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Situation politique en Amérique Centrale et en Amérique du Sud


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Les accords militaires sément la zizanie en amérique latine :

http://www.lefigaro.fr/international/2009/09/17/01003-20090917ARTFIG00393-les-accords-militaires-sement-la-zizanie-en-amerique-latine-.php

La coopération renforcée entre Washington et Bogota a ravivé les tensions dans une région qui se remilitarise.

La réunion des ministres de la Défense et des Relations extérieures de l'Unasur (1), mardi, à Quito, a tourné au dialogue de sourds. Elle avait pour but «la mise en place de mécanismes de sécurité régionaux» après la crise provoquée par la révélation d'un accord entre la Colombie et les États-Unis permettant à Washington d'utiliser sept bases colombiennes.

Mais la conférence de Quito a permis à Bogota de relativiser la singularité de sa position. Si les autres pays lui reprochent d'avoir signé un accord militaire avec un membre n'appartenant pas à l'Unasur, les récentes ventes d'armes entre la France et le Brésil et le Venezuela et la Russie ont été rappelées par le ministre des Affaires étrangères colombien, Jaime Bermudez.

Dimanche, un nouveau contrat entre le Venezuela et la Russie a été annoncé. Moscou prêtera 2 milliards de dollars (1,4 milliard d'euros) à Hugo Chavez pour l'achat de 92 chars T-72 et de lance-missiles. Entre la France et le Brésil, il s'agit de la vente (non encore finalisée) de 36 Rafale fabriqués par Dassault (propriétaire du Figaro) et de la fourniture de quatre sous-marins d'attaque Scorpène, de 50 hélicoptères de transport militaire et la fabrication d'une coque de sous-marin nucléaire. Ces contrats, selon la presse brésilienne, sont estimés à 8,5 milliards d'euros. Les budgets militaires des pays de l'Unasur avaient augmenté de 30 % en 2008. Le continent est en train de substantiellement se réarmer, alors que les différents entre les pays se multiplient. Au-delà de la confrontation entre le Venezuela et la Colombie, des tensions renaissent dans d'autres régions notamment entre le Pérou et la Bolivie.

"C'est une honte pour nous tous que les ressources soient ainsi consacrées à l'achat d'armes et non à la correction des injustices sociales dans l'un tes continents les plus inégalitaires du monde», déplore Cecilia Lopez, membre du Parti libéral colombien.«L'accord avec Washington nous permet d'économiser d'énormes dépenses en achat d'armes pour la défense du territoire national, affirme, pour sa part, l'éditorialiste de l'hebdomadaire colombien Semana, Alfredo Rangelous. Nous sommes un pays pauvre qui ne dispose pas des ressources du Venezuela ou du Brésil. En plus, avec la présence nord-américaine sur nos bases, Chavez ne pourra pas continuer à nous menacer avec ses Sukhoi.»

Pour ses promoteurs, l'accord entre Washington et Bogota n'est que la continuation d'une longue coopération entre les deux pays. «Nous allons seulement autoriser un pays ami à utiliser les équipements portuaires et aéroportuaires. Nos deux grandes menaces sont le terrorisme et le narcotrafic. Nos amis américains nous aident beaucoup dans cette lutte», explique le chef d'État-major interarmes, l'amiral David Moreno.

Ce pacte fait suite à la décision du président équatorien, Rafael Correa, de ne pas renouveler le bail des Américains sur la base Manta. Mais au-delà d'une simple délocalisation de base, l'accord colombien prévoit la possibilité que 800 soldats et 600 civils opèrent sur le territoire colombien, avec des moyens renforcés d'écoute qui permettraient aux États-Unis d'effectuer des missions d'intelligence militaire sur l'ensemble de l'Amérique du Sud, d'où l'inquiétude ou la colère des voisins de la Colombie.

Pour l'analyste colombien Leon Valencia, il s'agit surtout de garantir la poursuite de l'aide américaine que prévoyait le plan Colombie, qui a permis à Bogota de recevoir 700 millions d'aide annuelle pour la lutte contre le narcotrafic et le terrorisme. «Le plan Colombie comprenait deux agendas : le colombien, qui est la lutte contre les Farc. L'américain, qui est la lutte contre le narcotrafic. Le premier a progressé, le second non. Si la guérilla est largement affaiblie, la Colombie exporte toujours 400 000 tonnes de cocaïne chaque année, soit 51 % de la consommation mondiale.» Signe des tensions régionales persistantes : Quito a transmis mercredi à Interpol un mandat d'arrêt international contre l'ancien ministre de la Défense colombien Juan Manuel Santos.

(1) Union des nations sud-américaines 

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C'est le monde à l'envers, la Colombie à un des budgets militaire les plus important du continent, et reçoit des aides colossales des USA, mais c'est la faute du Venezuela et du Brésil qui y réagissent en conséquence ?

Sauf que la Colombie, c'est le "good guy" et le Venezuela "Mean guy". C'est un argument irréfutable, dire le contraire, c'est coucher avec Chavez  :lol:

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La version du journal Le Monde :

Avec la vente de trente-six avions de combat Rafale, de quatre sous-marins Scorpène et d'un sous-marin à propulsion nucléaire au Brésil, la France prend-elle le risque de stimuler la course aux armements en Amérique latine ? A en croire l'Institut de recherches pour la paix internationale de Stockholm (Sipri), les dépenses militaires dans la région ont atteint près de 40 milliards de dollars en 2008, soit une hausse de 36 % en cinq ans.

Doté d'un budget défense de 15,4 milliards de dollars, le Brésil reste la première puissance militaire d'Amérique latine. Les contrats avec la France représentent une somme supérieure aux achats d'armes du Venezuela. L'investissement brésilien dépasse le montant des accords opérationnels entre les Etats-Unis et la Colombie.

"Nous n'avons pas d'intérêt à projeter notre puissance", assure le ministre brésilien de la défense, Nelson Jobim. Du point de vue stratégique, Brasilia procède à un redéploiement de ses forces armées en vue de mieux défendre l'Amazonie. Après avoir basé sa flotte navale à Rio de Janeiro, il y a près d'un siècle, les Brésiliens veulent déployer une seconde escadre sur l'embouchure de l'Amazone. Le Brésil et l'Argentine ayant cessé depuis longtemps de se voir en ennemis, la menace potentielle vient désormais d'une frontière amazonienne difficile à contrôler en dépit des satellites mis en orbite. Théâtre d'opérations hostiles aux forces terrestres, l'Amazonie nécessite des moyens aériens et navals performants.

Le paysage latino-américain est contrasté. La Colombie, seul pays de la région avec un conflit armé interne, réserve à ses dépenses militaires 4 % du PIB, tandis que l'Argentine y consacre moins de 1 % et n'achète pas d'armes depuis 1994. Le budget colombien ainsi que le type d'armement et d'entraînement privilégiés depuis la présidence d'Andres Pastrana (1998-2002) visent à combattre les guérillas d'extrême gauche, dopées par l'argent de la drogue. Le Chili a réalisé un effort soutenu, grâce à un pourcentage des dividendes du cuivre destiné aux achats d'armes, mécanisme que la présidente Michelle Bachelet vient de remettre en cause. Depuis cinq ans, le Mexique a augmenté ses dépenses de 23 %, mais l'essentiel du budget vise au rétablissement de l'ordre, ébranlé par la guerre à laquelle se livrent les gangs de narcotrafiquants.

Les chiffres doivent néanmoins être relativisés, car l'investissement latino-américain ne représente que 3 % des dépenses militaires mondiales. L'Amérique latine ne pèse pas lourd dans le commerce mondial d'armements. C'est compréhensible, puisque la région a résorbé ses litiges frontaliers ou les traite par la négociation, comme dans le cas de la Bolivie et du Chili. Après le reflux des dictatures militaires sud-américaines, les budgets de la défense ont été limités, provoquant un retard considérable en termes d'équipement. L'augmentation des dépenses correspond donc à une modernisation qui s'est fait attendre. Toutefois, la crise économique, qui frappe selon des degrés variables tous les pays, rend controversée l'opportunité du réarmement.

La question doit être examinée également sous l'angle politique. Les pays du cône sud de l'Amérique - Argentine, Brésil, Chili et Uruguay - ont mené ensemble des missions de paix, en Haïti notamment, qui ont contribué à créer la confiance entre leurs militaires, au point de surmonter les vieilles rivalités, comme celle qui a mis Chiliens et Argentins au bord d'une guerre pour le canal Beagle (au sud de la Terre de Feu), en 1978.

En revanche, le discours du président vénézuélien, le lieutenant-colonel Hugo Chavez, entretient un climat belliciste que ses alliances avec la Russie, la Biélorussie et l'Iran ne sont pas de nature à dissiper. Depuis 2003, le Venezuela a doublé ses dépenses militaires. Caracas a acheté à Moscou 24 avions de chasse Soukhoï, 50 hélicoptères de combat et 100 000 fusils d'assaut Kalachnikov. Des sous-marins et des chars sont en cours d'acquisition. Officiellement, le budget de la défense représente 1,3 % du PIB, mais les comptes vénézuéliens sont opaques.

En 2008, M. Chavez a mobilisé ses blindés à la frontière avec la Colombie et a menacé d'employer les Soukhoï. Simple bravade ? Peut-être. L'armée vénézuélienne est incapable de livrer bataille avec des chances de réussite, mais les Soukhoï peuvent être pilotés par des mercenaires de l'ex-Union soviétique. Et la seule utilité d'une escadrille de 24 avions est de frapper les premiers. Les risques de dérapage existent. Dotés d'une portée de 3 000 kilomètres, les Soukhoï menacent Bogota, Miami, le canal de Panama et Manaus. Aucun pays voisin ne dispose d'une défense à la hauteur.

L'accord en cours de finition entre Washington et Bogota, à propos de l'utilisation de sept bases colombiennes, est à replacer dans ce contexte. La Colombie affronte une guérilla qui bénéficie de frontières poreuses avec le Venezuela et avec l'Equateur. La coopération requise par Bogota n'a pas d'écho en Amérique du Sud. Outre l'aide dans la lutte contre le narcotrafic, la présence de militaires américains dans ces bases constitue une dissuasion contre toute attaque extérieure.

http://www.lemonde.fr/archives/article/2009/09/14/course-aux-armements-en-amerique-latine-par-paolo-a-paranagua_1240120_0.html

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C'est le monde à l'envers, la Colombie à un des budgets militaire les plus important du continent, et reçoit des aides colossales des USA, mais c'est la faute du Venezuela et du Brésil qui y réagissent en conséquence ?

De ce budget quelle part est consacrée à l'antiguerrilla ? Si l'on soustrait cette part que reste-t-il réellement du budget militaire colombien ? Quel besoin a le Vénézuela de s'armer à un tel point ? Qui va l'attaquer militairement ? Vu l'attitude US dans la zone pendant la seconde moitié du XXième siècle ce n'est pas renforcer l'armée qui serait la politique à faire : le danger viendrait de là...

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Il y a plusieurs erreurs grossières dans l'article, ou alors des mensonges volontaires.

Le Venezuela n'a absolument pas l'intention d'attaquer qui que ce soit, la Colombie est 2x plus peuplé et ses soldats bien plus expérimentés, seulement le temps ou les USA faisaient la pluie et le beau temps en Amérique Latine est fini, donc quand il y a ingérence américaine dans la région, les réactions sont fermes, et unanimes, c'est la Colombie d'Uribe qui est isolé et désavoué, pas le Venezuela de Chavez.

Quand aux Sukhoï, et bien ils sont une arme de dissuasion plutôt efficace, l'armée vénézuelienne est désormais une des plus puissante d'Amérique Latine, les capacités multirôle de l'appareil et son autonomie lui donne un poids politique, qu'a t'on à y redire ?

Le Venezuela est un pays souverain qui entretient de bonnes relations avec ses voisins au contraire de la Colombie, et ses forces armées étaient équipé de matériel largement obsolète, Chavez redonne de la crédibilité à ses forces militaires, c'est son droit le plus strict.

Le problème de la Colombie c'est qu'elle sert de base avancé des USA dans la région, pour des raisons qui ne convainc aucun des dirigeants du continent.

La lutte contre la drogue est une façade, d'ailleurs quand on voit l'échec total que ça a représenté, la plupart commencent à se demander si la présence américaine n'est pas la véritable cause de l'ampleur de ce trafic.

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De ce budget quelle part est consacrée à l'antiguerrilla ? Si l'on soustrait cette part que reste-t-il réellement du budget militaire colombien ? Quel besoin a le Vénézuela de s'armer à un tel point ? Qui va l'attaquer militairement ? Vu l'attitude US dans la zone pendant la seconde moitié du XXième siècle ce n'est pas renforcer l'armée qui serait la politique à faire : le danger viendrait de là...

Les armées colombiennes se sont permis pas mal de largesse avec les frontiere par exemple ... franchissant allégrement leur limite territoriale pour mener des action militaire, des bombardement etc. plusieurs kilometre chez le voisin.

LA seconde chose c'est que l'armée colombienne a plus que doublé en effectif ces 20 derniere année ... et ceci tres rapidement dernierement grace a l'aide massive US sous couvert de lutte anti-drogue et anti-évolutionnaire. On se retrouve avec une armée colombienne a 500 000h ... meme s'il on surtout de l'équipement léger, la région se prete bien au combat léger.

Le vénézuela a subit a plusieurs reprise des coup d'état - y compris mené par Chavez :) - avec pour but entre autre de mettre la main sur les ressource petroliere ... coup d'état téléguidé de l'étranger qui ne supporte pas de dépendre "énergiquement" d'un état trop^indépendant.

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De ce budget quelle part est consacrée à l'antiguerrilla ? Si l'on soustrait cette part que reste-t-il réellement du budget militaire colombien ? Quel besoin a le Vénézuela de s'armer à un tel point ? Qui va l'attaquer militairement ? Vu l'attitude US dans la zone pendant la seconde moitié du XXième siècle ce n'est pas renforcer l'armée qui serait la politique à faire : le danger viendrait de là...

c'est vrai que j'adore cet argument "quelle part pour l'antiguerilla"

mais bon c'est pas comme si y'avait besoin de hordes de MBT et de bombardiers lourds pour faire la guerre en Amérique du Sud

les armes se sont (à de rares exceptions prets) des outils d'usage dual offensif/defensif

et un AH60 Arpia, un Kfir C10 ou des M777 ca sert eventuellement a matraquer de la guerilla mais ca peut tout aussi bien servir dans un affrontement conventionnel avec les voisins

idm pour le soit disant entrainement anti narcos

si tes FS sont formées au Long Range Ranger Patrol en jungle profonde à la recherche de barons de la drogue ca veut pas dire (c'est même le contraire) qu'elles seront inefficaces contre des ennemis plus conventionnels sur le même terrain

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Je suis d'accord. Ce que je me demandais c'est quelle part de ces forces est nécessaire pour simplement tenir le pays. S'embarquer dans une guerre, offensive en plus, avec une base nationale pareille n'est-il pas suicidaire voir tout bonnement impossible ? Quelle portion de ces 500 000 hommes serait réellement disponible ? Une part importante serait consacrée a surveiller et agir de manière dissuasive contre ce que l'armée colombienne combat déjà : des narcos, rebelles et autres qui pourraient vite être retournés contre le pouvoir en place par ses adversaires potentiels, il suffit "juste" d'offrir plus de fric/pouvoir.

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http://www.rfi.fr/actufr/articles/117/article_84869.asp

L’ancien président des Etats-Unis et prix Nobel de la paix 2002, Jimmy Carter, a déclaré dans une interview accordée au journal colombien El tiempo, que son pays savait qu’un coup d’Etat se préparait contre Hugo Chavez en 2002, et qu’il était même peut-être directement impliqué. Cette déclaration fait suite à un autre début de polémique : un ancien agent du DAS, les services secrets colombiens, a dénoncé récemment une supposée implication du gouvernement colombien pour assassiner Hugo Chavez en 2004. Les autorités vénézuéliennes demandent à Bogota de s'expliquer.

http://www.cyberpresse.ca/international/amerique-latine/200909/20/01-903690-washington-implique-dans-le-putsch-anti-chavez-de-2002.php

Infiltration de paramilitaires pour déstabiliser, c'est très original, la même technique qui se répète encore et encore depuis le Guatemala en 1954...

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AFP : Le président vénézuélien Hugo Chavez a annoncé la signature d'un accord d'investissement d'un montant de 16 milliards de dollars avec la Chine. Cet accord triennal, signé mardi, permettra d'augmenter de plusieurs centaines de milliers de barils par jour (bpj) la production d'"or noir" dans le bassin de l'Orénoque.

Le chef de l'Etat vénézuélien est resté avare de détails sur ce contrat, laissant entendre à la télévision nationale qu'il s'agissait d'un nouvel investissement, distinct de celui d'un montant similaire que les Chinois ont promis à Caracas en échange de futures livraisons de pétrole.

Hugo Chavez a indiqué qu'avec le projet récemment signé avec la Russie et ce contrat chinois, la production de brut vénézuélien augmenterait de 900.000 bpj.

La semaine dernière, Caracas et Moscou avaient créé une co-entreprise pour la mise en valeur du gisement Junin 6 avec 20 milliards de dollars d'investissement. Selon les Vénézuéliens, ce projet permettra de pomper 450.000 bpj.

Chavez à plein de nouveaux amis (environ 1,5 milliard).

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Allons Zaro, un adepte de la realpolitik comme vous, cela devrait vous laissez indifférent  :lol:

Moi, ce qui me désole, c'est qu'en matière de coup d'état, les USA semblent avoir perdu la main.

Les frères Castro sont toujours vivant, le Nicaragua qui fait de nouveau mususe avec Moscou, un anti yankee notoire est toujours à Caracas, en Bolivie un adepte de la coca est au pouvoir.

Pour une ''arriére cour'', même ce qui reste de la Francafrique est mieux rangée  :P

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Zaro, entre savoir qu'un coups d'état se prépare et l'organiser soit même, il y a une sacrée marge. Et si Washington le savait, pourquoi il aurait averti Chavez ?

L'Equateur renouvelle sa flotte, mais les pièces pour les Mirage 50 sont elles encore produite. Et au vu des résultats de la guerre avec le Pérou en 95, cela m'étonne que ce pays est entendu si longtemps. A moins que l'argent n'ai manqué et que ces avions soit des gracieusement donné par Chavez ?

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La c'est pas du vent, ou alors une tempête.

Évidemment si on se met à parler de ça, la campagne anti-Chavez qu'on nous sert depuis 10 ans aura du plomb dans l'aile, au contraire on pourrait s'étonner de la clémence dont il a fait preuve envers des putschistes téléguidés depuis l'étranger.

En France ils seraient tous en taule, et les stations de télés interdites dès 2002.

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http://qc.news.yahoo.com/s/19092009/3/world-immigration-flot-de-clandestins-africains-en-argentine.html

"De plus en plus de clandestins africains choisissent l'Argentine comme refuge contre la misère. Depuis deux ans, le nombre de demandes du statut de réfugié a bondi de 142 %, et la majorité des demandeurs viennent du Sénégal.

Mais l'Argentine n'a pas les ressources nécessaires pour faire face à ce flot d'immigrants illégaux qui fuient la misère plus que l'oppression.

Selon l'Agence pour les réfugiés en Argentine, les demandeurs d'asile africains obtiennent un visa pour le Brésil et passent ensuite en Argentine. Ceux qui n'ont pas les moyens de prendre l'avion montent clandestinement sur des bateaux qui prennent 20 jours pour faire la traversée.

La Commission catholique argentine pour l'immigration réclame un meilleur contrôle des nouveaux arrivants. Elle fait valoir que les Africains qui arrivent en Argentine se font refuser un permis de résidence, mais ne sont pas expulsés et restent ensuite au pays sans statut. Ils constituent ainsi de bonnes cibles pour les réseaux de traite des personnes."

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Il faut de méfier des ''secrets de polichinelles'', on s'aperçoit souvent que cela n'est que du vent.

Ou non, il a fallu 40 ans pour que les américains reconnaissent enfin avoir renversé Mossadegh..... Qui sait, peut être que dans 40 ans, on saura que c'est bien la CIA qui a fomenté le coup d'état contre Chavez

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Ou non, il a fallu 40 ans pour que les américains reconnaissent enfin avoir renversé Mossadegh..... Qui sait, peut être que dans 40 ans, on saura que c'est bien la CIA qui a fomenté le coup d'état contre Chavez

"LE" ?! ... parce qui y aurait eu qu'une seule tentative :lol: Ce qui est sur c'est que les putshiste qui on choisit de fuir ... ont trouvé un asile de reve en Floride. Les autres sont toujours tranquille au Venezuela. Perso je les aurais passé par les armes vite fait bien fait m'enfin ... trop bon trop con. Voir l'archeveque organiser une émission de TV pour expliquer au bon peuple que son avenir est dans la soumission et que le coup d'état est la meilleure chose pour le pays :lol: y en a qui ont honte de rien. Ledit archeveque est toujours aux affaires ... C'est quand meme amusant c'est vieux con qui  n'ont pas compris que les bonne année de la dictature sud américaine USA guidés étaient passé, que le peuple avait enfin compris que ce n'était pas vraiment l'idéal pour lui. M'enfin les US reviennent par la petite porte via les église "protestante" US qui déversent des millions d'aides sociales dans les quartiers abandonnés par les cathos "église de la soumission".

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"LE" ?! ... parce qui y aurait eu qu'une seule tentative :lol:

:lol: J'imagine que c'est non.

En tout cas, Chavez n'était pas forcément "anti-impérialiste" mais simplement un nationaliste qui a échappé à un/plusieurs coup d'état/projet d'assassinat téléguidé par les américains ou fortement lié qui l'a.... disons mûri  :lol:

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A la place de chavez j'aurais fais un grand ménage avec perte et fracas, viré les 9/10eme des généraux, saisis tout les actifs des société impliqués dans le coup d'état, mis leurs dirigeants en prison à perpet pour haute trahison et intelligence avec une puissance étrangère ennemie, exproprier les compagnies américaines présente au Venezuela à titre de remboursement, et expulsé l'ambassadeur américain.

Mais avant j'aurais revendu Citgo et tout les actifs vénézueliens aux USA, aux chinois par exemple que ça devrait intéresser de récupérer un des plus grand réseau de station essence aux USA.

Et bien sur embargo pétrolier.

Mais visiblement, les rats ont préférer quitter le navire tellement ils avaient peur de devoir répondre de leurs actes, et la répression qu'ils nous annonce depuis 10 ans en pleurnichant n'est jamais venu.

Chavez est trop clément avec ces gens là, ça fini par se retourner contre lui, à force de les laisser tranquille, ils arrivent à faire croire qu'ils sont innocents.

Une erreur de les avoir amnistiés à mon avis.

Ils devraient être sous mandat d'arrêt et s'ils reviennent au Venezuela c'est direction la case prison sans toucher les 20000$.

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