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Chimera

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Messages posté(e)s par Chimera

  1. Rah c'est fou ces allemands, même quand ils achètent à la maison il y a ce réflexe pavlovien qui fait qu'ils s'empressent de signer americain le lendemain. C'est comme une addiction. 

    Vous vous souvenez de la ligne rouge de Parly sur le F-35 pour le SCAF ? de veritables paillassons ces responsables français. 

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  2. il y a 26 minutes, Picdelamirand-oil a dit :

    Non non, ils se sont décidé il y a longtemps, le problème c'est de pouvoir les tirer proprement: ils sont plus lourd que les Storm shadow et lorsqu'on les lâche ça crée une instabilité, je pense que le kit aérodynamique a été développé pour résoudre ce problème mais pour l'instant l'Allemagne ne l'a pas pris. Alors en mettre sous les ailes et même le faire voler c'est possible c'est l'étape d'après qui est difficile... On peut aussi les tirer par 2 pour rester symétrique.

    Pour le profane que je suis, ça correspond à quoi ce kit aérodynamique ?

  3. Il y a 4 heures, cicsers a dit :

    En fait, en tant que français jamais content, nous ce qu’on voudrait vraiment, à ce stade, c’est que les allemands ferment leur FAL d’Eurofighter, n’en commandent plus un seul, prennent des Rafale à la place, et réorientent tout leur eco système aéronautique vers la sous traitance des éléments du SCAF qu’on aura la gentillesse de leur demander de faire. Mais eux au lieu de nous écouter ils préfèrent essayer de garder leur outil industriel… @Manuel77pourquoi vous ne faites jamais ce qu’on vous demande ?

    La FAL Eurofighter allemande a bien été arrêtée en toute discrétion pendant 2 ans.

    Au passage, on en est où de ce contrat saoudien imminent que les allemands attendaient avec impatience après leur revirement d'il y a quelques mois ? C'est n'était pas le plan A avant de palier avec des commandes nationales ?

    Il semblerait également qu'ils se soient enfin décidés à faire porter les Taurus par l'Eurofigher T4 ou T5, moi qui pensais que le deep strike stratégique c'était le F-35 et que l'intégration finirait dessus en 2076 avec le Meteor.

    https://x.com/Bjoern__M/status/1798399006617567736

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  4. Citation

    "Sa mission est d’aller où les avions de combat ne vont pas" : Airbus dégaine son drone de combat

    Airbus Defence & Space va présenter au salon ILA de Berlin, du 5 au 9 juin, un concept de drone de combat de type Wingman, destiné à fonctionner en collaboration avec l’Eurofighter. Un concurrent du projet français de drone d’appui au Rafale.

    C’est la surprise du chef du salon aéronautique ILA de Berlin (5 au 9 juin). Déjà maître d’œuvre des drones de surveillance Eurodrone et Sirtap, Airbus Defense & Space va présenter sur son stand une maquette à l’échelle un d’un drone de combat de type Loyal Wingman, qui pourrait accompagner l’avion de combat Eurofighter à partir du début des années 2030. « Avec ce concept plane, qui est un peu l’équivalent d’un concept car, on agrège tout ce qu’il serait possible de faire à l’horizon du début de la prochaine décennie, explique Jean-Brice Dumont, directeur des avions militaires d’Airbus. Le tandem entre ce drone et l’Eurofighter permettrait de faire le lien avec le SCAF, prévu dans les années 2040. »

    Développement de quatre à cinq ans

    Le drone, à peu près de la taille d’un Eurofighter selon la maquette présentée à Berlin, serait un appareil furtif capable d’effectuer des missions en environnement hostile, derrière les lignes ennemies. « Sa mission est d’aller là où les avions de combat pilotés ne vont pas », résume Jean-Brice Dumont. Ces missions pourraient consister en des frappes au sol, des missions de suppression des défenses aériennes ennemies (SEAD), ou de guerre électronique (brouillage électromagnétique)

    Airbus DS assure être en discussion avancées avec l’Allemagne, et avoir entamé des échanges avec l’Espagne, autre pays doté d’Eurofighter. « L’idée serait de lancer un développement dans les deux à trois ans, et de mener à bien le programme en 4 à 5 ans, détaille Jean-Brice Dumont. On ne veut pas se lancer dans un programme de démonstration complexe, mais capitaliser sur des briques technologiques déjà maîtrisées. » Une brique majeure reste cependant à développer : la capacité d’envoyer au combat un avion de chasse et un drone équipier de type Wingman. Comme c’est bien l’avion piloté qui a le contrôle du drone, l’objectif est de limiter au minimum la charge mentale du ou des pilotes, en automatisant un maximum de tâches.

    Une multiplication des projets

    Avec ce projet, qui n’est encore qu’au stade de concept, le groupe européen veut prendre pied sur le segment en pleine croissance des « Loyal Wingman », ces drones de combat destinés à fonctionner en tandem avec des avions pilotés. Les projets se sont multipliés depuis quelques années. L’américain Kratos a ainsi fait voler en 2019 un prototype, le XQ-58A Valkyrie, destiné à accompagner les chasseurs F-22 ou F-35. Boeing développe un drone de combat comparable, le MQ-28 Ghost Bat, pour l’armée de l’air australienne.

    La Russie et la Chine ne sont pas en reste : Moscou développe un engin baptisé Soukhoï S-70 Okhotnik-B, qui a volé pour la première fois en août 2019, et doit voler en tandem avec le chasseur Su-57. Pékin a révélé en 2022 travailler sur un appareil de type Loyal Wigman, le Feihong FH-97A, conçu pour coopérer avec le chasseur J-20. L’Inde s’est également engouffrée sur le créneau, avec un drone de combat, CATS Warrior, développé par son industriel HAL. Le premier vol avait été annoncé pour 2024 il y a deux ans.

    La France a aussi son projet

    La France s’intéresse également au segment. La loi de programmation militaire 2024-2030 prévoit le lancement d’un drone de combat qui fonctionnerait en tandem avec le Rafale, dans son futur standard F5. « Conformément à la loi de programmation militaire 2024-2030, le développement du Rafale F5 inclura un drone de combat furtif, indiquait le ministère des Armées en novembre 2023 dans une réponse à une question écrite de la députée RN Nathalie Da Conceicao Carvalho. Ce drone permettra d’agir avec discrétion et fulgurance comme une extension du Rafale F5 (capteur et effecteur déportés) pour produire des effets décisifs en réseau. Fort de ces caractéristiques, le drone de combat devrait être une pierre angulaire du traitement des systèmes anti-aériens modernes à moyenne et longue portée. »

    Selon La Tribune, le ministère des Armées a notifié en avril à Dassault Aviation un premier contrat couvrant une période allant jusqu’au deuxième semestre 2025. Le montant attribué pour ces premières études serait de près de 130 millions d’euros. Dassault ne part pas de zéro : l’avionneur français avait piloté le développement du démonstrateur de drone de combat Neuron, qui a volé pour la première fois en 2012. Ironie de l’histoire : dans l’équipe dirigée par Dassault figurait la filiale espagnole d’Airbus DS.

    https://www.challenges.fr/entreprise/defense/sa-mission-est-d-aller-ou-les-avions-de-combat-ne-vont-pas-airbus-degaine-son-drone-de-combat_895288

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  5. Citation

    Drone de combat Dassault vs Airbus DS : la bataille des Loyal Wingmen européens est lancée

    Si la France et l’Allemagne, Dassault Aviation et Airbus DS, coopèrent activement pour la conception du programme SCAF, ils n’en demeurent pas moins concurrents, concernant les programmes actuels, Rafale et Eurofighter Typhoon, en particulier.

    Alors que la date d’entrée en service du nouveau chasseur de 6ᵉ génération européen, tend à glisser de 2040 à 2045, voire 2050, selon les sources, la nécessité de doter les Rafale et Eurofighter qu’ils remplaceront, de nouvelles capacités permettant de s’engager dans un environnement lourdement contesté, a convaincu Armées et l’Air et industriels, des deux cotés du Rhin, de s’engager dans le développement de drones de combat.

    Pour ce qui concerne la conception des drones de combat lourds, ou Loyal Wingmen, qui accompagneront les avions français et allemands, ce sont précisément les deux industriels, par ailleurs partenaires au sein de SCAF, et rivaux avec le Rafale et le Typhoon, Dassault aviation et Airbus DS, qui sont en charge de cette mission.

    L’étude du drone de combat dérivé du Neuron pour accompagner le Rafale F5, confiée à Dassault Aviation

    Annoncée à l’occasion de l’élaboration de la Loi de Programmation Militaire 2024-2030, l’entame de la conception d’un drone de combat pour accompagner les futurs Rafale F5, était très attendue, y compris par le principal intéressé, Dassault Aviation.

    C’est désormais chose faite, si l’on en croit le site LaTribune.fr, qui révèle qu’un contrat d’étude initiale d’un montant de 130 millions d’euros a été attribué à l’avionneur français, pour la première phase de conception d’un drone de combat dérivé du démonstrateur Neuron.

    Pour l’heure, tant le ministère des Armées, que la DGA, les Armées et les industriels français, sont restés très discrets à ce sujet. Au mieux sait-on que, selon Eric Trappier, le président de Dassault Aviation, l’appareil devra être plus grand et lourd que le Neuron, s’il veut efficacement accompagner le Rafale F5 dans ses missions, et qu’il est prévu qu’il entre en service au début de la prochaine décennie, dans le cadre de la future LPM.

    On ignore, notamment, si le nouveau drone de combat pourra être, ou pas, embarqué à bord du porte-avions français. Ceci représenterait, à n’en point douter, un formidable atout pour le groupe aérien embarqué, mais risque de complexifier sensiblement les travaux de conception du drone, et donc d’allonger les délais et d’en augmenter les couts.

    Sachant les circonvolutions nécessaires pour déjà faire entrer l’ensemble des programmes planifiés, dans l’enveloppe budgétaire prévue pour la LPM 2024-2030, on peut craindre que cette option ne soit pas retenue dans le cahier des charges de Dassault.

    Airbus DS présenter une maquette 1:1 de son Loyal Wingmen pour accompagner les Eurofighter Typhoon de la Luftwaffe

    Si le développement du drone de combat français, dérivé du Neuron, était officialisé depuis un an maintenant, celui d’un drone de type Loyal Wingmen, de l’autre côté du Rhin, n’avait été qu’abordé, de manière plus ou moins directe, par le ministère de la Défense allemand, et par la Luftwaffe.

    PAYANT POUR LA SUITE

    https://meta-defense.fr/2024/06/04/drone-de-combat-airbus-vs-dassault/#letude-du-drone-de-combat-derive-du-neuron-pour-accompagner-le-rafale-f-5-confiee-a-dassault-aviation

     

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  6. Citation

    Le #Wingman sera un complément aux avions de chasse actuels et un pont avec le monde du #SCAF."

    Airbus évoque la possibilité d'un développement rapide sur 3 à 5 ans.

    https://x.com/OpexNews/status/1798077234399588569

    Plus rapide que l'Eurodrone prévu pour 2030 ? Donc ils cherchent à faire le pont avec le SCAF prévu pour 2040 (sans LW) avec un LW qui arriverait plus tôt que l'Eurodrone et faire du EW alors qu'ils achètent des F-35 qui sont sensés arriver en 2027 (comptez plutot 2030), que la roadmap Eurofighter EK ne cesse d'être décalée et tout ça dans un cloud qui reste encore flou et un F-35 qui n'arrive pas à parler au F-22 ni NGAD mais devrait parcontre s'imbriquer totalement dans un système unifié fait d'Eurodrone, Eurofighter, A400M, F-35 et bien sûr ce drone ferait du deep strike furtif parce que c'est absolument mais alors absolument pas le rôle du F-35 qu'ils viennent d'acheter. D'accord.

    Ils fument quoi chez Airbus?

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  7. Donc les LW sortent du périmètre du SCAF mais devront parler avec NGF/Rafale/EF qui eux s'imbriqueront dans le NGWS avec un cloud développé à cet effet. Alors pourquoi donc les sortir ????? 

    Cette farce continue alors qu'on voit tous l'évidence : Dassault pas impliqué dans les drones SCAF lance Neuron2 et Airbus lance son drone strike en parallèle...parce que la répartition politique des rôles n'est pas satisfaisante pour les industriels et/ou les ministères/parlements de chaque côté. 

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  8. Le 26/05/2024 à 13:17, Claudio Lopez a dit :

    L'italie souhaite avoir le tiers du programme et vu son industrie aéronautique (LEONARDO) et ses compétences en radars (SELEX) , cette demande est légitime.

    Le juge de paix ce n'est pas la compétence mais surtout le nombre de cellules commandées.

    Comme sur le SCAF, on évite de parler cible d'acquisition, sujet chiant qui n’intéresse personne si ce n'est les comptables, commissaires aux compte et tout à la fin de la fin quelques vieux schnock dépassés à la Cour des Comptes.

    ON S'EN BRANLE DES BUDGETS ET DU NOMBRE ON VEUT DU POWERPOINT AVEC DES IMAGES FUTURISTES.

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  9. Le 16/05/2024 à 14:44, Bechar06 a dit :

    Avis des experts du forum ?? 

    Sachant que sur OPEX des commentaires ... 

    "l’Aquila ... avant son hypothétique concurrent hispano-allemand ? HYDEF ... une efficacité digne de celle de la famille Aster ?  dont l’Aquila pourrait bien constituer le « segment haut »…? 

    Un autre commentaire éclairé

    "La commission UE finance 2 projets, HYDEF et HYDIS².
    HYDEF regroupe 5 pays européens sous la houlette de Diehl Defense qui avance avec le faux nez espagnol SENER, HYDIS² sous la coordination de MBDA regroupe 14 pays UE : les européens ont déjà choisi.
    Malgré les appels du pied de l’Allemagne à l’israélien Rafael pour tenter de sortir HYDEF du surplace, HYDEF sera intégré à HYDIS². Les israéliens, pas nés de la dernière pluie, ne transféreront à Diehl la technologie de l’Arrow du David’s Sling pour SkyShield que si HYDEF est viable et qu’ils y participent, 2 conditions loin d’être garanties à leurs yeux.
    A trop vouloir défendre ses seuls intérêts sans regarder ceux de l’UE, l’Allemagne en perd le sens commun."

    L'Allemagne a déjà mouché tout le monde avec la promotion d'IRIS-T SLM via ESSI donc si'ils perdent la main sur l'interception balistique hypersonique, ce n'est que 1-1 partout, balle au centre.

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  10. il y a 44 minutes, Boule75 a dit :

    Mauvaise foi grossière et affligeante :

    • il a bossé sur bien d'autres choses
    • il affirme que le suivi de terrain permet des largages par visibilité médiocre ou nulle qui étaient interdits auparavant et qu'il s'agit d'une capacité inédite remarquable.

    Tu peux dire que c'est vraiment un besoin fonctionnel de niche dont on aurait pu se passer si tu le souhaites, mais ça a au final été inclus dans le cahier des charges, payé et fourni : y a--il véritablement matière à gueuler ?
    Le même intervenant est beaucoup plus critique, juste après, sur certains points du cahier des charges concernant la gestion de la soute et de fermeture de la rampe (que je n'ai pas comprises d'ailleurs) qui auraient pu être plus rustique manifestement.

    54:20 : "C'était un besoin exprimé qui, de mon point de vue, ne servait à rien, franchement."

    Ce n'est pas de la mauvaise foi, c'est ce que rapporte Eric Isorce dans son interview. Ma critique ne portait pas sur le personnage, (il a bossé sur ce qu'on lui demandait de bosser) mais sur les pays ayant contribué à la définition des spécifications. Je ne vois pas en quoi c'est de la mauvaise foi. Je découvre que plusieurs années après avoir porté un jugement sur l'A400M, ce jugement est partagé par l'ancien directeur des essais en vol d’Airbus DS sur l'A400M. Son opinion sur le TM-LLF est d'autant plus pertinente qu'il a qualifié le suivi du terrain sur 2000N et Rafale pour la mission nucléaire. Donc on peut dire qu'il est bien placé pour savoir si ça sert à quelque chose ou si ça sert à rien sur un avion de transport. Le fait que ce soit utile un jour peut être en largage par visibilité faible est complètement anecdotique. Le sujet ici étant le retour sur investissement et de l'impact sur le programme dans son ensemble qui n'a clairement pas été bon.

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