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Il y a 1 heure, Yorys a dit :
Le problème c'est que je pense que si Poutine a (+/-) les coudées franches pour trouver un compromis de sortie sur la table diplomatique
La Russie a annexé 4 Oblasts qu'elle n'occupe même pas en totalité et qui sont placés "hors potentielle négociation". Ça limite quand même les négociations me semble-il. En gros la négociation possible c'est la Russie donne 0 dans tous les cas, et on négocie sur ce que donne l'Ukraine en plus des quatre oblasts + Crimée ? Je comprend que les Ukr ne soient pas super enthousiastes pour des négociations en l'état actuel des choses.
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Il y a 1 heure, Delbareth a dit :
Ah tu as une liste crédible des oblasts que la Russie veut conquérir ?
- La Russie à annexée unilatéralement une partie de l'Ukraine. Ça donne une première liste des Oblasts revendiqués. (Oblasts de Donetsk, de Kherson, de Louhansk et de Zaporijjia). Ça pose une barre assez haut pour d'éventuelles négociations. En dessous de ces territoires ça serait difficile pour Poutine de revendiquer une victoire auprès de son peuple.
- Paradoxalement, la Russie n'occupe PAS la totalité des territoires qu'elle a annexé. Je pense que ça explique en partie la volonté offensive de Moscou. Il leur faudrait au minimum occuper ce qu'il revendiquent pour avoir plus de marge dans leur actions. (Fortifier le front et attendre par exemple, pour une annexion "de facto")
- Sur le côté politique "régime Ukrainien/Nazi/UE/OTAN" il y a sans doute plus de marge dans d'éventuelles négociations, même sans que l'armée Russe soit "écrasée" (Ce qui semble peu probable dans un avenir proche).
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Lexpat
dans Presentez vous
Bienvenu !
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il y a 52 minutes, CortoMaltese a dit :
A préciser que ce bilan n'inclue pas les disparus présumés morts, qui sont très nombreux (plusieurs dizaines de milliers). Même avec cette précision, ça me semble beaucoup trop faible.
Je me pose aussi la question des prisonniers. Ça représente un volume important ou c'est négligeable comparé au morts/blessés grave ?
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il y a une heure, CANDIDE a dit :
Le graphique est surprenant.
L'aide bilatérale de la France, c'est juste un trait bleu foncé, soit environ 0,06% d'un PIB de 2639 Milliards d'Euros soit 1,56 Milliard sur 2 ans
L'aide bilatérale de l'Allemagne serait de 0,6% d'un PIB de 3870 Milliards soit 23,22 Milliards
Celle du Royaume Uni serait de 0,5% d'un PIB de 2795 Milliards soit 13 Milliards.
Est-ce que cela ne comprendrait pas l'aide à l'accueil des réfugiés ? Dans ce cas, le chiffre de l'Allemagne s'expliquerait par le million de réfugiés Ukrainiens. Donc ce n'est pas limité à l'aide militaire.
Je trouve aussi que le graphique est surprenant. Dans la mesure ou la façon de le produire n'est pas expliqué, c'est un graphique qui n'a aucun intérêt informatif. (Mais il a un intérêt sur le plan de la communication comme tout les graphiques sans signification réelle.)
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Il y a 18 heures, Clairon a dit :
Ca fait 20 ans qu'on sait que les 200 cps à la min c'est pas top pour l'anti-aérien
Au delà de la cadence de tir faudrait surtout savoir le nombre d'obus moyen requis pour abattre une cible "type" pour les différents systèmes...
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[EBRC/Jaguar]
dans Europe
Il y a 21 heures, g4lly a dit :L'APU c'est cher, ça demande de l'entretien, et ça émet de la chaleur.
La batterie c'est devenu assez bon marché, ça demande quasi pas d'entretien, ça ne dégage pas de chaleur particulièrement.
Merci. C'est ce que je me disais mais comme je ne suis pas expert....
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[EBRC/Jaguar]
dans Europe
Il y a 4 heures, g4lly a dit :... qui est sensé servir d'APU aussi ...
J'ai l'impression que c'est l'argument principal. Pouvoir utiliser les systèmes de bord (observation etc...) assez longtemps sur les batteries. Évidement de temps en temps il faut faire tourner le moteur pour recharger... Le déplacement silencieux sur une petite distance c'est un plus assez marginal (mais potentiellement utile dans certain cas). Il y a peut-être une économie de carbu globale attendue avec un système hybride.
Faut voir le gain face à un système diesel + APU.
Je me pose aussi une question... Les batterie peuvent elles participer à la protection du véhicule ? Genre améliorée la protection anti-mine si elle sont intégrées dans le plancher ?
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Il y a 2 heures, herciv a dit :Si les experts conseillent de conserver les centrales à gaz c'est qu'il n'y a pas d'alternative.
C'est surtout une logique économique. Dans le coût de MWh nucléaire, le prix du combustible est faible (genre 10 %), donc en gros si une centrale tourne à 50 % de charge le prix au MWh double. Économiquement une centrale nucléaire il faut la faire tourné au max pour rentabiliser le prix de d'investissement et du personnel. Pour une centrale à gaz, c'est le prix du gaz le facteur dominant, donc pour une centrale qui tourne peu c'est plus intéressant. L'hydro c'est l'idéal pour gérer les variation de charge mais on ne peut pas en faire comme en veut !
Historiquement en France le plan c'était un mix nucléaire/hydro, très bon mix. Avec le développement des ENR solaire/éolien on est de plus en plus obligé de faire varier la puissance des réacteurs mais c'est pas optimum du tout.
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Il y a 2 heures, Titus K a dit :
Parce que vu que la France ne va pas être un gros client du produit, il va falloir trouver un gros marché export.
Oui, c'est un gros enjeu pour la réussite du projet. C'est pour cela qu'ils font un gros travail avec les autorités de sûreté d'un maximum de pays et poussent à faire converger les réglementations ; pour avoir un design validé dans le plus de pays possible et pouvoir espérer faire une vraie série...
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il y a 4 minutes, Picdelamirand-oil a dit :
Oui mais je préfère un indicateur de ce genre qui examine tout, même si c'est imparfait plutôt qu'une approche qui n'examine que la dette.
Je suis bien d'accord. La dette n'est pas l'alpha et l’oméga d'un pays.
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il y a 5 minutes, Picdelamirand-oil a dit :
Mais rien ne t'empêche de lire toute l'étude pour te faire une idée, on peut télécharger un PDF.
Il faut un compte pour télécharger le pdf...
Une fois encore, je ne dis pas que l'étude est sans intérêt, je dis juste que dès que l'on construit des indicateurs synthétiques pour appréhender une réalité complexe, il y a une part d'appréciation subjective dans la façon dont on construit (et que l'on présente) les résultats. C'est d’ailleurs pour ça que tous les indicateurs sont plus ou moins contestés. C'est important de garder en tête qu'un indicateur n'est pas la réalité sous-jacente. Après que la France sorte très bien classée dans cette étude tant mieux !
Ça me fait penser à un poste récent sur le forum qui parlait d'un article qui affirmait que les belges étaient les personnes les plus riches du monde. Les calculs étaient sans doute juste mais le mode de calcul de la "richesse" était contestable.
De la même façon le calcul du PIB peut être discuté. Une bonne grosse bulle immo ou sur un truc à la mode, ça donne du PIB. Mais tout le monde "sent" que ce n'est pas le même PIB qui celui qui viendrait de nouvelles usines ou de contrats exports.
Après, le risque, quand un indicateur (construit honnêtement et sérieusement) devient populaire et médiatique, c'est que l'effort porte sur l'amélioration de l'indicateur et non plus de la réalité qu'il est sensé mesurer...
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il y a 14 minutes, Picdelamirand-oil a dit :
Moi j'ai la faiblesse de croire que tous les biais possibles sont pris en compte par McKinsey mieux que je ne saurais le faire moi même. D'ailleurs le Luxembourg ne figure pas dans le palmarès malgré sa richesse.
C'est pas trop une question de biais dans les calculs c'est une question de définir "la valeur nette d'un pays". Après que McKinsey construisent un indicateur et arrive à le calculer pour différents pays ok, mais comme tous les indicateurs il n'indique que le résultat du calcul. On peut inventer plein d'indicateurs pour évaluer "la valeur d'un pays". On peut prendre en compte la capacité des sols à nourrir la population, les matières premières, déduire l'exposition au réchauffement climatique, etc...
Je rejoins @CANDIDE sur le fait que c'est de toute façon discutable. (Ce n'est pas forcement sans intérêt, mais il faut regarder très précisément ce qui est pris en compte et comment pour en tirer un truc valable)
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Il y a 1 heure, Picdelamirand-oil a dit :
Oui mais là ton approche consiste à mettre en doute le travail de McKinsey qui n'a pourtant aucune raison de favoriser la France, qui a mobilisé 8 auteurs pour réaliser un rapport qui est seulement présenté dans l'article que j'ai mis en lien et dont l'executive summery fait 32 pages. Est ce que tu penses vraiment que tu es plus crédible qu'eux pour évaluer la valeur nette d'un pays?
On est d'accord que c'est du second degré ?
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Il y a 12 heures, olivier lsb a dit :
Est-ce que la commande à la Turquie se serait faite au détriment de commandes à des industriels Européens
Ce qui n'est pas très clair (pour moi) c'est si ce sont des munitions provenant d'un stock et immédiatement disponibles ou une commande avec un délai plus ou moins long... (Ce qui change quand même les choses)
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il y a 52 minutes, Clairon a dit :
Il y a en fait 3 aspects dans un obus d'artillerie :
1° le corps de l'obus, en métal, fabriqué actuellement à Tarbes chez Europlasma qui a été miraculeusement sauvé par la guerre en Ukraine, ils devraient pouvoir produire près de 150.000 corps d'obus en 2025
2° Il y a la poudre, les fameuses charges de propulsion, cette deuxième partie que l'on voit enfournée après l'obus dans le canon et qui assure la propulsion de l'obus, là c'est la pourderie de Bergerac qui doit redémarrer en 2025.
3° Il y a l'explosif a mettre dans l'obus pour un effet terminal "optimal", c'est là une opération très pointue et assez dangereuse pour l'environnement (accident, risque d'explosion, ...) et ça c'est Nexter qui le fait essentiellement dans son usine de la Chapelle St Ursin, et je crois que c'est là le blocage principal, pour l'instant ils n'arrivent qu'à en sortir 3.000 obus /mois (36.000 par an)
Clairon
Merci bien. Je comprend donc que les 150000/an en 2025 c'est pas des coups complets, c'est des corps d'obus.
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il y a 10 minutes, Rivelo a dit :
150 000 coups d'artillerie complet par an en France en 2025
J'ai vu passer ce chiffre aussi, mais on parle aussi de 3000 obus de 155 par mois (Chez Nexter mais à ma connaissance ce sont les seuls à en produire en France). (Soit 36 000/an) Quelqu'un comprend le décalage ? On ne parle pas de la même chose ? Un "coup complet" ça comprend bien un obus ?
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il y a 7 minutes, Janmary a dit :
1° - Elle à interdit la fabrication de certains composants des poudres utilisés dans les obus. Nous achetons désormais ces produits en Australie.
C'est quoi cette histoire ?
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Il y a 3 heures, Manuel77 a dit :
En Allemagne, si tu ajoutes à la dette apparente la dette implicite (les retraites des fonctionnaires), la dette quadruple à peu près. Le pays est donc presque en faillite.
Peux tu expliquer le concept de dette implicite ? Je n'en ai jamais entendu parler (mais je ne suis pas spécialiste !) C'est propre à la façon dont l’Allemagne gère les retraites des fonctionnaires ? Ou ça se calcule pour tous les pays ?
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Il y a 7 heures, Julien a dit :
L’argument prix est parfaitement recevable vu qu’il est expliqué qu’en gros le prix de l’uranium à un impact sur le prix final de l’électricité limité, même en faisant des scénario de hausse massive. Quan à la dispo c’est parfaitement expliqué, on est peinard pour des décennies sur ce qui est exploité et si le prix augmente d’autres exploitations jusqu’à présent non rentables le deviendront.
Je comprend l'argument du prix et des ressources mondiales mais les échelles de temps sont tellement longue pour avoir un nombre significatif de RNR en place que je ne sais pas vraiment si c'est si certain que cela que dans disons 40/50 ans on pourra facilement acheter de l'uranium, même cher.
Et pour les RNR, il y a aussi l'enjeu de fermeture du cycle et de meilleure gestion des déchets.
Dans la vidéo ci-dessous, on retrouve les mêmes arguments pour justifier l’arrêt d'Astrid (avec en plus celui de nos capacités technico/indus limitées qui faut concentrer pour l'instant sur la construction de réacteurs) , mais en même temps le mec d'EDF (et d'autre) parlent de la fermeture du cycle comme d'une chose qu'il faut faire et d'un objectif global.
Je comprends bien que les RNR ne sont pas une urgence économique, mais tout de même, niveau stratégie à long terme, je pense que c'est très dommage que l'on ne construise pas un prototype type Astrid. Au moins pour évaluer les innovations imaginées et tester notre capacité à le faire. Et pouvoir dans le futur choisir ou non d'en faire en série en connaissance de cause. Il faut combien de temps entre la prise de décision de faire un RNR et le moment ou on a le premier de série (pas le prototype) ? 30 ans ?
Enfin, j'espère vraiment que la construction des EPR2 se passera bien, et que le dossier RNR sera ré-ouvert lorsque les EPR2 seront en mode "construction en série".
Révélation -
Il y a 1 heure, olivier lsb a dit :
Des drones kamikazes français bientôt livrés aux ukrainiens. Mon dieu que ce fut dur, depuis les sempiternels débat sur l'armement des drones jusqu'à directement la case drone kamikaze.
Content qu'on puisse modestement contribuer sur ce segment, on devrait beaucoup en apprendre.
Ça vient que quel industriel ? L'un des projets de munitions rôdeuses qui abouti ?
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Il y a 1 heure, Delbareth a dit :
Oui ça me semble moyennement convaincant. D'autres dans le monde font des RNR expérimentaux (à commencer par les Russes qui ont maintenant une avance considérable), et ce n'est pas parce qu'ils évaluent différemment la quantité d'uranium restant. Peut-être aussi se disent-ils que c'est pas mal de s'entrainer pendant quelques décennies avec un réacteur prototype. On a eu Phénix et Superphénix, pour autant on serait pas capable là maintenant de construire un RNR de puissance.
Entre un "top" sérieux pour le développement d'une tête de série/prototype d'un surgénérateur et son entrée en service il faudrait combien de temps ? 15/20 ans minimum ? (Et plus on s'éloigne de l’arrêt du projet d'Astrid, pour lequel pas mal de boulot a été fait, plus ça risque d'être long) Et à ce moment vous avez un seul réacteur... Si vous lancez une série il faut encore 15/20 ans en plus pour en avoir disons 6... (En étant assez optimiste)
Donc l'argument sur le prix/la disponibilité de l'uranium me semble fragile vue les durées en jeu. Je trouverais beaucoup plus logique d'en faire un, quitte à pas lancer de série si pas besoin et s'en servir pour améliorer un futur design.
L'argument "le cycle du combustible n'est pas près" c'est un peu curieux non ? Pour les SMR gen4 il est près ? Il me semble que ça se développe en parallèle non ?
L'argument "on a pas l'argent pour tout faire en même temps il faut arbitrer" là je comprends. Comme tous les arbitrages on peut être d'accord ou pas, mais c'est un argument en effet.
Pour les SMR gen4 je reste très septique sur l'application d'une logique "start up" pour des développements nucléaires. La nature même d'un réacteur nucléaire, même petit, implique de faire un truc sûr du premier coût, c'est de toute façon très cher à développer et à certifier, pour des retours sur investissement forcement très lointains. Vous ne pouvez pas itérer rapidement les prototypes, tester facilement de nouvelles idées "et si ça rate tant pis". Je ne vois pas d'autre solution que passer par la recherche publique (en collaboration avec les industriels bien sûr).
Je ne sais plus si la vidéo a déjà été postée ici, mais sur le sujet Astrid l'audition de Yves Bréchet est intéressante.
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il y a 8 minutes, Patrick a dit :Attention, tu es sur la voie du trumpisme!
Mais moi je suis européen ! Et tu remarqueras que je pense qu'au fond c'est plus une question de posture et de priorité dans la préparation des forces que de budget.
Après mon sentiment c'est que le risque d'une attaque (militaire) russe sur un pays de l'UE est tout de même très faible, même si je comprend bien qu'y réfléchir c'est important. On voit des analystes qui avance des trucs genre dans 4/5 ans la Russie sera en capacité de relancer une opération militaire, mais bon dans 5 ans on ne sait même pas ou en sera le conflit Ukr. Et même si les US rechignent à envoyer des hommes en masse en cas de conflit, je ne pense pas qu'ils rechignent à aider l'Europe sur des moyens rens, ou qu'ils refusent de vendre du matos en masse.
Et donc si on veut dissuader la Russie d'une attaque sur l'UE, il faut surtout persuader la Russie que l'UE a la volonté de se défendre à 27. Même avec les moyens actuels, si tous les pays envoient des "petites" forces professionnelles bien équipées, avec en plus les mobilisés du/des pays attaqués, on arrive vite à une force conventionnelle qui fait réfléchir. Avec derrière les moyens industriels de l'UE (Et là je pense qu'effectivement il faut faire des efforts au moins sur la partie munitions) et les US ravis de nous vendre du matos, je ne pense pas qu'un adversaire puisse considérer que le jeu en vaut la chandelle.
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Marine Britannique
dans Europe
Merci à tous,
Je vois que selon les circonstances, les époques et les besoins ça peut varier dans une assez large mesure, et bien sûr plus c'est intense, plus c'est difficile de durer !
Europe de la Défense ?
dans Politique etrangère / Relations internationales
Posté(e)
Oui, surtout dans une petite/moyenne ville. Je viens de la région Montceau-les-mines/Le Creusot (dans le 71), et je peux dire que la désindustrialisation a fait beaucoup de mal. Les annonces d'agrandissement/ouverture d'usine c'est beaucoup moins souvent celles de plan sociaux/fermeture. Une boite qui arrive avec un projet d'usine tout le monde applaudi. Les gens veulent du boulot, les mairies des impôts... Grosse tradition indus dans la région, personne ne compte sur une arrivée massive de cabinets de conseils/start up chelou pour relancer l'activité.