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leclercs

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  1. On semble donc s'orienter vers: Deux RI sur VBCI par brigade de décision 1 RI sur VBCI + 1 RI sur VAB par brigade multirôle N'empêche que sur ce document powerpoint, je ne retrouve que 7 RA + 1 (sur MLRS) si on veut 1 par brigade ça veut dire que les MLRS seront dispatchés sur d'autres régiments, sans doute les RA des brigades de décisions.( 2° et 7° BB selon toujours ce powerpoint)
  2. Quite à réver pour un HIV, je choisirais une version du...LECLERC (pour des raisons logistiques) avec un CTA 40 en tourelle inhabitée, idem pour l'EBG (il va bien falloir remplacer les AMX30 EBG). Sinon le namer (avec une tourelle CTA40,un moteur adapté à notre logistique, un blindage évolutif) est LE meilleur choix, c'est indiscutable pour le combat de haute intensité, certes il faut le projeter, mais c'est un engin fait pour la guerre, pas pour la projection et se faire détruire rapidement... A défaut le M2A3 qui représente le choix le plus rationnel en terme de rapport qualité / prix: le CV90 me paraissant d'un coût beaucoup trop élevé et n'apportant rien de plus en terme de protection que notre VBCI... Mais ne rèvons pas, nos mécas iront au combat sur VBCI
  3. C'est quoi le "CC"? si vous parlez de l'EBRC, rien n'est encore définit pour être sur que ce blindé de reconnaissance et de combat soit à roues... A propos de l'organisation des RC 52 est-ce que quelqu'un sait s'ils seront composés de 4 escadrons à 12+1 chars? cette hypothèse de conserver un peloton de chars par brigade multirôle est séduisante: si je rève j'aurai tendance à dire 4 par régiment mécanisé, histoire de remplacer leur compagnie AC (sur méphisto), mais bon justement l'heure n'est pas aux rèveries, nous allons sans doute très vite pouvoir découvrir l'organigramme précis de nos brigades, peut que quelqu'un à déja un lien????
  4. Chaque régiment de AuF1 compte 24 pièces (8 pièces par batterie) Non, non il y a des RA à 32 pièces (4 batteries) par exemple le 40 RA, c'est leur dotation officielle, maintenant certain sont restés à 24 pièces ça me parait beaucoup 4 RI MECA pour une brigade multirole Je proposais, bien sur, 1 RI MECA par brigade multirôle, soit 4 RI MECA pour les 4 brigades Les Brigades vont-elles perdrent leur nom (2BB, 3BM,...)? Mystère et boules de gommes... certains noms sont trop chargés d'histoire et de tradition pour disparaitre: le 2° BB par exemple...
  5. En attendant l'organigramme futur de l'armée de terre, pas facile de s'y retrouver: Deux brigades de "décision": si je comprends bien, ce sont les deux brigades destinées au combat de haute intensité, ces deux brigades doivent donc intégrer les 4 RC52 (qui doivent compter 4 escadrons de 13 chars) et deux RI mécanisés: on comptabilise donc 4 RC et 4 RI MEC 4 brigades multiroles: l'intervention rapide (mais pas urgente), la cavalerie légère: ces quatre brigades doivent intégrer les 4 RC48 sur AMX 10 RC (soit un seul régiment de cavalerie par brigade "multirôle") et 8 RI (ratio MECANISES/MOTORISES??) (je ne pense pas que ces huit puissent être mécanisés( à propos combien de régiments d'infanterie seront mécanisés (sur VBCI)?? en prenant comme hypothèse un ratio 1/2 pour ces brigades on arrive quand même avec les brigades de décision à 8 RI MECA et 4 RI MOTO 2 brigades d'urgence: l'intervention immédiate: ces deux brigades doivent intégrer les deux RC36 sur ERC90 et les 8 RI MOTO restants (4 par brigades) Dans cette hypothèse j'arrive bien à 20 RI (dont huit MECA ce qui est élevé...) et aux 10 régiments de cavalerie. Mais la ou je reste dubitatif c'est quand à la dotation des brigades en artillerie. Sont dissous: Le 402° RA (iHAWK) Le 57° RA (ROLAND/MISTRAL) Le 12° RA (MLRS) Le 8° RA (AuF1) Soit une disponibilité(?) de 24/32 AuF1 (le régiment était à 3 ou 4 batteries de 8 AuF1??), 24 MLRS, 36 lanceurs MISTRAL, 24 ROLAND + xx iHAWK (à intégrer par l'armée de l'air mais devant être remplacés par ASTER) Restent: Le 11° RAMA (TRF1) Le 35° RAP (TRF1) Le 93° RAM (TRF1) Soit 72 TRF1 pour ces 3 unités. Le 1° RAMA (AuF1) Le 3° RAMA (AuF1) Le 40° RA (AuF1) Le 68° RAA (AuF1) Soit entre 96 et 128 AuF1 (selon la dotation de 24 ou 32 pièces par régiments (3 ou 4 batteries de 8 AuF1) Le 1° RA (MLRS) Soit 24 MLRS pour cette unité (dotation actuelle) Le 54° RA ( ROLAND + MISTRAL) Soit 36 lanceurs MISTRAL+ 24 ROLAND (dotation actuelle): va devenir un régiment à 4 batteries de 18 MISTRAL Restent à affecter les CAESAR (régiments de 24/32 pièces ou ventilation dans les régiments (hypothèse actuelle) Mon hypothèse RA de brigade de décision: 32 AuF1 + 12 MLRS soit 64 AuF1 + 24 MLRS pour deux brigades RA de brigade multirôle: 18 CAESAR + 6 TRF1 soit 72 CAESAR + 24 TRF1 pour 4 brigades RA de brigade d'urgence: 24 TRF1 soit 48 TRF1 pour deux brigades Dans cette hypothèse le 1° RA perd sa spécificité MLRS On arrive à 64 AuF1, 24 MLRS, 72 CAESAR, 72 TRF1 ça me parait cohérent, surtout que les COBRA pourrait être ventilé dans les régiments intégrant les MLRS vos avis et information sur la nouvelle structure?
  6. Synthèse de presse, bon sang j'ai pourtant scanner ce que je croyais être le LB complet (chapitre 13 page 221/228): je m'étais pourtant assuré quand j'ai téléchargez la version de ne pas avoir la version "presse" je l'ai téléchargée ici: http://www.premier-ministre.gouv.fr/information/les_dossiers_actualites_19/livre_blanc_sur_defense_875/livre_blanc_1337/livre_blanc_1340/ ???
  7. Nous disposons aujourd'hui de 4 RC80 soit 8 GE40, soit 24 escadrons à 13 CHARS soit 320 CHARS en comptant les chars du commandant du RC 40. Le pion tactique est le peloton à 4 CHARS avec ses avantages et ses inconvénients. Les rumeurs d'organisations parlent d'un peloton à 3 CHARS et 3 véhicules de reconnaissance/découverte/appui selon les sources, dans un premier temps le VBL. Dans cette optique il existe plusieurs hypothèses: Soit on conserve le nombre de pelotons par escadron et on obtient un total de 10 chars par escadron si on conserve le nombre d'escadrons par GE40 on arrive à des GE 40 de 31 CHARS soit de RC80 qui passent à 62, en conservant nos 4 régiments on arrive à un total de 248 CHARS en ligne ce qui correspondt à la cible du LB. Soit on augmente le nombre de pelotons (4) par escadrons et on obtient un total de 13 CHARS par escadrons soit des RC40 à 40 CHARS en gardant 3 escadrons par GE: dans cette hypothèse il faut dissoudre un RC 80 pour être cohérent avec le LB. Soit on conserve le nombre de pelotons par escadron et on obtient un total de 10 chars par escadron si on augmente le nombre d'escadrons par GE (4) on arrive à des GE de 41 CHARS soit des RC qui passent à 82, dans cette hypothèse il faut dissoudre un RC 80 pour être cohérent avec le LB. Si la sacro sainte tradition cavalerie, infanterie, artillerie est préservée ce sera une de ces hypothèse qui sera retenue car je suis persuadé que le peloton à 3 chars va être retenue (intérêt pour intégrer la révolution SCORPION)! Une autre hypothèse beaucoup plus révolutionnaire consisterait à fusionner les régiments d'infanterie cavalerie en "régiment mixte" intégrant des chars, des VBCI, du génie, de l'artillerie des hélicoptères: je verrai d'un très bon oeil des régiments du type régiments de cavalerie US (sans atteindre leur taille: ce sont presque des brigades).
  8. Je pensais à l'organisation suivante: Nos 2 BB + 2 BM deviennent 3 BB composées par brigade de: 1 RC 80 (80 LECLERCs en 2 RC 40 MAIS à 4 escadrons de 10 LECLERCS, (au diable le char du colonel...) avec une organisation de l'escadron en 3 pelotons de 3 chars + 3 VBL (en attendant l'EBRC (V3C) + le char du capitaine d'escadron + le peloton d'appui direct soit 3 VBCI (pas de VBCI ERYX dans ce type de peloton) 2 RI MECANISES (4 compagnies de combat + une compagnie d'appui): soit 11 VPC, 12 VBCI ERYX, 7 VBCI milan(ou futur missile ACMP), 40 VBCI classiques 1 RA ( 4 batterie de 8 AuF1) 1RG 1 EEI qui se musclera certainement (?) Ces trois brigades constituant la force de décision
  9. C'est quoi la capacité de vol latéral? la peinture wonderwoman???
  10. Je vous soumets les écrits du livre blanc, ici la partie composantes aériennes: La composante aérienne de combat sera modernisée pour disposer d’un parc homogène de 300 avions polyvalents de type Rafale et Mirage 2000 D, dont 270 en ligne. Elle assurera la mise en oeuvre de la composante aéroportée de la dissuasion, avec 2 escadrons nucléaires et une capacité de ravitaillement associée, à quoi s’ajouteront les moyens emportés par le porte-avions Charles de Gaulle. Hors dissuasion, les forces aériennes assureront de façon permanente la surveillance et le contrôle des approches aériennes du territoire national (métropole et DOM-COM, notamment Guyane), et disposeront à cet effet d’appareils et d’infrastructure radar de guet aérien. Elles seront capables de renforcer la posture permanente de sûreté, jusqu’à 6 patrouilles opérationnelles et 4 patrouilles opérationnelles spécialisées dans la lutte contre les aéronefs lents, ainsi que d’armer des dispositifs de protection à l’occasion de grands événements (deux ou trois « bulles » de défense aérienne). Les forces aériennes, tant de l’armée de l’air que de l’aéronavale, contribueront au recueil du renseignement nécessaire aux opérations, à la surveillance du territoire, de ses approches et du milieu aérospatial. Au titre de la prévention, un dispositif sera maintenu en Afrique, en particulier à Djibouti et dans le Golfe. En cas d’implication de la France dans un conflit majeur à l’extérieur du territoire, les armées devront pouvoir projeter, sur un théâtre situé jusqu’à une distance de 7 000 à 8 000 kilomètres, une force aérienne de l’ordre de 70 avions de combat, incluant les avions de l’aéronautique navale, à quoi s’ajouteront les avions de soutien opérationnel associés. Devront aussi pouvoir être projetés les moyens de commandement, de conduite, de détection et de contrôle aérien et le nombre de bases aériennes projetables nécessaires, jusqu’à deux bases majeures simultanément. Une capacité de réaction autonome, assortie d’un dispositif d’alerte, devra, en permanence, pouvoir être déployée dans des opérations ponctuelles telles qu’une évacuation de ressortissants, une opération de rétorsion ou une opération humanitaire. Le dimensionnement général de l’armée de l’air, avec un format de 50 000 personnes, lui permettra en outre : – d’assumer le commandement d’une composante aérienne de force interarmées (Joint Forces Air Component Command ou JFACC) ; – de projeter en cinq jours l’échelon d’urgence d’une force (1 500 hommes équipés) à 7 000 à 8 000 kilomètres, avec son autonomie. Les efforts de modernisation porteront sur la capacité de mobilité stratégique et tactique qui sera portée à une élongation de 7 000 à 8 000 kilomètres, sur la capacité d’appui des forces terrestres (précision, protection, permanence sur zone et tout temps) et la capacité de frappe dans la profondeur. La capacité de drones tactiques et de longue endurance sera également renforcée, aussi bien pour la surveillance et le renseignement que pour l’appui aux forces terrestres par des drones armés. Les avions de combat de l’armée de l’air et de l’aéronautique navale seront regroupés, sous le commandement opérationnel du chef d’état-major des armées, en un parc unique, qui ne comprendra à terme que des Rafale et des Mirage 2000 D modernisés, dont la gestion sera assurée par l’armée de l’air. Cette dernière veillera, en liaison avec la marine nationale, à dégager toutes les synergies possibles en matière d’organisation, de soutien et de préparation de ces forces. Par ailleurs, l’armée de l’air, sous la direction du commandement interarmées chargé de l’espace, assurera la surveillance de l’espace extra-atmosphérique et verra ses compétences accrues dans la mise en oeuvre des capacités spatiales. Pour remplir l’ensemble de ces missions, les forces aériennes comprendront les parcs suivants : – 300 avions de combat modernes (Rafale et Mirage 2000 D modernisés), incluant ceux de l’aéronautique navale ; – 4 systèmes de détection et de contrôle avancés de type Awacs ; – une flotte d’avions de ravitaillement et de transport comprenant de l’ordre de 14 appareils de type MRTT et environ 70 avions de transport. COMMENTAIRES Le volume annoncé de 300 avions de combat inclut-il les rafales de l'aéronavale?: au début je cite "La composante aérienne de combat sera modernisée pour disposerd’un parc homogène de 300 avions polyvalents de type Rafale eMirage 2000 D, dont 270 en ligne. Elle assurera la mise en oeuvre de lacomposante aéroportée de la dissuasion, avec 2 escadrons nucléaires et une capacité de ravitaillement associée, à quoi s’ajouteront les moyensemportés par le porte-avions Charles de Gaulle". en revanche je cite encore:"300 avions de combat modernes (Rafale et Mirage 2000 D modernisés), incluant ceux de l’aéronautique navale" Bref 300 ou 360 (J'aimerai mieux 360) L'accent est mit sur la projection à 7000 8000 km: un grand plus!! Une énorme nouveauté: Je cite:"Les avions de combat de l’armée de l’air et de l’aéronautique navale seront regroupés, sous le commandement opérationnel du chef d’état-major des armées, en un parc unique, qui ne comprendra à terme que des Rafale et des Mirage 2000 D modernisés, dont la gestion sera assurée par l’armée de l’air." Ce qui veut dire à mon avis, nonobstant l'intérêt à mon sens de la gestion d'un parc d'avions de combat unifié, que les avions de combat seront au nombre de 300 (et M....!) 70 avions de transport: lesquels? 14 MRTT enfin! maissertont-ils suffisant?
  11. Je suis très impressionné par les manoeuvres du raptor, certes je suis néophyte, mais bon les évolutions me paraissent stupéfiantes... c'est du à quoi: tuyères vectorielles? Bon, maintenant les spécialistes que pensez-vous de ces performances de maniabilité?? cobra, virage sur place...
  12. Je vous soumets les écrits du livre blanc en l'occurence le paragraphe consacré aux forces navales Les forces navales assureront la permanence à la mer de la force océanique stratégique, garante de la capacité de frappe en second de la dissuasion. Elles garantiront la mise en oeuvre autonome et en sûreté de la composante océanique, en acquérant la meilleure connaissance possible des espaces de déploiement des SNLE et des mouvements des forces étrangères qui y sont présentes. Elles conserveront une maîtrise permanente des approches du port de soutien. Ces missions pourront mobiliser deux sous-marins nucléaires d’attaque et jusqu’à quatre frégates anti-sous-marines, ainsi que des moyens de guerre des mines et des avions de patrouille maritime. Elles surveilleront et contrôleront les approches du territoire national, en métropole comme outre-mer. Elles devront en permanence pouvoir renforcer la posture permanente de sûreté maritime en métropole, par le déploiement d’une frégate, de deux chasseurs de mines et d’un avion de patrouille maritime Atlantique 2 par façade maritime. Elles matérialiseront la souveraineté française dans les espaces sous juridiction nationale (mer territoriale, zone économique exclusive), participeront à la protection et à la sauvegarde des personnes et des biens, à la sécurité et à la sûreté maritimes, à la protection de l’environnement marin et des ressources maritimes (espace protégé, pêche…). Ces missions ressortent de l’action de l’État en mer (AEM) et nécessitent le déploiement, tant en métropole que dans les DOM-COM, des moyens de présence en haute mer adaptés à de telles tâches. Au titre de la prévention, les forces navales devront pouvoir participer à la maîtrise et au contrôle des espaces aéromaritimes dans nos zones d’intérêt (Afrique de l’Ouest, golfe Arabo-Persique et océan Indien en particulier), à la sécurisation des voies de communication, au contrôle de la navigation dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, contre les trafics illicites et contre l’immigration clandestine. Pour contribuer à la résolution d’une crise dans le monde, le groupe aéronaval devra pouvoir être déployé sur un théâtre distant de 7 000 à 8 000 kilomètres, avec son groupe aérien complet et les frégates d’escorte, ainsi que les sous-marins nucléaires d’accompagnement nécessaires. Indépendamment de la disponibilité du porte-avions, les moyens aériens pourront être utilisés dans le cadre des interventions extérieures comme du renforcement de la posture de protection aérienne au-dessus du territoire national. Un ou deux groupes navals, amphibie ou de protection du trafic maritime, avec leur soutien logistique, seront également disponibles pour des missions d’intervention et de présence. Simultanément, une capacité de réaction autonome, assortie d’un dispositif d’alerte, devra pouvoir être engagée dans des opérations ponctuelles telles qu’une évacuation de ressortissants, une action de contre-terrorisme maritime, ou une opération humanitaire. Le dimensionnement général des forces navales leur permettra en outre : – de contribuer au recueil du renseignement, tant dans nos approches maritimes que sur les théâtres d’opérations ; – d’assumer le commandement d’une composante maritime embarquée de force interarmées (Maritime Component Command ou MCC) ; – de projeter une capacité de guerre des mines ; – de disposer d’une flotte de soutien dimensionnée pour l’ensemble de leurs missions. Les efforts de modernisation porteront en priorité sur les capacités de maîtrise du milieu sous-marin (sous-marins nucléaires d’attaque et frégates anti-sous-marin), sur les capacités de frappe de précision dans la profondeur par missile de croisière naval, et sur le renforcement de la capacité de commandement et de projection à partir de la mer. Dans ce cadre, le renouvellement des sous-marins nucléaires d’attaque constitue une priorité stratégique. Par leur discrétion et leur ubiquité, ils apportent en particulier une contribution essentielle à la sûreté de la FOST et à la protection du groupe aéronaval. La construction des 6 Barracuda devra permettre de disposer en permanence d’au moins 5 sous-marins en parc pour faire face, durant toute cette période, à ces missions. Pour assurer l’ensemble de ces objectifs, la marine, avec un effectif de 44 000 personnes, sera dotée notamment : – de 4 sous-marins nucléaires lanceurs d’engins ; – de 6 sous-marins nucléaires d’attaque ; – d’un porte-avions avec son groupe aérien embarqué ; – de 18 frégates de premier rang ; – de 4 bâtiments de projection et de commandement. COMMENTAIRES Nos 4 SNLE sont pérennisés, leur liberté d'action impliquant la mobilisation de 2 SNA et de 4 FASM au maximum (+ guerre des mines + avions de patrouille maritime): les SNA et FASM sont donc des priorités reconnues! La surveillance du territoire maritime en métropole impliquera la création d'un groupe d'action (une frégate (ASM?), deux chasseurs de mines, un ATL2) pouvant intervenir en permanence sur chaque facade maritime (atlantique et méditerranée), je laisse au spécialiste du forum le calcul des moyens nécessaires pour atteindre cet objectif d'intervention permanente Le groupe aéronaval pourra être déployé a 7000 8000 km (1 PA + frégates + SNA): aucune précision sur le détail du nombre de frégates ni SNA requis: certainement à moduler selon la menace, disons un maximum de un PA + 2 FAA + 3 FASM + 2 SNA J'observe que le nombre de six SNA, 18 frégates de premier rang (donc FAA + FASM + FAVT??) est peut-être juste en regard des missions: 2 SNA, 4 FASM sont "occupés" à protéger les SNLE Au moins 2 frégates pour la protection des facades maritimes 2 SNA +2 FAA + 3 FASM pour le GAN Le total fait 4 SNA, 7 FASM, 2 FAA + 2 frégates de premier rang (FASM??) A ces chiffres s'ajoutent les navires nécessaires à la mission :"Un ou deux groupes navals, amphibie ou de protection du trafic maritime, avec leur soutien logistique, seront également disponibles pour des missions d’intervention et de présence" soit plusieurs frégates...en admettant qu'un groupe amphibie pourrait disposer du GAN ce qui demanderait moins de frégates d'escortes pour les amphibs supplémentaires: Je dirais donc 3 ou 4 frégates supplémentaires, on arrive à 14/15 frégates disponibles: est-ce que 18 en parc permettent d'assumer ces missions?? J'observe 4 BPC... soit 2 BPC de plus ou dans ce chiffre sont inclus les deux TCD: un passage du livre précise: "En ce qui concerne la mobilité par voie maritime, la France s’est dotée, notamment avec les bâtiments de projection et de commandement (BPC) et les transports de chalands de débarquement (TCD), d’une capacité d’emport et de débarquement. Leur renouvellement et même leur renforcement seront assurés." j'ai dans l'idée que les amphibs vont monter en puissance: 4 BPC et 2 TCD???
  13. Je vous soumets le copier/coller des écrits du livre blanc, en l'occurence le paragraphe sur les forces terrestres. Les forces terrestres devront pouvoir assurer simultanément les missions suivantes : – la participation à la protection du territoire national en renfort du dispositif de sécurité publique et de sécurité civile, avec des moyens pouvant impliquer jusqu’à 10 000 hommes en quelques jours ; – l’intervention dans le cadre d’un engagement majeur multinational, sur un théâtre distant de 7 000 à 8 000 kilomètres, en déployant 30 000 hommes en six mois, pour une durée d’un an, sans renouvellement. Le format des forces terrestres devra permettre de régénérer cette force ou de l’adapter à l’évolution des conditions d’engagement ; – le maintien d’une capacité permanente d’action et de réaction autonome permettant d’intervenir avec 5 000 hommes dans des délais réduits ; – le maintien d’un dispositif de prévention, hors du territoire national, concentré sur un point d’appui par façade africaine et un ou plusieurs dans le golfe Arabo-Persique. Une capacité permanente mais adaptée d’aguerrissement et d’intervention sera maintenue. Dans un premier temps, ce dispositif entretiendra un stock d’équipement prépositionné permettant un déploiement d’urgence depuis la métropole. Le renforcement restera toujours possible, par exemple par le déploiement d’une force amphibie ; – la présence dans les DOM-COM au titre des forces de souveraineté, avec des moyens de théâtre concentrés sur la Guyane, la Réunion et la Nouvelle-Calédonie et une capacité régionale de projection en cas de crise. En dehors des situations où une opération majeure est engagée, les forces terrestres pourront être sollicitées dans plusieurs opérations de stabilisation ou de maintien de la paix. La structure de l’armée de terre combinera des forces « de décision » adaptées aux combats les plus violents, « multirôles », orientées vers l’entrée en premier sur un théâtre d’opérations, les phases de transition et les opérations de stabilisation, enfin « d’urgence », à forte mobilité stratégique. Conservant les capacités nécessaires à la fonction de nation-cadre en coalition, le dimensionnement des forces terrestres permettra en outre : – d’assumer le commandement d’une composante terrestre de force interarmées du niveau de corps d’armée (Land Component Command ou LCC) ; – de constituer l’ossature d’une division OTAN renforcée (à deux ou trois brigades interarmes françaises et une ou deux brigades alliées), disposant de son autonomie tactique dans toutes les fonctions opérationnelles interarmes (combat de contact, appui, soutien) ; – d’organiser le soutien logistique de la composante terrestre, voire de la force interarmées. Les efforts de modernisation porteront en priorité sur la protection des forces, la numérisation de l’espace opérationnel, le rétablissement de la capacité aéromobile, l’acquisition de capacités de frappe dans la profondeur. Avec un format général de 131 000 personnes, les forces terrestres constitueront une force opérationnelle de 88 000 hommes, organisée en : – 8 brigades interarmes, disposant de l’ordre de 250 chars lourds de bataille de type Leclerc, d’environ 650 véhicules blindés de combat de type VBCI, 80 hélicoptères de combat, 130 hélicoptères de manoeuvre, et de l’ordre de 25 000 équipements individuels du combattant de type Félin ; – 3 brigades spécialisées ; – moyens d’appui correspondants. COMMENTAIRES: les "missions" doivent être mises en oeuvre simultanément, ce qui suggère une capacité d'intervention nationale immédiate de 10000 hommes, d'une capacité d'action de 5000 hommes (équipés de quoi, à quelle distance je pose les questions sans polémiquer), d'une capacité d'action majeure, multinationale, de 30000 hommes disponibles avec un délai de 6 mois (c'est long, ça me rappelle les délais d'installation des US en arabie saoudite en 1990/1991), pour une durée de an sans renouvellement. Je note sur ce dernier point la capacité de régénérer cette force HUIT brigades interarmes + 3 brigades spécialisées + moyens d'appui correspondants: lesquelles? aujourd'hui nous avons 2 BB, 2 BM, 2 BLB, 1BA, 1 BP, 1 BAM soit 9 brigades ce qui implique la disparition d'une brigade de manoeuvre, j'ai dans l'idée que nos 2 brigades blindées et nos 2 brigades mécannisées vont devenir 3 brigades blindées ce qui nous donnerait 240 LECLERC et 96 AuF1 en parc...ça colle: QU'EN PENSEZ VOUS?
  14. Je suis bien d'accord avec l'idée de philippe appelant à commenter les écrits du livre blanc: je vais commencer par ouvrir trois topiques dans les sections correspondantes pour débuter les échanges autour des écrits du LB sur le chapitre des forces (terrestre, naval et aériennes). rendez-vous donc sur ces topiques pour commenter ce qui est écrit!
  15. Un article très intéressant sur la budgetisation de l'USNAVY dans le futur (horizon 2038) http://www.cbo.gov/ftpdocs/93xx/doc9318/06-09-Shipbuilding_Letter.pdf tout porte à croire que l'USNAVY va devoir investir énormément d'argent, mais quelle marine!!
  16. il existe (sur le papier) un projet de chassis VBCI avec une tourelle équipée d'un 120mm L52 à faible recul avec un frein de bouche, c'est le vbci 120, c'est un projet pour l'export, peu probable qu'il remplace donc le 10 RC. La tourelle ressemblait fortement à celle du LECLERC, avec un chargeur automatique contenat moins de munitions en réserve (16 au lieu de 22 je crois). La tourelle était dessinée avec un fort équipement électronique: viseur chef (capacité hunter killer), sytème de contre mesure passif et actif (SPATEM, pas le SHARK) A priori, le remplçant du 10 RC sera l'EBRC (engin blindé à roues de contact), appelé aussi V3C (véhicule de cohérence du combat de contact) en version reconnaissance avec un CTA 40 + missile AC+ robots. Il apparaîtra peut être un véhicule canon lourd pour jouer le role de char léger en plus: offrir une alternative aux déploiements des LECLERCS et apporter plus d'options qu'une version reco pour les régiments de cavalerie légère dotées aujourd'hui de 10 RC
  17. leclercs

    SHARK, System Hard Kill

    Un blindage NERA (Non Explosive Reactive Armor) ne serait certainement pas affecté par un "blast", ce type de blindage réagit à une agression concentrée: un jet de charge creuse ou une flèche. la demande de l'EM pour les solutions de défense active implique la protection des LECLERCS. Le système SHARK semble montré une efficacité contre les missiles AC et les Flèches: c'est un immense progrès s'il avère réel, même si pour survivre aux morceaux de flèches le blindé protégé doit être un "lourd": ces morceaux conservent une énergie cinétique énorme qui transformeraient un VAB en gruyère, maintenant un VAB équipé du SHARK resterait protégé contre les roquettes et missiles AC voiredes obus HEAT (beaucoup plus lents que les flèches) ce qui serait déja pas si mal. reste à voir donc les résultats que va obtenir ce système dans les tests à venir. je cite BERKUT: "Parce que bon, contre des flèches légères genre 30/40mm le système sera à sec en moins de deux secondes mais est complètement inutile contre des sabots de gros calibre puisqu'on ne va pas employer des flèches mais plutôt de l'explosif qui le ruinera à coup sûr et là les systèmes classiques sont opérants." j'ai pas compris enfin je crois: si tu veux dire qu'un tel système serait "à sec" si ses munitions sont consommées par des tirs de flèches de moyens calibre et que la voie deviendrait libre pour une flèche de gros calibre la d'accord (dans la théorie). Tout système de défense active est saturable à priori, maintenant ça devient un eopération combinée de détruire un char et.encore faut-il que celui-ci coopère et qu'il ne soit pas tout seul dans son coin
  18. leclercs

    VBCI

    le troisième est effectivement un VPC, bien reconnaissable avec son tourelleau de 12,7.
  19. Et oui les armes sont dangereuses, fallait-il un évènement si cruel pour nous le rappeler. le métier des armes l'est tout autant, doit-on être surprit quand il arrive un accident, aussi terrible soit-il. le risque zéro n'existe pas, il s'est produit un enchainement de circonstances, dont les probabilité étaient voisines de zéro, mais voila, en statistique, une chance sur un million, répétées des milliers de fois font que le cumul d'un risque infinitésimal détermine un risque réel, voire une certitude, combien de cartouches à blanc ont été tirées par les armées? combien de balles réelles ont été tirées en lieu et place des cartouches à blanc par accident? ce n'est certainement pas la première fois qu'un incident de ce type arrive, mais ceux-ci se sont produits dans le cadre d'exercices militaire exclusifs. Certes il y a eu des erreurs, certes il y aura des sanctions, faut-il jeter pour autant l'opprobe sur l'armée française et la salir, crier à l'incompétence, perdre son sang froid et sa capacité d'analyse? Bien sur que non, seules des statistiques d'accidents identiques seraient révélatrices d'une incompétence. Je dénonce, en revanche, l'incompétence de Monsieur MORIN, de Monsieur SARKOZY: qui réclament des sanctions immédiates, qui suggèrent l'incompétence de nos armées au yeux du monde. Je cite les propos de monsieur SARKOZY (source JDM): "la violence des propos tenus, hier à Carcassonne, par Nicolas Sarkozy, à l'égard des militaires présents et notamment du général Cuche. Le pointant du doigt, le chef des Armées s'est exclamé : "Vous êtes des amateurs ! Vous n'êtes pas des professionnels" nos responsables politiques sont, par définition, responsables, en l'occurence de l'impact de leurs mots et de leurs dires, de l'image de l'armée qu'ils dirigent: leur comportement (monsieur MORIN réclamant des sanctions sans attendre les résultats de l'enquête...) est inadmissible, indigne d'hommes d'état. Soit il est démontré que l'entraînement de nos forces militaires est une farce alors ils doivent l'annoncer à la nation et prendre les mesures qui s'imposent, soit l'entraînement de nos forces est adéquat et ils doivent alors le souligner, le mettre en évidence et soutenir l'armée que le peuple leur a confiée, surtout, quand les circonstances l'exigent: en tout cas ils ne peuvent s'exprimer sans éléments rationnels. je me demande si monsieur SARKOSY, ne s'est pas rappelé les démonstrations qu'il a observé...au premier rang, de quoi lui faire des cauchemars pendant longtemps... Aujourd'hui l'armée souffre, les victimes souffrent...le rôle des politiques est de soutenir ceux qu'on envoie la on ils vont mourir, le rôle des militaires, de la gendarmerie, de la justice est de faire leur travail, pour minimiser encore plus ce genre de risque. Enfin il faut alors se poser une question: les démonstrations d'avions en vol, les démonstrations de combat, si le risque zéro n'existera jamais,doivent elles perdurer? ma réponse est oui, le lien armée nation doit perdurer, doit être entretenu, il suffit alors de savoir, que tout est fait pour minimiser les risques mais que ceux ci sont bien réels: bon sang nous prenons bien l'avion! Je terminerai par une pensée émue aux victimes.
  20. leclercs

    SHARK, System Hard Kill

    Premièrement je ne vois pas ou il est écrit que le LECLERC porte des blindages réactifs extérieurs..., de plus, le système shark est censé intervenir sur des charges en focalisant son effet (blast et/ou éclats) vers l'extérieur, il est donc peut probable que la détonation d'une charge "shark" déclenche une réaction d'un blindage actif extérieur (gardez en mémoire que des blindages réactifs type KAKTUS ou KONTAK 5 sont étudiés pour ne pas se déchencher face à un obus de 20 30mm). Enfin les besoins exprimés sont pour le VAB, l'AMX 10 RC, le VBCI et le LECLERC, ce serait le comble s'il se révélait incompatible avec le LECLERC, n'oublions pas que celui-ci est la cible privilégiée des obus flèches (on ne tire pas sur un VAB avec des munitions flèches ce serait du gaspillage), et qu'avec le SHARK on dispose, peut-être du premier système efficace de défense active contre les flèches. A propos si ces systèmes étaient efficaces à 100% (impossible évidement mais imaginez une efficacité à 70 ou 80%) on les détruit avec quoi les chars? Un tel système nécessiterait des projectiles beaucoup plus rapide qu'aujourd'hui...
  21. Mouarf, j'attendais le HS sur les chars de combat qui était prévu....
  22. leclercs

    F-22

    ce serait dommage pour un furtif d'échanger des données qui par définition me semblent pouvoir être localisées et trahir la position de l'avion. Deux articles à méditer: BALTIMORE, June 13, 2007 (PRIME NEWSWIRE) -- Northrop Grumman Corporation (NYSE:NOC) and its teammates L-3 Communications, Inc. (NYSE:LLL) and Lockheed Martin Corporation (NYSE:LMT) have successfully conducted the first in-flight communication's link with an active electronically scanned array (AESA) radar. "We took our targeting radar and turned it into a 'talking' radar by enabling it to transmit and receive unprecedented amounts of information," said Teri Marconi, vice president of Northrop Grumman's combat avionics business unit. "We're revolutionizing the way that data is collected, stored and distributed on the battlefield." The Radar Common Data Link (R-CDL) represents the most advanced concept and approach in providing a high-speed pipeline to offload data and imagery from a tactical platform. R-CDL uses the AESA radar's fire control transmitter and antenna to perform high-data rate, two-way communications at long ranges. Synthetic aperture radar map imagery and streaming video were relayed from a Northrop Grumman BAC 1-11 test aircraft to an L-3 Communications ground station. During the mission, the team transmitted and received in full duplex at 274-megabits per second burst rate. The airborne and ground terminals used off-the-shelf, L-3 programmable modems with the addition of a new R-CDL waveform. This capability complements tactical data links and supports potential future missions conducted by the Lockheed Martin fifth-generation fighter aircraft. This will allow pilots to relay important combat information to the global information grid (GIG) in seconds. Marconi added that the flight test represents the beginning of new connectivity to the GIG and the next step in network centric warfare. Et enfin The U.S. Air Force says it has successfully tested a classified information transmission technology from two F-22 Raptor 5th generation fighter aircraft to ground stations at the recent Joint Expeditionary Force Experiment (JEFX 08) exercise at Nellis Air Force Base in Nevada and Langley Air Force Base in Virginia with new tactical targeting network technology under development by Rockwell Collins. Due to security considerations, the access to information provided by some of the most advanced sensors currently available in theater is highly restricted. For example, intelligence and situational picture generated by F-22 Raptors cannot be transferred to F-15s, F-16 or AWACS even if both units are participating in the same operation. As stealth aircraft, F-22s are not equipped with conventional datalinks such as Link-16 which can be easily spotted by enemy SIGINT. Instead, they use a unique stealth-qualified, narrow-beam Intra-Flight Data-Link (IFDL) designed to relay data and synchronize a situational picture only among the Raptors. As this stealth datalink is incompatible with all other communications devices, Raptors cannot communicate with any friendly aircraft. The experimental Battlefield Airborne Communications Node (BACN) developed by Northrop Grumman will partly solve this issue. An early version of this airborne relay currently employed on a NASA WB-57 in Afghanistan utilized a range of radio datalinks to bridge between different networks. A more advanced version integrated in a Gulfstream business jet is being tested. When completed, Northrop Grumman proposes to deploy BCAN on the Global hawk UAV. During the exercise, two Lockheed Martin F-22 Raptors tested a new method for universal F-22 connectivity with an experimental version of the Rockwell Collins' Tactical Targeting Network Technology (TTNT). For the first time F-22 sensor data was down-linked to the Combined Air Operations Center (CAOC) using a tactical network. In a previous test performed as part of JFEX08-2 earlier this year, images were transmitted from an F-22 to an F-16 via a ground based gateway. Through this experiment, the new radio successfully sent classified sensor data to ground stations at Nellis and Langley Air Force Bases, which then relayed the data to airborne F-16s. According to Col. Moulton, the test provided essential support for further development of future. Battlefield Airborne Communications Node ( BACN) assets and a future ground mobile gateway are designed to support joint air and ground operations. "Lockheed Martin was excited about the Air Force's decision to demonstrate the value of sharing F-22 ISR data with other fighters and back to the Combined Air Operations Center," said Larry Lawson, Lockheed Martin Aeronautics Company executive vice president and F-22 general program manager. "Our F-22s took a huge first step toward becoming net-enabled in JEFX08. The pilots were sending and receiving information such as command and control messaging, imagery, airspace updates, and free text messages using a cockpit touch-screen color display," said Mark Jefferson, director of Lockheed Martin Aeronautics Horizontal Integration. "They stayed pretty busy conducting offensive counter air and destruction of enemy air defenses air dominance missions as well as dynamic targeting attacks with F-16s and non-traditional ISR collection events during the exercise, while also simultaneously piping classified sensor data to the CAOC." comme je suis un néophyte dans la matière quels s ont vos avis? en tout cas le débit obtenu via un AESA me parait bien supérieur à la LINK 16....
  23. Pour alimenter nos réflexions: http://www.lefigaro.fr/debats/2008/06/13/01005-20080613ARTFIG00001-oui-a-un-second-porte-avions-finance-par-le-nucleaire.php Cette analyse me séduit beaucoup dan sun premier temps: vos avis sur le tabou de la dissusion: toujours adapté?
  24. leclercs

    Les FREMM de la Marine Nationale

    La réponse dans peu de temps: Une certitude: deux horizons ^-^ une nécessité quatre FAA: La solution soit moderniser les deux cassards soit deux FREDA. Je parie sur la modernisation des deux cassards et le repport de la commande des deux FREDA pour les remplacer au dela des quarantes années de service de ces deux batiments. Mission protéger le ou les GAN, une force amphibie, voire demain la cote sud de la France, d'ou l'apparition d'une capacité anti ballistique stratégique qui sera certainement mature pour les successeurs des deux cassards modernisés, les horizons acqueriront cette compétence en rétrofit une autre nécessité huit à neuf FASM: je partie sur la construction de neuf Fremm ASM.: mission protéger le ou les GAN, une force amphibie (guerre littorale), la zone de départ des SNLE 5 LAFAYETTES ou 5 FREMM AVT: je parie sur la mise à niveau des FLF en terme de lutte anti sousmarine du littoral et de frappe AVT (dotation de lanceurs verticaux MCM et d'aster 15 pour leur auto défense en guerre littorale, installation des moyens de lutte ASM littorale (ZONAR ACTIF + PASSIF? (intérêt en lutte littorale, sauf drone sous marin....) Un pari bien risqué, je ne risquerai, cela dit, pas d'argent
  25. introduire des 2000-9 serait une véritable calamité pour les ventes futures du rafale: on préfère un rétrofit, aussi qualitatif soit-il, les EU choisissent le rafale, l'armée de l'air se contentant du 2000...??? J'imagine les "vendeurs" du typhoon ou du F35: même les français admettent que le rafale n'apporte rien par rapport à un 2000, ce n'est donc pas un vrai quatrième génération.... si vous voulez affronter la menace qui sera la votre demain investissez dans des appareils vraiment nouveaux et bla bla PITIE ce serait un scénario qui reviendrait à se tirer une balle dans le pied!
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