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Messages posté(e)s par Paschi

  1. il y a 6 minutes, Lezard-vert a dit :

    quand même .... les jap partis de plus loin ont quand même atteint la nouvelle guinée et la mer de corail ... ce qu'on fait les Jap, les Chinois bien plus puissant sont capable de le faire en "pire".

    Mais si tu peux le faire dans un sens tu peux aussi le faire dans l'autre et les Australiens aller chatouiller le Chinois (pas seul bien enttendu).

    Tu as tout à fait raison en citant la capacité de Chinois à le faire. Mon propos concerne l'autre sens au vu des capacités réduites de l'Australie et d'une volonté non expansionniste contrairement aux Chinois.

    C'est une question pour les stratèges : au vu des capacités militaires réduites de l'Australie ne ferait-elle pas mieux de concentrer ses capacités sur une posture plus défensive plutôt que de vouloir envoyer des SNA en mer des Philippines en appui des USA ?

  2. Il était question d'équiper les Zumwalt de missiles hypersoniques. En fait, il a été décidé des virer les 155mm inutiles (la navy ayant renoncer à acheter les munitions car trop chères) pour les remplacer par des VLS pour missiles hypersoniques.

    La marine américaine a annoncé qu'elle prévoyait de commencer à convertir le premier de ses destroyers de classe Zumwalt pour qu'il puisse tirer les futures armes hypersoniques conventionnelles de frappe rapide à portée intermédiaire, ou IRCPS, au cours de l'année fiscale 2024. Les lanceurs de ces missiles, qui seront chargés à l'intérieur de lanceurs triples, remplaceront les systèmes de canon avancés de 155 mm sur ces destroyers furtifs. En 2016, la marine a décidé de ne pas acheter de munitions pour ces canons en raison de la flambée des coûts, ce qui en a fait un poids mort et a suscité des discussions sur la possibilité d'installer d'autres armes à leur place. https://www.thedrive.com/the-war-zone/42963/the-navys-stealth-destroyers-will-have-their-deck-guns-replaced-with-hypersonic-missiles

    Selon l'article il y aurait deux lanceurs triples à la place de chaque canon, soit un total de 12 missiles et pas de VLS traditionnels supplémentaires. Il n'est non plus fait mention de vouloir installer un autre canon à la proue des navires. Même pas un petit 57 mm pour faire de l'anti-aérien/anti-missile.

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  3. La navy n'est pas prête à faire face à la menace croissante des sous-marins diesel. Et ce n'est pas une déclaration d'un amiral qui vient quémander des milliards pour financer des joujoux dispendieux mais un chasseur de sous-marins chevronné.

    Combattre un sous-marin diesel est potentiellement facile, mais assurément difficile.

    Vous n'aimez pas la contradiction ? Tant pis ! Bienvenue dans la guerre anti-sous-marine, ou ASW.

    Le diesel ! Il est très intéressant de voir la couverture médiatique de la menace des sous-marins diesel et de l'impossibilité de repérer les sous-marins à propulsion indépendante de l'air (PIA). C'est comme si nous avions été ramenés aux jours sombres du début de 1942, lorsque les U-boote nazis ont commencé à opérer au large de la côte Est des États-Unis et du golfe du Mexique. L'un de mes titres alarmistes préférés est le suivant :

    L'OTAN appelle ce sous-marin russe le "trou noir" pour une raison terrifiante.

    Il ne fait aucun doute que la détection d'un sous-marin diesel fonctionnant sur batteries est très difficile, en raison de la nature de sa signature (ou, pour la plupart, de sa non-signature). J'ai été opérateur de capteurs (SENSO) sur des Vikings S-3 à partir du milieu des années 1980, et j'ai passé beaucoup de temps à rechercher des sous-marins de toutes sortes. À bord d'un porte-avions, le premier maître de mon escadron de Vikings aimait rappeler à tous ceux qui se trouvaient dans notre salle de préparation, lampe de poche à la main, le défi auquel nous étions confrontés lorsque nous étions sur le point de participer à un exercice majeur de chasse aux sous-marins incluant des bateaux diesel, ce qui était un événement extrêmement rare. En l'allumant, il a dit : "Voilà à quoi ressemble le bruit d'un sous-marin diesel." Le silence produit par l'appareil et son commentaire était assourdissant.

    Cependant, le silence d'un sous-marin diesel n'est pas assourdissant. 

    Je suis étonné de voir combien d'entre nous oublient que deux guerres mondiales ont été menées avec succès contre des sous-marins diesel. Puis, au cours de la première décennie de la guerre froide, nous avons réappris à lutter contre les avancées technologiques du sous-marin diesel - à savoir, le schnorchel et le carénage hydrodynamique. 

    Remarquez que j'ai dit "signature" ci-dessus, ce qui implique que quelqu'un essaie de suivre un sous-marin diesel avec des bouées acoustiques passives. Les premières bouées acoustiques, introduites au cours des dernières années de la Seconde Guerre mondiale, ont relativement bien réussi, jusque dans les années 1950, à suivre les bruits d'hélice des bateaux diesel lorsque l'opérateur remontait les bouées successives et écoutait celle dont le bruit d'hélice était le plus fort. Au fur et à mesure que les bateaux diesel sont devenus plus aérodynamiques et que la technologie des pales d'hélice a progressé, le largage de bouées passives après la submersion d'une cible n'a plus donné d'aussi bons résultats. En fait, les meilleurs bateaux se déplaçaient plus vite que les avions de l'OTAN et les navires ASW ne pouvaient larguer, régler et écouter les bouées. Heureusement, la technologie des bouées acoustiques actives venait tout juste d'arriver à maturité, et nous étions de retour dans le jeu. En plus des bouées acoustiques actives, la technologie des sonars trempés d'hélicoptères s'est révélée être un atout, et une nouvelle équipe de chasseurs-tueurs à voilure fixe et à voilure tournante a vu le jour. 

    Sur le plan opérationnel, personne, au milieu et à la fin de la guerre froide, n'a tenté de suivre passivement un sous-marin diesel immergé (où les hydrophones écoutent sans l'aide d'impulsions de sonar actif). Cette non-utilisation peut contribuer à la crainte que nous éprouvons aujourd'hui à l'égard des sous-marins diesel. 

    Suivre un sous-marin nucléaire peut être relativement facile, en fonction de son niveau de bruit. Comme le montrent de nombreuses sources ouvertes, les navires nucléaires sont toujours équipés d'une machinerie. La marine américaine et ses alliés ont appris très tôt à quel point un tel sous-marin peut être bruyant. Une belle histoire raconte la facilité avec laquelle SOSUS - le vaste réseau de sonars sous-marins des États-Unis - a détecté et suivi le premier sous-marin à propulsion nucléaire du monde, l'USS Nautilus (SSN-571), lors de sa première traversée de l'Atlantique. La Marine a été stupéfaite. Dès lors, le service a travaillé dur pour mettre au point des techniques de réduction du bruit qui feraient de ses bateaux les plus silencieux du monde. Les Soviétiques, quant à eux, ont mis beaucoup trop de temps à comprendre la nécessité du silence, se concentrant plutôt sur le perfectionnement de leurs réacteurs en difficulté.

    Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

    L'article dans sa totalité https://www.thedrive.com/the-war-zone/42900/the-truth-about-the-growing-diesel-submarine-threat-from-a-veteran-sub-hunter

    (si je trouve le temps ce week-end, je le traduirais dans sa totalité)

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  4. On va voir comment la Chine va réagir en dehors des déclarations officielles Première visite d'une délégation du Parlement européen à Taïwan

    Taïwan accueille pour la première fois, mercredi, une délégation officielle du Parlement européen. L’UE cherche à établir des liens plus étroits avec l’île démocratique, malgré les mises en garde de la Chine.

    Le groupe de sept membres dirigé par l'eurodéputé français Raphaël Glucksmann doit rencontrer la présidente taïwanaise Tsai Ing-wen et d'autres hauts responsables au cours de ce voyage de trois jours, a indiqué le ministère des Affaires étrangères de l'île. Celui-ci décrit cette visite comme la première d'une délégation "officielle" du Parlement européen.

    "Nous attendons avec impatience des discussions fructueuses sur la défense de la démocratie, de la liberté, de l'Etat de droit et du respect des droits de l'homme avec nos partenaires européens partageant les mêmes idées", ajoute le communiqué.

    La suite de l'article : https://www.rts.ch/info/monde/12614765-premiere-visite-dune-delegation-du-parlement-europeen-a-taiwan.html

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  5. Il y a 10 heures, Bon Plan a dit :

    Honnêtement lorsque tu regardes une carte, que tu vois la taille de l'Australie et les distances qu'il y aurait à faire pour challenger la Chine, tu te dis que le SNA est là bonne option technique pour l'Australie.  Mais ça il aurait du l'acter il y a des années, et pas cet été.

    Quand je regarde une carte, que je vois la distance entre l'Australie et la Chine et ce qu'il se trouve entre les deux, je me demande quelle mouche à piqué l'Australie de vouloir aller challenger la Chine (mis à part les ingérences Chinoises dans la vie politique et publique de l'Australie et surtout de vouloir plaire au maître). Ils devraient plutôt s'entendre avec l'Indonésie et s'équiper en conséquence pour la soutenir en cas d'agression Chinoise tout en veillant à verrouiller les différents détroits en mer de Banda et mer de Coraille.

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  6. En complément de ce qui vent de mettre @Wallaby

    Une enquête de l'ONU confirme des crimes contre l'humanité en Ethiopie. 

    Des violations équivalentes à des crimes contre l'humanité et des crimes de guerre ont été perpétrés au Tigré, selon l'enquête menée par l'ONU et la Commission éthiopienne des droits de l'homme. Toutes les parties sont responsables d'abus, conclut son rapport publié mercredi.

    Le conflit au Tigré est marqué par une "brutalité extrême", a dénoncé mercredi la Haute-Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme, en présentant l'enquête menée conjointement avec la Commission éthiopienne des droits de l'homme.

    "La gravité des violations et des atteintes que nous avons recensées souligne la nécessité de tenir leurs auteurs responsables, quel que soit leur camp", a estimé Michelle Bachelet à Genève.

    la suite de l'article https://www.rts.ch/info/monde/12614121-une-enquete-de-lonu-confirme-des-crimes-contre-lhumanite-en-ethiopie.html

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  7.  

    La situation humanitaire ne s'améliore pas, au contraire.

    Désespérés, des Afghans marient leurs fillettes contre de l'argent, La situation humanitaire en Afghanistan est précaire. Depuis que les talibans ont pris le pouvoir, de nombreux Afghans souffrent de la faim. certains sont si désespérés qu'ils vendent leurs filles. Parwana, neuf ans, est l'une d'entre elles. :sad:

    https://www.blick.ch/fr/news/monde/je-dois-vendre-ma-fille-desesperes-des-afghans-marient-leurs-filles-contre-de-largent-id16956239.html 

     

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  8. https://www.blick.ch/fr/news/suisse/lockheed-martin-sous-pression-linitiative-du-gssa-contre-les-f-35-aide-leconomie-suisse-id16958127.html

    L'initiative du GSsA contre les F-35 aide l'économie suisse.

    Lockheed Martin s'est engagé auprès du Conseil fédéral à confier des mandats à des entreprises suisses en échange de l'achat des avions de combat F-35 à la Suisse. La menace du référendum du GSsA pousse le constructeur américain à signer ces contrats plus rapidement.

    La ministre de la Défense Viola Amherd ne manque pas une occasion de promouvoir l’avion américain, disant à qui veut bien l’entendre que l’avion furtif F-35 que la Suisse veut acheter est non seulement le meilleur avion de combat, mais aussi le moins cher.

    De manière plus timide cependant, elle vient d’annoncer que le constructeur Lockheed Martin fait moins bien que la concurrence dans les affaires dites de compensation. Ces accords sont censés garantir des commandes à l’économie suisse, et donc des emplois et des recettes fiscales. Or, l’entreprise américaine a perdu du terrain et devrait se dépêcher de reprendre la tête. Elle a une épée de Damoclès au-dessus de la tête: l’initiative «Stop F-35».

    Mauvaises expériences dans d’autres pays

    La Suisse est-elle confrontée à une faille similaire à celle d’autres pays? Par le passé, Lockheed Martin n’a pas toujours brillé lorsqu’elle a dû s’acquitter des accords de contre-échange garantis par contrat. L’entreprise américaine n’a par exemple absolument pas répondu aux attentes belges. Elle a imposé à plusieurs reprises de nouvelles conditions. Les médias nationaux n’ont pas été tendres et n’ont pas hésité à sous-entendre que la Belgique avait été «naïve» en achetant le F-35. Quant à la Pologne, sa situation semble être encore pire: au début de l’année, le ministère polonais de la Défense a décidé de renoncer complètement aux affaires compensatoires convenues. Devant les questions des médias, les responsables ont affirmé que «les propositions américaines n’étaient pas satisfaisantes», La Pologne n’avait obtenu aucun «moyen de maintenance ou de production convenable» pour le F-35.

    Armasuisse se montre optimiste

    Face à ces exemples, en Suisse, l’Office fédéral de l’armement, Armasuisse, se montre pourtant optimiste. L’accord de 6 milliards d’euros «garantirait plusieurs milliers d’emplois hautement qualifiés au cours des prochaines décennies», affirme-t-il avec conviction. Lockheed Martin doit compenser 60% du prix d’achat en passant des commandes en Suisse, soit environ 3,6 milliards de francs suisses.

    L’Association suisse de l’industrie des machines, des équipements électriques et des métaux (Swissmem) se dit également «confiante», souligne son porte-parole Jonas Lang. Néanmoins, il faudra aller vite. La pétition pour un référendum a été lancée en août dernier par le groupe Suisse sans armée (GSsA), le PS et les Verts. Cette initiative semble aider directement l’économie suisse: en raison de la votation imminente, Lockheed Martin est sous pression pour conclure rapidement des contrats avec des entreprises locales.

    Lockheed Martin pas déstabilisé

    «L’objectif est connu et nous l’atteindrons», déclare sans ambages Patrick Nyfeler, directeur général de Lockheed Martin Suisse. Divers projets sont déjà en cours. Il souligne, par exemple, l’accord conclu avec Mecaplex AG, qui a déjà été pré-approuvé par le Conseil fédéral. La société basée à Granges s’est vue attribuer un important contrat portant sur un total de 800 panneaux de vitrage de cockpit et 400 auvents de cockpit complets, ce qui représente pour la région des investissements de plusieurs centaines de millions de francs et une centaine d’emplois.

    L’entreprise tessinoise Nozomi Networks et Kudelski, spécialisée dans les systèmes de sécurité numérique, devraient également profiter de ces affaires compensatoires. «Une couche de sécurité supplémentaire pour les données et les systèmes est créée spécialement pour la Suisse, car la sécurité y est très importante», souligne Patrick Nyfeler. Cela permettrait de créer des emplois supplémentaires au Tessin et en Suisse romande. Pour l’instant, au moins une lettre d’intention a été signée.

    Un manquement à cette règle peut entraîner une lourde amende.

    Un autre contrat devrait encore être conclu, poursuit le directeur général, avec Ruag à Stans et SR Techniques à Kloten. Les moteurs seront entretenus par Ruag à Stans et SR Techniques à Kloten ZH. Cependant, Lockheed Martin ne peut ou ne veut pas donner une évaluation provisoire des exigences stipulées dans le contrat pour le moment.

    Mais l’initiative populaire n’est pas la seule épée de Damoclès qui pèse au-dessus de l’avionneur américain. Si l’entreprise n’est pas en mesure de présenter des transactions compensatoires suffisantes dans le délai imparti, elle s’expose à une lourde amende d’au moins 5% de la part non remplie. Mais elle ne devrait pas trop s’inquiéter de cette condition: le Conseil fédéral lui a donné pour les conclure jusqu’à quatre ans après la livraison du dernier jet, soit en 2034.

    Le GSsA (Groupement pour une Suisse sans armée) n'est au final par si mal que ça :laugh: 

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  9. « La mine, c’est une munition qui coûte quelques milliers d’euros et qui peut provoquer des dégâts de plusieurs millions d’euros. » La mine, munition historique, menace moderne. Chaque année, ce sont plus de 2000 munitions qui sont détectées, classifiées, neutralisées et détruites par les plongeurs-démineurs, les marins spécialistes de la guerre des mines. Si les mines ne permettent pas de gagner des conflits, elles peuvent les faire perdre et le CV Eric Lavault, porte-parole de la Marine nationale et ancien commandant du Groupe de Plongeurs-Démineurs Méditerranée, vous explique pourquoi !

     

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  10. il y a 17 minutes, Nec temere a dit :

    Et encore ! Je ne sais plus où j'ai vu ça mais un anciens cavalier disait qu'avec une bonne organisation il n'y avait de problème avec un équipage de 3

    Certainement mais dans un concours où le temps est chronométré il y a certainement un avantage à l'équipage de 4.

    C'était pas dans ce message de @Kerloas ?

     

  11. Je ne connais pas la valeur réelle de telles exercices surtout s'ils ne prennent pas en compte la spécificité de certains chars. Il y avait eut dans le passé (peut être qu'il est toujours d'actualité) un exercice de sauvetage ou dépannage qui clairement désavantageait le Le Clerc qui a un équipage de 3 hommes contre 4 pour le Léo et l' Abrams. Mais il me semble que certains exercices sont quant même pertinents. Là, c'est aux mécas de répondre.

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  12. L'accent étant mis sur les US Marines, je le mets ici :

    UNITAS est le plus ancien exercice maritime du monde. Accueilli cette année par le Pérou, il réunit des groupes multinationaux de vingt pays et comprend 29 navires, quatre sous-marins et vingt aéronefs qui effectuent des opérations au large des côtes de Lima et dans la jungle d'Iquitos. L'exercice forme le personnel à soutenir les opérations maritimes conjointes et se concentre sur le renforcement des partenariats. L'interopérabilité et la capacité entre les navires et les caisses marines participants sont accrues. (Vidéo du US Marine Corps)

     

     

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  13. La conception des réacteurs nucléaires du futur porte-avions « soulève des enjeux technologiques et industriels importants »

    Actuellement, la propulsion du porte-avions Charles de Gaulle et des quatre sous-marins nucléaires lanceurs d’engins [SNLE] de la classe « Le Triomphant » repose sur le réacteur nucléaire K-15, d’une puissance d’environ 150 mégawatts thermiques. Et une version améliorée de ce modèle a été retenue pour les sous-marins nucléaires d’attaque [SNA] de la classe « Suffren » et les futurs SNLE3G.

    Seulement, si deux réacteurs K-15 sont suffisants pour permettre au porte-avions Charles de Gaulle de naviguer à la vitesse de 27 noeuds, ce ne sera pas le cas pour son successeur, qui affichera un déplacement de l’ordre de 75’000 tonnes. En outre, ce dernier aura des besoins en énergie beaucoup plus importants, notamment pour faire fonctionner les catapultes électromagnétiques [EMAL] dont il sera équipé. D’où la nécessité de mettre au point un nouveau type de chaufferie nucléaire, à savoir la K-22, laquelle aura une puissance de 220 à 230 mégawatts.

    la suite de l'article http://www.opex360.com/2021/10/31/la-conception-des-reacteurs-nucleaires-du-futur-porte-avions-souleve-des-enjeux-technologiques-et-industriels-importants/

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  14. Les bérets verts affinent leurs compétences en matière de destruction des défenses aériennes ennemies pour un conflit de haute c'est intensité. Les soldats des forces spéciales de l'armée de terre ont détruit des défenses aériennes "ennemies", fouillé dans des silos à missiles factices et saboté un port simulé lors d'un récent exercice.

    Les soldats des forces spéciales de l'armée américaine, plus communément appelés bérets verts, ont mis hors d'état de nuire des moyens simulés de défense aérienne de l'ennemi lors d'un récent exercice. Ils ont également saboté une installation portuaire fictive et recueilli des renseignements sur des copies de cibles stratégiques, telles que des sites radar et des silos à missiles. Cet entraînement montre comment l'ensemble de la communauté des opérations spéciales de l'armée américaine s'est recentrée sur la préparation au soutien de futurs conflits de plus grande envergure, y compris contre des adversaires potentiels de force égale tels que la Russie ou la Chine, après des décennies de missions antiterroristes de faible intensité.

    Des éléments du 7e groupe de forces spéciales (aéroportées) de l'armée de terre ont effectué ces missions à l'appui des troupes conventionnelles de la 3e brigade de combat de la 101e division aéroportée, lors d'une récente rotation au centre d'entraînement interarmées (JRTC) de Fort Polk, en Louisiane. Il s'agit apparemment du même exercice qui, en septembre, a vu des troupes ennemies fictives - également connues sous le nom de force adverse (OPFOR) - utiliser pour la première fois des véhicules terrestres sans pilote armés de missiles et de mitrailleuses.

    Le personnel du JRTC a également joué le rôle des forces partenaires locales travaillant avec les Bérets de Geren. Des soldats de l'armée britannique du 4e bataillon, The Rifles - une unité d'infanterie spécialisée - actuellement affectés à la brigade des opérations spéciales de ce service, ont également été rattachés à la force d'opérations spéciales américaine pour cet exercice.

    "Cela reproduit vraiment ce que nous verrons dans les conflits futurs avec des partenaires multinationaux et nos alliés à l'étranger au combat", a déclaré le major Marshall McGurk, contrôleur/formateur principal des observateurs de la base opérationnelle avancée (AOB) du détachement d'entraînement aux opérations spéciales (SOTD) au JRTC, dans une vidéo sur l'exercice, vue ci-dessus, que l'armée a publiée.

    Pour les Bérets verts, cet exercice au JRTC était "un peu différent de ce à quoi nous sommes habitués, car il se déroule sous les auspices du LSCO, c'est-à-dire des opérations de combat à grande échelle", a déclaré le sergent-major Afshin Aryana, de la compagnie A du 3e bataillon du 7e groupe de forces spéciales, dans sa propre interview vidéo. Le 7e groupe se concentre sur les opérations en Amérique latine et dans les Caraïbes, ce qui l'a amené à soutenir ses alliés et partenaires dans des missions de contre-insurrection et de lutte contre le trafic de drogue. Le groupe a également déployé des détachements à l'appui des opérations en Irak, ainsi que de la campagne récemment achevée en Afghanistan, à de multiples occasions au cours des 20 dernières années.

    Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

    la suite de l'article https://www.thedrive.com/the-war-zone/42848/green-berets-hone-their-destruction-of-enemy-air-defenses-skills-for-a-peer-conflict


     

  15. La fracture profonde sur les mesures sanitaires inquiète les Suisses 

    https://www.swissinfo.ch/fre/la-fracture-sur-les-mesures-sanitaires-inquiète-les-suisses/47067886

    La volonté de se faire vacciner stagne, la polarisation croissante inquiète la population et un conseiller fédéral s’enfonce dans les sondages. C’est ce que révèle la nouvelle enquête d’opinion de la SSR sur la crise du coronavirus en Suisse.

    Un mois avant que la Suisse ne vote pour la deuxième fois sur la loi Covid-19, et en particulier sur le controversé certificat sanitaire, l’institut Sotomo a réalisé, sur mandat de la SSR, un vaste sondage auprès de la population concernant la pandémie et ses effets.

    Plus de 59’000 personnes domiciliées en Suisse ont participé à la septième enquête sur le sujet, dont 42’000 en Suisse alémanique, 15’000 en Suisse romande et un peu moins de 2000 en Suisse italophone. Leurs réponses ont été pondérées; la marge d'erreur est de +/- 1,1 point de pourcentage.

    Les résultats révèlent une Suisse qui serait sur la voie de la normalisation, si un profond gouffre ne divisait pas le pays. Une nation qui, avec seulement 64% de personnes entièrement vaccinées, fait partie des moins performantes d'Europe en la matière (les statistiques actuelles peuvent être consultées ici), mais aussi dans laquelle une majorité souhaite à nouveau se rapprocher et s'embrasser, comme le montrent les résultats du sondage.

    #Les partisans et les partisanes

    Contrairement à la dernière enquête d’opinion, une majorité des Suisses (57%) se prononcent désormais en faveur de la vaccination obligatoire du personnel de santé et du personnel infirmier. Plus de la moitié des personnes sondées (52%) seraient également d’accord de rendre la vaccination obligatoire pour le corps enseignant.

    Le certificat Covid est soutenu par 62% de la population, mais une extension de son champ d'application, par exemple aux stations de ski, est rejetée par une majorité d’entre elle. Le Conseil fédéral (gouvernement) et les sociétés de remontées mécaniques souhaitent qu’il soit possible de skier en Suisse en respectant la distance et le port du masque, mais sans certificat, comme ce fut déjà le cas l’hiver dernier.

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  16. Air2030 : la cheffe du DDPS et le chef de l’armée reçoivent un général américain pour des discussions sur l’acquisition du F-35A

    Berne, 28.10.2021 – La conseillère fédérale et cheffe du DDPS Viola Amherd a rencontré le 28 octobre 2021 à Berne le directeur général du programme F-35, le lieutenant général Eric T. Fick. Le chef de l'armée et commandant de corps Thomas Süssli a accueilli le général américain sur l’aérodrome militaire d’Emmen. Des discussions avec les représentants du programme Air2030 figuraient aussi au programme du général américain. L’acquisition prévue de 36 avions de combat de type F-35A était au centre des entretiens.

    https://www.ar.admin.ch/content/ar-internet/fr/home.detail.nsb.html/85639.html

    Révélation

    L’offre portant sur l’acquisition de 36 F-35A par la Suisse était au cœur des échanges entre la conseillère fédérale Viola Amherd et le général américain Eric T. Fick, responsable du F-35 Lightning II Joint Program Office (JPO). Dans ce cadre, le lieutenant général Eric T. Fick a réaffirmé que les États-Unis maintenaient leur offre de F-35 à la Suisse, intégrant l’inflation et des prix fixes. De plus, il a assuré la conseillère fédérale Amherd d’une transparence maximale, et notamment que les États-Unis garantissaient à la Suisse l’accès aux contrats à prix fixes entre les États-Unis et l’industrie. Déjà 700 avions ont été livrés, avec lesquels plus de 440 000 heures de vol ont été globalement réalisées.

    Souveraineté des données assurée

    Les discussions entre le commandant de corps Süssli et le lieutenant général Eric T. Fick à l’aérodrome d’Emmen ont en particulier porté sur les expériences des forces armées américaines avec le F-35. L’organisation de la collaboration future et la cybersécurité ont notamment été abordés. Le général américain a confirmé dans ce cadre que la Suisse détermine elle-même les données qu’elle échange avec les autres forces aériennes ; de plus, la gestion de la cybersécurité et la protection des systèmes informatiques sont assurées de manière exhaustive. Lors des discussions entre le général américain et les représentants du programme Air2030, des sujets techniques comme la production ou l’introduction des avions dans les forces aériennes suisses ont été abordés.

    Le F-35 Lightning II Joint Program Office

    Le lieutenant général (commandant de corps) Eric T. Fick dirige le F-35 Lightning II Joint Program Office (JPO), situé à Arlington en Virginie. Le JPO est l’autorité du ministère américain de la défense, responsable du développement, de la livraison et de la maintenance des F-35A/B/C. Les forces aériennes américaines sont équipées du F-35. De plus, 13 autres pays, dont 7 en Europe, utilisent cet appareil ou l’ont commandé. Plus de 3000 F-35 seront déployés dans le monde.

    Strict contrôle du respect des contrats

    Le DDPS achète les avions aux États-Unis par le biais des « Foreign Military Sales » (FMS), aux conditions que les États-Unis s’appliquent à eux-mêmes. L’exécution du contrat d’armement s’effectue de façon formelle par une « Letter of Offer and Acceptance » (LOA). Les États-Unis traitent ensuite les achats par leurs propres contrats avec l’industrie américaine. Les contrats de production entre les États-Unis et l’industrie américaine sont des contrats à prix fixes, appliqués avec un contrôle strict.

     

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  17. L'armée de terre mettra en service des SM-6 et des missiles de croisière Tomahawk lancés depuis le sol en utilisant un lanceur que la marine a également testé sur un bateau sans équipage. L'armée américaine a publié un graphique montrant les différents composants qui devraient faire partie de sa première batterie opérationnelle "Mid-Range Capability", qui sera capable d'utiliser des missiles SM-6 et Tomahawk lancés depuis le sol. On y voit notamment que l'unité disposera de quatre lanceurs polyvalents montés sur remorque, similaires, sinon identiques, à celui que le Pentagone a utilisé pour tester un Tomahawk terrestre il y a deux ans. Un dérivé de ce même lanceur, basé sur le système de lancement vertical Mk 41 de la marine américaine, a été testé sur un navire de surface sans équipage au début de cette année. 

    Le bureau des capacités rapides et des technologies critiques (RCCTO) de l'armée de terre a publié les nouvelles informations sur la composition prévue de sa première unité de capacité moyenne (MRC) lors d'une présentation à la conférence annuelle de l'Association de l'armée américaine à Washington, D.C., qui a débuté lundi et se termine aujourd'hui. Le service a également révélé que le système d'arme MRC complet s'appelle désormais Typhon, une référence apparente au serpent géant mortel de la mythologie grecque.

    Chaque lanceur Typhon comporte quatre cellules et est installé sur la remorque dans un support articulé qui lui permet d'être transporté dans une configuration de rangement horizontal pendant le transit. Il s'agit de la même configuration générale que le lanceur testé précédemment par le Bureau des capacités stratégiques (SCO) du Pentagone à bord du navire de surface sans pilote (USV) Ranger, en coopération avec la marine. Cet USV a été utilisé dans de multiples expériences dans le cadre du programme Ghost Fleet Overlord, dont vous pouvez lire plus ici. Une version similaire, mais moins robuste, montée sur remorque de ce système de lancement a testé le tir d'un missile Tomahawk en 2019.

    Quant à ce que le lanceur Typhon pourra tirer, l'armée de terre a annoncé l'année dernière qu'elle avait choisi des versions lancées depuis le sol des missiles de croisière SM-6 et Tomahawk de la marine comme armes initiales pour sa batterie MRC. La variante la plus récente du SM-6 en service actuellement, le Block IA, est ostensiblement un missile sol-air mais possède une capacité secondaire à frapper des cibles de surface. Le Tomahawk est principalement un missile d'attaque terrestre, mais les versions actuelles ont également une capacité antinavire. 

    La nouvelle variante Block IB du SM-6 est en cours de développement. Elle devrait atteindre des vitesses hypersoniques et disposer d'autres capacités améliorées, et pourrait être ajoutée à l'arsenal du système Typhon à l'avenir. De même, des versions améliorées de la série de missiles Tomahawk, notamment des types optimisés pour une utilisation antinavire, sont également en préparation. La nature modulaire du lanceur Typhon, grâce à son héritage de système de lancement vertical (VLS) Mk 41 et aux missiles canisterisés que le système utilise, ne fera que faciliter l'intégration d'autres armes au fil du temps. 

    Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

    L'article dans sa totalité https://www.thedrive.com/the-war-zone/42712/the-army-plans-to-fire-its-version-of-the-navys-sm-6-missile-from-this-launcher

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  18. Les forces spéciales s'entraînent à défendre l'avant-poste radar stratégique des îles Aléoutiennes en cas de guerre totale.
    Située juste aux portes de la Russie, Shemya abrite le radar Cobra Dane et un aérodrome stratégique qui serait une cible de choix en cas de conflit. 

    Des opérateurs spéciaux affectés au Commandement des opérations spéciales Nord (SOCNORTH), dont des bérets verts de l'armée de terre du 10e groupe de forces spéciales, se sont déployés à Shemya pour l'exercice, s'entraînant à défendre l'île aux côtés des forces de sécurité sur place, ce qui a donné lieu à des images assez fascinantes. Il en résulte notamment des images d'équipes de plongeurs débarquant sur le rivage, de patrouilles itinérantes dans des buggys MRZR, et même le déploiement de systèmes portatifs de défense aérienne (MANPADS) FIM-92 Stinger pour contrer les menaces aériennes de niveau inférieur

    Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

    https://www.thedrive.com/the-war-zone/42783/special-ops-train-to-defend-strategic-radar-outpost-in-the-aleutian-islands-during-all-out-war

    Révélation

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  19. @Bechar06voir l'article de The war zone https://www.thedrive.com/the-war-zone/42487/e-7-wedgetail-radar-jets-eyed-as-a-bridge-to-a-space-based-system-by-air-force

    L'armée de l'air américaine étudie désormais activement la possibilité d'acheter une flotte d'avions d'alerte et de contrôle aéroportés E-7 Wedgetail. Selon le plus haut gradé en uniforme du service, ces appareils pourraient constituer une "voie" entre le retrait de la flotte vieillissante d'avions à réaction du système aéroporté d'alerte et de contrôle E-3 Sentry, ou AWACS, et une future capacité radar basée dans l'espace.

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  20. Il n'y a pas trop de rapport, je crois, mais vu le temps depuis lequel il y a des négociations entre la Suisse et l'UE au sujet de l'accord sur l'électricité, il est à craindre que Bruxelles ne montre que très peu d'empressement à arriver à un accord. Un problème central, il me semble est l'accès au marché Suisse de l'électricité aux opérateurs étrangers. @FAFA en sais-tu plus à ce sujet ?

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