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TimTR

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Messages posté(e)s par TimTR

  1. Hm je serais pas trop pour le transfert de régiments d'une brigade à une autre. Surtout dans un contexte où elles sont l'échellon interarme. Les hommes des différents régiments d'une même brigade doivent finir par se connaitre plutôt bien, et on est au delà de l'anecdote. Pour apporter quelques éléments dont on tient de plus en plus compte en économie internationale par exemple, la création totalement informelle de réseaux facilite la confiance, la diffusion d'information, réduit les coûts de transaction et est un facteur de création de valeur. Ici, ça aurait un impact sur la confiance et la cohésion des unités, leur capacité à travailler ensemble, s'appuyer mutuellement, sur la diffusion des meilleurs pratiques au sein de la brigade etc.

    Bouleverser la composition des brigades auraient un effet extrêmement négatif, au moins à court terme, et il est difficile de dire combien de temps il faudrait pour que cet effet se résorbe. Je suis pas sur que le jeu en vaut la chandelle même si je vois l'intérêt que peuvent avoir des brigades marine/alpine/légion.

    D'ailleurs, l'idée de dissoudre le 110°RI et de le remplacer par le 1°RI au sein de la BFA est juste le pire des gaspillages. La 110 a accumulé au cours des années tout un tas de connaissance, façons de faire, réseaux etc. qui ne seront pas transférables et qui disparaîtront avec le régiment. Puisqu'il a été décidé de pas toucher à la BFA, il aurait fallu aller jusqu'au bout de la logique et pas toucher au 110°RI. Là c'est mettre hors de combat la brigade (qui certes risquait pas d'être employé en tant que telle de sitôt). 

    De la même manière, le 2°REG a accumulé des années à travailler/combattre avec les Alpins (prêt à parier que c'est le régiment qui aura déployé le plus de monde en Astan par rapport à sa taille), et un éventuel "RGA" aura besoin d'une décennie pour refaire le même chemin. En plus les transfert d'unités risquent de provoquer des frictions du style la 9°BIMa qui souhaiterait que le 21°RIMa adopte ses procédures dans tel domaine et le 21°RIMa qui tient à continuer à faire comme avant parce que ça fonctionne.

     

    Au niveau des brigades, il y a vraiment qu'une chose à faire amha, c'est de continuer de rapprocher géographiquement et opérationnellement (entraînements, déploiement commun type épervier etc.) les régiments d'une même brigade. 

    Là où je vois éventuellement un besoin de ré-articulation, c'est du coté des 3 régiments de  XL. A la rigueur autant avoir un régiment un peu plus gros dans chaque brigade, que 2 dans l'une et 1 seul dans l'autre. Et puis avec un peu d'imagination, on peut trouver un moyen de garder les traditions et les drapeaux de chaque régiment, un peu comme au 1ier RTir.

     

    Pour la 11°BP, j'aurais tendance à être d'accord. Après tout au Mali, le GTIA TAP y ait allé sans un seul véhicule (en dehors des engins du génie parachutés ici ou là) et ils ont pourtant été utilisé pour déborder l'ennemie. C'est vraiment qu'une question d'utilisation.  Soit on les utilise comme une brigade d'infanterie légère faite pour être aéro/héli-portée/larguée, soit c'est qu'une brigade comme une autre ce qui est du gaspillage. Une possibilité d'évolution, puisqu'il n'y aurait plus besoin de s’entraîner au combat "embarqué", serait d'étendre le système de spécialisation des compagnies du REP(montagne, ZUB, amphibie et pourquoi pas d'autres domaines si pertinents) aux autres régiments de la brigade.

     

    Pour la 13°DBLE, c'est limite anecdotique mais je la verrais bien revenir en Afrique pour être un peu au Tchad ce que le 5°RIAOM est à Djibouti maintenant.

    Avec juste un EMT (niveau GTIA) et une COMOTO. Elle serait à dominante Légion, en mission de longue durée et un peu à mi-chemin entre une compagnie de combat classique et un escadron d'aide à l'engagement (par exemple 2 section de combats et une section d'appuie (groupe TE, groupe Mo81, groupe sapeur) sur un mixte de VAB/VLRA et un peloton d'intervention anti-char sur VBL/VABC20).  La composante terre du dispositif épervier actuel viendrait se greffer dessus (une compagnie d'infanterie, un escadron blindé, une section génie et une batterie Mo120, qui reste en mission de courte durée et qui sont pas Légion sauf hasard des rotations). En fait pour la composante terre, on ne parlerait plus d'épervier mais de 13°DBLE.

     

    Voilà juste quelques idées que j'avais en tête. ça vaut juste les pixels nécessaires à leur affichage.

  2. ben sa peu arriver ,même au meilleurs journaliste ailleurs dans le monde ;) .

     

    surtout avec si peu d'éléments(source/information concrète )  que pourraient récupéré des journalistes n'étant pas sur les lieux .

     

    il vaut mieux être très prudent je pense ...

    On peut en effet penser à la tonne métrique de conneries que les journaux du monde entier ont sorti sur l'intervention par les Algériens lors de la prise d'otage d'In Amenas.

     

    Par contre les questions que je me pose:

    - s'ils veulent juste flinguer 2 journalistes, pourquoi ne pas l'avoir fait dans Kidal même ? A la rigueur l'effet psychologique sur la population aurait été pire puisque l'on ne saurait pas s'ils sont toujours dans la ville et si ils allaient repasser à l'acte.

     

    - Comme P4 l'a souligné, leur plan était suffisamment bon pour au moins localiser leurs cibles, exécuter l’enlèvement et échapper à la poursuite, donc pourquoi pas garder les otages, quitte à les exécuter plus tard avec tout le decorum ? 

     

    C'est clair qu'il manque encore quelques éléments clefs. Peut-être que le groupe de recueille a manqué le rdv, obligeant le groupe d’enlèvement à liquider les otages, abandonner le véhicule et s'échapper à pied vers une cache dans le désert à proximité en attendant que les choses se calment.

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  3. Il y aurait maintenant 2 SGTIA à Kidal (celui du 126°RI fourni par Epervier  et soit celui du 3ème RIMa, soit celui du 92°RI) et vu la taille du bled, ça devrait suffire. Par contre, plus de réserve au Tchad, et Il doit rester un SGTIA et un EAE pour tout le reste du pays, alors même qu'une opération d'envergure était menée à Gao il y a une semaine. ça fait peu, si l'objectif est non seulement de tenir les villes mais aussi de repousser/détruire les groupes djihadistes.

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  4. Page 4 et 6

    http://www.ffs.fr/pdf/reglements/REGBIATH/FFSreg-biat1c.pdf

    L’athlète peut la garder chez lui, la législation n'impose pas de mesure de sécurité particulière (coffre fort et autre), juste de la déclarer en préfecture. Pour le transport, permis mais seulement pour motifs valables (entraînements, compétitions, l'amener dans une armurerie), et ce qui "prouve" cette validité, c'est la possession de la carte de la fédération.

    Pour l'achat, un peu plus compliqué, il faut faire une demande de certificat auprès de la FFS. Enfin ça c'est ça la théorie parce que j'en ai vu changer de main sans tout ce bazar. 

     

     

    ah et puis pour les silencieux, c'est aussi un bon de truc de red-neck que de récupérer un cylindre quelconque et d'en faire un suppresseur avec plus ou moins de succès . Plutôt moins que plus si je devais me baser sur quelques rares observations.

    (l'idée semble être de pouvoir faire tirer sa copine sans que le fusil lui déboîte l'épaule et perce les tympans)

  5. Si ce fut un fiasco, pourquoi les cribler de balles? Est ce une exécution version n'importe comment, ou bien ont il criblé les deux journalistes pendant qu'il aurait pu essayé de s'enfuir.

    hm d'après le NYT, ils ont été égorgé mais je doute de la qualité de leur source. D'après le Monde, la journaliste aurait reçu 3 balles dans la poitrine, et le technicien deux dans la tête. Je pense que le "criblé de balle" est relatif.

    Bref ça ressemble quand même à une exécution.

    Quelqu'un à des nouvelles du véhicule ? Était-il en panne ou pas ?

     

    http://www.nytimes.com/2013/11/03/world/africa/two-french-journalists-are-kidnapped-and-killed-by-gunmen-in-mali.html?ref=africa&_r=0

  6. Pour que ça vaut, la convention qui régit ça: http://fr.wikipedia.org/wiki/Convention_sur_certaines_armes_classiques

    Le protocole III en l’occurrence. A noter que les ROE en Afghanistan sont en général plus restrictives que le protocole.

    Et qu'il y a ambiguïté sur l'utilisation du phosphore blanc. 

    Ce que j'en retire, c'est que déclencher un tir d'efficacité sur une zone urbaine à coup de WP=> plutôt illégal. Utiliser ces mêmes obus sur les même coordonnées pour éclairer ou masquer la progression de troupes amies en zone urbaine => plutôt légal quand bien même des civils seraient atteints de manière collatéral. 

     

    ce que je dénonce c'est le fait que l'on ait présenté un fumigène, comme une innommable arme incendiaire (phosphore blanc toussa...)

     

    Je t'invite quand même à taper sur google image "brûlure phosphore blanc".

  7. Pour finir la rationalisation de la lutte AC dans les RI, il serait peut-être bon soit de retirer le groupe milan de la section d'appuie, soit de supprimer la Section Anti Char.

    Si je ne me trompe pas, il y a actuellement 2 Milan par compagnie et 6 de plus à la CEA pour un total de 14 ?

    Combien de lanceur moyenne portée un régiment a t-il réellement besoin ?

     

    Pour les STE, ils sembleraient que certaines aient résisté à la dernière réforme.

  8. Il reviendra au secrétaire général de l'Elysée, Pierre-René Lemas, de prévenir le directeur de la DGSE de la solution retenue. Selon nos informations, l'argent a été prélevé sur les fonds secrets alloués aux services de renseignement. La somme a été acheminée par la DGSE jusqu'à Kidal puis remise à Mohamed Akotey et aux hommes d'Amarante. Les services français apportent la logistique (voitures, armes, hélicoptères, avion). Amarante fournit les contacts locaux.

     

    J'aime bien Le Monde mais va falloir qu'il m'explique comment ils sont au courant de l'utilisation des fonds secrets de la DGSE. Il y a des chances qu'il faille plutôt regarder du coté des assurances effectivement. Après la DGSE a peut-être avancé les fonds, on le saura en lisant les mémoires de XXX dans 10 ans.

     

    Pour revenir sur le paiement de la rançon, j'aurais comme tout le monde ici préféré qu'ils soient libérés par une opération militaire ou qu'ils s'évadent mais bon ils ont quand même passé 3 ans en captivité donc je suis pas non plus choqué par le paiement. Après faudrait voir aussi ce qu'inclue "l'accord". Ces 20M peuvent même être l'enveloppe totale mis à disposition pour la transaction, donc ça peut inclure les intermédiaires, les frais divers pour la "mise en place", les otages, etc. Certains articles parlent aussi d'une immunité accordée à certains rebelles. Donc ça peut aussi faire partie d'un accord plus large pour détacher certaines factions de la rébellion.

     

    Et pour remettre les choses dans leur contexte, non la France ne se laisse pas rouler dessus en payant systématiquement les rançons. On doit même finir par avoir une réputation de mauvais payeur dans le milieu. Dans ce cas, il a quand même fallu 3 ans avant que la transaction ait lieu. Dans un autre cas, on a payé puis tenté de reprendre la rançon, dans quelques autres cas, nos FS sont intervenus sans qu'il y ait tentatives de négociations...

    Si on fait les compte, prendre des otages français, ça peut en effet payer mais ça va prendre du temps, il n'y a pas de garantie et le risque de retour de bâton est élevé.

  9. Je comprends pas vraiment l'attitude du Col.Goya. Résumer l'histoire de l'adt en 10 batailles est un exercice casse gueulle, donc un peu d'indulgence. 

    Maintenant, je trouve que la liste pourrait être un peu améliorée.

    Par exemple:

     

    - Marignan : je garde.

    - J'ajoute Malplaquet. A mes yeux, la bataille la plus importante de l'histoire de France. Entre l'appel du Roy à la "nation" lu dans toute les églises de France et le caractère épique de la bataille elle-même, domage de passer à coté

    - Valmy pour la Révolution Française : j'hésite, mais je garde.

    - Siège de Dantzig: je vire. Je le connaissais pas y a encore 5 minutes et j'y vois rien d'extra. et le 1ièr empire est déjà représenté.

    - Wagram pour le Premier Empire. je garde. Ou remplace par une autre des très nombreuses victoires du 1ère empire, c'est pas le choix qui manque.

    - Puebla pour le Second Empire: je remplace par l'Alma ou le siège de Sébastopol

    - Bazeilles pour la guerre de 1870-1871: je garde, une belle page de gloire pour la division bleue. 

    - Verdun pour 1914-1918. Pourquoi pas.

    - Garigliano pour 1939-1945. Je garde. Rupture de la ligne Gustave et ensuite l'exploitation "rustique" de la percé, que du positif.

    - Dien Bien Phu pour l'Indochine. Là quand même c'est c**. Il pouvait pas prendre d'une des victoires de De Lattre ?  Vinh Yen par exemple ?

    - Opex: je remplace par Bataille de l'Adrar des Ifhogas. C'est un peu tôt mais après tout pourquoi pas. Entre l'effort logistique, la performance des soldats, la variété, quantité et qualité des moyens employés, c'est vraiment une bataille (de taille modeste certes) et surtout c'est quand même mieux qu'un sigle à la con signifiant opération extérieur. 

  10. Parmi les questions qui me taraudent le plus:

     

    Comment les légionnaires se relayaient-ils au combat ?

    A la manière de la série Rome ? Pourquoi pas en effet, mais ça ne peut marcher qu'au sein d'une même centurie a priori.

    Mais comment les unités de la 2ème ligne entraient-elles dans la bataille ? Dans les Commentaires, Caesar nous décrit quasiment toujours la 1ière et 2ème ligne comme un seul bloc. ça fait longtemps que je ne les ai plus relu, mais je pense entre autre à la bataille contre les Helvetes en 58, contre les Germains en 57 et à Pharsale en 47. Dans les deux derniers cas d'ailleurs, il lui a été nécessaire de faire intervenir la 3ème ligne pour renforcer la 2nde. Comment les cohortes montantes procédaient-elles pour engager le combat alors que deux lignes entières se trouvaient a priori entre elles et l'ennemie ?

    Certains disent: ils devaient passer par les intervalles entre les cohortes des deux premières lignes. Mais existaient-ils vraiment ? Ne servaient-ils qu'à la manœuvre et étaient-ils fermés juste avant le contact ? Quelles taillent faisaient ces intervalles ? Permettaient-ils le passage d'une centurie/manipule/cohorte de front en formation en ligne ou en colonne ?

     

    D'ailleurs comment l'ennemie réagissait-il face à ces intervalles (en supposant qu'ils existent) ? Ne voudrait-il pas les utiliser ? Après tout obtenir la rupture dans la ligne romaine était l'effet recherché par l'ennemie, alors si cette rupture existe déjà, pourquoi ne pas l'exploiter ? A cause de la présence  d'unités "hors rang" tels que les "antesignani" ? A cause des cohortes de la 2ème ligne qui auraient été disposé de manière à les couvrir ? Mais dans ce cas, ces cohortes n'étaient pas aligner sur celles de la 1ière ligne, donc comment se passait la relève ?

     

     

    A tout hasard, j'ai souvenir d'avoir lu il y a au moins 10 ans, une thèse doctorale portant sur la partie "militaire" des livres de Tacite. En somme, l'auteur avait extrait/mis bout à bout tout les fragments de Tacite donnant des précisions sur l'armée romaine et les avaient analysés. En tout cas, c'est comme ça que je m'en rappel et j'aimerais bien pouvoir la relire, mais je suis incapable de la retrouver :/ Je sais qu'elle est quelque part sur internet mais c'est tout. Quelqu'un connait-il cette étude ?

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  11. Point de situation de l'EMA:

    http://www.ri1.terre.defense.gouv.fr/operations/actualites/point-sur-les-operations-de-la-force-serval-depuis-le-jeudi-17-octobre-18h00-jusqu-au-jeudi-24-octobre-18h00

    On y apprend entre autre que :

    Le 20 octobre, la compagnie du 126e régiment d’infanterie (126e RI) en provenance de la Force Epervier et déployée temporairement à Kidal, a conduit une opération de reconnaissance sur l’axe logistique majeur Kidal-Anefis, ainsi que sur les axes secondaires. Elle a par ailleurs contribué au contrôle de la zone en conduisant des patrouilles dans différentes zones. Cette opération a permis d’entretenir le contact avec la population et, là encore, d’approfondir la connaissance de la zone d’action.

     

    En tout cas, il reste suffisamment à faire pour que l'on continue à utiliser les forces prépositionnés en Afrique. 

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  12. Cet accès fut crucial en permettant aux forces assiégées dans le périmètre de Busan de contrer plusieurs offensives et de tenir jusqu'au débarquement d'Incheon en septembre.

     

    petite faute de frappe je pense: Pusan et pas Busan.

    En tout cas, intéressant le morceau sur l'interception des comms civiles chinoises, j'étais pas au courant.

  13. Par contre si je ne m'abuse celui du Rafale (et le reste de la gamme de GIAT), bien qu'étant mono-tube est par contre à culasse rotative. Un peu comme un revolver dont le barillet se rechargerait automatiquement. C'est un plutôt bon compromis puisqu'il permet quand même une cadence très élevée (2500 cps/m sur le Rafale) pour un poids plutôt modeste puisqu'il n'y qu'un canon contre 5,6 ou 7 pour les vulcans&co

  14. mouaif, il doit y avoir confusion sur les unités.

    Un groupement de forces spéciales de 800 hommes, c'est beaucoup mais possible.

    Par contre le renfort de 200 SAS évoqué par l'article, c'est l'équivalent de 3 Squadrons (sur 4)...Sachant qu'un Squadron est toujours d'alerte et des petits détachements déployés ici ou là, ça voudrait dire un taux d'emploie de littéralement 100% 

  15. Merci pour les photos !

     

    Pour le 417, je dirais que c'est pas parce que c'est du 7.62 OTAN que c'est une arme d'appui. Surtout dans cette configuration avec ce type de bipied rétractable et une lunette à grossissement variable de 1 à 4.

    J'ai un peu l'impression que la CCT s'est décidé pour une organisation en binômes de transmetteurs dont l'un est équipé dans SCAR L et l'autre d'un 417. Un peu étonnant d'avoir 2 armes différentes, de 2 calibres différents, mais pourquoi pas. Comme ils doivent pas être vraiment supposé faire le coup de feu, j'imagine que c'est plus pour leur propre protection et donc pour augmenter la taille de leur bulle de sécurité. Uniquement des conjectures, mais ça serait plutôt logique.

     

    Un petit détail qui a attiré mon attention, c'est le viseur holographique sur un Glock. Je vois ça régulièrement pour le tir sportif, mais c'est la première fois que j'en vois l'application militaire. 

  16. J'aime vraiment pas le jetable. Ce que j'aime bien par contre avec l'Alcotan, c'est la diversité des munitions: 

    • Large set of warheads: anti-tank, dual-purpose (anti-armour+fragmentation),

    wall breaching, anti-structure, anti-bunker, multi-purpose with impact or air-burst fuzes
    Avec la conduite de tir qui a l'air d'être bien fichu, c'est parfait pour le combat d'infanterie. Le tireur n'a plus qu'à régler la fusée, suivre les corrections données par le système et boom.
    Si seulement, ils avaient prévu que l'arme soit réutilisable/rechargeable au moins une vingtaine de fois en renforçant le tube...
     
    J'imagine qu'une nouvelle organisation possible serait: 1 tireur Alcotan dans chaque GdC qui passerait de 7 à 8 pax. Avec 3 Groupes identiques, et l'équipe de commandement qui bouge pas (CdS, SOA, Radio moins ses 2 TP une fois passée au FELIN magique), on a 27 pax débarqués + 6 conducteurs/radio-tireurs pour les 3 VBMR. Total 33...
  17. "je pense que les hommes de ses unités d'élite au sein des régiment ont pas tous forcément l'envie de passé chez les FS (on peu avoir le profil commando et pas disons FS question esprit )"

     

    Peut tu expliquer cette phrase ? Surtout sa: "on peu avoir le profil commando et pas disons FS question esprit"

    Je sais pas si c'est à ça que Gibbs fait allusion, mais rejoindre les FS implique de quitter son régiment et de recommencer de 0.

    Rejoindre une unité "commando" (SAED, GCP, EOP, DINOPS, etc.**je tiens à préciser que je suis conscient de l'extrême hétérogénéité de ces unités, je les compare pas entre elles, je dis juste qu'elles ont au moins un point commun =>**), c'est rester dans le cadre de son régiment, rejoindre des soldats avec qui on a pu travailler au cours d'exercice ou d'opex, que l'on côtoie sur la base, et pour faire grosso modo la même chose qu'avant, mais à un niveau disons plus élevé etc.

    Certaines de ces unités sont pourtant très sélectives et requièrent parfois des stages communs avec les FS (exemple des plongeurs des l'armée de terre et des plongeurs de combat du génie).

     

    De la même manière, ces unités seront plutôt employés au sein d'un GTIA armée par leur régiment, alors que les FS... donc pour un soldat motivé mais qui ne souhaite pas s'éloigner de ceux avec qui il a éventuellement été déjà déployé, ces unités peuvent paraître plus attrayantes.

     

    Et c'est évident que les changements à venir dans l'AdT vont avoir un gros impact en terme de vivier de recrutement aussi bien pour les FS que pour les unités commandos des régiments et brigades.

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  18. Si tout ça se concrétise vraiment, c'est les FS terre qui vont être contentes. Pleins de jeunes soldats ayant connu de l'action, dont une certaine proportion qui en redemande, mais a priori moins d'opportunité dans la régulières... ça va faire un paquet de candidats.

     

    Pour Djibouti, que l'on réduise la voilure étant donné le contexte africain et la nécessité de faire des économies, je comprends parfaitement, mais de là à dissoudre le 5°RIAOM, c'est triste.

    Tout ces sous groupements tactiques disséminés en Afrique, couplé au dispositif Guépard, ont prouvé plein de fois leur utilité.  En particulier Épervier, la 13° et le RIAOM...

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