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Conflit gazier Russie/Ukraine


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La Russie a perdue de la profondeur stratégique, les pressions exercées sont une tentative de les mettre aux pas.

Et l'Europe a encore montré que sa puissance économique et politique ne sont que du vent. La Russie ne ferait jamais ça contre les USA.

cet étén ils l'ont bien fait face à l'allié n°1 des USA en géorgie  ;)

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cet étén ils l'ont bien fait face à l'allié n°1 des USA en géorgie  ;)

Sans parler des phases qui ont précédée le conflit à savoir les coupures de gaz pour cause d' "accident", ce qui a obliger les géorgiens de se fournir d'urgence et à prix max au prés de Téhéran. On a pas vu les USA bougé le petit doigt pour son allié du Caucase

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cet étén ils l'ont bien fait face à l'allié n°1 des USA en géorgie  ;)

La Géorgie, je pense, n'est pas un enjeux majeur, sa position est difficilement tenable, difficulté d'approvisionnement etc....

Donc comme la tchétchénie, il y a pas de gain à prendre, on a bien vue la position molle des USA.

Par contre les pays de l'est sont importants, il permettent d'atteindre plus facilement la Russie, sans compter les angles d'attaques qui obligerons les russes a dépenser dans une défense béton.

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Les américains ont eu une position molle en Géorgie, pars qu'ils ne pouvaient pas en avoir une dure, s'ils voulaient se tenir en dehors du conflit d'aout, ils auraient retirés leurs conseillers militaires et n'auraient pas soutenu diplomatiquement la Géorgie au risque de passer pour les grands perdants en terme d'image.

Il ne pouvaient rien faire, c'est aussi simple que ça.

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  • 1 month later...

L'Ukraine ressemble de plus en plus a une république bananière  :O

Ukraine: la politique tourne au roman de série B

Mitraillettes, cagoules noires, bousculades entre forces spéciales et députés: le spectacle indédit qui s'est déroulé mercredi au siège de la société Naftogaz à Kiev marque une nouvelle aggravation du conflit entre le président ukrainien et son Premier ministre.

"Les chefs se disputent, leurs subordonnés trinquent", commente à l'AFP une source proche du dossier, en référence à Viktor Iouchtchenko et sa rivale Ioulia Timochenko.

Alliés pro-occidentaux à l'époque de la "révolution orange" de fin 2004 qui les a portés au pouvoir, ils sont devenus depuis des ennemis jurés, se traitant "comme des chiens", selon l'expression de l'ambassadeur russe, Viktor Tchernomyrdine.

Rien que ces derniers mois, les deux chefs de l'exécutif se sont accusés de vol et de corruption.

Nouveau coup de théâtre mercredi: une vingtaine d'inconnus armés et encagoulés ont fait irruption à la mi-journée au siège de Naftogaz, la société publique d'hydrocarbures, dans le centre de Kiev.

"Ils ont repoussé les gardiens pour entrer. On a l'impression qu'ils cherchent à bloquer certains bureaux", expliquait le porte-parole Valentin Zemlianski, en évoquant la piste du SBU, les services de sécurité loyaux au président Iouchtchenko.

Une journaliste de l'AFP a vu douze hommes armés de mitraillettes et de pistolets, encagoulés et vêtus de noir, notamment devant le bureau d'une responsable de la comptabilité.

Ajoutant à une situation déjà insolite, des députés pro-gouvernementaux, accourus au siège de Naftogaz, en sont venus aux mains avec les intrus. Egalement dépêchés sur place, plusieurs hommes du ministère de l'Intérieur, relevant du Premier ministre, n'ont cependant pas participé à la bagarre.

Peu après, le SBU confirmait sa présence chez Naftogaz, dans le cadre d'une "enquête judiciaire sur la possession par des responsables de cette société de 6,3 milliards de mètres cubes de gaz".

Au passage, selon M. Zemlianski, le SBU a tenté en vain de saisir les originaux des contrats conclus le 19 janvier entre Naftogaz et le géant gazier russe Gazprom pour mettre fin à la nouvelle guerre gazière ukraino-russe.

La Russie avait suspendu le 1er janvier ses livraisons de gaz à l'Ukraine pendant plus de deux semaines, provoquant une crise qui a fortement affecté plusieurs pays européens.

Les contrats conclus à l'issue de cette crise ont été approuvés par Mme Timochenko mais dénoncés par la présidence ukrainienne, qui les a trouvés contraires aux intérêts nationaux.

Un des points clés de la dispute "au sommet" concerne la cession par Gazprom à Naftogaz de 11 milliards de mètres cubes de gaz appartenant à l'intermédiaire gazier RosUkrEnergo (RUE).

"Timochenko estime que ce gaz appartient déjà à l'Ukraine. Iouchtchenko est de l'avis contraire", explique l'analyste Iouri Iakimenko, du Centre des recherches politiques et économiques Razoumkov.

Mme Timochenko, qui était en visite en France mercredi, a à plusieurs reprises accusé le président Iouchtchenko de défendre les intérêts d'hommes ukrainiens associés à RUE, ce que le chef de l'Etat a démenti.

Quoi qu'il en soit, le tiraillement des forces de l'ordre par des adversaires politiques crée "une menace d'affrontements" entre les représentants de ce dernier, avertit M. Iakimenko, rappelant un premier incident de ce genre datant de 2007.

Enfin, Gazprom s'est déclaré dans un communiqué "préoccupé" par la situation chez Naftogaz, espérant qu'elle "n'influerait" ni le paiement de livraisons de gaz russe à l'Ukraine ni son transit vers l'Europe par le territoire ukrainien.

http://fr.news.yahoo.com/2/20090304/twl-ukraine-la-politique-tourne-au-roman-c99dde2.html

Raid à Naftogaz pour suspendre les paiements à Gazprom

L'intervention des services de sécurité ukrainiens (SBU) au siège de la compagnie nationale ukrainienne Naftogaz, à Kiev, a pour but de suspendre les paiements de gaz à la compagnie russe Gazprom, a affirmé le premier vice-Premier ministre Oleksander Tourtchynov, cité par l'agence Interfax Ukraine.

Cependant, Valentin Zemlyansky, porte-parole de Naftogaz a réaffirmé l'intention de l'entreprise de "tout faire pour payer dans les délais".

En visite à Paris, le Premier ministre Ioulia Timochenko a estimé que l'intervention des services de sécurité avait pour objectif de paralyser la distribution de gaz dans le pays.

S'exprimant à l'issue d'un entretien avec Nicolas Sarkozy, elle a ajouté que cette opération était liée à un différend avec un intermédiaire, RosUkrEnergo, portant sur 11 milliards de m3 de gaz.

"C'est un combat pour 11 milliards de mètres cubes de gaz qui appartiennent maintenant à l'Ukraine", a-t-elle dit, ajoutant que RosUkrEnergo en revendiquait aussi la propriété mais que son gouvernement ne se laisserait pas faire.

"Le but principal de l'intervention des services de sécurité est de se procurer l'original des documents sur lesquels reposent les comptes avec Gazprom et les opérations de Naftogaz", a dit pour sa part Tourtchynov.

Le directeur du département juridique de Naftogaz, Serhiy Davydenko, avait auparavant déclaré à la presse que les enquêteurs espéraient "repartir avec les documents originaux signés entre Naftogaz et Gazprom en janvier à Moscou".

"Si nous n'avons pas ces contrats, alors Naftogaz ne peut pas faire dédouaner le gaz ou assurer son transit. Il ne peut pas assumer ses obligations dans le cadre de ces contrats", a-t-il expliqué.

Naftogaz s'est trouvée au coeur d'un conflit gazier avec la Russie en janvier lors duquel des millions d'habitants en Europe ont été privés de gaz naturel. Le différend a pris fin lorsque le Premier ministre Ioulia Timochenko a conclu un accord acceptant pour l'Ukraine une forte augmentation du prix du gaz.

PAIEMENT D'ICI LA FIN DE LA SEMAINE

Naftogaz s'était engagée à payer d'ici la fin de la semaine les livraisons de février au géant gazier russe Gazprom.

La SBU dépend du président Viktor Iouchtchenko, allié de Timochenko pendant la Révolution orange de 2004, mais aujourd'hui en désaccord avec elle sur pratiquement tous les dossiers.

Le président a critiqué l'accord conclu en janvier par Timochenko en disant qu'il constituait une "défaite" pour l'Ukraine, mais il n'a pas évoqué de possible réexamen ou dénonciation de cet accord.

Les services de douane avaient, avant la perquisition, annoncé la saisie de plus de 11 millions de m3 de gaz appartenant à RosUkrEnergo, un intermédiaire entre la Russie et l'Ukraine dont Timochenko a dénoncé la corruption.

Le contrat avec Gazprom supprimait RosUkrEnergo comme intermédiaire entre les deux pays.

Le directeur par intérim de Naftogaz avait prévu une réunion mercredi matin avec le président Iouchtchenko mais cette rencontre a été annulée. Quant à Timochenko, elle se trouvait mercredi à Paris.

http://fr.news.yahoo.com/4/20090304/twl-ukraine-naftogaz-bd5ae06.html

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