Aller au contenu
AIR-DEFENSE.NET

Carl

Members
  • Compteur de contenus

    1 270
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    3

Messages posté(e)s par Carl

  1. Il y a 18 heures, Heorl a dit :

    Les Polonais, par exemple, savent parfaitement qu'il n'y a rien à attendre de la Russie poutinienne en-dehors du chaos, des massacres, de la guerre et des crimes.

    il y a 28 minutes, nemo a dit :

    Cette conclusion de Heorl est limite raciste. Je n'imagine même pas ce qui sortirait si on se retrouvait vraiment en guerre. "L'identification de l'ennemi" a vraiment des effets catastrophiques sur notre capacité à examiner sereinement les choses.

    Faut pas exagérer non plus. Il a pourtant bien précisé "russie poutinienne". C'est mieux que pire (genre russie Prigojienne) et mieux que rien (pur chaos), mais dans l'absolu, elle a quoi de bon cette russie là ? On peut en espérer quoi de positif, en particulier depuis février 2022 ?

    • Upvote (+1) 2
  2. Le 06/02/2023 à 07:17, wagdoox a dit :

    d’autre solution prenne en crédibilité type laser megajoule pas sur que ce soit une raison de lacher iter.

    J'ai du mal a voir comment un réacteur basé sur le principe du LMJ ou du NIF pourrait produire un jour des centaines de MW. Même chose pour la z-machine dont on entendait pas mal parler il y a x années. Avec les tokamaks, ça a l'air au moins possible, même si on est encore loin de pouvoir le faire

    Pour les autres solutions, on a surtout vu ces dernières années des startups faisant beaucoup de com et des promesses extravagantes pour trouver des sous, mais on attend toujours ces réacteurs révolutionnaires tenant dans un camion.

    Le 06/02/2023 à 04:51, collectionneur a dit :

    ITER a pris énormément de retard. Est ce encore la peine d'investir dans ce chantier alors que des réacteurs déjà en service annonce record sur record ?

    Le record du JET, sauf erreur, ne remet pas en cause iter vu qu'il s'agit justement de technos prévues pour iter

    Le record du NIF, ça a fait des gros titres du genre "usa ! usa ! on a atteint l'ignition" mais là aussi c'est surtout de la com il me semble

    • Upvote (+1) 1
  3. Il y a 1 heure, rogue0 a dit :

    Je suis bien d'accord sur cette partie.
    Des rares éléments dont on dispose, cet incident (accident ou sabotage) semble techniquement à la portée de tous les états maritimes.
    Voire même d'ONG civils : z'êtes sûrs que Greenpeace/Sea Shepherd n'ont rien revendiqué ? :tongue:

    D'ailleurs, depuis que je lis le forum (bientôt 10 ans), les infrastructures sous marines (+ pipelines) sont pointées comme des grosses vulnérabilités de nos civilisations technologiques (même si on parlait plutôt des câbles de communication internet).
    Et depuis le début de la guerre, c'est pointé par tous les thinks tanks comme mesure de rétorsion simple, puissante (et non nucléaire) 
    (cf le doc cité par @g4lly sur les scénarios d'escalade)

    ça ne devrait pas être aussi choquant pour des observateurs de défense aguerris.

    J'allais poster une grosse analyse, mais je vais attendre que la pression baisse (celle du forum, pas du gazoduc :biggrin:)

    A mon avis, c'est logiquement un coup des russes, ou plus précisément d'une faction des russes, celle de Poutine et de sa clique.

    Pour lui, faire péter nord stream a un intérêt :

    - Il doit y avoir pas mal de monde en Russie qui aimerait bien revenir à la situation d'avant cette connerie de guerre. Poutine et sa bande aussi très probablement, vu comment ça a tourné, mais bon, c'est pas trop compatible avec le chef qui reste aux manettes. En "brulant les vaisseaux", on rend plus difficile un retour en arrière rapide. L'option de se débarrasser de Poutine aura moins de soutien en Russie.

    - Il montre clairement sa capacité et sa détermination à foutre en l'air des infrastructure critiques, et il prouve leur vulnérabilité (qui est certes évidente, mais certains ont besoin qu'on leur démontre ça concrètement). Les européens sont prévenus du merdier qui les attend si ils poussent le bouchon trop loin.

    - c'est contre l'intérêt économique à long terme de la Russie (et pas très rationnel, a quoi bon faire péter le tuyau quand tu contrôles déjà le robinet), et les usa ont toujours été clairement très hostiles à Nord Stream 1 & 2. C'est donc parfait pour mettre le doute dans les opinions publiques européennes, et ne pas se faire accuser trop facilement malgré son statut mérité de grand méchant.

    - En réalité, c'est pas trop grave de perdre nord stream pour Poutine car il ne compte pas revenir en arrière. Le chantage au gaz n'a pas fonctionné, et fonctionnera encore moins à l'avenir vu que même les allemands ne voudront plus être aussi dépendants des russes, donc nord stream n'est plus très utile, sauf pour éventuellement faire rentrer du cash dans le futur. Mais ça, c'est devenu un problème secondaire pour Poutine (et peut-être que ça été saboté proprement, pour que ça puisse se réparer pas trop difficilement au besoin)

    Du coup, je ne crois pas vraiment à une implication des USA. S'ils veulent faire tomber Poutine, c'est contre productif à mon avis. S'ils ont la volonté d'imposer une logique de bloc contre bloc, ça peut les arranger mais il y a un trop gros risque d'effet inverse s'ils sont font prendre, donc ça ne vaut pas le coup. Par contre ils peuvent avoir fermé les yeux s'ils étaient au courant, eux qui sont en général très bien renseignés.

    Comme depuis le début de cette guerre, les principaux couillonnés (stratégiquement) dans cette affaire sont surtout les européens, et en particulier les allemands. Mais je ne vais certainement pas plaindre ces derniers, vu la place qu'avait le gaz bon marché dans la guerre économique qu'ils nous livrent depuis des décennies. Ils méritent largement leurs difficultés actuelles (et je suis sûr qu'ils font tout ce qu'ils peuvent pour les partager avec leurs voisins).

     

    • Merci (+1) 2
    • Upvote (+1) 1
  4. il y a 43 minutes, Niafron a dit :

    Quoiqu'il en soit, puisqu'on est dans la rubrique géopo, toutes les nations vont devoir s'adapter rapidement aux enseignements militaires de ce conflit avec sans doute des conséquences politiques, diplomatiques et économiques lourdes rien qu'à cause de la nécessité de garder un outil militaires performant.

    Voir des conséquences sociales si la conclusion est un retour aux armées massives et à la conscription...

    Ca coute cher une vraie armée massive, ne serait-ce que parce qu'un soldat consomme et ne produit rien. En europe de Ouest, aucune menace crédible ne le justifie (surtout quand les "amis" se focalisent sur la guerre économique), et ailleurs non plus, sauf pour les quelques petits pays avec un très gros voisin susceptible de vouloir les envahir (et pas juste les renvoyer à l'age de pierre). Et même pour ceux-là, l'ukraine montre qu'il n'y a pas forcément besoin d'une armée surdimensionnée pour mettre le puissant envahisseur en difficulté...

    • Upvote (+1) 2
  5. il y a 13 minutes, Métal_Hurlant a dit :

    Poutine vient de réaliser une belle opération de com en s'adressant à son peuple au stade Loujniki, en chair et en os...

    S'il y a bien des opposants à la guerre ce n'est de toute évidence pas la majorité. ça pourrait changer au fur et à mesure que rentrent les cercueils...

     

    Sérieux, as-tu au moins regardé ta vidéo avant de la poster ? Rien que les 10 premières secondes auraient suffit pour réaliser ton erreur.

    En plus, un Poutine qui prend un bain de foule dans un stade alors que presque personne ne peux l'approcher à moins de 10m depuis 2 ans :bloblaugh:

    • Upvote (+1) 1
  6. il y a 37 minutes, jojo (lo savoyârd) a dit :

    Pour des marins ils vont commencer à mariner ceux-là ... Çà fait un moment qu'ils sont en attente sur leurs navires amphibies.

    Peut-être qu'ils ont discrètement laissé les troupes en sécurité à terre et utilisé les bateaux vides juste pour immobiliser des ukrainiens en face.

    A quoi bon risquer inutilement les troupes dans les bateaux pendant x jours, avec en plus des galères logistiques et les problèmes de moral, alors que tu peux aller les récupérer  quand tu veux pas loin en Crimée peu de temps avant l'attaque ?

    Mais c'est vrai que ça implique de réussir à laisser planer le doute malgré les probables espions ukrainiens en crimée, les satellites US,...

     

    • J'aime (+1) 1
  7. Un article de décembre 2020 sur le problème transnistrien en Moldavie.
    https://www.lalibre.be/debats/opinions/2020/12/21/moldavie-la-guerre-qui-vient-CKKBOVNBGVGHBI2LLFMHNRSHMU/

    A mettre en relation avec la carte des opérations de Lukashenko sur l'autre fil de la guerre en Ukraine, où il y a une flèche qui va vers la Moldavie...

    Révélation

    ...

    Par le biais du commerce, l’Union européenne se taille une place au cœur de l’État moldave. En effet, l’accord d’association de 2014 prévoit (1) de faire converger les intérêts politiques et sécuritaires des deux parties et prescrit à la Moldavie une série de réformes institutionnelles qui ont eu pour effet d’y faire décliner l’influence russe. La victoire le 15 novembre 2020 de Maia Sandu au second tour de l’élection présidentielle moldave est l’aboutissement de cette orientation. Cette quadragénaire à l’apparence inoffensive, diplômée de Harvard et ancienne économiste à la Banque mondiale, est acquise au mode de vie occidental et aux automatismes technocratiques de la gouvernance européenne.

    Les premiers mots de la présidente élue ont été pour la Transnistrie, où elle souhaite le départ des militaires russes et leur remplacement par des gardiens de la paix de l’OSCE. "Nous sommes un pays indépendant et nous ne tolérons plus la présence de troupes étrangères sur notre territoire", a-t-elle déclaré à l’occasion d’une conférence de presse le 30 novembre. La déclaration a fait l’effet d’un coup de tonnerre à Moscou, où le dossier moldave suscite beaucoup d’inquiétude, d’autant plus que Maia Sandu semble réticente à l’idée de rembourser un arriéré de paiement de 7,5 milliards de dollars à la société gazière russe Gazprom. Le Kremlin, qui a appelé au dialogue avec Chisinau, se rassure pour l’heure en se répétant que Maia Sandu, dont la présidence débutera officiellement le 24 décembre, ne possède pas encore le pouvoir de mettre ses menaces à exécution.

    En effet, le Parlement moldave est dominé par le parti socialiste d’Igor Dodon, président sortant, soucieux de préserver la relation avec Moscou. Ces dernières semaines, il a fait voter plusieurs textes qui protègent le statut de la langue russe en Moldavie et soustraient au Président le contrôle des agences de renseignement. Dans ces conditions, Maia Sandu n’a pas d’autre choix que de solliciter des élections législatives anticipées (normalement prévues en 2023) et d’appeler ses partisans à manifester devant le Parlement.

    Éviter l’escalade

    Si Maia Sandu devait obtenir une majorité au Parlement moldave, dans trois mois ou dans trois ans, il est à craindre que le conflit gelé de la Transnistrie se rouvre. Dans le meilleur des cas, Chisinau et Moscou pourraient s’entendre sur une solution médiane de désarmement de la Transnistrie en échange de solides garanties sur le respect de la minorité russophone en Moldavie. Dans le pire des cas, Maia Sandu pourrait être amenée à répéter l’erreur du Géorgien Saakachvili en 2008, qui, se croyant soutenu par l’Otan, avait essayé d’annexer les provinces séparatistes d’Ossétie du Sud (où des forces russes de maintien de la paix étaient stationnées sous mandat international) et d’Abkhazie. Le conflit s’était soldé par l’intervention de l’armée russe et la débâcle de Tbilissi.

    En Transnistrie, cependant, les quelque 1 500 soldats russes postés dans la petite république autoproclamée se trouvent dans une situation précaire au point de vue stratégique. Dans l’hypothèse d’une offensive moldave, leur ravitaillement par la Russie se révélerait extrêmement difficile car la Transnistrie est ceinturée par des pays - l’Ukraine, la Moldavie et, plus à l’ouest, la Roumanie - qui lui sont hostiles. Il serait néanmoins envisageable que des navires russes remontent par l’embouchure du Dniestr depuis les eaux ukrainiennes dont ils devraient d’abord franchir plusieurs dizaines de milles nautiques illégalement. Par ailleurs, il semblerait que les stocks de munitions dont disposent les forces russes en Transnistrie soient en grande partie hors d’usage.

    Dans l’hypothèse d’un blocus économique, le problème de l’enclavement de la Transnistrie se pose également. Rien ne pourrait soulager l’asphyxie économique de la petite république.

    Fort heureusement, nous sommes encore loin de ces scénarios catastrophes mais il n’est pas trop tôt pour se poser la question suivante : voulons-nous que les précédents géorgien (2008) et ukrainien (2013) se reproduisent ? On ose espérer que dans cette affaire l’Union européenne évitera l’escalade et ramènera le pouvoir moldave à la raison.

    Ouch, le "précédent ukrainien" va très probablement se reproduire, mais pas sûr que ce soit celui de 2013, ça pourrait être celui de 2022...

    • Haha (+1) 1
    • Upvote (+1) 1
  8. il y a une heure, Banzinou a dit :
    Carte dévoilée par Lukashenko, j'ai l'impression de voir un débarquement à Odessa pour faire jonction avec la Transnistrie , en revanche l'ouest de l'Ukraine ne semble pas ciblé

    FMxk-Mq-KXMAA7h7u.jpg

    Là voilà en plus grand. Ca colle pas trop mal avec les évènements réels, sauf

    - la pointe vers sumy va plutôt vers Kiev (changement de programme vu les difficultés ?)

    - ça coince pour sortir de Donetsk

    - pas de débarquement à Odessa, mais ça va peut-être venir plus tard.

    Et vu que Poutine a décider de manger l'Ukraine malgré les lourdes conséquences, il pourrait aussi en profiter pour croquer tout ou partie de la moldavie, ça ne lui coutera pas beaucoup plus cher je pense.

    • Merci (+1) 3
    • Haha (+1) 1
  9. il y a 13 minutes, Kiriyama a dit :

    On parle quand même de l'Ukraine. Un pays pratiquement deux fois plus grand que la France. Forcément qu'il n'allait pas être occupé en trois jours. 

    Non, c'est pas le double. L'ukraine, c'est 600 000 km², et sans la crimée et les provinces séparatistes, ça doit faire environ 550 000 km², à peu près la même superficie que la France métropolitaine. Et c'est occupé par 44M d'habitants, soit à peu près autant que l'Espagne, donc oui, c'est un gros morceau, même pour les russes. Logique vu leur objectifs qu'ils tentent (ou qu'ils aient tenté) un echec et mat rapide en fonçant sur Kiev...

    • Upvote (+1) 3
  10. Il y a 1 heure, tipi a dit :

    On n’a pas le choix, ce ne sera pas nucléaire ou éoliennes, ce sera nucléaire ET éolien.

    Nucléaire + éolien, ça sert à rien à part mettre le bazar et payer 2 fois plus cher l'électricité

    Nucléaire + gaz + éolien, ça permet au moins d'économiser du gaz quand il y a du vent, mais c'est pas économique en €, juste en bilan carbone ( et encore, si tu tiens compte du bilan CO2 vraiment complet de l'éolien, du minage des matériaux au recyclage, pas sûr que ce soit favorable)

    Nucléaire + gaz + photovoltaïque, c'est un peu mieux si c'est des panneaux fabriqués chez nous (et pas en chine avec leur charbon)

    Gaz + éolien, c'est la seule solution qui reste aux allemands pour réduire les émissions sans nucléaire, mais ils ne pourront pas avoir en même temps l'énergie à bas cout pour leurs industries, à moins de les subventionner indirectement en faisant exploser la facture des particuliers. Ils parlent maintenant devenir les n°1 de l’hydrogène et comptent dessus pour résoudre leurs problèmes d'intermittences du renouvelable, mais c'est une fuite en avant.

    • Upvote (+1) 3
  11. Il y a 3 heures, elannion a dit :

    On est bien d'accord à la condition que ton eau solide passe quasi instantanément de 0° (ou même moins ) plus de 100 °. . . 

    Et là à pression atmosphérique je ne sais même pas qu'elle serait la chaleur nécessaire mais très certainement supérieure à plusieurs MILLIERS de degrés. . .

    Comme tout étudiant de biotech j'ai essayé de cramé à peu près n'importe quoi avec mon bec bunsen et notamment les bacs de glace et je n'ai jamais réussi à sublimer. . . Et la température d'un bec est de l'ordre de 800/1000°C. . .

    Pour le coup oui même moi je suis intrigué que de la neige se sublime à pression atmosphérique. Alors des impuretés peuvent évidemment modifier les propriétés mais ça reste intriguant.

    Alors oui la conclusion complotiste est pas sérieuse mais dire que c'est un truc hyper simple et d'une évidence digne d'un collégien non. . .

    Aller voilà un petit diagramme PT de l'eau. Et pour rappel 10^5 PA correspond à la pression atm

    C'est pas de la sublimation, ou plutôt presque pas, mais ça reste hyper simple. C'est juste que l'eau liquide est absorbée par la boule de neige bien avant d'avoir le temps de former une goutte (très forte porosité, capillarité, tension de l'eau, ,...tout ça). Si ces couillons insistaient un peu avec leur briquet, ils constateraient  que le poids de leur boule de neige ne change pas beaucoup et qu'elle se transforme petit à petit en "boule de neige plus petite et pleine de flotte" (Les anglos appellent ça slush, mais là où je suis né, ça s'appelle de la gadoue, la "neige nulle" avec laquelle il vaut mieux ne pas jouer pendant la récré, surtout avec des gants en laine :happy:)

    • J'aime (+1) 1
    • Merci (+1) 1
    • Upvote (+1) 2
  12. il y a 31 minutes, g4lly a dit :

    Le Pakistan pourrait être un bon client pour un business avec la Turquie par exemple ... ils ont pas mal d’intérêt commun ... d'autant que le Pakistan avait pas mal de contributeur à son programme spatiale ... notamment le Golfe et la Chine.

    Mince, je les avais oubliés les pakis, et en plus ils s'entendent bien avec les turcs. Pour la lune en 2023, ils ne pourront pas trop aider, mais à plus long terme, ce serait en effet de bons partenaires.

  13. Erdingo a toujours des envies de conquête, mais comme ses ambitions sur terre sont un peu contrariés, il veut tenter ailleurs :rolleyes:

    https://www.lefigaro.fr/international/erdogan-veut-faire-de-la-turquie-une-puissance-spatiale-20210210

    Citation

    Recep Tayyip Erdogan vise la Lune. Mardi 9 février au soir, le président turc a présenté sa liste de 10 projets pour développer l'industrie spatiale de son pays et mener Ankara «au sommet de la course mondiale à l'espace». «Notre objectif principal, et le plus important, [...] est d'établir un premier contact avec la Lune pour le 100e anniversaire de notre République», dès 2023, rapporte l'agence d'information officielle Anadolu. Peu de détails ont fuité. Il est question «d'une fusée hybride nationale qui sera lancée en orbite [...] via une coopération internationale», précise Reuters

    J'ai du mal à croire que quelqu'un accepte de leur vendre des technos dans les lanceurs, et les turcs n'ont de toute façon pas les moyens pour ça.  Mais si Erdingo veut que Musk ou Poutine lui facture à prix d'or la dépose sur la lune d'un petit truc qui va rouler quelques mètres pour planter un petit drapeau ottoman dans le regolithe en 2023, ça doit pouvoir se faire.

    • Haha (+1) 3
  14. Johnson crie victoire, Farage dis qu'il votera pour et dit que "la guerre est finie", mais il semble y avoir du soulagement coté UE. Ca doit être un deal qui reporte les bagarres à plus tard, qui donne aux anglais la possibilité de nous casser les pied dans le futur, mais préserve notre droit de leur en faire payer le prix si ça arrive ( mais si c'est ça, je ne suis pas très confiant dans la capacité de l'UE à répondre rapidement, voir d'y répondre tout court si un des pays UE bloque ou de fait trainer en échange d'un gain perso, ce qui profite en général au pays UE le plus influent)

     

    • Upvote (+1) 1
×
×
  • Créer...