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très déçu... par contre, ça montre bien les soucis de la marine française.

Un avisos qui fait 4 mois de mer...vu comme l'équipage est confiné, on va dire BOF.... Normalement, un avisos est un navire de patrouille qui a un port fixe et qui patrouille 100 ou 200km à la ronde, pas un navire qui va de Toulon jusqu'au Koweit et qui reveint après, ça c'est le boulot des frégates à mon avis.(d'où l'intéret de les remplacer par des FREMM).

même chose pour l'armement. Le cuisinier qui est aussi tireur de 20mm, soit, mais qui ne s'entraine qu'une fois par semaine, et malgré qu'il a explosé les jolis ballons mis à la mer, il a aumoins du tirer une centaine de coups avant d'y arriver.

a part ça, on apprends pas grand chose, c'est un reportage classique comme tout les autres sur la marine. L'éternel : "on mange bien dans la marine", l'éternel "seule femme à bord", etc.

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très déçu... par contre, ça montre bien les soucis de la marine française.

Un avisos qui fait 4 mois de mer...vu comme l'équipage est confiné, on va dire BOF.... Normalement, un avisos est un navire de patrouille qui a un port fixe et qui patrouille 100 ou 200km à la ronde, pas un navire qui va de Toulon jusqu'au Koweit et qui reveint après, ça c'est le boulot des frégates à mon avis.(d'où l'intéret de les remplacer par des FREMM).

même chose pour l'armement. Le cuisinier qui est aussi tireur de 20mm, soit, mais qui ne s'entraine qu'une fois par semaine, et malgré qu'il a explosé les jolis ballons mis à la mer, il a aumoins du tirer une centaine de coups avant d'y arriver.

a part ça, on apprends pas grand chose, c'est un reportage classique comme tout les autres sur la marine. L'éternel : "on mange bien dans la marine", l'éternel "seule femme à bord", etc.

Et oui, les navires de guerre ce n'est pas des paquebots de croisère  =D Et encore, dans le temps c'était pire, même sur les gros navires : couchage en hamac, d'ou la notion de "branle-bas"... (j'ai même vu des couchages en hamac dans les années 70....)  "poulaines" en rang  =D 

Ensuite, ne pas confondre transit (cf Toulon => Mer rouge, Ou est le problème? ) et patrouille, rien n'empêche un A69 de faire relâche dans un port (voir Djibouti...)

Les rôles, cf cuisinier / tireur 20mm. Dans la Marine, depuis toujours, il y a des "rôles" en fonction des "états" de navire. Exemples : la bordée tribord ou la "1ere compagnie" constituent le corps de débarquement (on dit "protection" aujourd'hui) tandis que la bordée babord (ou les autres compagnies)reste au navire. Un navire peut fonctionner :

-par tiers, c'est disons le fonctionnement de base 24h/24h....Un tiers au repos, un tiers au poste, et de jour, un tiers en divers travaux... Par bordées

babord / tribord.

-En bordées,  l'équipage est divisé en 2 au lieu d'être divisé en 3. C'est un "état de travail" renforcé qui peut se prendre en fonction de l'état de la mer, d'un niveau d'alerte, etc.....

- poste de combat. Aux postes de combat tout l'équipage est à des postes désignés à l'avance....

En gros, chaque marin à un "rôle" que designe les postes qu'il doit occuper selon l'état du navire : par tiers (en fait des quarts, mais je ne complique pas... =D) par bordées, au poste de combat.

Evidemment, la désignation aux rôles tiennent compte des spécialités  (missiliers, radaristes, pont, machines, fusilier, paserelle, cuisine, commis, etc....) et besoins du navire au poste de combat....

Ceci n'est pas spécifique aux pétits navires, tous les navires fonctionnent comme ça : avisos, fregates, croiseurs, etc.... Sur le CdG c'est un peu diffèrent mais, le principe est le même....

Concernant la réflexion "il ne tire au 20mm qu'une fois par sémaine".

Question qu'elle est la fréquence de tir réel au 20mm dans l'armée de terre? 

Deuxième question. A ton avis qu'est que donnerait un tireur 20mm "entraîné",  s'il dévait tirer avec un canon non stabilisé, sur une plateforme qui bouge sur 3 /4 axes au même temps.....

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Concernant la réflexion "il ne tire au 20mm qu'une fois par sémaine".

Question qu'elle est la fréquence de tir réel au 20mm dans l'armée de terre? 

Deuxième question. A ton avis qu'est que donnerait un tireur 20mm "entraîné",  s'il dévait tirer avec un canon non stabilisé, sur une plateforme qui bouge sur 3 /4 axes au même temps.....

c'est pas faux, donc vivement la tourelle téléopérée narwahl qui règlera le problème de stabilisation.

ma réfléxion du "il ne tire qu'une fois par semaine" se basait sur les floppées de balles qui passaient à côté, ça m'a sacrément marqué. le mec a du envoyer une bonne dizaine de rafales avant d'atteindre ces ballons en mer, et logiquement, je l'ai imputé au manque d'entrainement. La mer était plutot calme si je me souviens bien, comme souvent au niveau du détroit d'Ormuz.

Côté Adt et Ada, effectivement, si eux peuvent s'entrainer au canon à blanc ou à balle réelle 1 fois par mois, c'est déjà du luxe.... mais ils ne sont pas non plus confrontés aux mêmes problèmes, à terre, ça se règle à la 12,7, le canon de 20mm est quasiement inexistant des OPEX : pas de menace aérienne, pas d'AMX10P, etc. Donc, en tirant à 800 coups à la minute à la mitrailleuse, la précision n'est pas forcément aussi recherchée qu'avec un canon.

Et le pire, je m'en souvient juste mainteant : c'est qu'à un moment, les ballons étaient passées vers l'avant : et le mec gueule "je peux pas les viser" il y avait un arret au canon pour qu'il ne puisse pas tourner d'avantage, question de sécurité oblige (sinon, le canon passait au dessus d'une coursive ou quelque chose comme ça). Mais il n'empèche que ce genre de petits défauts peuvent couter chère.

ça aurait été une pirogue avec un tireur RPG7 dessus... aii.

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Je n'ai pas pu voir le reportage, je donnerai une opinion plus instruite si j'arrive à le chopper sur le net....

Après mefie....La mer peut paraitre calme, mais des pétits mouvement de tanguage ou de roulis peuvent quand même avoir lieu...

Par ailleurs, n'oublie pas que les A69 ont aussi quatre 12,7..... Et on peut toujours mettre en batterie les FM (du corps de protection / débarquement) sur les plages avant, arrière ou sur un bord....

L'année dernière sur le forum des anciens de la Royale on voyait un navire à l'appareillage de Toulon avec un FM à poste sur la plage  avant, armé semble-t-il par les fusiliers du bord...  Je suppose que ce sont des mesures anti-terroristes....

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en ce qui concerne les fusillers marins, on découvre également qu'il n'y en a pas beaucoup à bord. Les unités de "visites" qui vont contrôler les navires suspects sont composés de marins volontaires lorsqu'il n'y a pas de spécialistes à bord.

Sur un navire comme un A69 ça doit tourner aux environs de 2 / 3 fus.....

Le rôle des fus est d'encadrer et former les autres marins à ce type de boulot : equipes de visite, protection, "débarquement"... 

Ils ont également la responsabilité de la "police" à bord, sous la responsabilité du "Capitaine d'Armes" qui est le Fus le plus gradé ; personnage important à bord, il a généralement son logement à côté du Pacha.

Les Fus ont également la responsabilité d'armer les "pétites armes" 12,7, etc.... ils forment les autres à ça si besoin....

C'est à cause de ce rôle d'encadrement des équipages, que la Marine avait inventé le "quartier maître CS" (quartier maître du cadre spécial, grade spécifique aux Fus) C'était (je crois que ce n'est plus en usage...) un quartier maître "admissible" segond maître (avec les qualifs) et qui portait un uniforme d'officier marinier avec galon de segond maitre - liserés rouges.....

Si besoin, le bord peut être renforcé par des gens venus des GIR (Groupes de Renfort et Intervention) des Groupements de Fusiliers ou par des détachements venus des Commandos.  Il convient de noter que les Fus des GIR, voir ceux du bord, peuvent avoir aussi la qualif commando et être des anciens des cocoy.....

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  • 4 months later...

REDIFFUSIONS ESTIVALES - LES EMISSIONS DES FLICS TOUS RISQUES

C.O.T.E.P., derrière ces initiales se regroupent une centaine d'hommes et 4 femmes seulement, qui forment la Compagnie des Transferts, Escortes et Protections. Des policiers triés sur le volet, super entraînés et volontaires pour des missions à haut risque et adrénaline garantie. 15 mn chrono pour aller de la prison de Villepinte au Palais de Justice en plein coeur de Paris, à l'heure de pointe ! Coordination, sang froid, rapidité, mobilité, préparation, anticipation, cette unité spécifiquement parisienne est spécialisée dans les escortes de détenus très dangereux. Rien ne doit les arrêter, ni les ralentir. Aucun véhicule ne doit s'interposer entre leurs véhicules et celui qu'ils escortent. 2 gilets pare-balles, casques de protection pour les missions les plus dangereuses... Les maîtres mots sont : sécurité, efficacité, rapidité. Depuis la création de cette unité spéciale, aucun coup de feu n'a été tiré en mission par ces flics tous risques.

Emission diffusée le 2 août ou le 6 septembre 2008 à 13h20

(1ère diffusion : samedi 20 octobre 2007)

Un reportage de J.M. Labrousse, M. Petetin, O. Halin (KEY WEST PROD.)

http://lachaine.tf1.fr/lachaine/infos/reportages/emissions/rediffusions/0,,3841159,00-flics-tous-risques-.html

REDIFFUSIONS ESTIVALES - LES EMISSIONS PGHM... LES " ANGES " DE LA MONTAGNE

Ils sont gendarmes de métier mais ils n'ont qu'un rêve en tête : appartenir au prestigieux PGHM, le Peloton de Gendarmerie de Haute Montagne. Pour atteindre ce sommet, ils vont devoir prouver qu'ils ont le mental et le physique indispensables à ces spécialistes du secours en montagne. Au programme : montée et descente à ski, escalade, dénivelés chronométrés, courses dans la montagne sur toutes les surfaces possibles... Des heures pendant lesquelles leurs efforts leur font presque oublier pourquoi ils arrivent à dépasser leurs limites. Pendant 5 jours les 26 candidats seront mis à rude épreuve.... Pour 10 places seulement. En France, il n'existe que 20 pelotons de haute montagne. Et, sur les 100.000 gendarmes de l'hexagone, seuls 256 d'entre eux appartiennent au PGHM. Secouriste c'est plus qu'un métier, une vocation qui tient en un "regard"... Une relation unique et pourtant éphémère qui lie celui qui vient porter secours à celui qui l'attend.

Emission diffusée le 16 août 2008 à 13h20

(1ère diffusion : samedi 23 décembre 2006)

Un reportage de Sylvie Pinatel, Bertrand Lachat, Christophe Nieulac.

Montage : Pascale Lemaître

http://lachaine.tf1.fr/lachaine/infos/reportages/emissions/rediffusions/0,,3840093,00-pghm-anges-montagne-.html

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