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stormshadow

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Messages posté(e)s par stormshadow

  1. Outre les QG, est-ce que les alliés et l'armée rouge ont des hub logistique qui serait de parfaites cibles pour des bombes A ? Frapper les QG et les hub logistiques avec les bombes A juste avant l'offensive des Ardennes maximiserait leur efficacité.

     

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  2. Citation

    100 km pour l'IRST sur quelle cible ? Bonne info si c'est sur un chasseur équivalent.

    La voie IR de l'OSF était donnée pour 130km de portée il y a quelques années. Et un pilote test du rafale disait que l'OSF pouvait suivre une cible au delà de la portée max du MICA.

  3. Citation

    Y a t il vraiment un probleme?!

    S'il y en avait un on filerait des canons de 20" à tout le monde ... une poudre suffisament lente pour pousser tout le long et on pourrait envoyer de lourde ogive qui conservert bien leur énergie.

    Le fait on? non? c'est probablement qu'il n'y a pas de probleme?

    Le 5.56 a montrée une puissance d'arrêt et une pénétration très insuffisante à 150-300m lorsque tiré par des fusil à canon court de 14 pouces tel que le M4 ou le HK 416F.

    De même un calibre unique remplaçant la 5.56 et la 7.62 simplifierait considérablement la logistique.

  4. Citation

    Histoire de me mettre les idées au clair sur les portées des MdC, remote carrier et autres drones, j'ai mis au propre mes calculs sur le Scalp et le MdcN:

    https://therestlesstechnophile.com/2020/04/20/reverse-engineering-cruise-missiles-fun-with-the-breguet-equation/

    En gros ça dit qu'un MdCN avec juste 50 kg de charge utile irait à 1600km avec un profil de vol TBA. Je m'attends pas à ce qu'il aille beaucoup plus loin en haute altitude vu que la consommation de ce type de moteur miniature n'a pas l'air de décroitre avec l'altitude, et que la vitesse ne va pas énormément augmenter avec l'altitude (on dépassera pas le Mach).

    Ca donne aussi une base de calcul pour imaginer des remote carrier: avec une masse à vide sans charge militaire de 630kg soit 45% de la masse totale, et une formule aérodynamique contrainte (ailes déployables, moteur intégré donc à faible diamètre), il ne va pas y avoir de miracles sur la portée. Pour dépasser les 2000km de distance franchissable avec un gros remote carrier, il faudra alléger les structures, affiner la formule aéro si possible (difficile si il faut rentrer dans un Sylver) et développer un moteur avec moins de conso.

    En HA, l'autonomie est au moins doublé pour les drones et MDC par rapport à la TBA vu qu'il y a moins d'air donc moins de consommation carburant.

  5. Citation

    Attention, ce genre de calcul oublie:

    - Le temps de transit du porteur

    - La capacité limitée de génération électrique et de refroidissement

    - Le champ de vue du radar. C'est pas parce qu'on peut pointer le faisceau ou on veut dans un cône avec un demi angle de 70° qu'on peut faire de la cartographie simultanément dans tout le cône avec.

    Quand on regarde les systèmes optimisés pour la chasse au TEL, on a le B-2, avec deux gros panneaux AESA Pas un truc qui tient dans le nez d'un drone.

    Tout ça pour dire que l'acquisition de cibles mobiles reste un gros soucis qu'on va pas régler en deux coup de cuillère à pot avec des remote carrier. Déjà si on arrive à mettre dans le nez d'un remote carrier un radar pour faire une imagerie locale autour d'un point ou on a détecté un radar, ce sera pas mal. Avec un peu de chance avec un radar léger et compact on arrive à un truc qui a la portée d'un missile de croisière nucléaire, donc dans les 2000 bornes.

    Dans mon exemple, si le drone met 1h pour parcourir 1000km cela fait 55000km2 de surface à scanner par heure sachant que la cible se trouve à au maximum 56km du drone (donc relativement proche du drone ce qui réduit la puissance nécessaire pour détecter la cible). Est-ce que c'est à la portée d'un radar AESA dans un drone ?

    Pour l'autonomie, un MDCN a une portée de 1000km donc 500km de rayon d'action en TBA avec une trajectoire agressive donc avec une trajectoire normal à 10km d'altitude, on aurait un rayon d'action au moins équivalent à celui du rafale donc 2000 bornes soit 4000km d'autonomie. Donc on pourrait les lâcher à 3000km de la zone à scanner ou 1500km si on veut récupérer et réutiliser le drone

  6. Citation

    A cela s'ajoute le recours à  grande échelle à des TEL dispersables au sein d'un territoire parfois très vaste (vu la portée des missiles anti-navires) et qui nécessiteront une nuée de missiles/drone kamikazes comme le MASSM dérivé du MALD (Miniature Autonomous Search and Strike Missile),

    L'article ci-dessous essaye de calculer le nombre de MASSM nécessaires pour gérer l'étendue du territoire chinois ou iranien :

    https://breakingdefense.com/2015/01/stopping-mobile-missiles-top-picks-for-offset-strategy/

    ...mais semble un peu optimiste sur la capacité à les découvrir obligatoirement et du premier coup...

    Un drone dérivée de MDCN volant à une altitude de 10km avec une autonomie de 1000km et un radar AESA ayant un champ de vision de 140 degrés (comme le RBE2-AA) pourrait scanner une zone de 1000km*10*2.75*2 (tan 70 degrés*2) soit 55000 km2. Donc pour 3000km2, cela voudrait dire que chaque drone fait 18 passages aux même endroit.

    Et si les TEL se camouflent et s'enterrent pour échapper aux drones, ils ne peuvent plus se déplacer et tirer donc seront neutralisés.

  7. Citation

    tu veux dire pas là que les AASM seront plus appropriés au Rafale que les smartsGliders ?

    J'imagine bien que tout ça reste situationnel, que si le ménage est fait avant avec les Scalps et juste après les SmartGliders pourront suivre.

    Ne pas oublier que l'usage de drones leurres (https://en.wikipedia.org/wiki/ADM-160_MALD) va significativement réduire l'efficacité des SAM.  Les USA envisage de combiner furtivité/drones leurre/brouillage/missiles anti-radar + saturation smartglider pour venir à bout des IADS.

    Pour le rafale, le SPEAR 3 serait un armement idéale pour faire face aux IADS car il aura une portée probablement très supérieur à l'AASM en TBA + capacité de saturation du fait de sa petite taille + une variante "guerre électronique".

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  8. Citation

    Si on s'en tient à la vidéo du début qui évoque un Rafale vs SU35  :  on imaginerait facilement dans le cadre d'un dogfight que le SU se contenterait de pas trop bouger et de tourner sur lui même et un rafale agile et rapide qui tournoierait autour de lui comme une  mouche ;  qu'essaierai d'attraper le SU. 

    Très mauvaise tactique quelque soit l'avion. Une cible immobile est un cible très facile.

    Citation

    Ma conclusion :

    En dehors de l'habilité des pilotes qui reste très au cas par cas et qui est ''LE'' facteur essentiel : techniquement parlant, j'imagine qu'il faudrait que le SU-35 sache manœuvrer suffisamment bien pour ne pas perdre d'énergie et de ne pas perdre le Rafale de vue - et que le pilote du Rafale soit assez bon pour ne pas traîner dans les filets du SU-35 en poursuivant des manœuvres contradictoires, ce qui serait certes plus sports que le SU-35  :) 

    J'imagine donc qu'en début de combat, le SU-35 aura tout intérêt à détruire au plus vite le Rafale,  car dans un combat qui se prolongerait,  le Rafale prendrait le dessus. Mais à plus long terme le Rafale pourrait perdre l'avantage car le pilote du SU-35 pourrait mieux comprendre le combat.  Mais la technologies des appareils électroniques embarqués des deux appareils sera hyper importante au début de l'engagement du dogfight car après, trop de paramètre reposeront sur l'habilité des deux pilotes.

    Au technologie, j'y connais encore moins, mais il me semble que celle du Rafale est supérieur à celle du SU-35 ?

    Le rafale avec son taux de virage instantané va très vite prendre l'avantage, avantage qui sera rapidement transformé en kill avec les missile IR dernière génération. Le Su-35 a tout intérêt à brouiller les pistes et à ne pas entrer dans ce petit jeux, par exemple avec des manœuvres verticales + manœuvre à forte AoA au bon moment (car il va perdre beaucoup de vitesse = cible facile) pour faire overshooter son adversaire ou pointer son nez en force (au bon moment) afin d'avoir un bon angle de tir.

  9. Citation

    On évite en général de doubler une attaque nucléaire, l'effet des 2 bombes ont plus tendances a s'annuler qu'à se compléter 

    Je ne vois pas pourquoi l'effet de 2 bombes s'annulent au lieu de s'additionner. Tous les plan d'attaque nucléaire (du moins US) prévoyaient des frappes nucléaire multiples sur certaines cibles.

  10. Citation

    Ouais... une grosse fraction quand même... et la meilleure partie en plus... Ok ils étaient pas intégralement autour de la ville mais y avait leurs 3 meilleurs groupes d armées... incluant les 1 ère et 2 ème armées blindées de la garde. 

    Soit 2 millions et demi d hommes sur les 6 millions et demi de l armée rouge à l ouest et comme je disais les meilleurs.

    Alors soit, les explosions ne les auraient certainement pas tous tués... mais l exposition aux radiations aurait fait du dégât...

    Il n'y avait pas 2 millions de soviétiques à l'intérieur de Berlin. C'est impossible. Et de toute façon le rayon d'action d'une bombe A explosant au sol est très limité donc les troupes à la périphérie de la ville n'aurait pas été affecté et même la majorité des troupes dans la ville n'aurait pas été affecté.

  11. Est ce que utiliser la bombe A (notamment face aux unités logistiques alliés) aurait permis aux allemands de gagner la batailles des Ardennes ?

    Ils me semblent que les allemands était à 2 doigts de détruire un dépôt logistique alliés très important. En détruisant ce dépôt à coup de bombe A, que se passerait-il ensuite ?

    Citation

    Effectivement... contre les soviétiques y avait bien un usage tactique qui aurait pu être efficace et détruire la colonne vertébrale de l armée rouge, mais pardonnez d avance l aspect iconoclaste du propos:

    Detonner les 6 en corolle tout autour de Berlin pendant le siège...

    Seul une fraction de l'armée soviétique était à Berlin.

  12. Citation

    Non, la riposte nucléaire peut s'appliquer à la suite d'une attaque qui n'est pas nucléaire... La "premiere détonation" peut donc être Francaise...

    En fait la question c'est dans un scénario à la "champ du loup", est-ce que la doctrine française ne serait pas d'attendre qu'il y ai une détonation nucléaire sur le territoire afin d'être sûr que l'attaque est nucléaire ?

  13. Citation

    Tu te doutes donc de la question suivante : explosion au sol, fastouche, mais en sous sol : la pénétration doit pas mal secouer un appareillage complexe, non ?

    Ça existe les nuc à penetrateur ?

    Oui la B61.

    https://en.wikipedia.org/wiki/B61_nuclear_bomb

    https://en.wikipedia.org/wiki/Nuclear_bunker_buster

    Mais est-ce qu'il existe des MIRV pénétrateur ?

    Citation

    En gros, Le Chant du Loup, avec Perimetr, c'est Macron qui active le système et qui attend de voir si Paris est vitrifié, plutôt que d'être forcé de donner un ordre de tir.

    D'ailleurs, la doctrine française actuel, ça ne serait pas d'attendre qu'il y ai une détonation nucléaire sur le territoire avant de riposter ?

  14. Citation

    Et comment prévoyaient ils d’arriver à faire détonner chaque missile dans le cratère du précédent avec de telles CEP?

    C’est vraiment baleze le cratère d’un bidule à Mégatonnes qui explose en altitude ?

    Explosion au sol voir sous-sol, le cratère doit avoir au moins un rayon égale à la CEP de l'ogive. En tout cas une telle attaque est montré comme cela dans le roman "10 juin 1999 : la première guerre nucléaire vient de commencer", très bon roman par ailleurs.

    D'après nukemap une bombe de 25MT explosant au sol produit un cratère d'environ 500m de rayon ce qui correspond à la CEP d'un SS18.

  15. Citation

    Ce qui compte, ce n'est pas la puissance de l'explosion, c'est la puissance de l'explosion que ressent la cible. Entre un SS-18 de 22 MT qui explose à moins de 700m de sa cible (chiffres de wiki...) et une TNA de 300 KT qui explose à quelques (dizaines de ?) mètres, je pense que la porte du bunker va subir presque la même pression.

    https://en.wikipedia.org/wiki/R-36_(missile)#R-36M_(SS-18_Mod_1)

    https://books.google.fr/books?id=vNSBDwAAQBAJ&pg=PA75&lpg=PA75&dq=R-36M2+CEP&source=bl&ots=G4aVE37D8t&sig=ACfU3U2O5wXwEPYkFOCv-lg4LgLQP15Z6g&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwjb18DO1tboAhXeA2MBHWmAANoQ6AEwBnoECAwQLw#v=onepage&q=R-36M2 CEP&f=false

    Le R36M2 a une puissance de 25MT pour une CEP de 200-500m. Un ASMP-A de 300kt (0.3MT) pour avoir un effet équivalent devra avoir une CEP de 40-100m.

    Quel est la CEP de l'ASMP-A ?

    Pour les cibles en profondeur, quel que soit la CEP, une ogive de 25MT pourra détruire/endommager des cibles à une profondeur 4-5 fois supérieur à celle d'une ogive de 300kt mais produira 83 fois plus de retombées radioactives.

    Citation

    Cheyenne montain résiste a un impact direct de 22 megatonnes ?

    Les russes prévoyait d'utiliser une dizaine d'ogives de 25MT pénétrantes pour détruire le Cheyenne montain. Chaque ogive détonant dans le cratère provoqué par l'ogive précédente.

    Citation

    réglable de 12.5 a 300Kt ?   la vache... ca c'est du réglable !     Et ca se règle comment ?   plus ou moins de matière fissile?  des désordres bien pensés dans la mise a feu des charges classiques générant l'explosion du préétage A afin qu'on soit proche d'un foirage?  Suppression ou réduction de l'étage H?  autre solution ???

    Soit suppression de l'étage thermonucléaire ou des explosifs à puissance variable, si les explosifs explosent avec moins de puissance, la compression de la matière fissile sera plus faible donc la puissance de l'étage fissile sera moindre donc la puissance de l'étage thermonucléaire sera moindre aussi d'où une explosion moins puissante.

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  16. Citation

    Les specs officielle du Spaceship:

    https://www.spacex.com/sites/spacex/files/starship_users_guide_v1.pdf

    Si les performances en orbite basse correspondent a celles annoncées (100t). Les performances en GTO sont par contre beaucoup plus modestes: 20t (vs 11,5t pour une Ariane 6 ou 26t pour une Falcon Heavy).

    Très intéressant. Pour la charge utile en orbite GTO, rien d'étonnant car un lanceur réutilisable doit aller de LEO à GTO puis retourner de GTO à LEO donc double pénalité ce qui réduit beaucoup plus la charge utile par rapport à un lanceur non-réutilisable qui doit que aller de LEO à GTO d'où le ravitaillement orbitale pour compenser.

    Sinon d'après vous est-ce que c'était une bonne idée pour Space X de passer de la fibre de carbone à l'acier car certes l'acier est beaucoup moins cher et plus facile à usiner que la fibre de carbone mais ça a alourdit le starship de quasiment 50% au moins ce qui a réduit sa charge utile de 150t à +100t ?

  17. Citation

    C'était un des problème avec la fin de la guerre froide. Pendant des année le problème était simple ... raser les villes d'URSS et du PavDa ... avec des bibliothèque de cible assez réduite en pratique ... et des trajectoires assez triviales - on était court sur les missiles donc on avait pas trop de latitude sur la trajectoire balistique - ... le tactique était le travaille des Pluton Hades ... et ASMP.

    En gros les collections de cible était numéroté ... l'équipage ne savait pas grand chose sauf d’où il pouvait tirer et les numéro des collections de cible qu'on lui demandait de détruire. En pratique c'était forcément des villes chez les cocos.

    Et patatra ... fin de la guerre froide ... transformation de la FOST en défense tous azimut ... et brutalement le  monde entier devient une cible valide.

    Ça a conduis a repenser très largement les bibliothèque de cible ... jusqu’à les rendre potentiellement pléthorique ... pour essayer de rendre un bousin monomaniaque ... un tant soit peu polyvalent. De la même manière les solution ABM ... ont conduit à pouvoir programmer des trajectoire moins interceptable ...

    ---

    Autre chose ... la possibilité de télécharger des bibliothèque de cible via liaison de donnée ... ça permettrait de gagner en souplesse ... mais ça laisse une petite porte ouverte au piratage de la base de donnée des cibles. Je ne sais pas si ça se fait ... mais certains ont du y penser.

    Les coordonnées de la cible pour chaque TN ne sont-elle pas transmise aux SNLE en plus de l'ordre du tir, ce qui permettrait de frapper n'importe où sur Terre y compris au milieu de l'océan ou du désert ?

  18. Citation

    Il est TRES etonnant qu'une arme pré stratégique, donc censée envoyer un ultime message avant escalade, porte une tête aussi puissante (300kt). 

    20 à 50kt aurait bien suffit, non?.  A moins que cette charge soit variable, donc basse puissance pour le pré stratégique puis maxi si on doit accompagner le boulot des SNLE...  ou contre un ennemi qui serait déjà à genou avec les seuls ASMPA... 

    Non pour faire passer le message, il faut que la puissance soit maximisé. Si on pouvait même plus de 300kt dans chaque ASMP-A, on l'aurait fait.

  19. Citation

    Le SCALP naval a une portée de environ 1000 km avec une charge de 250 kg. Cela fait 500 km de rayon d'action. Je pense que la plateforme est trop petite pour avoir des performances suffisantes. Pire si tu veux qu'el soit réutilisable, il faudra retirer de cette charge utile de nouveaux moyens de communication et de récupération (train ou parachute). De ce point de vue là, la commentaire ci-dessus que "Big is beautiful" en aviation est correct.

    1000km avec une trajectoire complexe en TBA, le tomahawk dans les même condition a une portée de 1600km (donc 800km de rayon d'action) avec une charge de 450kg. Donc avec une trajectoire en HA moins complexe, le rayon d'action serait au moins égale à celui du rafale soit 1800km (1000 nautiques). Et surtout un telle drone pourrait être déployé à partir d'un avion de combat ou transport ce qui augmenterait considérablement le rayon d'action.

  20. Le mieux serait tout de même de développer des drones réutilisables/autonome (via le deep learning/IA) à partir du SCALP/MDCN pouvant être lancé à partir de VLS/Container/aéronef/véhicule/sous-marin. Ces drones pourrait transporter 2/4 missiles air-air/air-sol (comme le spear 3/CAMM-ER) ce qui permettrait de saturer les défense adverses rapidement (imaginer 100 drones de ce type larguer chacun 4 spear 3/CAMM-ER donc 400 en tout sur l'ennemi). Avec un grand nombre de drones le coût par drone serait minimale.

    Ces drones pourrait également transporter des équipements de guerre électroniques/reconnaissance/surveillance et serait donc parfaitement polyvalent en plus d'être sacrifiable dans les cas extrêmes.

  21. Citation

    Ce qui ma chagrine le plus c'est plutôt le volume des tourelles qui sera forcément important et par là, dégradera sensiblement la discrétion des véhicules qui seront bien plus haut/visibles et exposés. Et si il y a une chose que les derniers conflits ont prouvé, c'est que ça a son importance.

    Si il n'y a pas ou peu de menaces aériennes, le radar peut être démonté, de même on peut avoir un radar rabattable.

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    Enfin, il faut aussi se poser la question des unités dépourvues de VCI. C'est bien beau de transformer les unités de cavalerie ou d'infanterie motorisée en porc-épic mais ça laisse les unités d'infanterie motorisée ou d'infanterie légère à nu.

    Pour ces unités, on peut utiliser ton concept de tourelles AA avec 30*113mm + un petit radar de veille/conduite de tir + quelques missiles AA monté sur un 4*4 ou Wiesel (ou équivalent).

    Citation

    Enfin, il y a la question de la défense à portée un peu plus large. Du canon anti-aérien partout, c'est bien beau mais en France en tout cas, la défense anti-aérienne est limitée à un seul régiment le 54e. C'est peu. Je ferai un peu plus tard un post sur une armée de l'OTAN qui lésine un peu moins tant sur ses unités de défense anti-aérienne que sur son artillerie.

    Bien sûr que ça ne remplacera pas la défense AA longue portée. Idéalement il faut les deux pour une défense AA multicouches comme les russes.

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