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Kerloas

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Messages posté(e)s par Kerloas

  1. Il y a 4 heures, Patrick a dit :

    Oui, voir ces vieux jets français être chinés comme de la porcelaine du XIXeme a un côté surréaliste.

    J'aurais plutôt dit comme de la porcelaine du XVIIIe siècle, qui elle peut valoir de l'or.

    La comparaison n'est toutefois pas hasardeuse : c'est un matériau extrêmement solide, soyeux et durable... :happy:

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  2. Séquence détente :

    Citation

    Turquie et Grèce se promettent de coopérer davantage face à la guerre en Ukraine

    Istanbul - Le président turc Recep Tayyip Erdogan et le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis ont dit dimanche vouloir "se concentrer sur ce qui les unit" plutôt que sur les sujets qui les opposent, dans le contexte de la guerre en Ukraine.

    Erdogan avait saisi l'occasion d'un déplacement du Premier ministre grec auprès du patriarche Bartholomée Ier de Constantinople, primat des églises orthodoxes dont celle de Grèce, pour l'inviter à déjeuner dans sa résidence présidentielle d'Istanbul. 

    "La réunion s'est concentrée sur les avantages d'une coopération accrue entre les deux pays", tous deux membres de l'Otan, au vu de "l'évolution de l'architecture de sécurité européenne", a indiqué la présidence turque à l'issue de la rencontre de deux heures, achevée autour de 16H15 (13H15 GMT). 

    "Malgré les désaccords entre la Turquie et la Grèce, il a été convenu (...) de maintenir ouverts les canaux de communication et d'améliorer les relations bilatérales", a ajouté la présidence turque dans un communiqué, précisant que les deux dirigeants ont abordé, outre le conflit en Ukraine, leurs différends en Méditerranée orientale. 

    "Nous sommes confrontés à tant de défis actuellement (...) que le plus important est de se concentrer sur ce qui nous unit et moins sur ce qui nous divise", a déclaré de son côté à la presse le Premier ministre grec à l'issue de l'entretien. "Nous avons souligné la nécessité de construire un agenda positif". 

    Avant le déjeuner, M. Mitsotakis avait assisté à une célébration dans la cathédrale orthodoxe Saint-Georges, la principale de Turquie, à Istanbul. 

    Une étape hautement politique dans le contexte de la guerre en Ukraine: le patriarche de Constantinople a reconnu le statut "autocéphale", c'est-à-dire indépendant, de l'Eglise ukrainienne, déclenchant l'ire de la Russie. 

    - "L'angoisse au coeur" - 

    Bartholomée, qui a affirmé début mars "être une cible pour Moscou", a appelé au cours de la messe à un "cessez-le-feu immédiat sur tous les fronts" de la guerre entre la Russie et l'Ukraine, qu'il a dit observer avec "l'angoisse au coeur". 

    Le patriarche a également salué la "vigoureuse résistance" des Ukrainiens et "la courageuse réaction des citoyens russes". 

    La relation traditionnellement conflictuelle entre Athènes et Ankara s'est envenimée ces dernières années, en raison de tentatives turques de forages en Méditerranée orientale. 

    A l'été 2020, la Turquie avait voulu explorer des gisements d'hydrocarbures dans ces eaux disputées, mais la reprise en 2021 des pourparlers bilatéraux ont apporté une détente relative. 

    Ce "sommet gréco-turc intervient à l'occasion de la guerre en Ukraine, mais il sera évalué dans le cadre du dialogue gréco-turc entamé après la désescalade de la crise" de l'été 2020, a expliqué à l'AFP Antonia Zervaki, professeure adjointe de relations internationales à l'Université d'Athènes. 

    - Contribution au dialogue - 

    Mercredi, Kyriakos Mitsotakis s'était dit "disposé" à contribuer à ce dialogue d'"une manière productive d'autant plus que les deux pays sont préoccupés par les affaires régionales". 

    Comme l'ensemble de ses partenaires européens, Athènes a condamné fermement dès le 24 février l'invasion russe en Ukraine. 

    "Avec la perspective d'une guerre prolongée en mer Noire, les deux pays ont intérêt à améliorer leurs relations bilatérales", explique Sinan Ulgen, directeur du Centre des Etudes économiques et politiques à Istanbul. 

    Car "leur diplomatie - mais aussi dans une certaine mesure leur effort militaire - seront réorientés en fonction de cette crise entre l'Ukraine et la Russie", ajoute-t-il. 

    - Eviter une nouvelle "escalade" - 

    Pour Asli Aydintasbas, membre du Conseil européen des relations étrangères (ECFR), la guerre en Ukraine "peut avoir un impact positif sur les relations gréco-turques". 

    De part et d'autre de la mer Egée, les responsables ont compris que "le monde change et que la sécurité européenne est remise en cause d'une manière inimaginable il y a trois mois", observe l'experte. 

    "Le fait qu'on ait des différends ne veut pas dire, surtout dans cette conjoncture, qu'il ne faut pas discuter", avait indiqué M. Mitsotakis avant sa visite, sans cacher avoir "des aspirations mesurées et réalistes". 

    SourceL'Express

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  3. Il y a 3 heures, collectionneur a dit :

    @LunchTime 90 japonais ? Cela me fait tiqué vu que le quasi blocus qu'a imposé le Japon envers ses citoyens concernant les séjours a l'étranger pour cause de Covid.

    Voir ces papiers : 

    On trouve également quelques Sud-Coréens (dont des vétérans des FS à l'image de Ken Rhee (ex UDT/SEAL)) sur place malgré la mise en garde vigoureuse de leur gouvernement.

     

     

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  4. Il y a 5 heures, Chimera a dit :

    En somme, un clash entre les élites françaises souverainistes face aux elites pro-européennes. Pas rassurant dans le contexte actuel du SCAF quand on voit que Macron a de grandes chances d'être réélu, la faiblesse de Joel Barre et comment on force la main à DA...

    Le mandat du DGA actuel va bientôt prendre fin... et l'arrivée d'un Stéphane Reb pourrait rebattre certaines cartes concernant la direction et la gestion d'un tel programme. Mais il n'est pas l'unique prétendant.

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  5. Citation

    Leonardo, projects without Fincantieri

    Vetoes and crossed interests on the sale of Oto Melara, the Leonardo group company that produces cannons and armored vehicles for defense, on which Fincantieri has been aiming for months to get its hands. An operation that seemed all downhill given that Leonardo and Fincantieri are “cousins”: the first is in the hands of the Treasury for 30.2% and the second, through the operating arm Cdp Industria, for 71.3%. For the group led by Alessandro Profumo an opportunity to refocus the business towards the digitalization of processes and for Giuseppe Bono’s company (expiring in the spring after 20 years of reconfirmations) an opportunity to strengthen the military division as well as the civil one linked to the ship business.

    However, the plans were disrupted by Germans, French (and European interests), raising numerous political and trade union controversies. In fact, the age-old dichotomy between the protection of national interests and the free market returns to this game as well. This is because the offer of the Franco-Germans of Knds also arrived on Oto Melara. According to rumors, “there is talk of around 650 million”, a potentially higher value than what Fincantieri would like (and could) put on the plate, which, however, has not yet formally presented an official offer. The deadline is at the end of the month and, according to financial sources, Bono’s group would not have the resources for such an offer, if not going through a capital increase. The Germans, then, would have put on the plate – in addition to maintaining full employment – also the project for the new tank launched by Macron and Merkel: the MGCS euro tank which aims at a market worth 11 billion. Furthermore, the operation would be in line with the creation of a common European defense project to be built on the Italy-France-Germany triangle, and French President Emmanuel Macron would have talked about it for some time to Mario Draghi.

    Hence the political outcry with the League which asks that Oto Melara and Wass remain Italian and public property through the acquisition by Fincantieri as national strategic industrial assets. “The sale to foreign industrial groups would result in the loss of an industrial heritage that is fundamental for our country, also in terms of employment, and would prevent the creation of synergies and cooperation in Europe that remain viable only if Italy maintains control over the system national defense industry, ”commented deputy Roberto Paolo Ferrari, head of the League’s Defense Department. “Concern and no to the sale of production sites” also by the trade unions.

    The fact is, however, that there are various interests behind this operation. In addition to Italy’s role in the European defense plan, there are also strictly industrial ones with Leonardo aiming to increase collaboration with Germany after having acquired 25% of Hensoldt, a German group leader in radar and surveillance sensors. On the other hand, neither the French nor the Germans contribute to cooperation in the European defense sector except by giving up minority packages. And recent history shows that the French cousins have already made an important trip to Fincantieri with the merger with Naval Group which failed despite years of promises and commitments.

    Sourcehttps://www.ilgiornale.it/news/economia/leonardo-progetti-senza-fincantieri-1988983.html

    Citation

    Les informations relayées par plusieurs médias qui n'ont jusque là pas été confirmées par le groupe franco-allemand prêtent à celui-ci l'intention d'acquérir deux des filiales mises en vente par la firme italienne Leonardo. KNDS aurait exprimé son intérêt pour Oto Melara et Wass, la première étant spécialisée dans la fabrication d'armements et de tourelles de moyen et gros calibres tandis que la seconde est spécialisée dans la conception d'équipements sous marins. Dans le domaine terrestre, Oto Melara constitue avec Iveco le consortium CIO en charge de la fabrication du Centauro, du char Ariete C1 et des tourelles HitFist. L'opération qui a peut être été évoquée pendant la rencontre entre Mario Draghi et Emmanuel Macron qui s'est déroulée ce jour, ne serait pas sans conséquence sur les programmes d'armement italiens en cours ? Elle pourrait constituer une tentative de rééquilibrage du programme MGCS aux dépens de Rheinmetall, avec la prise de contrôle par KNDS d'un des acteurs majeurs de l'armement terrestre en Italie, élément incontournable d'une participation italienne au projet franco-allemand. Après la signature du partenariat EuroTrophy concurrent direct du StrikeShield de Rheinmetall, KMW pourrait profiter de cette acquisition pour marginaliser la firme de Düsseldorf au sein du programme MGCS.

    Sourcehttps://blablachars.blogspot.com/2021/11/ca-bouge-dans-larmement-terrestre.html

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  6. il y a 6 minutes, Paschi a dit :

    Quelle légitimité pour le référendum s'il y a une forte abstention ? Si les indépendantistes s'abstiennent massivement au contraire de ceux opposés à l'indépendance, le résultat ne fait aucun doute. La 2e moitié de décembre risque d'être plus que tendue en Nouvelle Calédonie.

    Ce n'est pas « le » référendum, mais plutôt « le troisième » référendum. 

    La fin de l'année ne devrait, en toute logique, pas être tendue car le Covid sera encore là. Pas de panique. :rolleyes:

  7. Le détail : FOB - La République tchèque acte son entrée dans le “club CAESAR

    Avec à la fin :

    Citation

    La belle aventure ne devrait pas s’arrêter là pour le CAESAR, désormais vendu à 350 exemplaires de par le monde. La France peaufine une commande supplémentaire pour 32 pièces de nouvelle génération, que le nouveau PDG de Nexter, Nicolas Chamussy, espère concrétiser « dans quelques semaines ». La Belgique pourrait inclure une dizaine de pièces dans un contrat « CaMo 2 ». Le CAESAR ressort également d’une démonstration réussie sur le sol américain et est un candidat sérieux au remplacement des systèmes M109 en Suisse et AS90 au Royaume-Uni.

     

     

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  8. il y a une heure, capmat a dit :

    La France est très concernée par tout les couloirs de communications qui la relie à l'Indo-Pacifique et la voie Méditerranée-Mer Rouge en est la principale.

    Jusqu'à penser (réfléchir) à ça...?

    N'ayant pas accès au papier, j'ignore les pensées et perspectives exactes entourant cette potentielle idée.

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  9. Cabirol avance que « Trois corvettes Gowind (plus une en option) sont également en négociations. Ce volet n'a pas pu être concrétisé mardi matin. », chiffre (logique) qui n'a pas été mentionné par Grandjean tout à l'heure.

     

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