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Ardachès

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Messages posté(e)s par Ardachès

  1. Il y a 9 heures, clem200 a dit :

    Je ne comprends rien et je ne pense pas être le seul ...

    Personne n'est choqué de rien, pourquoi tu utilises ce mot ? Il a juste partagé un article qui décrit la situation actuelle de la Navy, personne ne fait de superlatif la dessus, ni de critiques

    … Euh, on va dire que j’ai rebondi sur cet article - et un peu sur un post d’ @Asgard - en utilisant l’adjectif « consternant » au vu du contenu dudit article.

    Je plaide donc coupable sous la charge de « pyromane »  :huh: … Faut comprendre qu’en plus de 20 ans de développement et de planification, l’avion « que ne voulait pas la Navy » soit toujours en phase d’intégration dans plus de la moitié de leur flotte de P.A. (Et en majorité sur la classe Nimitz) ! C’est parfaitement normal et personne ne doit s’inquiéter… En cas de guerre à l’autre bout du monde il sera répondre présent avec sa « grosse tuyère » ! 

  2. il y a 6 minutes, Asgard a dit :

    Désolé, j'ai une aversion pour les extrêmes lol

    Pour le coup, quelques rappels

    - l'US NAVY n'a jamais voulu du F35,

    - l'US NAVY a 11 PA, pas 1, 11.

    - 5 ont déjà été préparés pour le F35C

    - il n'y a pas de F35C en nombre suffisant pour armer tous les PA

     

    Bref, le F35 a 1000 défauts, ce n'est même pas (officiellement) un avion de série lol Ca ne sert donc à rien de s'enflammer sur un non-évènement.

    … Hum, si tu as une aversion pour les extrêmes moi c'est pour les "lol" qui parsème un peu trop, a mon goût, certains messages et qui, last but not last, décrédibilisent les propos auxquels ils sont rattachés. 

    Sinon, je te remercie pour tes rappels, qui sur un tel forum sont, tu me l'accorderas, un peu superfétatoire. Pour autant, les problèmes que rencontrent la Navy, et c'est bien eux que j'évoquais, sont gravissime si jamais une guerre devait se déclarer demain. C'est le problème que je pointait ! 

    Pour finir, tu as raison, le F-35 enflamme suffisamment la surface des pont d'envols pour ne pas faire la même chose … :wink:

     

     

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  3. il y a 2 minutes, Asgard a dit :

    J'ai peut-être mal compris mais voila ce que j'ai lu

    Il ne peut pas ENCORE y avoir de F35C OPERATIONNELS sur ces PA pck :

    - l'équipage n'est pas formé pour le F35C. Bah... logique qu'il faille que le personnel soit formé pour opérer un avion, logique aussi qu'il y ait une priorisation aux formations au vu du nombre de PA en ligne

    - TOUTES (ca a son importance) du F35C ne peuvent pas être gérées sans modification des ateliers. Bah... logique que les nouvelles armes nécessitent une adaptation de l'atelier pour leur mise en oeuvre... logique aussi que l'atelier n'est pas été prévu de base pour TOUTES les conf possibles du F35C étant donné que c'etait encore du powerpoint à l'époque

    - certaines parties du pont d'envol doivent être renforcée pour la chaleur du F35. Oui, ca les US l'ont découvert (SUR F35B d'abord) APRES la mise en ligne des PA. De fait, autant attendre la mise en cale avant arrivée du F35C pour faire ces modifications inutiles s'il n'y a pas de F35 à gérer.

    Bref... "choquant" ok, je ne trouves pas le bon mot (je l'ai sur le bout de la langue pourtant ! ><), mais je ne considère pas que ces faits soient "importants". Ca aurait été le Rafale, on aurait tous crier à la propagande anti-Rafale pck... ces points sont logiques pour le coup.

    … Si en 2024 tu ne trouves pas étonnant pour ne pas dire consternant qu'un des fers de lance de la Navy (J'évoque le C) ne soit pas en mesure d'opérer sur la dernière classe de P.A. U.S. … je me demande ce qu'il te faut alors !

    A longueur d'article on nous explique que c'est le vecteur des vecteurs … Celui qui gagnera les futures guerres, qu'il est le maillon fort de la domination aérienne U.S. et tu lis cet article qui t'apprend "tranquillement" que … ben, oui c'est un peu compliqué de l'embarquer ! 

    On croit rêver ! 

  4. ÉNORME ce documentaire !

    Son déroulé montre une véritable volonté d’intégrer, de maîtriser et de diversifier tout ce qui touche à La Défense.

    On remarque aussi le fort accent avec la mise en avant de l’aspect économique qui transparaît dans le détail des répartitions et des commandes sur l’ensemble du territoire.

    Vision globale, maîtrise du temps et des budgets, forte implication des PME et des citoyens … La Suisse quoi ! :smile:

    Merci @FAFA pour la dédicace même si je ne me souviens plus du contexte qui la motive :happy:

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  5. … Tout va bien se passer !

    https://x.com/OpexNews/status/1785597861037551988

    Citation

    Contenu du tweet :

    Selon le Canard enchainé, de nouveaux tests du système de lutte anti-drones #Parade, effectués le 22 avril sur les toits du ministère des Armées à Balard, ont confirmé "l'inquiétante myopie du système". À quelques semaines de #JO2024, le ministre juge que Parade n'est pas à la hauteur...et a exigé que #Thales lance rapidement "une nouvelle batterie de tests, sur les sites olympiques avec des simulations en temps réel". Quant à l'armée de l'air et de l'espace, exaspérée par les piètres performances du programme, elle "menace de renvoyer les six systèmes reçus sans les payer" !

     

  6. Il y a 16 heures, Patrick a dit :

    Le marché jugera, comme toujours.

    @Patrick … Le marché ne jugera rien pour le coup puisqu'il s'agît ni plus ni moins que d'un démonstrateur tout comme le X3 dont il dérive.

    Le Racer, en l'état, a été financé par l'Europe (programme CleanSky 2) et a permis a Airbus de développer certaines technologies dont notamment un "Start&Stop" a priori révolutionnaire d'une des 2 turbines. Dans le documentaire posté plus haut il est annoncé aussi plus de 90 brevets sur ce prototype.

    Inutile, donc, de se prendre la tête avec des contraintes d'accessibilité ou de manœuvre SAR :wink:

     

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  7. … la destinée de l’homme a toujours été de rejoindre les étoiles … et Mars, au même titre que Séléné, est une -grande- étape dans cet élan.

    Vivre dans des grottes ? Quel est le problème ? N’y a t-on pas eu recours pendant des millénaires ? Sachant qu’un jour une technologie nous permettra de nous prémunir de ce bombardement solaire nocif, l’humanité, comme à chaque fois * créera les ressorts de sa volonté.

    A l’heure actuelle, celui qui est certain de rentrer dans les livres d’histoires avant les futurs cosmonautes et ce malgré une pensée politique pour le moins iconoclaste ce nomme Elon Musk.

     

    * Si il n’y a pas eu d’échange de têtes nucléaires auparavant. :wink:

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  8. il y a 6 minutes, Jarod a dit :

    Très intéressant. 
    En revanche il dit une petite bêtise sur les aérofreins du Rafale A. Il était bien équipé d’aérofrein, juste devant la dérive. 
    C’est le Rafale C01 qui avait des AF peint en blanc. 

    … Je pense qu'il serait plus pertinent d'employer le terme de "petite erreur'" pour caractériser cette anecdote plutôt que de "petite bêtise" au vu de l'expertise de cet ingénieur, non ? :wink:

  9. Il y a 10 heures, Sovngard a dit :

    C'est la première fois qu'une société propose de remplacer la suspension du Leopard 2.

    …Tu pourrais nous faire un petit topo de cette - élégante - solution, s’il te plaît, versus les barres de torsion « conventionnelles » ?

    :wink: 

  10. Il y a 14 heures, Banzinou a dit :

    Les duels de chars ont été assez rare en Ukraine, mais j'ai fait un (court) récap' comme piqure de rappel, j'ai pas les dates

    (Je précise bien duel de chars et avec des équipages dans les véhicules, j'exclue donc et IFV et consort, ou le char qui détruit un autre char abandonné)

     

    T-80BVM (ru) vs T-64BV (ukr) = T-80BVM (ru)

    T-80BVM (ru) vs T-64BV (ukr) ) T-80BVM (ru)

    T-72B3 (ru) vs T-72M1 (ukr) = T-72B3 (ru)

    T-72 (ru) vs Leopard 2A6 (ukr) = T-72 (ru)

    T-72B3 (ru) vs T-64BV (ukr) = T-64BV (ukr)

    x2 T-80 ou T-72 (ru) vs Leopard 2A4 (ukr) = Leopard 2A4 (ukr) (précision, un T-80 endommagé qui fait que le second char quitte la colonne)

     

     

    … Tu aurais, s’il te plaît, des précisions sur la/les distances d’engagement ? Merci :smile:

     

  11. il y a 40 minutes, Titus K a dit :

    Il n'y a pas d'arbitrage, ils ne réduisent pas leurs commandes, c'est juste que ca va couter 2 milliards de moins que prévu. 

    Hum, septique je suis … Sur un développement aussi complexe qu'un bombardier, nous faire "accroire" que pour une fois le Pentagone en faisant les gros yeux "oblige" les fournisseurs a soudainement réévaluer leurs coûts et sortir du chapeau une "économie" de 2 milliards … comment dire, c'est une belle histoire, un bon "storytelling" mais je vais prendre cette information avec les pincettes de rigueur, tu ne m'en voudras pas ? 

  12. Il y a 7 heures, TarpTent a dit :

    Je vois tourner cette nouvelle en boucle aujourd’hui. À recroiser, contrôler avec un oeil très critique Ça peut n’être que de la comm’ et de la politique à la petite semaine.

    le Pentagone réduirait les prévisionnels budgétaires […] du B-21 Raider de moins 2 milliards de dollars sur les 2 prochaines années.

     

    La source Bloomberg : https://www.bloomberg.com/news/articles/2024-04-08/northrop-b-21-procurement-funds-cut-for-2025-2026-as-air-force-cites-savings?utm_source=website&utm_medium=share&utm_campaign=twitter

     

     

    … Disons que l’année 2024 est un peu tendue, tu vois … Entre les classes Virginia, le sister ship du Ford et les moteurs et le « TR-3 » du F-35 faut arbitrer ! :rolleyes:

  13. A ce sujet, excellent article relatant des expériences médicales en cours relatif aux voyages interplanétaires et a la vie sur "Mars" …

    https://www.lemonde.fr/sciences/article/2024/04/02/au-medes-de-toulouse-les-missions-sur-mars-se-preparent-au-lit_6225508_1650684.html
     

    Révélation

    Au Medes de Toulouse, les missions sur Mars se préparent… au lit

    Totalement alités deux mois durant dans une clinique spatiale de l’Institut de médecine et de physiologie, des volontaires se voient imposer les effets de l’absence de gravité. Objectif : améliorer les conditions de vie des astronautes pendant leurs missions de longue durée.

    Par Olivier Donnars (Toulouse, envoyé spécial) - Publié le 02 avril 2024 à 06h00, modifié le 02 avril 2024 à 11h49

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    Un volontaire, Enzo, participe alité à sa séance quotidienne de vélo sur centrifugeuse. Au Medes, à Toulouse, le 13 mars 2024. OLIVIER DONNARS / LE PICTORIUM

    Allongé sur son lit, le corps bardé d’électrodes, un homme pédale sur un vélo de fitness. Enzo (les noms des participants n’ont pas été communiqués) enchaîne des séries de pédalage, entrecoupées de moments de récupération. Dans son casque-micro, il écoute les instructions d’un médecin et d’un infirmier qui veillent à ses constantes physiologiques derrière leur poste de contrôle. Enzo en oublie presque que la centrifugeuse sur laquelle il est harnaché tourne à environ trente tours par minute et qu’il endure des accélérations de plus de 2 g, soit deux fois son poids.

    Ses pieds, positionnés à l’extérieur de la centrifugeuse, dite à « bras court », subissent une accélération plus importante que sa tête. « Je sens le sang affluer vers mes pieds et mon cœur bondir dans la poitrine, redoublant d’effort pour faire revenir le sang vers le haut de mon corps », reconnaît-il. Cet homme de 28 ans n’a pas l’habitude d’efforts aussi intenses, surtout en restant constamment allongé. Mais ces séances quotidiennes pourraient s’avérer essentielles pour limiter les effets délétères d’un séjour prolongé dans l’espace. Lui-même n’y est jamais allé – et n’ira jamais – et, pourtant, depuis un mois, il éprouve sur Terre les mêmes effets physiologiques qu’a vécus Thomas Pesquet en impesanteur dans la Station spatiale internationale (ISS).

    Conséquences sur l’organisme

    Depuis début février, à l’Institut de médecine et de physiologie spatiales (Medes), pour Enzo, le milieu spatial se limite à un lit. Avec onze autres volontaires, il participe au deuxième volet d’une étude clinique pour le compte du Centre national d’études spatiales (CNES) et de l’Agence spatiale européenne (ESA), dont la première partie avait été menée en 2023. L’expérience dure au total trois mois, dont deux pendant lesquels les douze participants vivent constamment couchés, la tête un peu plus basse que leurs pieds, sur un lit incliné à − 6 degrés. Vingt-quatre heures sur vingt-quatre sans se lever, à prendre leurs repas et leurs douches totalement allongés, avec interdiction absolue de se verticaliser.

    Ce modèle d’alitement appelé bedrest (« repos au lit ») a été mis au point dans les années 1970 pour étudier au sol les effets de la microgravité et est rapidement devenu le modèle de référence en recherche clinique spatiale. « Les fluides descendent vers la tête et le thorax, et c’est exactement ce qui se passe quand on est en impesanteur, détaille Rebecca Billette de Villemeur, responsable médicale au Medes. Le corps humain continue à fonctionner comme s’il devait toujours lutter contre la gravité, en remontant le sang vers le cœur et le cerveau. » Ce qui n’est pas sans conséquences sur l’organisme. « En l’absence de pesanteur, les muscles des astronautes fondent, leurs os perdent de leur densité et leur cœur, moins sollicité, est plus sensible à l’effort, poursuit la médecin. De retour sur Terre, le sang redescend vers les pieds. Le cerveau et le cœur ne sont alors plus assez irrigués, conduisant à une hypotension dite “orthostatique”. » La spécialiste évoque d’autres risques pouvant survenir au retour : problèmes d’acuité visuelle, d’obésité, de dysfonctionnement du système immunitaire et même de diabète de type II.

    Pour limiter les dysfonctionnements physiologiques, les astronautes de l’ISS pédalent au minimum deux heures tous les jours. Un moyen de prévention appelé “contre-mesure” pour solliciter leur système cardio-vasculaire. « L’exercice physique limite certains effets pour des missions n’excédant pas six mois, admet Angelique Van Ombergen, responsable des sciences de la vie à l’ESA. Mais cette contre-mesure seule ne suffira pas pour des missions de plus longue durée. »

    « La centrifugation est prometteuse »

    Les agences spatiales voient en effet désormais beaucoup plus loin : en direction de la Planète rouge. « Sur Mars, les astronautes seront exposés aux radiations et effectueront des tâches très physiques, poursuit-elle. Nous ne savons pas ce que leur corps endurera, donc il faut trouver des contre-mesures complémentaires au vélo. » C’est l’objectif de l’essai Brace (Bed Rest With Artificial Gravity and Cycling Exercise, ou « alitement avec gravité artificielle et exercice de cyclisme »), auquel participent les douze volontaires.

    La centrifugeuse recrée une gravité artificielle en renvoyant les fluides vers le bas du corps. « Elle améliore le fonctionnement du système cardio-vasculaire, mais le corps humain ne le tolère qu’à des vitesses très faibles et sur des durées courtes, note Marie-Pierre Bareille, responsable de l’essai Brace. On l’associe donc au vélo pour permettre d’appliquer une contre-mesure plus forte et plus efficace. » Pour en comparer les effets, les participants ont été répartis aléatoirement en trois groupes : l’un pédale quotidiennement une demi-heure en tournoyant sur la centrifugeuse ; l’autre ne fait que du vélo ; le dernier, le groupe contrôle, reste allongé sans faire aucun exercice physique. Les deux premiers groupes suivent les mêmes exercices sur vélo que les astronautes dans l’ISS : des séries fractionnées de deux minutes d’intensités croissantes, adaptées aux capacités physiques de chaque volontaire.

    Cela suffira-t-il à limiter les effets de l’alitement ? Les investigateurs de l’étude sont relativement confiants. « La centrifugation est prometteuse car elle a un impact sur tous les systèmes physiologiques », indique Guillemette Gauquelin-Koch, responsable des sciences de la vie et de la médecine spatiale au CNES. Tous les volontaires sont scrupuleusement scrutés sur près de deux cents paramètres évaluant le métabolisme et le fonctionnement de nombreux organes : muscles, os, cœur, nerfs, vision, cerveau… Les données recueillies par le Medes seront ensuite analysées par quatorze équipes scientifiques européennes sélectionnées par l’ESA.

    Bonnet à électrodes

    L’une de ces équipes est ce jour-là présente au Medes. Deux chercheurs allemands, Constance Badali et Stefan Schneider, de l’Institut du mouvement et des neurosciences à Cologne, supervisent le projet SpaceBike du Centre aérospatial allemand. Un volontaire du groupe vélo pédale, les cuisses bardées de capteurs vert fluorescent enregistrant son activité musculaire, la tête équipée d’un bonnet à électrodes scrutant son activité cérébrale. Les deux scientifiques cherchent à savoir si la microgravité affecte la transmission du signal entre le cerveau et les muscles durant l’effort. Mais ce qui préoccupe le plus les chercheurs concerne la perte osseuse.

    « En six mois de vol, les astronautes perdent entre 3 % et 30 % de leur densité osseuse, parfois de manière irréversible, et cette perte est proportionnelle à la durée du vol, s’inquiète Guillemette Gauquelin-Koch. Qu’en sera-t-il pour des vols habités vers Mars ? » Les volontaires passent régulièrement un scanner pour contrôler leur densité osseuse. Ce suivi médical n’aura pas seulement des retombées dans le domaine spatial. « Nous prenons des personnes en forme et nous les rendons sédentaires en les couchant deux mois dans un lit, c’est donc un excellent modèle pour étudier la sédentarité, l’inactivité physique et mieux comprendre l’ostéoporose, souligne Marie-Pierre Bareille. Ce que nous faisons ici, c’est vraiment de la recherche fondamentale ! »

    Les résultats définitifs sont encore attendus, mais recréer une gravité artificielle pour préserver la santé des équipages suscite beaucoup d’espoir. Reste un défi de taille : comment embarquer un appareillage aussi encombrant qu’une centrifugeuse ? « Un tel équipement engendre des forces et des vibrations difficiles à gérer dans un vaisseau spatial, fait remarquer Angelique Van Ombergen. Il équipera surtout l’habitat des futures missions à la surface de la Lune ou de Mars. » Si la médecine avance, les défis technologiques restent entiers.

     

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  14. Il y a 2 heures, TarpTent a dit :

    Je le remets ici en clair : "Le but de SpaceX est de construire les technologies nécessaires afin de permettre à la vie d’être multiplanétaire".
    (des fois que certains penseraient que ça se limitera à un Starship et une constellation de satellites…)

    … Voilà ! Tout est dit dans cette phrase … Que les Dieux me prêtent vie pour vivre ça :happy: 

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  15. Il y a 13 heures, Bechar06 a dit :

    Vade retro Satanas ! le BR 941s est mon fétiche ! ... Mais oui, tu as en partie raison, mais les risques aérodynamiques étaient moindres qu'avec ce prétendu "hélico" convertible en avion. Les moteurs restaient en place, seules les boites des moteurs étaient reliées entre elles. Et ne bougeaient de manière importante que les volets hyper sustentateurs ... Et comme chacun de cette époque sait : "les Breguet ne se cassent jamais la gueule" 

    La complexité relative - et la maintenance associée - du Br941s l'a fait abandonner assez vite. Aujourd'hui avec des CDVE et autres FADEC  le Br941s en serait physiquement simplifié , fiabilisé, à maintenance plus réduite... On verra ce que donnera le RACER, solution partant de l'hélico

    … Merci pour la découverte de cet avion. Encore un précurseur victime d’une conception en avance sur son temps.

    Petite anecdote « délicieuse » sur la page Wiki :

    Citation

    Au cours de la tournée de démonstrations aux États-Unis, l'appareil est accidenté par la bévue d'un pilote d'essais militaire américain qui met les hélices en "reverse" en pleine phase d'atterrissage. L'appareil très endommagé sera réparé chez Mac Donnell Douglas, ce qui permet aux ingénieurs américains de l'examiner sous toutes les coutures, et de développer leurs propres ADAC.

    Pourquoi je ne peux m’empêcher de penser que cette « erreur » n’en n’était pas une ? :dry:

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  16. Il y a 4 heures, Titus K a dit :

    Les futurs SSBN "District of Columbia" américains vont adopter des barres en X assez similaires a celles de Naval Group sur les SNA Barracuda et peut être SNLE3G... J'entend par là que seulement la partie arrière des barres est mobile ( flap ou aileron ? ) --> Cocorico ?

    Alors que à l'inverse les sous-marins Japonais, Néerlandais et Australiens qui ont aussi des barres en X ont en revanche l'intégralité de chaque barre mobile.

    Je pensais que c'était grâce à la vitesse supérieure des SNA que les petites surfaces de controle suffisaient...  Mais non puisque le futur SSK barracuda Orka des pays-bas adopte également ce design (parenté design Suffren) mais un aussi Scorpène présenté en salon il y a quelques années. 

     

    Exemples Français (Barracuda/Orka/Scorpène/SNLE3G) et Américain (SSBN)  -->

      Masquer le contenu

    District of Columbia 

    SSBN-AFT.jpeg

     

    SNA Barracuda 

    2021_11_26-transfert_du_duguay_trouin-07jcm-tourville-13.jpg?itok=P2OxQ_kZ11-76714.jpg

     

    SSK Blacksword Barracuda "Orka"

    barracuda%20nl.jpg?itok=dGr0_j0v

     

    Scorpène (evolved?) :

    DCNS_Scorpene_2000_Evolution_3.jpg

     

    SNLE3G ?

    SNLE-3G-06.jpg


    Exemples de SSKs Japonais, Néerlandais et Australiens (Suédois) -->

      Masquer le contenu

    Taigei

    2027-x-3604-japan-maritime-self-defense-

     

    Walrus :

    3ddbb5bae90a9215b245fda898b9e3f5_XL.jpg

     

    Collins 

    1357207811.jpeg

    … Franchement, même si les images sont belles, ou tout du moins impressionnantes… il n’empêche que je trouve qu’elles offrent bien trop de détails et notamment sur le Suffren (ou le Dougay-Trouin) !

    On distingue nettement la qualité de la conception… c’est magnifique mais ça aurait dû être flouté.

  17. Il y a 2 heures, Scarabé a dit :

    Construits  entre 72 et 75 

    Mais depuis c'est surtout la taille des navires qui a changé.

    A Baltimore Ils ont pleins de tunnels pour traverser la zone portuaire. En comparaison le tunnel du vieux port à Marseille c'est de la gnognote. Je pense pas que la circulation des véhicules soit très impactés. Faut surtout couper la ferraille pour réouvrir le traffics portuaires.

    J'ai vu que dans moins de 10 jours ils ont prevu d'ouvrir le passage aux navires de moins 150 M       

    Le premier couloir de 80 m est déja ouvert   

    https://www.actu-transport-logistique.fr/lantenne/actualite/transport-maritime/pont-de-baltimore-ouverture-dun-couloir-de-navigation-parmi-les-decombres-898632.php

     

    On n'est pas en France ni en Italie apres l'effondrement du pont de Genes 

    … En regardant quelques "live" je suis surpris de ne voir qu'une dizaine d'ouvriers et juste (au vu des images) 2 gars au bout d'une nacelle découper à la torche un pilier … Franchement, je ne comprends pas pourquoi ils ne sont pas 300 avec ces mêmes torches … Là, même si on ne voit pas tout, ça va durer la vie des rats pour tout déblayer ! Même les grues qu'ils ont fait venir paraissent ridicules.

    Y'a manifestement quelque chose qui m'échappe :mellow:

  18. il y a 39 minutes, KnewEdge a dit :

    D'après le dernier bulletin de l'AGASM elle est à l'impression et les envois devraient avoir lieu à la mi-avril. Perso j'ai reçu il y a une semaine ou deux un sms de l'éditeur qui me demandait mon adresse email pour l'envoi en Mondial Relay; ça m'étonne que l'AGASM ait transmis mon téléphone et pas l'email, mais bon pourquoi pas... On devrait s'approcher du dénouement.

    … Un petit retour sur la qualité de cette parution ? Ça vaut le coup ? 

  19. il y a 9 minutes, christophe 38 a dit :

    Malheureusement, les risques et les enjeux économiques ont certainement dicté ce choix.

    … Je ne vais pas trop spéculer pas sur la nationalité des victimes et l'arrêt des recherches … Pour autant, quand on regarde les images sonar, la masse des d'amas de métaux fait que ça ne va pas être une partie de plaisir pour qu'un jour ils puissent, non seulement relancer - rapidement - le traffic mais aussi commencer la reconstruction du pont.

  20. @christophe 38 il semblerait, comme tu le pressentais, que les autorités ont abandonné l'idée de retrouver les 4 dernières victimes. Ils font état d'un trop grand danger (multiples morceaux de poutrelles intriqués) et d'une eau bien trop turbide sans risquer un grave accident. 

    Le chantier pour retirer l'ensemble du pont effondré les restes du tablier et le porte-conteneur va être un véritable tour de force d'ingénierie.

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