Kobalt

Tant que le chargeur est plus court que les avant bras, le gars qui n'en n'a pas de plus long que le chargeur ben il est dans le KK. [08] [08]

Pour le galil chargeur courbe mais long. Galil AR / ARM Galil AR / ARM Galil SAR Galil MAR Caliber 7.62x51mm NATO 5.56x45mm NATO Overall length (stock open / folded) 1050 / 810 mm 979 / 742 mm 840 / 614 mm 690 / 445 mm Barrel length 535 mm 460 mm 332 mm 195 mm Weight, empty 4 kg (without bipod an carrying handle) 3.95 kg (4.35 kg ARM) 3.75 kg 2.95 kg Magazine capacity 25 rounds 35 or 50 rounds 35 rounds Rate of fire 650 rounds per minute 650 rounds per minute 650 rounds per minute 600 - 750 rounds per minute Effective range of fire 500 - 600 meters 450 meters 300 meters 150-200 meters

Salut Atlantis et bienvenue [12]

Sacré arme le FAL, j'ai tiré avec un modele belge, une des premières versions, crosse et fut en bois en 7.62. Bonne arme c'est vrai quoi un peu lourde quand même.

Un grenade à platre, tu attache un fil à la goupille que tu bidouille un peu, tu fais courir le fil tendu au travers un cheminement, le long d'une porte etc... et l'affaire est dans le sac. Avec de l'imagination, des explos et quelques petits machins recupèrables aisément à droite ou à gauche tu pièges ce que tu veux.

Le galil à un chargeur de 50 cartouches 5.56. Concernant le ressort ce n'est pas un problème, il sera adapté.

Permettre une décontamination partielle du véhicule pour que le groupe dans le cas de ce VAB puisse dardard quitter la zone contaminée. On asperge en priorité les poignées de porte et autre partie devant être manipulée et tout ce qui peut aussi nésséciter un usage en urgence, la 12,7 au cas où il faudrait tirer. C'est le pilote qui s'occupe de tout, préparation du produit décontaminant et decontamination. Le liquide, (je ne me souviens plus du nom faudrait que je revois mes cours moi tient [10]) est utilisé pour les neurotoxiques en "goutelettes" utilisé en épandage uniquement puisque ce sont les seuls chimiques en générales permanent et les plus mortelles, les gaz (l'hypérite appelé aussi gaz moutarde par ex) ont un effet temporaire. Même en zone contaminé une unité qu'elle que soit sa spé doit être en mesure de continuer le combat. Tous passent par le suite au second échelon pour une décontamination complète, véhicules, hommes, et armement. L'équipement,les fringues et les tenues de protection sont quant à eux enterrés. Par contre la décontamination n'a aucun effet sur les armes bactèriologiques, ce n'est pas du tout les même mode de contamination. Un vaccin ou un traitement et une hygiène poussé sur le terrain sont les seuls moyens de s'en prémunir. [08]

Il aurait du rester dans le combat en milieu clos ce brave homme, les grands espace lui ont mis un sacré coup de bambou [08] [08]. A savoir, quand on fait un piegeage ou une pose de mine en masse, on fait automatiquement un croquis ou ou ont note sur une carte, histoire déviter qu'une unité amie viennent se prendre les pied dans les souvenir des autres. En effet j'imagine la gueule des promeneurs [29]

Et Vince! Doit bien y avoir quelques cochons où tu te trouves, un ou deux tahitiens et les feuille de bananier ça ne doit pas manquer la bas. Je suis sure qu'il aurait moyen de se taper une bouffe correcte. [08]

Moi c'est les flingues parfois délirant qui me tuent (sans vouloir faire de jeu de mot [08] [08] [08]) Exemples. C'est quoi ça? Un m2001 mdl A54 [28] ou une version rotative de cal 2,34 mm 5 tubes du M16 ( 14 000 cps minutes) ou bien le FA mitrailleuse bazoo K et lance missile AA multicalibre. Dans la même genre de flingue tout en un (maniable et lèger ) Et là, cerise sur le gateau, mon prèféré, le méga gun la mort qui tue vachement fort, le supra flingue et son tireur qui ce la pète.

Du cochon, groin!!! groin !!!! ( je sais le pôve gars l'est pas bien net dans sa tête) Je parlais du four Tahitien un peu plus haut et l'avenir des pauvres cochons capturés en Calédo. Non... non, ce n'est pas une scène d'intérrogatoire pour faire parler les gorets pro kanak. C'est le fameux mode opératoire pour déguster un gorin à la manière de nos camarades des îles. Chez les Kanaks, c'est le bounia ou un truc comme cela je ne me souviens plus de l'orthographe. Bref on zigouille la bète ( et oui on est obligé de passer par cette phase désagréable pour le pauvre animal mais estomac de marsouin qui hurle famine n'etend plus le cochon qui grogne) On creuse un trou alors que d'autre coupe la bestiole. On allume le feu, un bon tas de bois et on attend les braises sur les quelles ont met des pierres. Les morcceau de goret sont enroulés dans des feuilles de bananier ainsi que des morceaux d'Igniam ou de manioc si on est en afrique, voir du riz. on pose le tout sur les pierres, on recouvre d'une bache et enfin on enterre le tout. 30 à 45 minutes, après une bonne cuisson on déterre et on sort la viande cuite du cochon ainsi que les légumes. La viande est cuite d'une façon mes enfants, Hummmmm j'en ai l'eau à la bouche. url=http://pix.nofrag.com/1a/ad/849aa4e66354a45208581d446518.html] Accompagné d'un bon pinard heu trois étoiles si il n'y a rien d'autre heu... wouai trouver du Châteauneuf du pape ou du Pommerol en plein merdier des élection n'était pas chose facile. Au pire du vinogel mais bon faut pas être suicidaire non plus. Et bonne dégustation, la viande à un goût unique. Autre préparation du cochon, là c'est du goret Centra africain, ils sont moins coriace qu'en Calédo ceux là et au moins on est pas obligé de courir après, ils sont livrés par les gens du coin moyenant quelques billets de francs CFA. Le cochon sauce à la biere et à la broche, un délice.

Une future pilote? Pas possible, si ça se trouve au commande de son zing elle nous fera des trucs de cinglé du genre du KC 135 qui fait du radada, histoire de faire une coupe kéro à la tuyère aux gars en bivouac au sol.

Et on aime ça!!!!! [13] [09]

100% d'accord avec toi Shuggart, tous mes meilleurs amis sont, hormis un vieux pote de bahu des gars qui étaient dans mon régiment ou actuellement dans la réserve. Un truc de dingue quand tu quittes l'armée, c'est si tu vas boire un pot avec des amis civil. J'avais l'habitude comme on faisait avec les copains, payer la tournée quelqu'en soit le prix, c'était un réflexe, puisque les autres en feraient autant à leur tour. Mais avec les civil, c'est chacun trime pour payer ça part en s'escrimant à trouver la monaie et au début tu n'arrives pas t'y faire. Sans compter les gros radins qui en profite à chaque fois pour ce faire rincer. Maintenant hormis ma femme les autres se dépatouillent avec leurs comptes. Sauf les potes mili bien entendu où là se serait presque l'engueulade à qui allongerait le fric pour payer pour l'autre, y a pas à dire, c'est une culture. Attention je ne dit pas que tous les civils ou non mili sont radin loin de là sont mes pensées je vous rassure, mais les mentalité ne sont pas les mêmes. Question de contexte surrement.

Ceux qui ont vu "frères de sang" sur la guerre de Corée, qu'en avez-vous pensé? Hormi le coté mélo un peu excessif de temps à autres, j'ai trouvé ce film pas trop mal.

No panique Kiriyama. c'était en 85, à cette époque, c'était une autre mentalité, il y avait très peu de régiments 100% professionnels. La sélection était sévère puisque Légion, para et TDM étaient les seuls à partir sur les gros coups, hormis des VSL et VSLOM ou les quelques engagés présents dans les régiments appelés. Ils ne faisaient pas de cadeaux. Maintenant il faut comprendre une chose, l'armée c'est pas l'école de la vertue ou la ballade des enfants de coeur, de plus c'est une micro société avec ses déviances, ses problèmes. Mais, malgré tout ce que j'ai cité plus haut ce sont mes plus belles années et comme l'a si bien dit Shuggart "l'Esprit de corps" jamais tu ne trouveras pareil truc dans le civil. Ce n'est pas n'importe quoi. Patauger dans la merde te permets de te faire les meilleurs potes. Dans le milieux deux ou trois gars qui sont inséparables on appel ça dans certain régiment un couple, on sort et on picole ensemble, on drague ensemble ( je passe les détailles) parfois on se fout sur la tronche. Au retour du golfe, trois gars avaient carrément fait compte commun. J'ai même entendu parler de gars avaient mis comme légataire de leur assurance vie leur Cie. Avec mon binome, (mon frère de comptoir comme on disait) on c'était pourri la gueule après avoir frolé la castagne avec des flics Djiboutien. Du coup engueulade, limite bagarre (ouai on étaient bien imbibé) Tous ça a cause d'une naya( des filles très gentils qui offrent leur services contre des sous) Cette soirée était mémorable on s'est quitté furax pour partir chacun de notre coté, moi me finir dans un boui-boui local dont je ne saurais même pas me souvenir du nom et lui à la flèche rouge. Le matin on s'est retrouvé comme si de rien n'était à discuter avec les autres gars de nos folles soirées. C'était le pied Djibout. L'armée c'est le pied tu y feras des trucs comme tu ne peux même pas imaginer.

Puisque c'est lancé, joyeux noël (pour ceux qui crois au Ptit Jésus). Sinon bonne ripaille pour ceux qui comme moi profitent des fêtes pour s'en foutre plein la lampe. Carpé diem mes amis.

Non c'est le STV 44 allemand, pour ce qui est du concepte de FA, comme à leur habitude les soviètiques n'ont fait que le reprendre [28].

Salut mon gars! [12]

Que dire, très peu de militaire dans la famille, sauf mes grands parents résistants. La chose qui m'a attiré, la camaraderie dans les films de guerre. Mais une chose est certaine voir et vivre la chose sont deux situations différentes. J'ai presque 40 ans et lorsque j'étais gamin, les films ne montraient qu'une vision abstraite des pays étrangés, de l'entrainement et de guerre. Pas de sang et de tripaille à gogo comme ceux de maintenant. Lorsque je me suis engagé au 2ème RIMa en 85 ça été une autre histoire, les instructeurs toujours dérrières nous, les insultes, les punitions collectives ou individuelles. Les seules fois ou j'ai marché pendant mes classes, c'était pendant l'ordre serré et les marches. En dessous de huits bornes on courait (marche Co). Chaque matin le même rengaine " si vous n'êtes pas content cassez-vous on est pas venu vous chercher" La sueur, les crampes, les pied explosé, les coups, bref et comme après chaque série de pompe: Petit exercice physique et volontaire terminé, ici c'est la vie de château, pourvu que ça dure! Pour l'outre-mer c'est pareil, la chaleur, les bestioles, les maladies, la misère, la violence ambiante. Comme beaucoup j'ai vue des choses pas belles et j'ai été obligé d'en faire aussi parfois, j'y fais et vu des trucs sensas. L'alcool, les bastons (ça y en avait, resultat de la picole) Les cinglé, dans le régiment que j'ai choisi il y en avait une belle brochette. Bref un sacré choc au final, un milieux brutal, tu t'y fait sinon tu dégages pour ta santé physique et mental. Je ne cherche pas à dégouter les futurs volontaires, la mentalité ambiante a un peu changé. En bien ou en mal je ne sais pas. Mais je suis certain d'une chose, l'armée m'a forcé à dépasser mes limites et à me forger un moral en béton. C'est pour moi la meilleur école de la vie et mes plus belles années.

Les fusils d'assaut servant comme arme temporaire d'appui, je ne trouve pas cela au top. Ces fusil n'ont pas été étudiés pour un tir de saturation. L'appui à pour but un feu nourri pour couvrir un débordement et fixer l'adversaire avant sa réduction par exemple, donc canon plus lourd et possibilité de changement comme la minimi, l'ANF1 etc.... En combat haute intensité c'est une valeur sure.

Salut Fusilier et bienvenue.

Bon dieu, mais ce gars n'avait pas fait de classes ou était-il vraiment stupide, ça fait peur ce genre de cas. Par contre le coup de la grenade..... [13] trop fendard. Je me souviens en calédo, pour vous dire que parfois le mili aime faire mumuse. Nous étions à Plum sur le pas de tir et balancions des OF. Notre chef de section était sur la zone de lancé et nous arrivions par deux et chacun notre tour nous jetions nos grenades. il avait une méga flaque d'eau ( 20 centimètre de profondeur au moins) à une dizaine de mètres du pas de lancé. Nous devions être le quatrième binome à passer et lorsque nous sommes arrivé au niveau du CdS, celui-ci avait son treilli un peu trempé. Bof je ne cherche pas à comprendre et des que mon tour arrive je vois la flaque. La tentation était trop forte et je balance mon OF en plein dans la flotte, trop génial la gerbe d'eau. Mon binome même reflexe et reblouf. C'est là que j'ai compris pourquoi ses frusque étaient trempées, surtout la mine mauvaise qu'affichait notre CdS. Il nous à fait passer le message aux suivants, comme quoi, le prochain qui lançait sa grenade dans la flotte la section rentrait au camp en petites foulées. Je peux vous dire que les suivants n'ont pas tenté le coup, il y avait au moins 15 bornes pour rentrer et que de la monté. Il nous avait déja fait le coup plusieurs fois. Mais c'était trop fendard. Une autre fois aussi en Arabie Saoudite. après la guerre il restait un tas de munitions déconditionnées. Le règlement interdisant de les embarquer ou de les laisser sur place nous avions le choix, soit le pétardage soit le tir. Autant vous dire qu'en si peu de temps nous n'avons jamais autant tirés de cartouches, 9 mm, 5.56, 7.62, roquettes, missiles Milan, grenade de tout type bref toute la panoplie, le pied total dans tous les sens de jour et de nuit. On a même fait pèté des MIACACH. c'était au King Khaleb Camp. Un après midi ont va pour balancé une bonne trentaine de grenade au phosphore. Pour se fendre la gueule le Pitaine fait apporter un jerrican de 20 litres de gazol. On en verse sur une dizaine de mètres. Sur le polygone, les murs de protection étaient equipées de sorte d'épiscopes, truc génial, on pouvait voir les explosions. Et bien avec toutes les grenades incendiaires qu'on a balancé, ce putain de gazol n'a jamais été foutu de s'enflammer. Quelle frustation.

Sympa ton lien Fenrir. Comment on peut regarder de telles daubes. Le pire se sont les flingues, tu en vois parfois, cela en est presque pueril, style le méga flingue qu'un gamin fabriquerais avec des brics et des brocs pour jouer à l'exterminateur du cosmos.

Tu as bien fait je n'ai pas fais gaffe où je mettais ce topic......Gulp! [10] [21] mea culpa.