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Il y a 4 heures, Patrick a dit :
Oui, voir ces vieux jets français être chinés comme de la porcelaine du XIXeme a un côté surréaliste.
J'aurais plutôt dit comme de la porcelaine du XVIIIe siècle, qui elle peut valoir de l'or.
La comparaison n'est toutefois pas hasardeuse : c'est un matériau extrêmement solide, soyeux et durable...
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il y a 21 minutes, Banzinou a dit :Un char russe en mauvais posture à Marioupol
Je me permets de le dire, mais je ne pense pas qu'on soit obligé de transférer toutes les images provenant de Twitter (surtout lorsque des cadavres volent). Il y aura dans tous les cas un doublon de la chose dans la page qui suit.
Ça n'engage que moi et ce n'est pas à prendre personnellement.
il y a 14 minutes, Colstudent a dit :Je comprend pas avec tout le recul des conflits du XX ième siècle on puisse voir un char seul dans un environnement urbain... Quand y aura plus rien ils vont commencer à faire une stratégie plus économe ?
Il y a(vait) un second MBT derrière, lui aussi rincé.
Sinon : Présentez-vous
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Séquence détente :
CitationTurquie et Grèce se promettent de coopérer davantage face à la guerre en Ukraine
Istanbul - Le président turc Recep Tayyip Erdogan et le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis ont dit dimanche vouloir "se concentrer sur ce qui les unit" plutôt que sur les sujets qui les opposent, dans le contexte de la guerre en Ukraine.
Erdogan avait saisi l'occasion d'un déplacement du Premier ministre grec auprès du patriarche Bartholomée Ier de Constantinople, primat des églises orthodoxes dont celle de Grèce, pour l'inviter à déjeuner dans sa résidence présidentielle d'Istanbul.
"La réunion s'est concentrée sur les avantages d'une coopération accrue entre les deux pays", tous deux membres de l'Otan, au vu de "l'évolution de l'architecture de sécurité européenne", a indiqué la présidence turque à l'issue de la rencontre de deux heures, achevée autour de 16H15 (13H15 GMT).
"Malgré les désaccords entre la Turquie et la Grèce, il a été convenu (...) de maintenir ouverts les canaux de communication et d'améliorer les relations bilatérales", a ajouté la présidence turque dans un communiqué, précisant que les deux dirigeants ont abordé, outre le conflit en Ukraine, leurs différends en Méditerranée orientale.
"Nous sommes confrontés à tant de défis actuellement (...) que le plus important est de se concentrer sur ce qui nous unit et moins sur ce qui nous divise", a déclaré de son côté à la presse le Premier ministre grec à l'issue de l'entretien. "Nous avons souligné la nécessité de construire un agenda positif".
Avant le déjeuner, M. Mitsotakis avait assisté à une célébration dans la cathédrale orthodoxe Saint-Georges, la principale de Turquie, à Istanbul.
Une étape hautement politique dans le contexte de la guerre en Ukraine: le patriarche de Constantinople a reconnu le statut "autocéphale", c'est-à-dire indépendant, de l'Eglise ukrainienne, déclenchant l'ire de la Russie.
- "L'angoisse au coeur" -
Bartholomée, qui a affirmé début mars "être une cible pour Moscou", a appelé au cours de la messe à un "cessez-le-feu immédiat sur tous les fronts" de la guerre entre la Russie et l'Ukraine, qu'il a dit observer avec "l'angoisse au coeur".
Le patriarche a également salué la "vigoureuse résistance" des Ukrainiens et "la courageuse réaction des citoyens russes".
La relation traditionnellement conflictuelle entre Athènes et Ankara s'est envenimée ces dernières années, en raison de tentatives turques de forages en Méditerranée orientale.
A l'été 2020, la Turquie avait voulu explorer des gisements d'hydrocarbures dans ces eaux disputées, mais la reprise en 2021 des pourparlers bilatéraux ont apporté une détente relative.
Ce "sommet gréco-turc intervient à l'occasion de la guerre en Ukraine, mais il sera évalué dans le cadre du dialogue gréco-turc entamé après la désescalade de la crise" de l'été 2020, a expliqué à l'AFP Antonia Zervaki, professeure adjointe de relations internationales à l'Université d'Athènes.
- Contribution au dialogue -
Mercredi, Kyriakos Mitsotakis s'était dit "disposé" à contribuer à ce dialogue d'"une manière productive d'autant plus que les deux pays sont préoccupés par les affaires régionales".
Comme l'ensemble de ses partenaires européens, Athènes a condamné fermement dès le 24 février l'invasion russe en Ukraine.
"Avec la perspective d'une guerre prolongée en mer Noire, les deux pays ont intérêt à améliorer leurs relations bilatérales", explique Sinan Ulgen, directeur du Centre des Etudes économiques et politiques à Istanbul.
Car "leur diplomatie - mais aussi dans une certaine mesure leur effort militaire - seront réorientés en fonction de cette crise entre l'Ukraine et la Russie", ajoute-t-il.
- Eviter une nouvelle "escalade" -
Pour Asli Aydintasbas, membre du Conseil européen des relations étrangères (ECFR), la guerre en Ukraine "peut avoir un impact positif sur les relations gréco-turques".
De part et d'autre de la mer Egée, les responsables ont compris que "le monde change et que la sécurité européenne est remise en cause d'une manière inimaginable il y a trois mois", observe l'experte.
"Le fait qu'on ait des différends ne veut pas dire, surtout dans cette conjoncture, qu'il ne faut pas discuter", avait indiqué M. Mitsotakis avant sa visite, sans cacher avoir "des aspirations mesurées et réalistes".
Source : L'Express
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Il y a 3 heures, collectionneur a dit :
@LunchTime 90 japonais ? Cela me fait tiqué vu que le quasi blocus qu'a imposé le Japon envers ses citoyens concernant les séjours a l'étranger pour cause de Covid.
Voir ces papiers :
- Volunteers flock to fight for Ukraine in pacifist Japan
- 70 Japanese heed Ukraine’s call to join fight against Russia
On trouve également quelques Sud-Coréens (dont des vétérans des FS à l'image de Ken Rhee (ex UDT/SEAL)) sur place malgré la mise en garde vigoureuse de leur gouvernement.
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il y a une heure, Titoo78 a dit :
@Alberas source stp ? Un lien vers l'ITW ou l'intervention complète de Trappier ?
Ça sera publié sur le compte Youtube de DA dans la journée.
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Le point de situation quotidien de GOYA :
CitationImpression générale : pause opérationnelle russe dans la région de Kiev avant attaque de la ville. Avancée russe lente sur le front du nord-Est entravée par la résistance de Kharkov. Front fixe sur le Donbass.
Effort russe au sud vers Marioupol et Zaporojie au détriment de la zone du Dniepr. Trois éléments russes en réserve : 35eA en Biélorussie face à l’ouest de l’Ukraine, force amphibie de la mer Noire, puissance de frappe à longue distance (missiles, LRM et artillerie lourde).
Situation :
Dispute du ciel : la suprématie aérienne russe n’est pas encore complètement établie. Les forces aériennes ukrainiennes sont encore capables d’effectuer quelques dizaines de sorties/jour et surtout la défense anti-aérienne ukrainienne a frappé plusieurs aéronefs russes
Kiev : conquête rapide de Kiev par les forces d’assaut par air suivies par la 36eA à l’Ouest et la 41e A au Nord a échoué. Opération mal coordonnée, surtout du côté de la 41eA stoppée à Chernihiv et souffrant de problèmes logistiques. Résistance Ukr sans doute + forte que prévu.
Infiltration de forces d’infanterie légères russes (TAP, spetsnaz, FS du FSB) au Nord-Est et pause opérationnelle pour les 36e et 41eA. La résistance de Chernihiv est fixée par un échelon de la 41eA tandis que l’autre contourne la ville pour aborder Kiev dans les prochains jours
Front Nord-Est : avancée de la 20eA sur autoroute 67 en direction de Kiev et contournement de Kharkov par la 1ère ABG (combats signalés à 70 km Sud-Est). Combats difficiles pour les forces russes mais progression.
Front du Donbass : les forces russes et les forces irrégulières s’efforcent surtout de fixer les forces ukrainiennes. Faible progression de la 8eA au nord de Louhansk, et effort de la 49eA vers Marioupol.
Front de Crimée : l’effort russe est clairement porté vers l’Est en direction de Marioupol et de Zaporojie, afin d'opérer la jonction avec la 1ère ABG et d’obliger les forces ukrainiennes face au Donbass à se replier.
Pas d’opération amphibie pour l’instant (contrairement à annonce), mais possible à l’Est comme à l’Ouest de la Crimée. Effort ukrainien à Mikolaïev et surtout à Kherson.
Tendances :
La situation va rester relativement peu évoluer pendant plusieurs jours dans la région de Kiev. Les combats principaux pourraient commencer en milieu de semaine.
La zone critique est plutôt l’axe Kharkov-Melitopol dont le contrôle dans les jours qui viennent (une semaine ?) entrainerait une rupture du front à l’Est du Dniepr et une possible défaite majeure pour les forces ukrainiennes.
Un engagement de la 35eA dans l’Ouest de l’Ukraine sur l’axe Rivne-Ternopil pourrait entrainer également une rupture opérationnelle et psychologique, en isolant définitivement l’Ukraine de toute aide extérieure.
Les possibilités de manœuvre ukrainienne sont pour l’instant limitées à la défense, efficace, de grandes zones urbaines, mais sans la possibilité, sauf très ponctuellement, de repousser les forces russes.
Remarque : on constate toute l’efficacité qu’aurait eu une défense de zone organisée à partir de nombreuses positions retranchées, de défenses de villes, de bataillons décentralisés d’infanterie légère bien formés et équipés de moyens antivéhicules et antiaériens, de mines, etc.
Tout cela était à la portée de l’Ukraine discrètement aidée par les puissances occidentales. Tout s’effectue désormais dans la plus grande improvisation, mais constitue peut être le prémisse d’une forme de résistance prolongée à une occupation russe. FIN
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Il y a 16 heures, Chimera a dit :Michael Schöllhorn parle EF, SCAF et autre. Si vous avez accès à l'article, je suis preneur.
Cadeau :
Révélation"Die Ukraine-Krise zeigt: Europa muss sich auf seine militärischen und wirtschaftlichen Fähigkeiten besinnen, sagt Michael Schöllhorn, Chef der Verteidigungssparte von Airbus – und erklärt, in welcher Rolle er Deutschland sieht."
"Herr Schöllhorn, Frankreichs Rüstungskonzern Dassault verkauft erst 80 Rafale in die Emirate und jetzt knapp 40 weitere der Kampfjets nach Indonesien. Bei beiden Geschäftsabschlüssen hat der französische Präsident kräftig die Werbetrommel gerührt. Werden Sie neidisch, dass die Konkurrenz mehr politische Unterstützung erfährt als Sie durch Berlin?
Deutschland hat beim Rüstungsexport nun mal eine andere Einstellung als Frankreich, vor allem, wenn es um Verhandlungen und Unterstützung auf Regierungsebene geht. Das ist bekannt. Aber wir sehen auch weiterhin Exportchancen für den Eurofighter.
In welchen Ländern rechnen Sie sich Chancen aus?
Wir haben die Zusage der spanischen Regierung, 20 zusätzliche Eurofighter zu bestellen. Der Auftrag wird hoffentlich dieses Jahr unterzeichnet. Es gibt weitere Exportchancen, auch außerhalb der Nato. Aber da ist es noch zu früh, konkrete Details zu nennen.
Wann endet Ihre Schonfrist für die neue deutsche Regierung mit Blick auf das Thema Rüstungsexport?
Die Bundesregierung hat verkündet, dass sie bis Ende März klären möchte, wie man mit Rüstungsexporten umgeht. Ich erwarte von ihr die Sicherstellung weiterer Kooperationsfähigkeit in Europa. Das gilt besonders für existierende Gemeinschaftsprogramme wie Eurofighter, aber auch für Zukunftsprojekte wie das Future Combat Air System (FCAS). Wenn die deutsche Seite zaudert, könnte der Export bei den Gemeinschaftsprojekten ja nach wie vor über die nicht-deutsche Seite laufen.
Was wäre so schlimm an einer solchen Arbeitsteilung?
Ganz so einfach ginge es nicht, denn die Wertschöpfung zwischen den Partnern ist klar festgelegt und daran orientieren sich die Exportrechte. Beim Eurofighter kommt ein nennenswerter Anteil aus Deutschland, so dass die Bundesregierung dem Export immer zustimmen muss. Auch beim FCAS-Projekt wird das nicht anders sein. Insofern wäre es gut, wenn hierzulande beim Thema Rüstungsexport rasch Klarheit herrschte.
Wie viel Klarheit herrscht bei FCAS schon mit Blick auf die Arbeitsteilung?
FCAS ist ein komplexes und technisch anspruchsvolles Programm. In Summe gibt es sieben Arbeitspakete. Davon sind bei sechs die Details geklärt. Beim Arbeitspaket über das Flugzeug, dem sogenannten „Next Generation Fighter“, sind wir uns mit Dassault bei Teilaspekten noch nicht abschließend einig. Das besprechen wir gerade.
Wo hakt es und wann ist mit einer Klärung zu rechnen?
Dassault hat die Führungsrolle beim „Next Generation Fighter“ bekommen. FCAS ist jedoch mehr als nur ein Flugzeug. In der Welt von morgen ist die Kommandozentrale als eine Art elektronisches Gehirn nicht allein im Flieger, sondern vor allem in einer militärischen Daten-Cloud zu finden. Hier kommen wir ins Spiel: Auf Airbus und seine Zulieferer entfallen mit den deutschen und spanischen Standorten zwei Drittel der Wertschöpfung und auch zwei Drittel des Budgets. Aber auch beim „Next Generation Fighter“ bringen sowohl Dassault mit der Rafale als auch wir mit dem Eurofighter wichtige Expertise ein. Alles, was wir in den Eurofighter investieren, fließt auch direkt in das FCAS-Projekt. Da sind einfach viele Details zu klären. Es ist wichtig und gut, dies alles am Anfang genau auszuarbeiten. Trotz der anstehenden französischen Wahlen würde ich nicht ausschließen, dass die Einigung im verbleibenden FCAS-Arbeitspaket vor Frühsommer gelingt. Die erste Bewährungsprobe für die sozialdemokratische Verteidigungsministerin Christine Lambrecht steht im März bevor, wenn über den Ersatz der veralteten Tornado-Flotte der Luftwaffe zu entscheiden ist.
Rechnen Sie sich gute Chancen aus, die 85 Jets durch moderne Versionen des Eurofighters zu ersetzen?
Ich bin guter Dinge, dass dem Eurofighter hier eine bedeutende Rolle zukommen wird. Schließlich verfügt der Eurofighter dank seiner Mehrrollenfähigkeit auch über die Eigenschaften eines Jagdbombers, die der Tornado hat. Die nötige elektronische Kampffähigkeit können wir bis zum Zieldatum schrittweise entwickeln, wenn wir beauftragt werden sollten. Hinzu kommt: Der Eurofighter ist seit Jahren im Einsatz bei der Luftwaffe, hat sich dort technisch bewährt. Was der Eurofighter jedoch nicht besitzt, ist die Lizenz, im militärischen Ernstfall jene nuklearen Waffen ins Ziel zu bringen, die die amerikanischen Streitkräfte in Deutschland lagern. Berlin zieht daher im Rahmen ihrer vereinbarten „nuklearen Teilhabe“ in Betracht, etwa 40 Tornados durch amerikanische Kampfjets vom Typ F-18 von Boeing oder F-35 von Lockheed-Martin zu beschaffen.
Hat der Eurofighter da noch eine Chance?
Die ausstehende Genehmigung ist keine unüberwindbare Hürde. Wir haben dem Verteidigungsministerium bereits 2018 ein Angebot vorgelegt, das eine Zertifizierung des Eurofighters als Träger der amerikanischen Atomwaffen vorsieht. Die Genehmigung durch die US-Behörden ist allerdings ein zeitraubender Vorgang und müsste in den nächsten Monaten starten, um die Tornados fristgemäß bis 2030 zu ersetzen. Falls diese Deadline verpasst wird, dann wären Fakten geschaffen, die den Kauf von amerikanischen Jets fast schon erzwingen.
Warum sollte sich Frau Lambrecht gegen die amerikanische Option entscheiden, wenn diese preislich günstiger erscheint als der Eurofighter und die Piloten der Luftwaffe ohnehin von den Flugeigenschaften der US-Jets schwärmen?
Den Vergleich des Einkaufspreises für einen Jet heranzuziehen, greift zu kurz. Es müssen auch immer die substantiellen Folgekosten für Service, Wartung sowie die teuren Updates für die Software-Programme der Flugzeuge berücksichtigt werden. Hinzu kommt, dass der modernisierte Eurofighter nicht nur Technologieträger für FCAS ist, sondern auch für eine dauerhafte Auslastung der Arbeitsplätze in Deutschland sowie in den Partnerländern und für europäische Autonomie sorgt – eine zentrale, auch deutsche politische Vorgabe. Ob Boeing oder Lockheed mit einem Auftragsgewinn Produktion oder Montage nach Deutschland verlagern, wage ich zu bezweifeln. Am Ende des Tages ist der Fähigkeitserhalt zur nuklearen Teilhabe im Rahmen der Nato insbesondere auch eine politisch, transatlantische Entscheidung und weniger mit Blick auf die Entwicklung zukünftiger, wegweisender Technologien zu sehen.
Wie viele Arbeitsplätze hängen hierzulande am Eurofighter und wie viele neue entstehen durch das FCAS-Projekt?
In Deutschland sind es insgesamt etwa 30.000 Arbeitsplätze bei Herstellern und Zulieferern, die gegenwärtig mit Entwicklung und Bau des Eurofighter-Kampfjets befasst sind. Über die gesamte Laufzeit des Programms von FCAS gesehen, könnte diese Zahl europaweit sechsstellig werden. Viele Lieferanten bauen ja für zivile und militärische Kunden in der Luftfahrt. Deshalb sind exakte Zahlen für Arbeitsplätze kaum zu nennen. Auch wenn das Gesamtbudget für das FCAS-Projekt langfristig eine dreistellige Milliarden Euro-Zahl erreicht, rechnen wir in der ersten Entwicklungsphase bis 2027 zunächst mit reinem Projektetat von 9 Milliarden Euro.
Zwingt die Ukrainekrise zur engen Rüstungskooperation in Europa?
Die Ukrainekrise hat mit Sicherheit das Potential, dass sich Europa mehr auf seine eigenen militärischen und industriellen Fähigkeiten besinnt. Unseren „way of life“, unsere westlichen Wertvorstellungen können nur wir dann nachhaltig leben, wenn Europa auch für seine eigene Sicherheit sorgen kann. Vergangene Krisen haben gezeigt: Diplomatie ist immer dann besonders wirkungsvoll, wenn sie von einer starken Verteidigungsfähigkeit der nationalen Streitkräfte untermauert wird. Keine Nation unter den europäischen Nato-Mitgliedern wird alleine das Geld und die Kraft haben, große Projekte in Zukunft ans Laufen zu bringen. Wenn man in Summe alle Verteidigungsbudgets von Europa zusammenlegt, Großbritannien eingeschlossen, erreicht man gerade mal die Hälfte des aktuellen amerikanischen Rüstungsetats. Gerade Deutschland ist im Kontrast zu Großbritannien oder Frankreich eine große Ausnahme. Hier wird das einst gegenüber der Nato zugesagte Ziel, rund 2 Prozent des Bruttoinlandsproduktes jährlich in die Verteidigung zu investieren, seit Jahren verfehlt. Es wird wohl noch Jahre dauern, bis die zugesicherte 2-Prozent-Marke tatsächlich erreicht wird. Gegenwärtig ist sogar mit einer Abschmelzung des deutschen Wehretats zu rechnen.
Was bedeutet das für die Finanzierung der deutsch-französischen Milliardenprojekte?
Der größte Teil des Etats fließt traditionell in Personalkosten. Der kleinere Teil ist für die Investitionen reserviert. Ich gehe davon aus, dass die laufende Finanzierung der großen Rüstungsprojekte weiterhin gesichert ist. Ein weiteres Gemeinschaftsprojekt neben FCAS ist die Eurodrohne.
Wie wichtig ist deren Entwicklung?
Nach vielen Fehlschlägen, was die Drohnenentwicklung in Europa angeht, ist sie ein extrem wichtiges Programm. Die Eurodrohne wird so konzipiert sein, dass sie auch im zivilen Luftraum fliegen darf – während die meisten anderen Drohnen heute nur unter Gefechtsbedingungen fliegen dürfen. Das hat den großen Vorteil, dass sie von überall starten kann und nicht erst in einer Kiste ins Einsatzgebiet transportiert werden muss. Aus militärischer Sicht sorgt das für mehr Flexibilität.
Sind FCAS und Eurodrohne aus technischer Sicht miteinander verbunden?
Die Eurodrohne wird Teil von FCAS sein, sich über die Daten-Cloud mit den anderen Systemteilen vernetzen und im Einsatz dabei helfen, Informationen zu beschaffen und Lagebilder zu erstellen.
Wie wichtig ist die Eurodrohne für Deutschland?
Die Endmontage aller Drohnen wird in Deutschland stattfinden. Als Führungsnation in dem Programm entfällt auch der größte Teil des Budgets von rund 7 Milliarden Euro auf Deutschland.
Wann hebt die Eurodrohne ab?
Vor kurzem hat auch Spanien sein Budget für das Programm freigegeben. Wir erwarten in den nächsten Wochen die Unterschrift unter den Hauptvertrag zur Eurodrohne. Dann beginnt die Entwicklungsphase. 2028 ist das Ziel für die Auslieferung der ersten Drohne. Die Bewaffnung der Eurodohne war ein Reizthema der letzten Jahre.
Ist dieser Konflikt beigelegt?
Alle Partnerländer jenseits von Deutschland sehen die Bewaffnung seit Langem als einsatztaktisch notwendig an. Deutschland hat sich diesbezüglich jetzt ebenfalls geäußert, auch im Koalitionsvertrag. Politisch ist daher der Weg frei, dass die Bewaffnung der Eurodrohne kommen kann. Wir als Industrie folgen den Vorgaben der Politik."
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Il y a 5 heures, Chimera a dit :
En somme, un clash entre les élites françaises souverainistes face aux elites pro-européennes. Pas rassurant dans le contexte actuel du SCAF quand on voit que Macron a de grandes chances d'être réélu, la faiblesse de Joel Barre et comment on force la main à DA...
Le mandat du DGA actuel va bientôt prendre fin... et l'arrivée d'un Stéphane Reb pourrait rebattre certaines cartes concernant la direction et la gestion d'un tel programme. Mais il n'est pas l'unique prétendant.
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Vente de Rafale: pour Emmanuel Macron, "la place stratégique de la France repose sur la confiance"
Trappier, Even et Al Hosani tout sourire :
RévélationC'est le vétéran Le Drian qui doit être content... sa permanence de l'action paie enfin.
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Citation
Leonardo, projects without Fincantieri
Vetoes and crossed interests on the sale of Oto Melara, the Leonardo group company that produces cannons and armored vehicles for defense, on which Fincantieri has been aiming for months to get its hands. An operation that seemed all downhill given that Leonardo and Fincantieri are “cousins”: the first is in the hands of the Treasury for 30.2% and the second, through the operating arm Cdp Industria, for 71.3%. For the group led by Alessandro Profumo an opportunity to refocus the business towards the digitalization of processes and for Giuseppe Bono’s company (expiring in the spring after 20 years of reconfirmations) an opportunity to strengthen the military division as well as the civil one linked to the ship business.
However, the plans were disrupted by Germans, French (and European interests), raising numerous political and trade union controversies. In fact, the age-old dichotomy between the protection of national interests and the free market returns to this game as well. This is because the offer of the Franco-Germans of Knds also arrived on Oto Melara. According to rumors, “there is talk of around 650 million”, a potentially higher value than what Fincantieri would like (and could) put on the plate, which, however, has not yet formally presented an official offer. The deadline is at the end of the month and, according to financial sources, Bono’s group would not have the resources for such an offer, if not going through a capital increase. The Germans, then, would have put on the plate – in addition to maintaining full employment – also the project for the new tank launched by Macron and Merkel: the MGCS euro tank which aims at a market worth 11 billion. Furthermore, the operation would be in line with the creation of a common European defense project to be built on the Italy-France-Germany triangle, and French President Emmanuel Macron would have talked about it for some time to Mario Draghi.
Hence the political outcry with the League which asks that Oto Melara and Wass remain Italian and public property through the acquisition by Fincantieri as national strategic industrial assets. “The sale to foreign industrial groups would result in the loss of an industrial heritage that is fundamental for our country, also in terms of employment, and would prevent the creation of synergies and cooperation in Europe that remain viable only if Italy maintains control over the system national defense industry, ”commented deputy Roberto Paolo Ferrari, head of the League’s Defense Department. “Concern and no to the sale of production sites” also by the trade unions.
The fact is, however, that there are various interests behind this operation. In addition to Italy’s role in the European defense plan, there are also strictly industrial ones with Leonardo aiming to increase collaboration with Germany after having acquired 25% of Hensoldt, a German group leader in radar and surveillance sensors. On the other hand, neither the French nor the Germans contribute to cooperation in the European defense sector except by giving up minority packages. And recent history shows that the French cousins have already made an important trip to Fincantieri with the merger with Naval Group which failed despite years of promises and commitments.
Source : https://www.ilgiornale.it/news/economia/leonardo-progetti-senza-fincantieri-1988983.html
CitationLes informations relayées par plusieurs médias qui n'ont jusque là pas été confirmées par le groupe franco-allemand prêtent à celui-ci l'intention d'acquérir deux des filiales mises en vente par la firme italienne Leonardo. KNDS aurait exprimé son intérêt pour Oto Melara et Wass, la première étant spécialisée dans la fabrication d'armements et de tourelles de moyen et gros calibres tandis que la seconde est spécialisée dans la conception d'équipements sous marins. Dans le domaine terrestre, Oto Melara constitue avec Iveco le consortium CIO en charge de la fabrication du Centauro, du char Ariete C1 et des tourelles HitFist. L'opération qui a peut être été évoquée pendant la rencontre entre Mario Draghi et Emmanuel Macron qui s'est déroulée ce jour, ne serait pas sans conséquence sur les programmes d'armement italiens en cours ? Elle pourrait constituer une tentative de rééquilibrage du programme MGCS aux dépens de Rheinmetall, avec la prise de contrôle par KNDS d'un des acteurs majeurs de l'armement terrestre en Italie, élément incontournable d'une participation italienne au projet franco-allemand. Après la signature du partenariat EuroTrophy concurrent direct du StrikeShield de Rheinmetall, KMW pourrait profiter de cette acquisition pour marginaliser la firme de Düsseldorf au sein du programme MGCS.
Source : https://blablachars.blogspot.com/2021/11/ca-bouge-dans-larmement-terrestre.html
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il y a 6 minutes, Paschi a dit :
Quelle légitimité pour le référendum s'il y a une forte abstention ? Si les indépendantistes s'abstiennent massivement au contraire de ceux opposés à l'indépendance, le résultat ne fait aucun doute. La 2e moitié de décembre risque d'être plus que tendue en Nouvelle Calédonie.
Ce n'est pas « le » référendum, mais plutôt « le troisième » référendum.
La fin de l'année ne devrait, en toute logique, pas être tendue car le Covid sera encore là. Pas de panique.
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Je ne crois pas l'avoir vu passer :
Témoignage d'un ancien équipier et instructeur Leclerc : https://alejandro-8en.blogspot.com/2021/01/interview-with-former-leclerc-crew.html
Citation4) AMX 30 had a 20 mm coaxial gun, while Leclerc moved back to a more standard 12,7 mm M2 machine gun. Did you consider it to be a good decision?
You cannot imagine how the French tankers loved the 20mm. But this gun was just too big to fit in the Leclerc turret. The choice of the 12.7 is not, for me, the best one. The 12.7 is still a big MG and the space in the turret is limited. That s why we have only 150 rounds ready to fire. It s a kind of nightmare to refill the ammunition box. It could have been a better choice to have a 7.62 coax with 2500 rounds.Citation5) You transitioned from a 4 crew tank to a 3 crew model with autoloader. What is your opinion on this device? Did the maintenance become more intensive because you lost 1 member? This was one of the reasons why the Leclerc was rejected by the UK.
The legend of more intensive maintenance with a crew of three is false. If you are well organized, everything is fine. Of course, when you have to work on the tracks it could be tricky because 1 track is 2.2 tons. But everything is about coordination and organization. For example, in Kosovo, my crew and me had to change the tracks 3 times in 2 days and it was done. As a tank crew member, you know that the maintenance is heavy. If you don t want that you must choose another job.Citation7) When training, what is the maximum distance at which you open fire? And the maximum speed when firing on the move? What is the typical rate of fire? Was there any time you missed the human loader?
The “blue” shell is a little less efficient than the real one that is why we fire the exercise (blue) HEAT at 2300m (average). We don t have any blue APFSDS in the French army, we only fire real APFSDS, mainly in Al Hamra, Live firing range in UAE. This firing range is wide and we are able to fire APFSDS at 3800m (average). The only limitation, in term of speed and rate of fire, is the skills of the crew.
I personally fired an APFSDS at 3400m with a speed of more than 55KM/H with my most experienced crew.
This is the weirdest thing about this tank : the limitations come from the crew, not from the MBT by itself.
I never missed my human loader except for the coffee and for preparing my MRE…lolCitation11) When performing exercises, what was the maximum distance you covered in a day? Were there any issues with the maintenance of the tank? What about the spare parts, any shortage?
Depends on your type of trainings and missions. You always cover more distance for offensive missions than defensive missions.
During Kosovo deployment, we were used as “light tanks” for controlling a huge area. We covered between 300 and 500kms per day without any problem. After 3 or 4 days of issues due to this heavy usage, the tanks got used of it and we did not have too much problem except the maintenance of the track pads. I was really surprised by the reliability of the Leclerc and it was a big and good surprise.
To maintain any heavy tanks, your logistic chain must be efficient. Let’s say it was not the case, and it is not still the case for the French army, even if it has improved these last years….Citation18) In the 90s France developed more advanced versions of Leclerc, including one with a 140 mm gun. Did you have the opportunity to see it? What is your opinion? What do you think should be improved for the MLU (Mid Life Upgrade)?
The MLU is on its way in France and the first batch could be delivered at the end of this year.
Many improvements are planned: protection (add-on armor, ventral protection, anti RPG protection), networking (SCORPION program), 7.62 RWS, HMI modifications, replacement of obsolete components (mainly vetronic and electronic), new firing control calculator, multi mode 120 ammunition (delay, impact, airburst), IED jammer.
The 140mm worked well during trials. More than 200 rounds were used during these trials. It seems that the calibre increases the power by more than 60% with minor modifications on chassis and in the turret (mainly the recoil brakes). The autoloader is 20 140mm shells. I have no info about the internal drum (the 140 shells are far longer than the 120). The future of this gun is uncertain as the MGCS is still have a 120 and Rheinmetall is pushing hard for his 130mm. The 140 could be the answer to the armata T14 as the Russian are planning to put a 152mm on it.- 1
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Suivez l’audition de Jean-Yves le Drian, ministre de l’Europe et des affaires étrangères, sur la rupture de l’accord avec l’Australie relatif au programme de sous-marins du futur, par la commission des affaires étrangères : https://videos.assemblee-nationale.fr/direct.11274015_615dbe2cba10f
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il y a 21 minutes, ARMEN56 a dit :
c''est résumé juste plus haut dans ce fil par "Non inultus premor"
Tout à fait, je n'étais pas passé à côté.
Mais mauvaise expression de ma part : simple ajout de la matière brute. -
Il y a 9 heures, Hirondelle a dit :
On a appris quelque chose de cette audition ?
À voir ici, avant de se coucher : https://www.youtube.com/watch?v=mudYm4Incmc
(intégration vidéo qui ne fonctionne (à nouveau) plus)
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Le détail : FOB - La République tchèque acte son entrée dans le “club CAESAR”
Avec à la fin :
CitationLa belle aventure ne devrait pas s’arrêter là pour le CAESAR, désormais vendu à 350 exemplaires de par le monde. La France peaufine une commande supplémentaire pour 32 pièces de nouvelle génération, que le nouveau PDG de Nexter, Nicolas Chamussy, espère concrétiser « dans quelques semaines ». La Belgique pourrait inclure une dizaine de pièces dans un contrat « CaMo 2 ». Le CAESAR ressort également d’une démonstration réussie sur le sol américain et est un candidat sérieux au remplacement des systèmes M109 en Suisse et AS90 au Royaume-Uni.
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Marine Grecque
dans Europe
il y a une heure, capmat a dit :La France est très concernée par tout les couloirs de communications qui la relie à l'Indo-Pacifique et la voie Méditerranée-Mer Rouge en est la principale.
Jusqu'à penser (réfléchir) à ça...?
N'ayant pas accès au papier, j'ignore les pensées et perspectives exactes entourant cette potentielle idée.
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Marine Grecque
dans Europe
Cabirol avance que « Trois corvettes Gowind (plus une en option) sont également en négociations. Ce volet n'a pas pu être concrétisé mardi matin. », chiffre (logique) qui n'a pas été mentionné par Grandjean tout à l'heure.
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À partir de 7min28 :
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A quoi pourrait ressembler le futur char de combat du projet MGCS ?
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Premiers clichés du patator ASCALON :