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Sebastian

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Messages posté(e)s par Sebastian

  1. L’économie turque est un cas particulier, en effet,  l’optimisme de l’accession  à l’UE a conduit de nombreux investisseurs étranger et locaux  à alimenter la croissance.  Cette situation aussi paradoxale que cela puisse paraître risque de conduire la Turquie aux prises avec  une dévaluation de la livre et une grave crise économique.

    Un refus de l'UE ou une inflation -bête noire de l’économie turque ces dernières décennies- et des taux d'intérêts en hausse rapide pourraient engendrer une fuite massive des capitaux, une dévaluation et une récession économique, tout comme en 1994 et en 2001, la fuite des capitaux pourrait entraîner une déstabilisation politique et économique rapides

    D’autre part, la taille du déficit fiscal et son incidence sur la dette du secteur public a conduit à faire exploser la dette gouvernementale (se rapprochant  des 100% du PNB). L’énormité de la dette publique turque a consommé aussi la majorité du crédit privé au pays. Ainsi, les banques turques sont obligées d'emprunter à l'étranger pour financer la rapide croissance du secteur du crédit privé. Les banques ont amassé une dette de plus de 30 milliards de dollars en crédit externe à court terme. Dans son ensemble, le total du capital étranger en titres à court terme représente presque le double des réserves de devises étrangères.

    Pour plus d’informations :

    http://www.strategicsinternational.com/f5coville.htm

  2. Je parlé des chercheurs, cadres et scientifiques Américains et Européens qui émigrent depuis la crise financière vers les pays du golfe..

    La crise semble affecter tout le monde y compris les pays du Golfe et l'avenir n'est pas très bon d'après les textes tirés des quotidiens Asharq Al-Awsat et The Daily Star:

    Effondrement

    Le montant des sommes perdus sur les marchés internationaux équivaut aux budgets de tous les pays arabes réunis, estime Asharq Al-Awsat.  « L’Occident a peur, mais, s’il craint la récession, nos pays eux, sont au bord de la faillite.  La différence est de taille, mais les Arabes, hilares de voir le capitalisme en crise, ne le perçoivent pas.  Car tous nos Etats, de gauche ou de droite, pétroliers ou pas, corrompus ou propres, risquent l’effondrement. Si aux Etats-Unis la conséquence politique sera l’élection d’Obama, dans nos pays, en absence de mécanismes démocratiques, ce sera le chaos et des bains de sang »

    Trente ans de mauvaise gestion, ça se paie.

    Par Ramy G. Khouri.

    Grâce à la manne pétrolière, les économies de la région ont longtemps pu faire illusion.  Peu tournées vers l’industrie, elles sont frappées de plein fouet par l’éclatement de la bulle financière.

    Maintenant que l’on perçoit mieux l’ampleur de la crise financière, reste à  savoir dans quelle mesure des sociétés entières vont en souffrir.

    Les pays dont les gouvernements jouissent du respect et de la confiance de leurs citoyens devraient mieux s’en sortir que ceux où la classe politique est méprisée.  Je crains que le Moyen-Orient, en particulier les pays arabes, ne soit frappé de plein fouet par la crise, et ceux pour plusieurs raisons.  La principale d’entre elles est que, depuis le boom pétrolier du début des années 1970, la plupart de ces Etats n’ont pas su mettre en place une saine gestion ni investir dans les secteurs productifs de l’économie, notamment l’industrie.

    Ils ont certes utilisé leurs recettes colossales pour développer leurs pays à un rythme accéléré et impressionnant, mais sans s’affranchir de la dépendance envers les exportations de pétrole et de gaz, ou vis-à-vis de la main d’œuvre étrangère.  Les pays arabes non producteurs de pétrole n’ont pas non plus bénéficié d’une gestion économique avisée.  Ils n’ont pas été capables d’exploiter la prospérité régionale liée à la manne pétrolière, ni les centaines de milliards de dollars que représentaient les envois de fonds de leurs citoyens (travaillant dans les pays producteurs de pétrole).  Voilà pourquoi les sociétés arabes sont très inégalitaires, avec d’un côté, environ 10% de super-riches (dont les investissements mondiaux dégringolent) et de l’autre, le reste de la population, qui vit au mieux modestement, au pire dans une misère grandissante.

    Les cours du pétrole ont cédé plus de 40%, passant de presque 150 dollars à environ 80 dollars le baril. Si l’on ajoute à cela la crise des marchés boursiers, où est investi tant d’argent arabe, il est clair que les revenus – courants et investis – sont en forte baisse.  Cela devrait mettre un frein à l’une des tendances prometteuses que la région ait connue depuis les trente dernières années : l’afflux de jeunes Arabes instruits, hommes et femmes attirés par des emplois dans les économies pétrolières. Parallèlement, il faut s’attendre à un ralentissement des investissements régionaux et étrangers et donc à une baisse de la création d’emplois.  Si, au contraire, le prix du pétrole devait repartir à la hausse, la vie serait encore plus dure pour la plupart des gens de la région, en raison de l’inflation généralisée qui s’ensuivrait.  Ainsi, le Moyen-Orient est dans une situation vulnérable et peu enviable.  Que les cours du pétrole augmentent ou qu’ils diminuent, la plus grande partie de sa population souffrira.

    Ce problème est le résultat de décennies d’une mauvaise gestion économique camouflée par les recettes pétrolières et par la fièvre de la mondialisation. Avec le récent éclatement de la bulle financière, il a bien fallu se rendre à l’évidence : le monde arabe ne fait pas que subir les conséquences de la crise mondiale, il est aussi pénalisé par la faiblesse de ses économies.

    Les pays de la région seront touchés à des degrés divers par des phénomènes tels que la baisse des envois des émigrés, la stagnation de l’aide étrangère, l’aggravation du chômage, le fléchissement du commerce et du tourisme.  Tel sera le prix à payé pour avoir développé des économies fondées sur les revenus pétroliers, sur l’aide étrangère, sur les investissements immobiliers et sur des échanges commerciaux tournés vers l’importation en absence de production locale.

    Cela pourrait aussi être l’occasion pour tous les pays arabes – qu’ils soient exportateurs ou importateurs de pétrole – de tirer les leçons de cette crise et de comprendre qu’ils ont tout intérêt à développer leur secteur productif par des participations croisées dans l’industrie, l’agriculture, les technologies de l’information et l’éducation, au lieu de se laisser happer par les marchés financiers mondiaux, qui nous entraînent aujourd’hui dans leur mini-krach. Il s’agit d’un problème de gestion économique, mais, plus profondément, c’est un échec politique. Comme par hasard, ceux qui représentent les principaux mouvements au Moyen-Orient – islamistes, tribalistes, populistes, nationalistes vieillissants, milices et autres – n’ont aucune solution à proposer.  Mais nous sommes peut-être à l’aube d’un changement historique, où des leaders honnêtes auront le courage de dire la vérité aux Arabes sur leurs échecs et proposeront une voie plus rationnelle vers le renouveau.

  3. L’attaque à un convoi de l’ISAF fait 5 morts dans les rangs des talibans

    Un convoi espagnol de l’ISAF qui protégeait  un transport humanitaire du PAM (Programme alimentaire mondial) qui se dirigeait vers la ville de Quala i-Naw (ouest du pays) a riposté à une attaque faisant 5 tués parmi les talibans.  L’attaque s’est produite samedi matin à 52 km de Quala i-Naw. Les combats ont duré deux heures.

    http://www.larazon.es/63848/noticia/Espa%F1a/Cinco_talibanes_muertos_en_un_ataque_contra_un_convoy_de_tropas_espa%F1olas

    D'autre part selon les déclarations du porte-parole du gouverneur de la région de Dauc Ahmadi faites à  l’agence de presse EFE le nombre de talibans tués au cours de l’ attaque dans la province d’Helmand s’élèverait à une centaine de morts.

  4. Des forces conjointes afghanes et de l’OTAN abattent  65 talibans dans la province de Helmand.

    Selon le gouverneur provincial Daud Ahmadi, au moins 65 talibans on perdus la vie  lors d’une embuscade tendue par les forces de la coalition, parmi les pertes talibanes on compterait leur leader mula Qudratula.  Les talibans s’apprêtaient à attaquer la capitale de Helmand, Lashkar Gah dans la nuit de samedi à dimanche lorsqu’ils ont été surpris par les forces de l’ISAF. L’ISAF à confirmé « une attaque aérienne dans la zone » et « un nombre indéterminé de morts » dans les rangs talibans sans apporter d'autres précisions.

    Source : EL País

    http://www.elpais.com/articulo/internacional/fuerzas/conjunta/afgana/OTAN/matan/65/talibanes/Helmand/elpepuint/20081012elpepuint_3/Tes

  5. Depuis le temps j'entends parler ....infirmation, confirmation de ce radar (gryphon???) sur f5. maintenant on est fixés. Si quelqu'un a qq chose sur ce radar je suis preneur.

    Quant aux "viseurs casques", quelqun peux traduire le passage??

    La partie en question se réfère aux F-5 chiliens :

    Traduction :

    La dénomination Tigre III désigne la terminologie officielle pour désigner les F-5 modernisés de la Force Aérienne du Chili.  Le Chili a signé en 1988 un contrat d’assistance technologique avec la compagnie israélienne IAI  afin de moderniser 16 F-5E au standard Tigre III, comprenant un nouveau radar ELTA EL/M-2032, écrans multifonctions, nouveau système de guerre électronique EWPS-100.  D’autres améliorations consistèrent à l’installation d’une sonde de ravitaillement ainsi que de nouveaux missiles israéliens associés au système de visé dans le casque DASH III de Eibit.

    Pour le radar Gryphon le passage est au conditionnel.  Selon certaines sources …serait…

  6. UEO de l'infanterie de marine:

    Groupe d'opérations amphibies du génie:

    MOE (Commandement opérations spéciales):

    Le MOE se compose de 3 groupes:

    Grupo de Operaciones Especiales"Valencia III".Le GOE III est lui-même subdivisé en trois compagnies (Compañia de Operaciones Especiales)31, COE 32 et une COE Etat major

    Grupo de Operaciones Especiales"Tercio del Ampurdán IV" qui regroupe les COE 41 et COE 42.

    Grupo de Operaciones Especiales"C. L. Maderal Oleaga XIX". Les GOE XIX sont les unités des Forces spéciales de la Légion.

  7. Et le GAR ne pourrait pas intervenir également Sebastian?

    Pour l'UOE elle s'est illustrée il n'y a pas longtemps en abordant un cargo nord-coréen transportant des scud pour le Yemen au cours d'Enduring Freedom.

    Les Bam seront très utiles pour ce genre de situation plutôt que de mobiliser une F-100...

    @Gran Capitán

    Le GAR a une vocation anti-terroriste, initialement crée pour lutter contre l’ETA ses membres étaient déployés dans les provinces basques et la Navarre. Leurs compétences se sont accrues pour faire face à d’autres menaces. Tout comme le MEI (unité territoriale d’élite de la GC un équivalent GIPN en france) ils sont entraînés pour la libération d’otages mais n’ont ni les moyens ni la préparation pour intervenir en mer.  En réalité le MEI et le GAR sont les viviers de l’UEI, la plupart de ses membres proviennent de ces unités après avoir passé une dure sélection dont une des épreuves finales comprend une libération d’otages en mer.  Idéalement il aurait fallu la présence des navires d'assault  Castilla ou Galicia disposant d'un hôpital centre de commandement et matériel embarqué.

    D’après les informations dans la presse une cellule spéciale à été crée dirigée par le chef d’Etat Major de la Défense (JEMAD) le général Félix Sanz Roldán responsable des opérations externes. Une aide logistique a été sollicitée auprès des alliés dans la zone. Comme  dit Fusilier il est nécessaire d’avoir un navire de soutien. Le PH Jeanne d’Arc doit être dans la zone de même un groupe naval britannique dans lequel était intégré la frégate Méndez Núñez (F-104) ce groupe naval réalise des exercices d’intégration tactique en Mer Rouge depuis le mois de février.

    Il est à noter que le gouvernement autonome basque demandait depuis plusieurs mois la présence d’un navire de guerre dans les eaux en face de la Somalie.

  8. En cas d’abordage avec prise d’otage- je crois personnellement que les pirates essayeront d’accoster avant d’être repérés  par la frégate- 4 groupes sont susceptibles d’intervenir :

    GEO (Grupo Especial de intervención) de la police nationale – ils possèdent une unité spécialisée dans les abordages en haute mer ayant une grande expérience, associée à leur équipe de négociation demeurent  les plus aptes pour une intervention avec libération d’otages et cela en préservant aussi bien la vie des otages que celle des ravisseurs.

    UEI (Unidad especial de intervención) appartenant à la Guardia Civil et équivalent du GIGN ce groupe dispose également d’une unité similaire bien que moins connue, leurs opérations restent  opaques et moins médiatisées, à l'instar du GEO ils possèdent aussi d'une cellule de négociateurs. A la différence du GEO, la Guardia Civil a des relations privilégiées avec le CNI – services secrets, beaucoup de leurs membres finissent au CNI et gardent « l’esprit de corps ».

    UOE (Unidad de Operaciones Especiales) Commandos de l’infanterie de marina ils ont également une expérience d’abordages en haute mer. Moins senssibles à la vie des ravisseurs.

    UEBC (Unidad Especial de Buceadores de Combate) nageurs de combats de l’Armada ils se différencient de l’UOE notamment par la capacité de navigation de certains de leurs officiers sur une  panoplie de types de navires.

  9. Le Harrier II sont relativement nouveau ( Années 1990/2.000). Ils mourront avec le Prince des Asturies à l'intérieur d'un 10/15 des années.

    Aucune commande additionnelle n'est prévue pour le BPE.

    Le chef de La Armada à une sentence dans quelques interviews qui étudient faire une commande conjointe de F35 entre l'armée de l'air et de La Armada pour substituer la flotte d'Ef/18 et Harrier II.

    Dans peu d'années nous saurons exactement qu'ils veulent les uns et les autres.

    Même on parle de substituer le Prince des Asturies par un Porte-avions Conventionnel.... 

    Difficile de voir el Ejercito del Aire acquérir conjointement le F-35 ils ont déjà fait savoir qu'ils ne souhaitent plus de chasseur mono-motor de plus les refus de l'Espagne de participer au programme renforce l'hypothèse qu'il n'y aura pas de futur achat F-35 par l'EA. Quant au choix de remplacer le Principe de Asturias par un PA conventionnel cela est prématuré.  Personnellement je vois les futurs PA en Europa le résultat de coopérations.

  10. Le budget défense espagnol était en 2007 de  8147 millions de euros (un peu plus que 12000 millions de $) comme le signale Fusilier il ne comprend pas les OPEX, R&D qui sont des budgets indépendants, d'autre part la la Guardia Civil (corps paramilitaire) est financé par le ministère de l'intérieur.

    Le budget du lien de barbaros inclut notamment les forces de gendarmerie Turque. Hors paramilitaires, le budget défense de la Turquie en 2007 était de 8080 millions de $ ce qui ne l'empêche pas de se lancer dans l'acquisition d'un PA.

  11. L'Espagne devient plus puissante c'est certain ; l'Armada se modernise oui et leurs frégates AA sont les meilleures d'Europe, pour le moment....

    Mais, il faut rester les pieds sur terre.  Au jour d'aujourd'hui et mis à part les 4 F100 (la 5eme est en construcion) il y a deux LPD modernes, 1 porta STOLV de 17000 t 4 soums de clase AGOSTA et puis c'est à peu près tout.... On peut discuter de la valeur des 6 F80 dérivées del O Perry EE.UU. , qui sont quand même relativement récentes (20 ans pour les plus anciennes)

    Du point de vue AA elles ont des SM1 et ont perdu leur sonar (je crois d'origine US) rémorqué ; mais je ne sais pas si c'est une grosse perte....

    Bref, la défense ASM répose sur les seuls sonars de coque des F80 et des F100 et sur les 4 Agosta.....

    Après la chute de l'URSS,  le role de la marine espagnole qui était de controler pour le compte de l'OTAN les passages des sousmarins soviétique fit que l'armada subit une restruturation diminuant ainsi sa capacité ASM pour augmenter l'AA ainsi que sa capacité de projection, les 12 sea king destinés à la lutte ASM furent tous transformés pour le transport de troupes, les missions ASM n'étant plus confiées qu'aux 6 LAMPS III qui furent rejoints par 6 autres.  Aujourd'hui l'armada a d'autres missions  telles que la protection du transit à travers le d3 de Gibraltar contre les menaces terroristes mais également la transport d'aide humanitaire vers les lieux de crises comme lors de l'ouragan mitch ou la projection de troupes sur de lieux de crises de plus en plus éloignés.

  12. Au jour d'aujourd'hui et sans compter navires en construction ou projets:

    Capacité AA: avantage Armada

    Capacité lutte ASM: avantage Armada

    Infanterie de Marina: Armada

    Flotte sous marins: avantage léger Marina

    Sauvetage sous marins: grand avantage Marina

    Commandos de marine: Marina

    Aéronavale: ligero avantage Armada (plus d'expérience avec Harrier et disposant de helicopteros système LAMP III modernisés + sikorsky alerte avancée...)

    Lutte contre mines: avantage quantitatif Marina

    navires auxiliaires: similaires

    bref pas vraiment de différence entre les deux marines pour pouvoir affirmer que l'une est supérieure à l'autre.

  13. Hay que mirar cuando este al dia esta clasificacion sebastian.

    Seguro que la española se pone por delante de la italiana.

    Correcto Gran Capitán, todos los datos no están  correctamente actualizados :-[ en resumidas cuentas las dos Armadas son muy similares en cuanto a capacidad de combate y proyección.

  14. Crée dans le cadre du plan ALTA MAR, le groupe ALFA aligne la classe " ALVARO DE BAZAN" entre autre ,autour du PA PRINCIPE DE ASTURIAS;

    la marine espagnole a aujourd'hui l'ambition d'aligner la classe F110 aux côté de la classe F100..

    la classe descubierta etant déclassée à un rôle d' OPV.

    MARINE MODERNE  et de forte tradition, la marine espagnole reste pourtant derriere son homologue ITALIENNE qui derriere le GARIBALDI  et la classe VITTORIO VENETTO aligne ou va aligner une serie de bâtiments d'une technologie très avancée: FREMM italiennes etc etc..

    A PLUCHE;

    Classification des plus importantes marines de guerre :

    http://www.revistanaval.com/armada/especial/armamund.htm

  15. C'est quoi le modele de Drone qu'ils ont acheté? Et combien?

    Merci Fussiler....

    Hola amigos,

    les drones en question sont en réalité des appareils mini-UAV mesurant moins de 1.5m et pèsant 2.5 kg avec une autonomie de 10 km, ils sont équipés de caméras optiques et infrarouges.  Ils auront pour rôle la reconnaissance, la protection surveillance des zones autour des patrouilles pour éviter les attaques surprises.  27 exemplaires ont été achetés et seront déployés directement au Liban et Afghanistan.

    Les drones Searcher MKII-J en service depuis l'année dernière sont eux sur la péninsule. le Searcher MKII-J de 300 kg et 12 heures d'autonomie. Contrairement aux mini-UAV les Searcher MKII-J sont destinés aux renseignements en profondeur.

    Saludos

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