spring up -- particularly in countries that are still relatively fragile, where you had sectarian tensions, where you don't have a strong state security apparatus.

     

    "And that's why what we have to do is, rather than play whack-a-mole and send U.S. troops wherever this occurs, we have to build strong partnerships," Obama told "60 Minutes."

     

    Aides to Obama have been careful to underscore that the military operation in the Middle East won't resemble the wars of the past decade, which left many Americans skeptical of intervention abroad.

     

    "We're doing this in a very different way than in the past," Tony Blinken, a deputy national security adviser, said on CNN's "State of the Union" with Candy Crowley.

     

    "We're not sending in hundreds of thousands of American troops," Blinken continued. "We're not spending trillions of American dollars. What we are doing is empowering local actors with some of the huge assets we can bring to this, like our airpower, intelligence, training and equipping, advising and assisting."

     

    The "no boots on the ground" mantra was questioned Sunday by House Speaker John Boehner, who said if local forces aren't trained to battle ISIS quickly enough, U.S. troops would be required.

     

    "Maybe we can get enough of these forces trained and get 'em on the battlefield. But somebody's boots have to be there," the Republican leader said on ABC's "This Week."

     

    Boehner added later that if Obama advanced a new resolution authorizing the military action in Syria, he would be willing to call lawmakers back from the campaign trail to vote on it.

     

    Obama claims he doesn't need Congress' permission for the air campaign under way in Iraq and Syria, citing the 2001 authorization to go after al Qaeda. He has said he would "welcome" Congress showing its support for the mission.

     

    Sen. Chris Murphy, a Democrat from Connecticut, said Sunday an authorization vote would allow lawmakers -- and by turn the American public -- to hear more about long-term plans in Syria.

     

    "I think the reason that we need to have the debate is so that we can get a better explanation as to what the endgame is in Syria," Murphy, who sits on the Foreign Relations Committee, said on "State of the Union."

     

    "In the end, that's the check on a war without end: a Congress speaking for the American people who can put an end date on an authorization for military force or put a limitation, so that you can't use ground troops," he said.

     

     

    Contrairement à août 2013, le sénat est désormais open à une intervention en Syrie.

     

     

     

    ...

  7. et ca prouve le double jeu des turques, en tout cas, comme l'ont predit les russes, le hezb et l'iran, malgre ces raids aeriens, ne sont que du pipi de chat, ils n'ont quasiment aucune influence reele sur la situation du terrain, la preuve l'encerclement complet de kobane, et leurs avancés en irak, ou des combats ont eu lieu pres de la ville de babylone, au sud de baghdad...

     

    C’est sûr la Russie, le Hezbollah et l’Iran agissent pour le meilleur des mondes en Syrie...  <_<

     

     

     

    ...

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  8. Quel est la situation à Kobane, dans le nord de la Syrie?  On dit depuis plusieurs jours que l'EI progresse et ne se trouve plus qu'à 3 ou 4 km...

    Le terrain a l'air dégagé et plat dans les campagnes environnantes.Les djihadistes semblent utiliser de l'artillerie lourde. Je comprend pas trop, ce genre de terrain doit être du pain bénit pour des attaques aériennes. Ou alors, la zone n'est pas ciblé?

     

     

    Turkish tanks take up position on Syrian border next to besieged Kurdish town

     

     

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    ...

  9.  

    De manière un plus détaillé.

     

     

    Obama admet avoir sous-estimé la menace que représentait l'Etat islamique

     

    28.09.2014 à 23h05

     

    Barack Obama a admis, dimanche 28 septembre, que les Etats-Unis avaient sous-estimé la montée en puissance du groupe djihadiste de l'Etat islamique (EI) en Syrie, et n'avait pas vu venir l'écroulement de l'armée irakienne, censée la contenir dans l'Etat voisin. Aujourd'hui, estime-t-il dans une interview à l'émission phare de CBS News, « 60 minutes », la Syrie est devenue un « Ground Zero pour les djihadistes à travers le monde ».

     

    « Le chef de notre renseignement, Jim Clapper, a reconnu qu'ils avaient sous-estimé ce qui se passait en Syrie », a-t-il dit en parlant du directeur du renseignement national. Interrogé pour savoir si Washington avait aussi surestimé la capacité ou la volonté de l'armée irakienne, formée jusqu'en décembre 2011 et à haut coût par l'armée américaine, de combattre les djihadistes, le président américain a répondu : « C'est vrai, c'est tout à fait vrai. » L'intégralité de cette interview doit être diffusée dimanche soir.

     

    Le 17 septembre, M. Clapper avait déjà reconnu avoir échoué à prévoir ces deux événements, lors d'une conversation téléphonique avec des journalistes américains. « Ce que nous n'avons pas vu, c'est leur détermination à se battre. C'est toujours cela le problème. (...) Nous avons sous-estimé l'EIIL [Etat islamique en Irak et au Levant, ancien nom de l'organisation] et surestimé les capacités de combat de l'armée irakienne... Je n'ai pas vu venir l'écroulement des forces de sécurité irakiennes dans le nord [du pays]. Je n'ai pas vu cela », déclarait-il, cité par le Washington Post.

     

    PAS DE SOLUTION PUREMENT MILITAIRE

     

    L'administration Obama a été régulièrement accusée d'avoir fermé les yeux sur le sectarisme croissant de l'ancien premier ministre irakien Nouri Al-Maliki, pressée qu'elle était de se désengager d'Irak (lien vers notre édition abonnés). M. Maliki s'était aliéné la population sunnite du pays, et avait tenté d'écraser par la force plusieurs soulèvements, poussant une partie à soutenir l'EI.

     

    Dimanche, M. Obama a ajouté que l'intervention militaire internationale en cours dans les deux pays pouvait améliorer la situation, mais que la Syrie et l'Irak devraient trouver à terme une solution politique. L'Irak fait face à de nombreuses tensions communautaires, tandis que la Syrie est embourbée dans une guerre civile sanglante depuis 2011.

     

    Le Monde

     

     

    La vidéo de l’interview intégrale :

     

    http://www.cbsnews.com/news/obama-u-s-underestimated-rise-of-isis-in-iraq-and-syria/

     

     

     

    J’y vois un rétropédalage à 180 % après la séquence totalement raté concernant l’évènement effroyable de l’attaque chimique d'août 2013.

     

    Un processus de justification sur la durée auprès de l’opinion publique américaine sur une intervention qui sera inévitablement longue et âpre.

     

     

     

    ...

  10. ...

    L'auteur indique que les Kurdes syriens sont un "allié prometteur" des Américains pour combattre l'EIIL, avec des "bottes sur le terrain", fournissant éventuellement la force terrestre qui manque aux Américains tant qu'ils se restreignent à des opérations aériennes.

    Oui mais ce genre d'alliance risque de ne pas faire plaisir aux Turcs, ou aux rebelles syriens qui voient probablement d'un mauvais oeil la neutralité des Kurdes face au régime Assad.

     

     

    Il semble qu'ils aient un plan plus ambitieux - apparement planifié -, moins sectaire.

     

     

    Up to 15,000 Syrian rebels needed to retake eastern Syria -U.S. military

    By Phil Stewart and Missy Ryan

    WASHINGTON Fri Sep 26, 2014 5:16pm EDT

    (Reuters) - A Western-backed opposition force of around 12,000 to 15,000 will be needed to retake areas of eastern Syria controlled by Islamic State militants, the top U.S military officer said on Friday, as the Pentagon outlined the first steps in a U.S.-led training program that could run several years.

    The Pentagon said its assessment teams have already arrived in Saudi Arabia to help map out a U.S.-led program there expected to train more than 5,000 Western-backed opposition fighters in the first year.

    The hope is that a well-organized and equipped moderate opposition force can take advantage of U.S.-led air strikes against Sunni fundamentalist fighters from the Islamic State who have taken huge swathes of Syria.

    General Martin Dempsey, chairman of the U.S. military's Joint Chiefs of Staff, cautioned that 5,000 was only a start of a long process toward defeating the group.

    "Five thousand has never been the end state ... Twelve to 15,000 is what we believe they would need to recapture lost territory in eastern Syria," Dempsey told a Pentagon news conference.

    "We have to do it right, not fast."

    Congress last week gave temporary approval to the Pentagon's plan to train members of Syria's moderate opposition. The plan is expected to cost $500 million in its first year.

    Dempsey's spokesman told Reuters that the 12,000 to 15,000 estimate was developed assuming a two- to three-year time period to train the fighters.

    Dempsey said that for the effort to be successful, the Western-backed Syrian opposition would not only need to develop leaders but also "a political structure into which they can hook and therefore be responsive to."

    "And that's gonna take some time," he said.

    Western-backed opponents of Syrian President Bashar al-Assad fear that the U.S. and Arab air campaign could play into Assad's hands and have been clamoring for heavier weaponry from Washington.

    U.S. Defense Secretary Chuck Hagel, speaking at the same news conference alongside Dempsey, assured there was no U.S. military coordination with Assad and that "nothing has changed about our position ... Assad has lost all legitimacy to govern."

    Still, in a telling sign of the long road ahead, Hagel acknowledged the United States was still unable to say who the head of the Western-backed opposition would be.

    "We don't have a head of it ... We're not gonna instruct them as to who their leaders are. They'll make their own decision," he said.

    Speaking about the broader campaign against the Islamic State, Hagel cautioned after nearly a week of air strikes in Syria and more than a month of them in Iraq: "This will not be an easy or brief effort."

    "We are at the beginning, not the end," he said.

    (Reporting by Phil Stewart and Missy Ryan; Editing by Sandra Maler and Eric Beech)

    Reuters

  11. U.S. Considers a No-Fly Zone to Protect Civilians From Airstrikes by Syria

     

    By HELENE COOPER and ANNE BARNARDSEPT. 26, 2014

     

    WASHINGTON — The Obama administration has not ruled out establishing a no-fly zone over northeastern Syria to protect civilians from airstrikes by the Syrian government, Defense Secretary Chuck Hagel and Gen. Martin E. Dempsey, the chairman of the Joint Chiefs of Staff, said Friday.

     

    Mr. Hagel and General Dempsey indicated they are open to considering the request of President Recep Tayyip Erdogan of Turkey for a buffer zone along the Turkish-Syrian border, where tens of thousands of Syrians have sought refuge. Mr. Hagel said, “We’ve discussed all these possibilities and will continue to talk about what the Turks believe they will require.” He said 1.3 million Syrian refugees are now in Turkey.

     

    General Dempsey added that “a buffer zone might at some point become a possibility,” but he said it was not imminent. Creating a buffer, or no-fly zone, would require warplanes to disable the Syrian government’s air defense system through airstrikes.

     

     

    The New York Times

     

    http://www.nytimes.com/2014/09/27/world/middleeast/us-considers-a-no-fly-zone-to-protect-civilians-from-airstrikes-by-syria-.html?partner=rss&emc=rss&smid=tw-nytimes&_r=1

     

  12. Pentagon says IS air strikes are 'just the beginning'

     

    Jeremy Binnie, London - IHS Jane's Defence Weekly

    25 September 2014

     

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    A slide released by the US Department of Defense (DoD) shows one of the oil refineries before and after it was hit in airstrikes carried out by the US, Saudi Arabia, and the UAE. (US DoD)

     

    US officials are warning that the airstrikes that the US and Arab allies began against the Islamic State (IS) in Syria on 22 September will not result in a swift victory.

     

    "This is just the beginning," Pentagon spokesman Rear Admiral John Kirby told reporters on 25 September. "There's no way this group is going to be defeated solely through airpower or even military power."

     

    Rear Adm Kirby was speaking after outlining the airstrikes that US, Saudi, and Emirati aircraft carried out against 12 modular oil refineries in eastern Syria the night before. "It's dramatic and that footage looks pretty cool, but this is going to take time. This is not a short-term effort."

     

    The first wave of strikes on the night of 22-23 September consisted of more than 40 BGM-109 Tomahawk land-attack missiles fired from the USS Arleigh Burke in the Red Sea and the USS Philippine Sea in the Gulf against three groups of targets near the cities of Aleppo, Al-Raqqah, and Dayr al-Zawr.

     

    A second wave of manned and unmanned aircraft hit targets around Al-Raqqah, including command posts, communication sites, logistic sites, and vehicle parks. This was predominately a US Air Force (USAF) mission involving F-22 Raptors on their first-ever combat mission, Rockwell B-1B Lancer bombers, F-16s, F-15E Strike Eagles, and unmanned aerial vehicles (UAVs).

     

    A final wave of US Navy F/A-18 and USAF F-16s then hit multiple IS targets along Syria's eastern border with Iraq. Aircraft from four Arab air forces were involved in these strikes.

     

    The Arab allies appear to have been more involved in the strikes on the night of 24-25 September, when 12 small oil refineries were targeted in eastern Syria. Rear Adm Kirby said that 10 of the 16 aircraft that carried out the mission were from Saudi Arabia or the United Arab Emirates (UAE) and launched 23 of the 41 precision-guided munitions (or 80% of the total tonnage of ordnance) used in the attack.

     

    "Producing between 300 and 500 barrels of refined petroleum a day… these small-scale oil refineries provide fuel to run [iS] operations, money to finance their continued attacks throughout Iraq and Syria, and they are an economic asset to support future operations," Rear Adm Kirby said.

     

    He described the initial bombing as "strategic attacks meant specifically to get at the ways that this group sustains, leads and controls itself". While he said that more such strikes would follow, he added that a "target-rich environment will become less rich over time".

     

    When asked what forces on the ground were in a position to exploit the weakening of the IS in Syria, Rear Adm Kirby pointed to the programme to train and equip comparatively moderate opposition groups. "That's going to take some time," he noted.

     

    While he said that forces loyal to Syria's President Bashar al-Assad had not been seen attempting to take control of the IS facilities or infrastructure that had been targeted in the airstrikes, he dodged a hypothetical question about what the US would do if Assad's forces attempted to exploit the situation.

     

  13. US: Saudi Arabia, UAE played major role in airstrikes against IS in Syria

     

    Published: 09.25.14, 19:19

     

    Saudi Arabia and the United Arab Emirates, who joined the anti-jihadist coalition led by the US, played a major role in the recent air strikes in Syria against the Islamic State, the Pentagon said Thursday.

     

    Ten of the 16 planes that bombed Islamic State targets in Syria on Wednesday night were Saudi or Emirati and they dropped 80 percent of the tonnage of explosives dropped, said the spokesman for the Pentagon, Admiral John Kirby.

     

    American planes sent 18 of the 23 bombs dropped during the raids but the two Arab powers have used more powerful ammunition.

     

    Israel News

     

  14. ...

     

    L'Inde ? pas mal de gens chez vous on l'air d'avoir fais ce pari, a voir ce que cela donnera, mais même dans le cas ou L'inde vous soutiendrait, je doute fort d'un soutiens comparable a celui que les US fournissent, et on peut légitimement douté qu'ils atteignent jamais une puissance comparable a la puissance US. 

     

     

    Si c’est le plan de repli. Ça ne va pas être une partie de plaisir avec 138 millions de musulmans Indiens sur le dos. Et puis l’Inde comme très grande puissance où il n’y a toujours pas encore une seule véritable grande autoroute digne de ce nom, où un black-out électrique général qui a affecté jusqu’à 600 millions de personnes s’est produit en 2012, où Tata s’est fait expulsé son usine automobile par de simples paysans nomades parce qu’il avait l’idéal d’industrialisé son pays, y a encore beaucoup de boulot pour passer du simple rêve à la réalité.

     

     

     

    ...

  15. ...

     

    Ce sont ceux qui parlent d'état binational judéo-arabe qui ont la tête dans le sable (et les autruches n'ont pas la tête dans le sable), ce qui les empêche de voir la réalité du Proche Orient (Liban, Syrie, Irak, Egypte) Il faudrait déjà batir un état arabe sunnite-chiite qui soit en paix, démocratique et pas sous tutelle étrangère et on parlera peut-etre d'un éventuel état judéo-arabe. Il ne saurait y avoir un état binational judéo arabe, il peut exister une réalité binationale comme celle créée par l'occupation et la colonisation des territoire. Mais que cette réalité se traduise en un état viable est impossible tant il sombrerait instantanément en guerre civile comme ça c'est passé avec le retrait britannique.

     

    Inutile de tempester sur ses grands chevaux. Il n’y a que deux uniques alternatives : Soi la création de deux états de plein droit présentement. Soi cela se fera par les règles universelles des mathématiques - lentement mais surement -, un état unique binational où les juifs seront automatiquement minoritaires. Tout le reste est de la belle littérature pour les sourds.

     

     

     

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  16. Mais qu'est-ce que c’est pas beau ? On s’en fout de ce conseil de sécurité à la noix. Je croix qu'Obama est définitivement vacciné. Allez encore un tout petit effort d’imagination et on va y arriver.

     

     

     

    Quel cadre légal pour l'intervention contre l'Etat islamique en Syrie ?

     

    24.09.2014 à 19h14

    Par Elvire Camus

     

    Une coalition menée par les Etats-Unis avec le soutien de cinq pays arabes a commencé à frapper, dans la nuit de lundi 22 à mardi 23 septembre, les positions de l'Etat islamique (EI) en Syrie. Il s'agit de la première intervention militaire internationale contre le groupe djihadiste dans ce pays en guerre civile depuis 2011, la lutte contre l'EI étant jusqu'ici limitée à l'Irak.

     

    Alors que débute, mercredi 24 septembre, une réunion de l'ONU sur les moyens de contrer le groupe ultraradical, l'ouverture de ce second front s'est faite dans un contexte légal bien différent du front irakien.

     

    Pas de gouvernement légitime en Syrie

     

    En Irak, le gouvernement de Bagdad a sollicité l'aide de la communauté internationale pour lutter contre l'avancée des djihadistes sur son territoire, ce qui confère un cadre légal aux frappes françaises et américaines. Le gouvernement de Haïder al-Abadi est considéré comme le représentant légitime des Irakiens en lutte contre l'invasion d'un groupe terroriste.

     

    Dans le cas de la Syrie, la situation est plus complexe, car la coalition menée par les Etats-Unis ne s'appuie ni sur une demande formulée par un pouvoir légitime, ni sur un mandat de l'ONU.

     

    La Coalition nationale syrienne appelle à un soutien militaire international contre l'EI en Syrie depuis la mi-août. Mais si cette instance est reconnue en tant que « représentant légitime du peuple syrien » par le Conseil de coopération du Golfe, l'Union européenne et les Etats-Unis, elle n'est pas considérée pour autant comme le gouvernement syrien, explique un spécialiste du droit international sur la BBC. Sa demande ne saurait donc justifier une opération militaire.

     

    Le régime de Bachar Al-Assad a, lui, rejeté l'idée d'une intervention internationale contre l'EI sur son sol. Les Etats-Unis ont d'ailleurs écarté, à plusieurs reprises, la possibilité de faire appel à son soutien.

     

    L'EI n'est pas le seul groupe frappé

     

    La meilleure forme d'encadrement pour intervenir en Syrie serait d'obtenir un mandat du Conseil de sécurité de l'ONU. Un scénario que la Russie bloque depuis 2011. Les Etats-Unis et leurs alliés ont donc inscrit leur opération en Syrie dans la continuité des frappes menées en Irak, une justification qui se révèle fragile.

     

    Les principales bases de l'EI se trouvant en Syrie, les Etats-Unis estiment que les viser relève du mandat que leur a délivré le gouvernement irakien.

     

    Avant que les raids commencent, l'ambassadrice américaine aux Nations unies, Samantha Power, avait assuré, dans un entretien à la chaîne américaine ABC que les Irakiens avaient appelé à l'aide de la communauté internationale « non seulement en Irak, mais aussi dans les sanctuaires de l'EI dans des pays étrangers ».

     

    Mais l'intervention a des objectifs plus vastes, comme le relève le New York Times : si l'essentiel des raids a visé l'EI, des frappes ont également été menées contre Khorasan, un groupe de djihadistes liés à Al-Qaida. Il s'agit alors d'empêcher des « attaques majeures » contre des cibles en Europe ou aux Etats-Unis, et non pas de protéger l'Irak.

     

    Quelles autres options ?

     

    Les Etats-Unis ne peuvent invoquer l'article 51 de la charte des Nations unies, qui permet d'intervenir militairement « en cas de menace imminente ou réelle » à titre personnel, car ils ne sont pas directement attaqués. En revanche, des pays voisins de la Syrie, comme la Jordanie, dont les frontières sont menacées par les actions de l'EI, pourraient utiliser cet argument.

     

    L'intervention militaire pourrait aussi être justifiée par des raisons humanitaires. Il s'agirait alors d'invoquer la « responsabilité de protéger » la population syrienne contre les exactions de l'EI, alors que le régime syrien est clairement dépassé. Mais cette option semble peu probable. En trois ans et demi de guerre civile, la communauté internationale n'y a pas fait référence. De plus, sans l'accord de l'Etat concerné, un mandat de l'ONU est indispensable pour ce type d'intervention.

     

    Quelle est la position de la France ?

     

    Paris, qui intervient contre l'EI en Irak depuis le 19 septembre, a refusé d'étendre son action, estimant qu'aucun cadre juridique et politique ne pouvait légitimer une intervention en Syrie. Mais la position française est susceptible d'évoluer.

     

    A la veille des premières frappes américaines, le chef de la diplomatie française Laurent Fabius avait indiqué, lors d'une conférence de presse à New York, qu'il ne voyait pas « d'empêchement juridique à ce que les attaques de [l'EI] fassent l'objet de réactions aussi bien en Irak qu'en Syrie » ajoutant qu'il analysait « la possible légitime défense au titre de l'article 51 ».

     

    Le Monde

  17.  

    Eh oui certains veulent s’affranchir du fait que dans les mathématiques il y a des règles.

     

    http://www.courrierinternational.com/article/2012/10/31/les-juifs-desormais-minoritaires (Ha'Aretz)

     

    Tic-tac, tic-tac, tic-tac. TRRRRRRRIT ! Vous avez perdu.

     

    Chouette ! Et si demain on faisait un état binational ?  -_-

  18. Moi, Arabe israélien, je ne veux pas vivre avec vous !

     

    La Cour suprême israélienne a validé le 17 septembre une loi autorisant les petites localités à refuser l'installation de nouveaux résidents pour des raisons d'"incompatibilité sociale ou culturelle". Il s'agit d'une mesure de discrimination antiarabe, estime le journaliste arabe israélien.

     

    By Oudeh Basharat       

    25 SEPTEMBRE 2014

     

    Quand mon fils était petit, j'ai passé une demi-heure à tenter de contourner un terrain miné : lui expliquer le sens de momis [prostituée], un mot d'arabe littéraire qu'il avait lu dans un roman. Avec beaucoup de chutzpah [culot en hébreu], il m'a dit, comme s'il venait de découvrir l'Amérique : "Ça veut dire charmouta ('pute' en arabe) !"

     

    En somme, les vénérables juges de la Cour suprême israélienne n'ont nul besoin d'écrire 135 pages d'explication philosophique, comme ils l'ont fait en donnant leur feu vert à la loi sur les comités d'admission [de nouveaux résidents dans les petites localités], pour expliquer que l'Etat d'Israël considère la légitimité du racisme.

     

    C'est tout Israël. Un jour, j'ai rendu visite au poète Taha Muhammad Ali, aujourd'hui décédé. Il me montra un chèque de 6 shekels (1,50 euro) qu'il avait reçu d'Israel Electric Corporation [principal fournisseur d'électricité] à la suite d'un trop-perçu. Avec son sens de l'humour unique, il m'a dit : "Voilà un pays qui suit scrupuleusement la loi. Ils volent tout un territoire sans demander la permission, mais ils vous remboursent 6 shekels sans faute."

     

    Une bande de racistes

     

    Mais il avait tort. Après tout, Saffouriyya, le village [arabe en Galilée] d'où il a été déraciné, est passé sous contrôle juif dans le cadre de la loi sur la propriété des absents [utilisée pour saisir les terres des Palestiniens qui avaient été forcés de les quitter], qui reste une page sombre dans l'histoire de la civilisation.

     

    Cette loi, j'ai beau avoir grandi avec et y avoir été confronté quand on m'a interdit l'accès aux terres de mes parents, elle ne passe pas, je n'arrive pas à la digérer. Et voici maintenant la loi sur les comités d'admission : après avoir été chassés de leurs terres en toute légalité, les Arabes qui cherchent un endroit où vivre se font envoyer paître tout aussi légalement.

     

    J'aimerais signaler que, même si l'on m'offrait une grande maison dans l'un de ces quartiers [juifs des petites localités], je refuserais d'y emménager. Après tout, comment pourrais-je accepter de vivre entouré d'une bande de racistes qui rejetteront très certainement tout Arabe souhaitant s'y installer ? Ils pourraient bien aussi rejeter toute personne qui ne leur ressemble pas.

     

    Surpopulation

     

    Ce qui me met hors de moi, c'est qu'on présente les Arabes comme des gens avides de profiter d'une société riche et cultivée, des gens qui fuient des villages primitifs ravagés par les conflits familiaux et la violence, pour emménager dans le paradis créé par l'homme blanc. Tout ça est absurde.

     

    La  plupart des maux qui touchent les villages arabes résultent directement de leur horrible surpopulation. Ainsi, dans le village arabe de Yafia, les gens se battent pour une place de parking, tandis qu'il y en a en quantité dans [la ville juive] de Nazareth (la haute).

     

    Nous qui possédions cette terre les premiers sommes maintenant considérés comme les mendiants aux portes de la ville. Les Arabes d'aujourd'hui partagent le sentiment du poète arabe de jadis : "Comme les chameaux dans le désert... tués par la soif... et portant l'eau de la vie".

     

    Quartiers partagés

     

    Voilà ce que ressentent les Arabes en passant près de Malul, de Saffouriyya ou d'Umm Al-Zinat [anciens villages arabes vidés et repeuplés par une population juive israélienne]. Leurs parents y possédaient beaucoup de terres, mais ils vivent maintenant "comme des cafards drogués dans une bouteille", pour reprendre les termes du général [israélien] Rafael Eitan.

     

    Voici donc ma proposition : rendez-nous nos terres, laissez-nous construire de nouveaux quartiers qui correspondent à notre mode de vie, à notre idée de l'hospitalité, avec des jardins, de la vigne, des pruniers et des oliviers, entourés d'une bonne vieille clôture rustique, et je vous promets que nous garderons nos distances. Je travaillerai même à créer des quartiers partagés pour les membres des deux nations.

     

    Rassurez-vous, la décision de la Cour suprême ne va pas empêcher les Arabes de dormir. D'abord parce que les Arabes n'attendent rien de cette Cour. Mais aussi et surtout parce que les Arabes ne veulent pas vraiment vivre dans ces quartiers, de toute façon. Toute personne qui est obligée d'y emménager le fait parce qu'elle n'a pas d'autre choix, pas parce qu'elle en a envie. Qui aime les racistes, après tout ?

     

    HA'ARETZ

     

     

    L'article original (en anglais) – Abonnés

     

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